Du Sport Avec Belle Maman ... Et Beau Papa 2/2
Du sport avec belle maman
et beau papa :
- Ingrid ? Vient par ici chérie je dois te parler :
- Rien de grave jespère ?
- Rassure toi cest que du bonheur
je me disais quolivier est bien seul sans notre fille.
- Oh il est bien avec nous ? Non ?
- Si mais tu connais les hommes, il ne faudrait pas quil aille chercher ailleurs ce quil na plus sous la main.
- Il risque daller voir des prostituées ?
- Exactement, nous avons beaucoup discutés a la salle de sport et il est très branché femmes, il ma même dit que tu lui plaisais beaucoup !
- Non ? Qui aurait dit ça
mon gendre amoureux de moi ! Tu len as dissuadé jespère ?
- C'est-à-dire
je lui ai répondu que cétait réciproque
- Tu es fou ? Jai dit ça dans une situation de folie au moment de la jouissance ! Et notre fille ?
- Nempêche que tu le pensais vraiment, si Julie ne sait rien ya aucun risques de souffrances cest toi ou les prostituées !
- Tu me mets au pied du mur
.
- Voici comment nous allons procéder
..
Le soir au diner jacques annonce que le lendemain soir il ira faire un billard
- Tu ne sors pas toi olivier ?
- Non je ne vais pas laisser Ingrid seule
- Ne vous en faites pas je suis habituée avec ce zigoteau ! allez faire un tour ça vous changera les idées
- Merci mais Julie ne serait pas contente si elle apprenait
- Mais Julie nen saura rien
..
- Non je reste, à moins que cela ne vous dérange Ingrid
- Pas du tout, nous joueront à un jeu de société, ça vous dit ? très bien
- Nen profitez pas pour faire des cochonneries tous les deux !
- Toujours aussi galant vieux machin !
En disant cela jacques ma adressé un coup dil serait-ce un signal ? Jamais je noserais draguer ma belle mère
. A moins que ce ne soit le contraire
jacques partit elle va se doucher pour revenir en sortie de bain très courte, elle sassied lourdement dans un fauteuil les cuisses bien dégagées et séparées juste pour se demander sil y a petite culotte ou non, pour le haut cest clair cest non
- Je suis vannée jai fait du ménage toute la journée, ça vous dit toujours un jeu de société ?
- Je vois que ça vous pèse reportons cela, voulez vous que je vous masse les épaules ?
- Ce serait gentil de votre part
Ingrid dégage le vêtement léger de ses épaules elle le retient juste pour ne pas dévoiler totalement ses seins, posté derrière le fauteuil je pose mes mains sur elle, ça la fait tressaillir,
- Vos mains sont douces
- Votre peau aussi ! , effectivement vous êtes nouée détendez vous
.
Tout en malaxant les muscles je mate la naissance des seins et louverture des cuisses ça provoque rapidement chez moi une érection, heureusement que le dossier nous séparent !
si elle savait que son mari et moi avons baisés ensembles
Ingrid sous linfluence du massage se relâche elle se tasse dans le siège, les seins se découvrent, les genoux se séparent davantage entrainant les pans du vêtement, elle na pas de culotte japerçois quelques poils pubiens
- Ça va mieux belle maman ?
- Je suis sur un petit nuage, dommage que vous ne puissiez masser mon dos aussi
- Allons sur un lit si vous voulez
..
- Bonne idée mais portez moi olivier je nai pas la force de me lever
Elle saccroche a mon cou les yeux fermés, je passe une main sous ses fesses que le tissu ne protège plus, la sortie de bain complètement ouverte dévoile entièrement son corps mais elle ne fait rien pour la refermer, les seins sont lourds mais très acceptables ! Le ventre un peu arrondi par lâge et sa fourrure brune et très bien entretenue, autrement dit ma belle mère et baisable !
Je la dépose délicatement sur le lit, par pudeur elle se retourne immédiatement sur le ventre se débarrassant au passage du vêtement, le verso na pas a avoir honte ! Deux fesses pommelées et une chute de rein à faire pâlir certaines jeune filles, même ma femme nest pas aussi bien gaulée, puisquelle ne me voit pas je me débarrasse de mes habits ne gardant que mon boxer dont les coutures souffrent, me voilà a cheval sur son cul
Je commence au creux des reins pour remonter vers le haut passant des deux cotés pour aller effleurer les seins , Ingrid glousse et soulève son torse pour me laisse accéder a ses mamelons, a demi affalé sur elle mon érection pèse sur sa raie
- Olivier
.
- Oui Ingrid ?
- Ôtez donc ce slip qui vous comprime les parties
- Ce ne serait pas raisonnable, ya un risque
.
- Le risque que vous me baisiez ?? laissez-moi, me retourner
.
La femme se retourne dun bond, matt par le cou, nous retombons lourdement sur le lit bouches soudées langues mélangées, sexes face à face, je malaxe sa poitrine et frotte mon ventre sur le sien, elle écarte les jambes ma queue lime sa chatte trempée jusquen surface, il sen faut de peu pour que langle de pénétration soit bon, je marrache a son baiser pour glisser sur elle, ses jambes se lèvent je nai plus qua mabreuver a la source généreuse, Ingrid appuis sur ma tête, je mord son clitoris, son ventre sarque, elle hurle tandis quun jet dru marrose le visage elle retombe en soupirant
- Quelle fougue !
enfonce-toi dans ma chatte avant que je ne te lèche
- Comme tu veux...
Je la perfore dun coup de rein rageur et me retire la queue dégoulinante de son jus intime
- Avale
..
- Rhhhhuuuuuuummmmmmmmmm
- Pelote moi les couilles en même temps noublie pas mon anus
- Tu as les mêmes manies que ton beau père toi !
- Tait toi et suce, je ne veux pas sentir tes dents
- Mmmuuuuummmmmmmm !
Je me sers de sa bouche comme dune chatte, une salive épaisse coule au coin de ses lèvres, ses yeux exorbités sont larmoyant ses joues gonflées et rouges, la face dIngrid ressemble a celle dune poupée gonflable sur laquelle je macharne jusquà ce que léjaculation arrive si abondante que ça lui ressort par les trous de nez, elle tousse renifle crache, les cheveux collés par la sueur, le rimmel dégoulinant elle sourie comme un clown triste
- Tu ne fais pas semblant toi !
- Excuse-moi si jai été rude
- Jaime ça ton beau père non plus ne me fait pas de cadeaux, là encore moins
Les jambes en lair elle me montre son entrejambes, ses doigt ouvre sa craquette nacrée par la mouille, au passage je remarque que sa cible doit servir car elle est défripée
- Vient, elle tattend
Les deux chevilles sur mes épaules je lembroche violemment, elle couine, ses mains agrippent le drap, je tape dans sa chatte comme un forcené, ses seins tressautent sa tête bascule de droite à gauche, jamais je naurais osé macharner sur ma femme ainsi, des bruits mouillés ponctuent mes coups de reins, la moule dIngrid est en eaux elle essaie déchapper a mes coups de queues en se tortillant mais je lai bien en mains, plus elle se débat plus je la bourre
Son corps entier est secoué de spasmes, un orgasme terrible la dévaste, elle semble inerte, a ce moment là un rire sarcastique et une voix mielleuse susurre
- Je vois que tu te défoule !
- CHARLES ????? vous êtes là depuis longtemps ?
- Continue tu fais du bon boulot ! a mon avis tu devrais changer de trou ça va la réveiller
- Non prenez là a votre tour je vais me reposer
- Comme tu veux
montre moi ta chatte Ingrid ton gendre ta bien bourriquée ? pouah ! elle est trop embourbée je vais te prendre le cul
Docile ma belle mère se met en positon, Charles tout nu ne perd pas une seconde et tâtonne du bout du gland a la recherche de la faille plissée
une idée germe en moi
je crache sur mon membre afin de remouiller le jus qui commence à sécher, le beau père est attentionné pour ne pas blesser sa femme je mapproche derrière lui la queue tendue
- Olivier ? Que fais-tu ?
- La même chose que vous mavez faite a la salle de sport, votre cul mattire !
- Tu te dévergonde ! laisse-moi un instant que je trouve la chatte de ta belle mère
.
- Que fait tu Charles ?
- Minute ! notre gendre mencule !
haaaaa doucement
. Haaaaaaaaaoouuuiiiiiiiii !
- Et tu te laisse faire ?
- Toccupe cest une histoire entre lui et moi
Ma bitte est serrée comme dans un étau dans ce boyau musclé, le temps de trouver la synchronisation et le petit train démarre, depuis de temps en temps je moctroie une partie de jambes en lair avec mes beaux parents
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