Marc Et Moi (2)

Chaque week-end, dans ma chambre, je me branlais en pensant à Marc, a la façon qu’il avait de me sucer, de me branler, du gout de sa bite, de la brulure que je ressentais à chaque fois que je buvais son sperme. J’attendais le dimanche soir et le moment où il viendrait me mettre son sexe sous le nez pour que je le prenne en bouche.
Je garde le souvenir terrible d’un dimanche soir où il n’était pas là. Malade il était resté chez lui et je du me contenter de ma main. Ce soir là je sentis quelques larmes couler le long de mes joues au moment de mon orgasme solitaire.
Je savais que Marc avait lui aussi envie d’autre chose que nos jeux de main et de bouche. Chacun hésitant encore à passer le pas. Un soir, après avoir éjaculer entre ses doigts, je lui demandais s’il voulait venir en moi, s’il voulait mon cul. Je devais être rouge de confusion. Il m’embrassa et me remercia de mon offre mais qu’il ne voulait pas que ce soit comme ça, pas dans cette chambre, pas ce soir là.
Nous attendîmes le bon moment, en espérant en trouver un. Il se présenta de lui même.
A nouveau ce fut chez Marc. Il m’invita pour les vacances, trois jours. C’était pour Pâques. Je retrouvais avec plaisir les parents de mon ami, et ce canapé où j'avais reçu ma première fellation. Cette fois ci il n’était pas question de profiter de l’absence des parents mais d’aller chercher une intimité dans une tente de camping. Marc avait prévu d’aller passer une nuit au bord d’un lac tout proche sous le prétexte d’y pécher.
Après une première soirée chez ses parents, nous partîmes sacs sur les épaules vers ce lac, et ce coin tranquille. Après une bonne heure de marche à travers la foret nous arrivâmes sur les rives du lac. Marc jeta son sac et ses vêtements avant de courir nu plonger dans l’eau rafraichissante. La simple vision de son corps nu me fit bander dans l’instant, et j’ôtais à mon tour mes habits pour le rejoindre.
Nous nous embrassâmes. Nos corps nus se pressaient l’un contre l’autre dans l’eau fraiche qui avait du mal à venir à bout de nos érection.

Nos langues ses mêlaient, nos bouches n’arrivaient pas à se décoller l’une de l’autre. Dans cet écrin de nature, seul au monde nous pouvions enfin laisser libre cours à nos envies. Je pensais qu’une fois sorti de l’eau, enfin nous pourrions assouvir ses envies sexuelles qui nous consumaient depuis de longue semaines. Marc en avait décidé autrement. Il voulait encore attendre un peu avant de franchir le pas, et s’il ne refusa pas une petite pipe partagée, il voulait en reste là.
Légèrement frustré je le laissais mener le bal.
Il sorti les cannes de son sac, les installa, et nous péchâmes comme deux amis, buvant des bières qu’il avait piqué dans le frigo, attendant que le poisson morde. Après avoir avalé un sandwich nous allâmes nous baigner nus, et Marc voyant que j’étais encore en forme me branla sous l’eau, sensation particulièrement agréable.
Le soir vint doucement. Nous allumâmes un feu pour y griller des saucisses et faire cuire des pommes de terre sous la cendre. D’autres bières accompagnèrent notre festin. Marc me proposa un dernier bain, et nous plongeâmes à nouveau dans l’eau pour nous embrasser sous le ciel étoilé.
Si en début de journée l’envie était puissante, au fur et à mesure que le moment approchait je sentis monter le trac. Nous sortîmes de l’eau, le sexe flasque, et nous glissâmes sous la toile de tente. Dans la pénombre nous commençâmes à nous caresser, les mains de Marc glissant de façon de plus en plus pressante sur mes fesses, cherchant leur chemin. Il pris un tube de lubrifiant, s’en mit sur les doigts et commença à m’en enduire l’anus. Je sentis un doigt se glisser en moi et fut parcouru d’un long frisson. Il me massa doucement, me préparant a sa venue. Il m’embrassa, et me demanda une dernière fois si j’étais prêt. Je lui répondis oui, alors il me fit mettre sur le ventre, et glissa sa bite entre mes fesses. Je sentis son gland appuyer sur mon trou. Il s’avança doucement, et dans un coup de rein franchi l’orifice lubrifié.
Je ressenti une vive douleur. Une brulure qui me remonta tout le long du dos. Puis, lentement, au fur et à mesure qu’il me sodomisait, cette sensation se transforma. Une vague de chaleur, douce chaleur remplaça la brulure douloureuse. Je sentais son sexe me traverser, et à chaque coup qu’il me donnait le plaisir se faisait plus fort, plus précis, plus intense. J’entendais son souffle s'accélérer, en même temps que moi. Ses main serraient un peu plus fort mes hanches. Ses va et vient se faisaient plus rapide. Tout d’un coup, je sentis ma bite se raidir, et une décharge le traverser, je poussais un cri de plaisir. Marc donna alors un dernier coup de rein et éjacula en poussant lui aussi un long cri de bonheur.
Il resta allonger sur moi, reposant de tout son poids, ruisselant de transpiration, la queue encore enfoncée dans mon cul. Nous reprîmes nos esprits doucement. Enchantée de cette première expérience. Marc m’embrassa et me remercia. Il se retira, enleva sa capote et la jeta à l'extérieur. Je me retournais sur le dos. Je bandais ferme. Marc se pencha et me suça quelques seconde avant de se mettre à quatre pattes pour m’offrir son cul.
Dans un premier temps je refusais. Il fut surpris. Je lui dis alors que je voulais le prendre en plein air, sous les étoiles, dans la fraicheur de la nuit. Il se releva, sorti de la tente et se mit de nouveau en position sur le sac de couchage qu'il avait pris avec lui. J'enfilais un préservatif, lui enduit la raie de lubrifiant, et plaçait mon gland contre son trou. Je bandais dur. J'accentuais petit a petit la pression jusqu'à ce que son anus s'entrouvre et que je le pénètre. Marc gémit. Je commençait doucement mes va et vient voulant profiter de mon second dépucelage. Marc m'encourageait par des " Baise moi" et autre "encule moi" qu'il criait a tue tête. L'étroitesse de son cul et l'excitation extrême me firent jouir en quelques secondes. Je poussais un cri de plaisir. Marc lui semblait frustré par la rapidité de ma performance.
Je me dégageais et entrepris de lui offrir une pipe. Apres avoir gouter son cul, je retrouvais avec plaisir le gout de sa bite. Il jouis dans la bouche et m'embrassa aussitôt, nos langues se mêlèrent dans son foute qui dégoulinait sur nos mentons.
Nous restâmes allongés sous les étoiles, nus, sentant le sexe. Puis Marc se leva d'un coup et couru se jeter dans le lac en riant. Je fis de même. L'eau était glacée et nous sortîmes vite pour retourner sous la tente où le sommeil nous pris vite.
Marc dormait encore quand je me réveillais. Je pris son sexe dans la bouche et commençait a le sucer pour le faire bander. Il se réveilla en riant. Il me laissa faire un moment avant de m'inviter a le sodomiser de. Nouveau. Il voulait, comme je l'avais fait la veille, connaitre un orgasme en se faisant prendre. Je ne fis pas prier. Je retrouvais le plaisir de l'enculer. La chaleur de son anus, son étroitesse. Je pris mon temps. Variant le rythme, l'écoutant réagir, soupirer, crier et enfin jouir. Je me laissais aller alors et éjaculais enfin.
Nous primes notre petit déjeuner et remballâmes nos affaires. En rentrant je découvrais la sœur de Marc qui en un instant marqua mon esprit au point de devenir l'actrice d'un de mes fantasmes que je ne raconterais à Marc que bien des années plus tard.
Après cette première expérience, Marc et moi n'eurent que deux autre fois l'occasion de faire l'amour ensemble. Nous ne voulions pas, même si l'envie était forte, prendre le risque de le faire à l'internat. Nous retournâmes au bord du lac une autre fois. Et nous nous vîmes une dernière fois chez moi au début des vacances d'été. Juste avant que mon père ne soit muté, que je déménage et que je perde Marc de vue. Je le retrouverais quelques années plus tard dans des circonstances amusantes et tout aussi sexuelles.

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