En Car
A cette époque, je sortais avec Christelle depuis environ trois ans. Elle avait 22 ans (moi 25) et était absolument charmante: 1m70, blonde, cheveux longs, yeux verts, quelques taches de rousseur, et un 85C tout à fait agréable. Ajoutez à cela un sourire ravageur, de l'esprit et une bonne dose d'humour, et vous comprendrez aisément que j'aie craqué pour cette fille! Elle était à vrai dire ma première copine (mais elle avait eu des mecs avant moi) et c'est avec elle que j'ai vraiment découvert le sexe; jusque -là je m'étais contenté de quelques caresses avec une fille un peu frigide et, je l'avoue, avec un pote quelques années plus tôt. Mais ce n'était jamais allé plus loin.
Notre relation avait mis du temps à démarrer, puis le sexe a consolidé les bases tendres qui nous unissaient. Cela dit, depuis plusieurs mois déjà, je devais me contenter à nouveau de caresses, en tout bien tout honneur. Cela ne m'empêchait pas de savoir qu'elle était la femme de ma vie (elle l'est d'ailleurs toujours), mais me poussait de temps à autres à fantasmer sur ses collègues de cours (elle étudiait l'histoire de l'art) ou sur l'une ou l'autre fille de ma connaissance. Mais bref, revenons-en à mon histoire.
J'allais partir à l'étranger sans elle pour la première fois depuis que nous nous connaissions. Ensemble, nous avions visité Budapest, Stockholm, New York et Rome. Mais là il s'agissait d'un voyage moins palpitant: une sortie à skis de trois jours dans les Alpes suisses avec mon club de tir à l'arc. Le voyage était ouvert aux conjoints, mais Christelle voulait me laisser profiter d'être avec des amis, d'une part, et cela lui permettrait d'autre part de faire du shopping sans m'avoir dans les pattes et aucun des participants ne devait finalement amener son conjoint
Je n'étais pas très motivé à partir, mais je préparai tout de même mes bagages et, le vendredi à 5h, étais prêt au départ devant le car. Christelle m'avait accompagné; elle m'embrassa plusieurs fois avant que je ne monte dans le véhicule, sous les regards avides mais mal réveillés de quelques potes.
Elle me fit la bise et j'eus l'impression que sa main m'effleurait la cuisse. Cela ne me disait rien qui vaille. J'avais envie de profiter de ces trois jours de ski, et j'avais tout sauf l'envie qu'elle joue avec moi. Mais bon! J'étais faible et elle était quand même super sympa, donc j'engageai la conversation. Nos échanges furent assez banals. Pendant ce temps, à l'arrière, les mecs s'étaient lancés dans une partie de strip-poker, profitant de la nuit qui entourait le car, lequel avait déjà démarré. Deux d'entre eux avaient rapidement fini en slip, et Vanessa leur lançait des regards en coin de temps en temps, tout en m'expliquant combien les adieux avec son mec (un idiot qui avait plus de muscle dans le petit orteil que de cerveau, à mon sens) avaient été déchirants.
Nous discutions de ski quand Mickael s'approcha de nous: il était complètement nu et cachait son sexe avec ses mains. Il avait écopé d'un gage et devait embrasser Vanessa. Elle se fit un peu prier, puis lui accorda un rapide et léger "kiss". L'image ne me plut guère, mais j'étais malgré tout, et malgré moi, à l'étroit dans mon caleçon. Mickael repartit vers l'arrière en s'esclaffant, et Vanessa se pencha vers moi en chuchotant "stupide" à son égard.
Je reçus un message de Christelle sur mon portable. Elle disait qu'elle m'aimait, et m'envoyait aussi une photo. Elle l'avait prise face au miroir; elle était en sous-vêtements blancs, et c'était superbe à voir sur son corps bronzé... Je rougis et rangeai bien vite mon portable, mais j'étais persuadé que Vanessa avait vu la photo.
Vanessa décida à ce moment-là d'ôter sa veste. Elle portait, en dessous, un pull en laine qui lui allait parfaitement bien. Il était rose, assez fluo, et tout en étant épais mettait bien en valeur ses formes. Elle posa sa veste sur ses genoux, en guise de couverture. Je fis de même avec la mienne et lui annonçai que je voulais dormir un peu (histoire de fermer les yeux pour fantasmer un peu sur elle et sur Christelle). Elle me souhaita une "bonne nuit" avec un clin d'il et un sourire qui me mit mal à l'aise. Je bandais. Je m'installai confortablement dans mon siège, avec les rires gras des copains en fond sonore, et contre ma volonté je m'endormis.
Je me réveillai en sursaut une heure plus tard environ. Je ne pensais pas avoir dormi autant, pourtant. Tout était calme, dans le car; en fait, hormis le chauffeur (heureusement!), tout le monde dormait. Vanessa était assoupie, la tête penchée vers le couloir du bus. Elle était superbe. Ses cheveux ondulaient autour de son visage, et je remarquai à force de la contempler qu'elle avait ôté son pull. Elle portait un débardeur légèrement décolleté qui laissait voir la naissance de ses seins, et laissait deviner qu'elle ne portait pas de soutien-gorge.
Mais, cette fois, je ne dus pas dormir longtemps avant de sentir une main sur ma cuisse. J'eus un sursaut, et la main se retira. Je gardai les yeux fermés et fis semblant de ne pas m'être réveillé. Quelques instants plus tard, la main était à nouveau sur ma cuisse. Je ne rêvais pas: profitant des vestes qui cachaient le bas de nos corps, Vanessa me caressait discrètement la cuisse. J'étais troublé, et bien évidemment excité. Surtout que sa main se rapprocha de mon entrejambe et sentit la bosse qu'elle y provoquait. Vanessa gloussa, mais je continuai de faire semblant de dormir. Sa main (dont j'avais tant rêvé!) entreprit de caresser mon sexe à travers mon pantalon. Mon érection ne cessait d'augmenter, c'en était presque douloureux! Vanessa continuait de me masser, puis décida de passer aux choses sérieuses. J'étais à deux doigts d'éjaculer quand je me rendis compte qu'elle déboutonnait mon pantalon; avec adresse, elle dégagea mon sexe de mon boxer et le libéra, tout en le maintenant sous ma veste. Ses doigts me prodiguaient des caresses extrêmement agréables. Ils couraient le long de ma verge, ses ongles la griffant légèrement (ce qui ne m'excitait que davantage). Elle commença à jouer avec la peau de mon sexe puis, avec son pouce et son index, me branla franchement. Au bout de trois minutes d'extase, et sans que je ne puisse m'y opposer, je lâchai trois longs et puissants jets de sperme dans ma veste en étouffant un râle de jouissance. Dans un effort surhumain, je parvins à toujours faire semblant de dormir. Vanessa ne s'aperçut pas que j'étais réveillé, mais elle s'en doutait sûrement.
J'étais plus que troublé. J'avais envie de lui rouler une pelle, de lui arracher son débardeur, de la traiter de salope et en même temps de lui faire une déclaration d'amour. J'étais vraiment perplexe... D'autant que je constatai, à sa respiration, qu'elle s'était vraisemblablement rendormie. Je regardai autour de moi: tout le monde dormait, il n'y avait aucun bruit, aucun mouvement dans le car. J'avais envie de me caresser en repensant à ce moment... magique. Mais il me vint une autre idée. Je passai la main sous la veste de Vanessa, et effleurai sa cuisse. Aucune réaction. Je passai la main sous son débardeur. Elle ne réagissait toujours pas. J'avais très envie de remonter jusqu'à ses seins et de les peloter, mais c'était trop dangereux, trop visible. Du coup, je descendis vers son pantalon qui, à ma grande surprise, n'était pas boutonné. J'aventurai un doigt qui rencontra un string en dentelle un peu humide... J'étais surexcité! Vanessa ne réagissait toujours pas, alors je fis passer mon doigt sous le tissu; elle était complètement rasée. Je nageais en plein bonheur! Mon doigt suivit la fente et entra dans sa chatte qui était vraiment humide. Je la doigtai discrètement, doucement, jouai avec son bouton. Aux soubresauts de son corps, je me rendais compte que cela lui plaisait. Je continuai mon jeu, sa mouille était toujours plus abondante, ses spasmes de plus en plus nombreux et rapproché, puis enfin son corps se souleva: elle jouit, sans se réveiller. Je profitai de laisser encore un peu mon doigt se promener dans se chatte, pour se recouvrir de sa mouille. Puis, comme elle, je le portai à mes lèvres et me régalai de son jus... Je ne savais pas si elle était vraiment toujours endormie. Je n'osais pas faire le moindre geste vers elle, pourtant je crevais d'envie de l'embrasser. Mais je me retournai vers la fenêtre, en me demandant comme j'allais gérer cet événement après. J'étais certain que cette garce s'en tiendrait là, pour me faire rager, et flirterait tout le week-end avec d'autres mecs. Et je m'en voulais un peu de m'être laissé aller, surtout qu'un nouveau message de Christelle me montrait sa poitrine tant aimée... Ne sachant ni trop que faire, ni trop que penser, je me rendormis...
Je fus réveillé par le chauffeur du bus, à l'arrivée. Tout le monde était déjà descendu. Je pris ma veste; le sperme était presque sec. Je descendis du cas. Vanessa discutait avec Mickael, qui riait et lui réclamait un nouveau baiser. La scène m'agaça un peu. Je voulus m'éloigner, mais Vanessa me fit signe de s'approcher après avoir demandé à Mickael d'aller chercher sa valise s'il voulait un nouveau "smack". Je rageai. En arrivant vers Vanessa, je m'aperçus qu'elle avait un plâtre à la jambe droite. Elle me chuchota, à l'oreille: "Je vais passer beaucoup de temps à l'hôtel. J'espère que la grippe t'empêchera de skier quand tout le monde sera sur les pistes". Et elle conclut ses propos par un de ses sourires diablement excitants...
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