Comment J'Ai Conduit Le Rer !

Peu de temps après avoir emménagé à Paris pour mes études, chez Roger, un ami de mon père qui avait abusé de moi, et avait bousculé mes certitudes sur mes orientations sexuelles, j'ai voulu prendre le RER pour aller découvrir la vallée de Chevreuse. Comme j’adore le jogging, je me suis dit que courir là-bas devait être très agréable, et qu’il fallait profiter de ces dernières chaleurs automnales.
J’ai donc mis un short satin, un marcel assorti et je me suis rendu gare du nord pour prendre le RER B. Juste lorsque je me suis engagé dans l’escalier qui descendait sur le quai, j’ai entendu le signal de fermeture des portes. J’ai couru, mais les portes achevaient de se fermer lorsque j’ai débouché sur le quai. J’ai poussé un soupir de déception, quand à ma grande surprise, la porte de la motrice s’est ouverte, et le conducteur m’a lancé :
« Eh, petit, ne fais pas la gueule, je te laisse monter avec moi si tu veux, cela me fera de la compagnie »
Je ne me suis pas fait prier, je suis monté dans la cabine étroite, et le train a démarré. Le chauffeur, était un maghrébin, presque ma taille, mais bien charpenté (contrairement à moi qui avait un physique de crevette). Il engagea la conversation, et je lui dis que j’étais nouveau à Paris, que j’allais courir dans la vallée de Chevreuse…Comme il me voyait l’observer avec attention il me dit :
-Tu veux conduire le train ?
-Bah, je ne saurais pas !
-T’en fais pas, je vais t’aider !
Il recula le siège haut sur contre lequel il s’appuyait, et ouvrit un bras pour m’inviter à prendre place devant lui. Je me positionnais, et pris la commande de vitesse. Sa main recouvrit la mienne, qu’il guida avec autorité. Du coup je ne contrôlais rien, mais l’illusion était plaisante. J’étais entre les bras fermes de cet homme que je ne connaissais et qui se tenait derrière moi, si près que je pouvais sentir son souffle sur mon cou. La situation m’excitait, je pouvais aussi sentir le devant de son pantalon qui m’effleurait aux grés des vibrations de la machine.

A notre entrée en gare, je vis défiler sur le quai les visages des usagers heureux, que leur attente s’achève.
Le train s’arrêta assez brusquement, si bien que je fus projeté en avant sur le tableau de bord, puis en arrière, contre le conducteur, qui ne bougea pas d’un pouce. Son corps semblait de marbre, accroché imperturbablement aux manettes. Mon déséquilibre fut ainsi stoppé net, comme par un mur. Cette fermeté me surprit et m’intrigua également : il me semblait que mes fesses étaient venues buter sur une excroissance aussi dure que les bras qui m’enserraient. L’impression resta floue cependant, car j’eux le réflexe de me redresser immédiatement.
Je restais ainsi debout, n’osant plus bouger, écoutant les portes s’ouvrir, attendant que le flot de passager se calme… Après un temps qui me sembla une éternité, le signal de fermeture des portes retentit, les portes se refermèrent, et … le RER redémarra si brusquement qu’à nouveau je fus déséquilibré vers l’arrière. Cette fois-ci, le conducteur me retint de son bras gauche puissant, m’enserrant avec autorité, et je sentis à nouveau cette bosse contre mes fesses, cette fois-ci, il n’y avait plus aucun doute, mon conducteur bandait comme un âne !
Profitant d’une baisse de l’accélération, je me suis à nouveau redressé, essayant de faire comme si de rien était. Je me plaquais contre le tableau de bord pour me détacher du corps qui se tenait si près derrière moi. Mais l’espace entre le tableau de bord et le siège était trop exigu : cette bosse qui ne cessait de se développer et de durcir m’effleurait le postérieur. Cette situation m’excitait incroyablement. J’aimais sentir ce sexe venir frotter mes petites… Je me mis à bander aussi malgré moi, et ma verge durcie, plaquée contre le tableau de bord commençait à me faire mal.
A l’arrêt suivant, je fus à nouveau projeté contre le conducteur, mais cette fois-ci, en m’enserrant, il vint poser sa main gauche sur le devant de mon short. Sur mon sexe douloureusement durci !
Il ne fit rien et ne dit rien, et le RER redémarra et retrouva à nouveau sa vitesse de croisière.
Mais soudain, en un éclair, je sentis ses mains quitter les miennes. Il se saisit de mon short et mon slip, qu’il tira brutalement vers le bas.
J’ai poussé un cri de surprise : Ma queue ainsi libérée se dressa au-dessus du tableau de bord, ce qui me soulagea. La sensation d’air frais sur mes petites fesses était également très agréable…mais très gênante.
Je protestais.
-Mais cela ne va pas qu’est-ce que vous faites !
Je voulais remonter mon short, mais il me plaqua contre le tableau de bord.
-Quoi, tu n’en avais pas envie peut-être ?
-Mais non, qu’est-ce que vous croyez !
Avec une habileté incroyable, il parvint à baisser lui aussi son pantalon. Il plaqua contre mes fesses un sexe que je devinais court mais gros.
-Qu’est-ce que vous voulez me faire ? Arrêtez laissez-moi !
-Calme-toi ! Depuis que tu es monté, tu n’arrêtes pas de m’allumer avec ton petit cul de salope. Tu crois que j’ai pas vu ton manège !
-Mais non, c’est vous qui...
-Tais-toi, petite allumeuse, tu mériterais que je t’encule à sec, pour te donner une leçon !
Il ponctua sa menace en me donnant une claque retentissante sur la fesse droite. Puis, sa main me caressa doucement la fesse, et sa bouche s’approcha de mon oreille.
-Mais, tu vois, je suis gentil avec les petits culs comme le tien. Je te laisse une chance de t’en tirer sans bobos…Tu vois, on a encore 4 stations avant Massy, puis après, c’est direct jusqu’à Orsay. Pendant que je conduis, tu vas rester là devant moi, et tu vas me branler le gland entre tes petites fesses. Mais attention, tu n’as pas le droit de t’aider de tes mains ! Tu as jusqu’à Massy pour me faire jouir, mais si j’ai les couilles encore pleines à Massy, alors tu l’auras dans le cul, cela je te le promets !
-Mais Monsieur,…
-A ta place je ne perdrais pas mon temps ! Regarde, on est déjà à la première station !
Effectivement, le RER ralentissait pour entrer en gare. Je dévisageais, apeuré, les voyageurs qui nous regardaient arriver.
Voyaient-ils ce qui se passait ? Non. L’imaginaient-ils ? Je me le demandais. Mais je n’avais pas le choix. Je me suis cambré au-dessus du tableau de bord, tout en essayant de faire glisser le gland du conducteur dans mon sillon fessier. Mais le gland ripait, et glissait sur mes fesses. Je savais que ce vieux cochon ne jouirait pas par un simple contact, il fallait que j’arrive à lui enserrer le gland, et là, mes petites fesses musclées pourraient faire le reste. J’ai donc écarté mes fesses de me deux mains. Mais une claque me rappela à l’ordre.
-Sans les mains je t’ai dit !
-Mais elles ne vous touchent pas.
-Je ne veux pas le savoir ! Bon, comme tu as l’air d’y mettre de la bonne volonté, je vais t’aider. Tu vois avec ma main libre, je vais tenir ma queue en position.
De fait, il maintenait sa queue horizontale. Je pouvais maintenant sentir son gland épouser le fond de mon sillon lorsque j’écartais les fesses. Je me suis donc positionné, pour qu’il se cale au plus profond, et j’ai serré les fesses. Son gland déjà lubrifié par les prémices de la jouissance, fut enserré, puis fut éjecté telle une savonnette entre des mains mouillées. J’étais sûr d’avoir découvert la bonne technique. Je recommençais l’opération, encore et encore. Me cambrant un peu plus d’avantage, et poussant mon postérieur un peu plus loin. Le gland s’enfonçait un peu plus entre mes mâchoires fessières, qui le comprimaient alors tel un étau. Mon but était de comprimer la bite du conducteur si fort qu’il ne pourrait se retenir de jouir. Mais au dernier moment, lorsqu’il me semblait qu’enfin j’avais pu agripper la verge du conducteur, celle-ci s’échappait encore, avec d’autant plus de violence, que je l’avais enserrée plus fort. En fait, il s’agissait d’un cercle vicieux, plus le conducteur mouillait du gland, plus il s’enfonçait profond et plus je l’enserrais, mais sa mouille abondante lui permettait également de s’échapper par une ultime glissade. La bataille n’était pas gagnée, mais la victoire était jouable.
Le conducteur, semblait avoir de plus en plus de mal à se contrôler.
-Oh, tu fais ça bien tu sais, oooh, oooh, oui continue ma belle. Ce petit cul qui s’agite sur ma bite, c’est trop beau ! T’as les fesses musclées mon salop. ! Ooh !
Mais les stations défilaient. Les voyageurs regardaient la cabine avec insistance et incrédulité. Ils devaient se douter de ce qui se passait. Mais je ne m’en préoccupais plus, au contraire, la situation m’excitait encore plus. J’avais une mission : faire jouir ce vieux pervers qui me maintenait sa pine entre les fesses. Et je me démenais, avec une énergie qui grandissait, au fur et à mesure que les stations s’égrenaient. Je me cabrais et m’ébattais comme un cheval de rodéo. Mais je devais me brider moi-même, ma rondelle lubrifiée s’ouvrait de plus en plus, et menaçait maintenant de céder au moment où je reculais ma croupe offerte pour m’empaler sur la bite du conducteur. Je devais donc serrer les fesses au bon moment, pour la préserver d’une intrusion définitive. Je savais donc qu’il n’existait plus aucune chance pour que je puisse enserrer cette bite entre mes fesses, sans me faire enculer à proprement parler : mes fesses étaient trop petites pour cela, et j’étais maintenant trop excité moi-même. Qu’importe, je continuais de me battre comme si je devais sauver mon honneur. Le RER s’ébranla à nouveau pour quitter une énième station, et alors que j’allais enserrer à nouveau le chibre du conducteur…le temps sembla s’arrêter.
En un instant, je sentis les deux mains du chauffeur me saisir les hanches, et j’entendis son ventre me claquer les fesses : Il venait de m’enculer jusqu’à la garde !
« Ce train est sans arrêt jusqu’à Orsay »
J’entendis à peine la voix résonner dans les haut-parleurs. A ma grande surprise, la queue pourtant épaisse m’avait pénétrer sans aucune douleur. Il resta ainsi immobile, mais mon plaisir était incroyable : les vibrations de la voie sentaient se propager par mon anus, pour inonder mon corps d’une onde de plaisir.
-Oooh ouiii !
-Je savais que ton petit cul était fait pour recevoir des queues. Je suis rentré comme dans du beurre. Tu vas voir comme je vais bien te le baiser tu vas adorer cela.
Et il commença à me pistonner avec le rythme d’une loco à vapeur qui s’ébranle, et accélère.
-Aaah,…Aaah…, Ah, Ah, Ah,
-Oui, oh oui
Ses coups boutoir puissants me projetaient pratiquement jusqu’au pare-brise de la cabine, mais un plaisir sauvage me dévastait.
-Ah, oui, dans ton petit cul, tiens, et tiens !
Soudain ses bras m’enserrèrent et je sentis sa queue se raidir et pénétrer au plus profond de moi. Mes fesses se contractèrent, et je sentis un flux m’envahir, au moment même où cédant à la pression du plaisir, mon sperme jaillit de ma queue tel un geyser. Anéantis, nous nous sommes effondrés sur le tableau de bord maculé de mon sperme. J’ai senti sa main gauche desserrer son étreinte pour actionner une manette. Le RER a ralenti, s’est arrêté.
« Orsay-Ville, 2mn d’arrêt. »

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