Un Résumé De La Vie De Virginie (Partie 2)

Lorsque Virginie se fit sodomiser pour la première fois, c’était en levrette sur le siège avant de la voiture de l’auto-école. Nono avait basculé les sièges en arrière pour plus de place. L’homme se cramponnait à tout ce qu’il pouvait et escaladait le cul de ma belle qui se faisait remplir sans ménagements. Dans la foulée et sous l’excitation, il finit par se masturber sur les fesses de ma belle, répandant par là même, un liquide chaud et visqueux que la belle se plaisait à étaler sur ses fesses comme pour mieux se rendre compte du méfait de son ravisseur.

Devant les avances répétées de Nono, la belle avait effectivement consentit à lui offrir ce que l’homme voulait. Dans cet instant-là, elle ne songeait alors plus à Bob. Dans sa tête, Virginie s’était décidée finalement à bien profiter de la situation, comme résignée malgré elle.

Dans la voiture, elle essuya, avant de se rhabiller, les dernières gouttes de sperme qui perlaient et coulaient encore entre ses fesses. Nono avait soulevé la jupe de Virginie l’avait remontée jusqu’à la taille.

Sur le chemin du retour vers l’agence de l’auto-école, elle songea à la route et ne pensait pas à Bob. Bruno, moniteur dans l’âme, lui professa les derniers conseils pour une bonne conduite.

C’est seulement dans le bus qui la remontait chez elle que Virginie se trouva pensive envers Bob : « Mon Dieu, qu’ai-je vais et que vais-je devenir ? Et comment le dire à Bob ? Non, je ne peux pas lui dire ça comme ça. ». Dans le bus, sous les apparences d’une fille innocente, Virginie était tourmentée : Elle venait de tromper Bob pour la première fois de sa vie. Voilà quatre ans qu’ils étaient ensemble ces deux-là et Bob a toujours été un parfait amant, amant et amoureux en même temps. Virginie ne comprenait pas comment avait-elle pu faire cela et comment en était-elle arrivée là. Elle repensait à Bob, qu’elle disait l’homme de sa vie : beau, drôle, intelligent… Bob avait tout pour plaire et pourtant elle venait de le tromper.

Elle pensait aussi à Nono : « C’est vrai qu’il est beau aussi et plus musclé. J’aime son côté entreprenant, un peu macho ». Virginie finalement se trouvait des excuses : « Puis ce n’est pas moi qui lui ai demandé de coucher avec moi. Ce n’est pas comme si j’avais été la première à faire le pas. C’est lui qui a insisté. Je ne suis pas responsable ».

Arrivée chez elle, Virginie n’avait pas encore tout à fait la réponse à sa principale question : « Comment le dire à Bob ? ». Elle décida finalement de ne rien lui dire pour l’instant en reportant la nouvelle à plus tard au moment où cela conviendrait le mieux. C’est sans compter sur ce qui allait se dérouler cet après-midi-là.


Dans l’après-midi en effet, Bob vint rejoindre Virginie chez elle comme il le faisait chaque samedi depuis longtemps déjà. Virginie était rentrée chez elle vers midi. Elle savait que Bob viendrait. Elle aurait pu lui téléphoner avant qu’il ne vienne et prétexter une migraine mais la belle n’en fit rien : « Pas question que je me débine ! » se disait la belle dans sa tête. « Il faut que je sois grande. Je dois faire face ».

Bob arriva chez son amoureuse en début d’après-midi juste après le repas. Nadia, la mère de Virginie s’en était allée chez une copine pour la journée. Bob avait donc le champ libre pour rester seule avec sa dulcinée, la seule, la vraie qu’il aimait tant depuis toujours. Virginie accueillit Bob sur le pas de la porte d’entrée comme si de rien n’était :
- « Ah tiens ! Bob. Bien, ne reste pas sur le pas de la porte. Entre ! »

Virginie au fond d’elle-même se sentait nerveuse et n’avait pas pris le temps de se doucher avant l’arrivée de son chéri : Y avait-elle seulement songé une fois ? Nono venait de la sodomiser le matin même dans la voiture. « Et si Bob s’aperçoit de quelque chose ? » pensa-t-elle. Les questions fusaient dans sa tête mais la belle ne se laissa pas démettre :

- Comment s’est passée ta conduite ? s’enquit Bob auprès de sa chérie.

- Oh, bah, bien ! J’ai beaucoup progressé. Bruno m’a appris à faire des créneaux aujourd’hui.
- Bruno ?
- Oui, c’est mon moniteur. Tu sais, je t’ai déjà parlé de lui. Il est trop beau, il me fait rire. J’ai cours avec lui tous les samedis matin.
- C’est avec lui que tu prends deux heures de cours consécutives ?
- C’est ça ! précisa Virginie.

Bob à cet instant était loin de se douter de la relation intime que sa chérie venait de vivre le matin même avec Bruno. Virginie essaya autant que possible de botter en touche, esquivant à chaque fois d’une manière habile, la question qui fâche ou qui pourrait fâcher.

- Il te fait rire ? renchérit Bob
- Oui, mais tu sais, c’est toi que j’aime. Tu n’as pas à t’inquiéter.

Sur ces mots, Virginie prit Bob part le cou, prête à être embrassée. Bob l’embrassa justement et porta sa belle dans le canapé du salon :

- Je vais te montrer qui c’est qui est le vrai étalon, ici ! dit Bob.

Dans la foulée, Bob lâcha Virginie dans le canapé. La belle se trouva immédiatement secouée et fut surprise de cette allure cavalière de Bob. Les deux tourtereaux s’embrassèrent finalement tendrement l’un l’autre et s’enlacèrent comme à leur habitude chaque fois qu’ils étaient assis là dans le canapé. Bob caressa les seins de sa belle. Il les embrassa. Virginie défit son soutien-gorge et les deux tourtereaux continuèrent ainsi de s’embrasser, Virginie chevauchant Bob comme si souvent pour ne pas dire d’habitude.

Bob se mit à bander comme un taureau. Virginie s’en aperçut immédiatement :

- Hummm, ça m’a l’air tout chaud tout ça ! fit-elle en regardant Bob langoureusement.

Assise sur Bob à califourchon face à lui, Virginie commença à caresser la protubérance naissante que Bob avait entre les jambes. D’un geste délicat, elle défit le ceinturon de son hôte et déboutonna un à un les boutons du jean. Bob n’en croyait pas ses yeux : sa belle était de plus en plus entreprenant.
D’une main experte, Virginie extirpa le sexe du jean dans lequel il était enfermé et le caressa avant rapidement de le prendre dans sa bouche.



Dans le salon, Virginie était dorénavant agenouillée devant Bob lui-même les jambes écartées à se faire sucer par la déesse la plus belle que la Terre n’eût eu jamais portée à ce jour. Virginie était la première femme de sa vie. La première avec qui il avait couché. La première qui le fit vibrer jusqu’au plus profond de son être.

Virginie suça Bob en prenant dans sa bouche tout le sexe entier. Elle avait vu cela plusieurs fois dans des films, ces films que l’on voyait autrefois sur canal et que la belle enregistrait en douce, pour pas que sa mère s’en aperçoive. Elle savait, sans pour autant en avoir l’expérience, que les hommes aimaient cela. Bob ne dérogeait pas à la règle : il regarda sa belle faire, lui confortablement assis dans son canapé :

- C’est trop bon ma chérie, continue… Non ! viens ! Tu vas venir sur moi, j’ai trop envie de te prendre, soupira Bob.

Virginie s’installa de nouveau à califourchon sur Bob. La belle avait le sexe tout trempé. Bob s’en était aperçût en glissant ses doigts au moment où il voulait caresser sa belle. D’un geste, il pénétra sa dulcinée qui ne se fit pas prier pour recevoir ce dû :

- Tu es trop belle, chérie, s’exclama Bob en la pénétrant.

Virginie regarda son homme dans les yeux. Sans dire un mot, alors qu’elle avait le sexe de Bob en elle, elle songea à Bruno, à l’auto-école et au cours de conduite qu’elle venait de suivre le matin-même avec lui. Virginie se disait alors que c’était le bon moment pour parler à Bob. L’homme ne savait encore rien de ce qu’il s’était passé le matin-même : Bruno… la sodomie… tout cela, il n’en savait strictement rien. Virginie ne lui avait encore rien dit. Et, alors que dans le bus, juste avant d’arriver chez elle, elle culpabilisa, elle songea dorénavant et tout aussi intuitivement à une autre stratégie :

- Bob ? questionna Virginie
- Oui ? répondit Bob.

- J’ai envie d’essayer la sodomie.
- Pardon ?
- J’ai envie d’essayer la sodomie. Tu veux ?

Bob regarda Virginie dans les yeux, et n’en crut pas ses oreilles : sa belle, avec qui il n’avait jamais osé ni proposé faire cela, le devançait. Virginie regardait Bob en toute sincérité. Ses yeux parlaient d’eux-mêmes. Plus qu’une demande, ils offraient à Bob ce que la belle n’avait jamais fait avec lui :

- Tu veux vraiment essayer ? demanda Bob.

Virginie fit un signe Oui de la tête se gardant bien toutefois de dire à Bob qu’elle avait expérimenté la chose le matin même. La belle se positionna alors dans le canapé comme pour recevoir son offrande. Dans sa tête, c’était pour elle une façon certaine d’expier son attitude récusable avec Bruno. En offrant son cul à Bob, elle espérait ainsi se faire pardonner. L’homme ignorait encore tout du matin, la sodomie…, Bruno… Devant le cul extraordinairement rond et extraordinairement beau de sa chérie, Bob n’imagina rien d’autres de sa chérie que ce qu’elle voulait bien lui dire. D’un coup il la pénétra. Et d’un coup sa queue disparut presque entière dans l’antre miraculeuse de sa belle. Virginie eut certainement ressenti ce sexe dure qui la pilonnait. En levrette et penchée vers l’avant, elle offrait à Bob, la plus belle des promesses : celle d’être à lui pour toujours.

L’homme, cependant mené par l’excitation, s’enhardit. D’un geste, il s’agrippa à sa belle. D’un geste, il l’attrapa par la taille comme Nono le fit le matin même mais sans que Bob le sache. En un instant, il pilonna sa belle en la traitant de « salope ! ». Bien sûr, cela n’était qu’un jeu et Bob ignorait encore ce que sa belle avait fait de lui ce matin-là.



La révélation.

Dans le salon, en pleine action, Bob réalisa à quel point Virginie était non en manque mais en demande de sexe. Sa chérie était en effet toujours partante. Toujours d’accord pour battre des records, comme on le disait à l’époque de temps à autre. Aux regards des autres, la belle passait pour une fille timide ou chaude et bouillonnante. C’était selon les opinions des uns et des autres qui ne la connaissaient guère. Bob, lui savait la vérité :

- Tu as aimé ? demanda-t-il à Virginie
- Oui. Beaucoup ! avoua la belle.
- C’est impressionnant. Je ne pensais pas que c’était si facile ! ajouta Bob.

Bob, en effet, était surpris de l’étonnante facilité avec laquelle il sodomisa sa chérie. Selon lui, l’orifice anal était un conduit étroit non adapté à la taille d’un pénis. Au mieux, pensait-il, il fallait y aller doucement avec beaucoup de préparation en utilisant de surcroit un lubrifiant.

A ces confidences, Virginie n’avoua pas encore cependant son aventure avec Bruno. Intuitivement, elle sentait que Bob n’était pas encore psychologiquement prêt pour encaisser. Elle préféra de fait reporter son aveu à un autre jour, laissant croire à Bob qu’elle venait de vivre avec lui en ce jour sa toute première sodomie. Le jour en effet fut mémorable pour les deux tourtereaux et c’est ainsi qu’aujourd’hui je peux vous faire part de cette magnifique aventure.

A suivre.

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