La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°219)
Suite de l'épisode 216 (cette suite est écrite par Muriana)-
Un SMS, juste un petit SMS : « Je serai là à 14 heures. » Comment a-t-Il su que je
serai seule chez moi ce jour là ? Jai certainement du laisser échapper ce détail au
cours de nos échanges. Il sera là à 14 heures
Il est 9 heures, que dois-je préparer
pour Le recevoir ? Comment dois-je me préparer ?
Je ne lai pas revu depuis cette réunion sur Ses terres et cette mémorable nuit dans
son château. Cette nuit où jai accepté de devenir sa soumise. Nous avons, en
revanche, beaucoup discuté et je lui obéis de plus en plus en dépit de la distance.
Jai vraiment envie de Lui plaire, de Le satisfaire, de répondre à Ses désirs, à Ses
volontés. Je dois me préparer et je dois rendre ma maison accueillante, je dois tout
prévoir pour être totalement disponible, attentive à Ses désirs et prompte à les
réaliser. Je commence alors à ranger frénétiquement mon appartement, ne laissant rien
traîner, ne laissant rien au hasard. Et sIl avait faim ? Je nai rien qui convienne.
Vite, jatt mon manteau et file faire des courses. Quelques mets fins chez le
traiteur, du champagne chez le caviste et me voilà revenue chez moi. Il est 11 heures.
Bien, maintenant je dois me préparer. Je me fais couler un bain parfumé pour me
détendre et me préparer à sa venue. Sortie de mon bain, je vérifie mon épilation, tout
va bien. Je me parfume, me maquille légèrement, enfile mes bas et une petite robe,
sans sous vêtements. Mon Maître aime que je naie pas de culotte
Il me reste plus
dune heure avant son arrivée, je tourne en rond
quand une idée me vient. Je dois
absolument mimprégner de sa visite, je dois me mettre en état de soumission
.
Jenlève ma robe, règle mon réveil pour une heure de temps. Je vais maintenant pouvoir
madresser à Vous, directement et non à Lui.
maviez un jour ordonnée lors de nos échanges. Je vais donc menfermer, nue, dans le
placard les yeux bandés. Debout, je mincline et commence à chuchoter, doucement et
lentement : "JE SUIS LA SOUMISE DE MON MAITRE LE MARQUIS D'EVANS, HEUREUSE DE L'ETRE
ET JE SAIS QU IL FERA DE MOI UNE BONNE SOUMISE"
Lheure passe
Sonnerie. Je sors
hagarde du placard, enfile de nouveau ma petite robe et me mets à genoux dans
lentrée. Au bout dun moment, la sonnette de la porte. Je me précipite pour Vous
ouvrir, tremblante. Jai le souffle court en vous ouvrant la porte, Votre regard me
fait instantanément baisser les yeux. Vous prenez immédiatement le pouvoir Maître.
- Maître, je suis si heureuse de Vous voir. Voulez Vous quelque chose à boire ?
- Mûriana, ce nest pas ce que jattends de toi à ce moment
Alors, vous me fixez une laisse à lanneau mon collier. Vous refremez la porte
derrière vous. Cette fois ci, on ne va plus jouer avec les mots. Vous Vous asseyez
dans le fauteuil Voltaire de lentrée, me tenant par ma laisse à vos genoux. Je sais
ce quil me reste à faire. Je me dois de Vous saluer comme Vous lattendez dune
bonne petite chienne. Je vous dégrafe le pantalon en entreprends une longue fellation
pour Vous prouver ma soumission, Vous dire quà partir de cet instant je suis à Vous
et Vous obéirai sans poser de question. Votre sexe puissant, Maître, envahit
rapidement la bouche vient taper au fond de ma gorge au rythme que Vous mimposez en
me tenant la tête de Vos deux mains. Que jaime cette sensation dêtre à Vos pieds, à
votre service Et Vous jouissez, Maître et javale Maître, je Vous goûte avec plaisir.
Vous me bandez les yeux, me bâillonnez fermement et me tirez par ma laisse dans le
salon dont je reconnais la douceur du parquet. Mon Maître, dune main douce sur la
nuque, Vous me forcez à mincliner, à léquerre sur la table et mécartez les jambes
en remontant ma robe sur mon bassin.
pieds de la table. Puis Vous me dites dun ton sévère :
- Je vais visiter ta cuisine, ne bouge pas !
Jentends vaguement des bruits de cliquetis dans la cuisine, que faites Vous ? Quy
cherchez Vous ? Puis Vos pas, calmes. Je Vous sens derrière moi. Une claque sabat sur
mes fesses, puis une seconde et encore une autre. Je les compte mentalement, ne
pouvant prononcer un mot avec le bâillon. Plus de vingt, ma croupe doit rougir. Votre
autre main sapproche de mon visage, je sens une odeur qui mest familière
du
gingembre ! Je comprends soudain ce que Vous allez me faire. Vous me frottez la vulve
avec un morceau de gingembre fraîchement coupé ! Vous vous attardez sur les lèvres,
tournez autour du clitoris, effleurez lentrée de ma grotte
Vous vous appliquez, sans
dire un mot mais Vos gestes ne tolèrent aucune contradiction. Attachée comme je le
suis, je ne peux que subir ce cuisant plaisir. Jai la chatte en feu. Je Vous sens
mécarter les lobes, je sens quelque chose de très fin sintroduire dans ma rosette,
puis un autre et encore un autre
Maître, Vous me travaillez comme un plat asiatique ?
Vous mécartez progressivement avec des baguettes ? Une sonnerie ? La porte ? Je sens
que Vous me jetez une couverture sur le corps. Vous vous éloignez
(à suivre)
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