Leslie La 02

Leslie LA02 – Laure, le journal intime - Découvertes et confessions

Aussi loin que je me souvienne et suivant les dires de mon entourage, il se dit que je
suis une fille relativement précoce, enfin pour ce qui nous intéresse ici, le sexe.
Ma mère, avec qui j’ai toujours été très libre de parler de ces choses-là, m’a confié
qu’elle avait sentie que toute petite, j’avais certaines prédispositions, ma mère ne
m’en a jamais fait le reproche, ni même de tenter de m’en dissuader, si bien
qu’adolescente je savais beaucoup de chose sur le sexe.
A la maison nous étions libres et nous vivions le plus quasiment nus souvent, donc
j’avais déjà vu un sexe d’homme, celui de mon père, pas si mal soit dit en passant, et
celui d’une femme, celui de ma mère, qui était d’ailleurs le plus était souvent épilé
laissant ses grandes lèvres brunes apparentes.
Très jeune aussi, avec ma mère nous avons parlé de sexualité, comment prendre du
plaisir, ne pas se sentir coupable de se donner du plaisir en solitaire, comment
donner du plaisir à un homme, enfin toutes ces choses tabous dont certains parents ne
parlent jamais.

Mes parents étant naturistes et vivant librement leur sexualité, il m’est arrivé de
les surprendre en train de faire l’amour soit ensemble, soit avec d’autres personnes
de passage. Je me souviens aussi d’avoir été réveillé dans la nuit par les
gémissements de ma mère qui devait à ces moments-là, subir les assauts de mon père ou
de un de ses amants, car mon père étant souvent en déplacement, ma mère ne se gênait
pas pour recevoir ses amants d’une nuit…
Nous en parlions et ma mère je le savais, aimait mon père, mais sa libido excessive
lui imposait d’avoir des relations suivies et quotidiennes, c’est peut-être un
héritage qu’inconsciemment elle m’a transmis.

D’ailleurs, je me souviens, qu’une nuit j’ai été réveillé par les hurlements de ma
mère, inquiète je me suis levée et j’ai été voir ce qui se passait dans sa chambre et
ce qu’elle faisait pour hurler de la sorte.

En fait elle était à quatre-pattes sur le
lit, cambrée et offerte, à un homme qui placé derrière elle lui défonçait le petit
trou, elle hurlait et disait :
- Ohhh, oui, c’est trop bon, continue, continue, je vais jouir…
Le lendemain, je lui ai posé des questions et comme chaque fois elle y a répondu avec
franchise :
- Tu vois Laure, une femme peut prendre du plaisir de plusieurs façons
différentes, tu verras quand tu seras grande cela sera, je l’espère, ainsi pour toi
aussi, hier je me faisais sodomiser, c’est comme cela qu’on dit, cela veut dire
accepter le membre de son amant dans son intimité la plus secrète, certaines femmes
n’aiment pas ou le refusent, moi j’y prends du plaisir, mais tu dois savoir que dans
l’amour, rein n’est interdit, dès l’instant qu’il y a du respect.
Ses explications m’ont marqué et il est possible qu’aujourd’hui, aimant cette
pratique, elles en soient une des raisons.
Très jeune, je me donnais du plaisir et j’avais acquis une certaine technique, prenant
exemple sur ma mère que j’avais surprise à le faire, le plaisir solitaire n’avait plus
vraiment de secret pour moi, mais je n’en étais pas encore aux introductions, sauf
parfois mon doigt que je rentrais dans ma vulve.

Oui, c’est vrai que je me tripote, je me branle ou me masturbe comme aurait dit ma
mère qui savait employer les mots justes.
Très jeune je me suis sentis femme, j’usais et j’abusais de mes dix doigts, et toutes
les occasions étaient bonnes pour que je me procure quelques plaisirs solitaires.
Arrivée à mes dix-huit ans mon éducation sexuelle s’était faite sur les découvertes
solitaires que je faisais et les explications, parfois très détaillées que ma mère me
donnait, je l’en remercie d’ailleurs aujourd’hui, si bien que dès j’avais commencé à
flirter et à avoir des petits copains.
Ma poitrine s’est développée très jeune et j’avais celle d’aujourd’hui, pas trop
grosse, mais bien formée et à l’époque cela étonnait mes premiers flirts que j’arbore
une poitrine de femme, et je dois avouer je n’avais aucun problème de la montrer.


A l’époque, lorsqu’il m’arrivait de sortir avec un mec, je n’étais pas gêné de me
caresser, avant, pendant et même après. Avant parce que je pensais à lui et ce que
nous pourrions faire ensemble et le plaisir que je pourrais avoir avec lui, pendant
parce qu’ils n’étaient pas toujours tous très doués pour me donner du plaisir et que
moi je voulais en avoir et après parce que j’avais encore envie et que comme le disait
ma mère, l’on est jamais mieux servi que par soi-même et que l’on ne peut pas vivre
que de frustrations…
D’ailleurs, tous les endroits étaient bons pour accomplir mon forfait, bien sûr chez
moi, dans mon intimité, dans mon petit lit douillet ou sous la douche ou pourquoi pas
sur le sofa en regardant la télé. Maintenant c’est dans ma voiture, dans un parking ou
même dans les embouteillages. Ou alors, quand j’étais étudiante à la fac, discrètement
dans l’amphi et lorsque je n’étais pas trop entourée dans une salle de classe libre,
au pire dans les toilettes, dans les vestiaires à la piscine, dans les salles obscures
de cinéma ou alors dans la nature.
Tous les endroits étaient bons pour me toucher. Le principal était que je me sente
tranquille, en sécurité et que je n’aie pas l’impression d’être observée…

Ca a changé depuis avec le temps, certainement le jour, pendant les vacances où
j’étais allée bronzer dans un endroit tranquille au bord de la rivière et je me
sentais vraiment en sécurité. Alors je me suis mise entièrement nue pour faire un
bronzage intégral et j’ai commencé à me caresser lentement, le plaisir venant j’ai
fermé les yeux avant d’atteindre la jouissance et quand je l’ai ouvert à nouveau deux
gamins en kayaks étaient en train de me mater avec leurs yeux écarquillés. J’ai
ramassé mes effets et me suis rhabillée, mais je garde un souvenir de ces yeux
d’étonnement qui me regardaient prendre mon plaisir, c’est peut-être ce jour-là que je
suis devenue un peu exhibitionniste…

Une fois aussi, j’étais allée passer une semaine de vacances chez une copine d’école à
la montagne chez ses parents en Savoie.
Ils avaient un chalet et ma copine avait une
chambre minuscule avec une toute petite salle de bain et nous dormions dans le même
lit, ce qui vous le comprenez n’est pas idéal pour s’isoler et faire ses affaires
intimes
Mais dès le premier soir j’ai attendu qu’elle s’endorme et j’ai commencé à me caresser
à ses côtés, en faisant bien attention de ne pas la réveiller.
Mais c’est vrai qu’au bout d’un moment, alors bien excitée, j’ai eue du mal à me
contrôler, et ce qui devait arriver arriva, j’ai réveillé ma copine par mes
gémissements et m’a trouvé cuisses écartées en train de me masturber, mais l’envie
faisant alors que j’avais commencé à partir, j’ai oublié toute pudeur et je me suis
terminé et j’ai joui devant elle.
A l’époque je n’étais pas encore lesbienne, je n’avais pas eue de relations avec des
filles, mais à mon étonnement elle ne fut pas choquée et elle m’a dit qu’elle aussi ça
lui arrivait de se donner du plaisir et sans hésitation elle à repousser le drap et a
commencé à se caresser devant moi allant jusqu'à sa jouissance qu’elle m’a offerte en
me faisant sucer ses doigt.
La nuit suivante, nous avons fait ça ensemble en nous regardant, puis ensemble les
autres nuits, je vivais mes premières expériences saphiques et Anna avait sur le sujet
une bonne expérience, d’ailleurs elle m’a avoué aimer que le sexe avec les filles…

Souvent j’ai été surprise la main dans ma culotte, mais cela ne me gênait pas, bien au
contraire mon plaisir décuplait, parfois je me faisais traiter de salope ou
d’allumeuse, mais je laissais dire car je savais que ce n’est pas parce qu’une fille
se branle que c’est une vicieuse.
Quelques temps plus tard, ma vie à basculer, je venais d’avoir dix-huit ans et un
nouveau monde de plaisir allait s’ouvrir à moi…

A suivre…

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