Babeth
Elle a ouvert la porte de la cave et est entrée. Je l'ai suivi. J'ai refermé derrière
moi. La pièce n'était pas grande et très encombrée. Je lui ai pris le bras.
- Mets-toi face à la porte. Penche-toi en avant, mains sur la porte et jambes
écartées.
Elle a posé ses mains sur le haut de la porte et a reculé ses pieds.
Nous étions dans la cave de son immeuble. Nous étions entré par une porte de service
sans se faire remarquer. Il était aux alentours de 18h30. Son mari et ses s
l'attendaient plus haut sans savoir qu'elle était déjà là, dans les sous-sols.
J'ai placé un pied entre les siens et j'ai donné un petit coup à droite et à gauche.
Docilement, elle a écarté les jambes. J'ai remonté sa jupe sur ses fesses et j'ai
déchiré ses collants à l'entre-cuisses. Elle a sursauté. Ma main s'est glissée entre
ses fesses et est descendue jusqu'à frotter sa chatte et son clitoris. Mes doigts ont
écarté son string et se sont insérés dans sa fente.
- Tu mouilles déjà ma salope. Ça t'excite de te faire doigter quelques mètres sous les
pieds de ton mari .
- Oui Monsieur, la situation m'excite beaucoup.
On se connaissait depuis de nombreuses semaines mais c'était notre première rencontre.
Nous tchations régulièrement, la température montait vite. Elle avait parfaitement
enfilé la combinaison de la soumise virtuelle. En plus des dialogues chauds, elle
exécutait des défis à ma demande et m'envoyait régulièrement les photos prouvant
qu'elle avait obéi.
J'ai commencé à la branler énergiquement. Le pouce dans sa chatte, le reste de ma main
qui frottait vigoureusement son clito. Mon autre main claquait son cul. Son
déhanchement et ses gémissements ne laissaient pas de doute, elle était très excitée.
J'ai arrêté. Je me suis accroupi derrière elle, une main sur chaque fesse et j'ai
commencé à lui lustrer l'anus à grands coups de langue.
fort.
Plus d'une fois je lui avais proposé qu'on se rencontre. Malgré le plaisir évident de
se retrouver en virtuel, elle refusait systématiquement le passage au réel. J'avais
tenté la gentillesse, le clash, la bouderie mais rien n'y faisait. Finalement c'est le
hasard qui a tout débloqué.
Ce soir-là, comme souvent dans le métro, je pensais à elle. Je regardais discrètement
autour de moi, peut-être était-elle là à quelques mètres. On ne sait jamais, nous
habitons la même ville et le monde est petit. En tournant la tête, mon regard s'arrête
sur les chevilles d'une femme assise au milieu du wagon. Je ne voyais pas sa tête,
mais ce petit tatouage géométrique sur la cheville droite... J'en étais quasiment sûr,
c'était elle.
Je me suis déplacé sur le côté. J'ai posé ma main sur sa tête.
- Viens me sucer ma salope. Montre-moi tes talents. Regarde-moi en même temps que je
vois l'envie dans tes yeux.
Elle ouvre la bouche et enfourne mon sexe déjà bien dur. Elle l'avale puis en fait le
tour avec la langue.
- Mais tu es une vraie experte. T'as dû sucer un paquet de mecs pour avoir ce niveau !
Je pose ma main sur sa tête et m'enfonce jusqu'au fond de sa gorge. Ses yeux se
révulsent. Je me retire et m'agenouille. Je l'embrasse à pleine bouche avant qu'elle
est repris son souffle. Je me redresse et recommence, mais un peu plus longtemps.
Bousculade à la station suivante. Le métro est bondé. Il me semble avoir vu la femme à
la cheville tatouée se lever : une jupe noire. Sans réfléchir, je sors. Je suis cette
femme sans avoir pu voir son visage. Une fois dans la rue, j'accélère et la ratt.
Cette silhouette, ces cheveux, ce style bourgeois sexy mais pas vulgaire, ça
correspond, je suis presque sûr de moi. J'ai lancé un :
- Babeth !
Elle s'est retournée immédiatement.
Elle m'a regardé.
- Bonjour monsieur, quelle surprise !
- J'espère que tu la juge bonne ?
- Oui, évidemment Monsieur.
- On a souvent imaginé notre rencontre en tchat mais jamais comme ça, par hasard. Je
t'ai vu dans le métro, je t'ai rattrapée, maintenant je ne te lâche pas ! Dis-je en
souriant.
- Monsieur, mon mari et mes s m'attendent, je ne peux pas vous suivre.
- Tant pis, c'est moi qui te suis. Je t'accompagne jusque chez toi. Tu n'as pas le
choix.
- D'accord Monsieur.
En chemin je la sermonne de m'avoir si longtemps refuser une rencontre. Elle se défend
tant bien que mal. Je la laisse se perdre dans des excuses bancales. Puis je la coupe.
- Inutile d'en rajouter. Maintenant qu'on s'est rencontrés, je vais enfin savoir ce
que tu as dans le ventre.
Le silence s'installa quelques minutes, jusqu'à ce qu'elle s'arrête.
- Voilà, j'habite l'immeuble au bout de cette rue. Mais ma famille m'attend.
- J'ai bien compris, ne te fais pas de soucis pour ça. Il me semble que le métro est
tombé en panne tout à l'heure. 30 minutes bloqués dans la rame, sans pouvoir
téléphoner pour avertir, c'est long.
- Ça arrive quelques fois.
- Attention ! Top ! Le métro vient de s'arrêter. Ne perdons pas de temps, conduis-nous
dans ta cave sans nous faire remarquer. Tu en as une ?
- Oui Monsieur.
Je l'ai remise en position contre la porte. Je me suis placé derrière elle et je l'ai
pénétrée d'un coup. Les deux mains sur les épaules, de grands coups de reins dans ses
hanches. Elle crie sans retenue. Si quelqu'un passe dans les caves, il ne peut pas
nous louper. Sans compter, les claques sur son cul, un bruit franc, claquant et
significatif.
- Tu vois que c'est mieux en réel ! Tu préfères te branler devant ton écran ou que je
te défonce comme une bonne chienne dans cette cave ?
- Ahh, je préfère que vous me défonciez Monsieur.
- Content de te l'entendre dire. D'ailleurs redis-le, je veux que tu réclames !
- Oui Monsieur, Ahhh, j'aime que vous me preniez comme une salope. Faites-moi jouir !
- Tu dis ça parce que tu veux remonter le plus vite possible là-haut ?
- Non Monsieur, c'est la vérité, j'aime être votre soumise, votre chienne.
Après une dernière claque sur son cul, je l'att par les cheveux :
- Viens me sucer, je vais finir dans ta bouche. T'as intérêt à tout avaler si tu ne
veux pas en avoir sur tes vêtements.
Je prends sa tête à deux mains et je lui baise la bouche. Un peu de bave s'échappe par
la commissure de ses lèvres. Elle met ses mains sous son menton pour que ça ne
dégouline pas dans son cou. Je me bloque cambré en arrière et j'éjacule en longs jets
dans sa bouche. Elle déglutit comme elle peut, en serrant bien les lèvres. Je me
retire d'un coup. Je la relève et l'embrasse à pleine bouche.
Nous nous réhabillons très vite. Nous sortons des caves et remontons au rez-de-
chaussée. Je la laisse, un baiser dans le cou :
- À très bientôt Babeth. Tu ne peux plus fuir maintenant.
- À bientôt. Je n'en ai pas l'intention !
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