Cinéma Sous Les Tropiques
CINÉMA SOUS LES TROPIQUES
À la fin de lannée 1959, alors que je viens davoir 26 ans je pars travailler à
létranger sans ma famille. Seul à X. durant un mois, je me tape quelques Espagnoles
en tournée dans les établissements de spectacle de la ville pas vraiment tarifiés
mais bon ! Pas dautochtones, pas assez clean et je suis marié avec des s.
Ensuite, toujours seul pour deux mois, je suis affecté par ma société dans le pays
voisin situé à 1200 km tout de même.
Un soir au cinéma en plein air, chacun apporte un coussin et un plaid pour les
banquettes en bois qui sont mises à la disposition du public. Jai pour voisins un
couple dEuropéens ; la femme, aux alentours de la cinquantaine, des cheveux blonds et
frisés, avec une jupe en coton assez ample elle sassoit à côté de moi et comme tous
les spectateurs, elle recouvre ses jambes avec le plaid quelle a apporté. À cette
époque nous avons droit à deux grands films qui changent tous les jours ; pas
dactualités ni de documentaire comme en métropole, nous voilà donc partis pour trois
heures minimum. Dès le début du premier film je sens une main qui se glisse sous ma
couverture et qui, sans hésiter, tâte mon pantalon à la hauteur de ma braguette. Je
bande immédiatement et la femme, décidemment très hardie, défait les boutons de la
dite braguette et glisse ses doigts à lintérieur. Je jette des coups dil sur ce que
je suppose être le mari, mais apparemment il ne se rend compte de rien. Pendant ce
temps les doigts agiles ont sortis ma bite de lenveloppe du slip où il se trouve,
heureusement sous la couverture, complètement dégagé et astiqué par la main de mon
audacieuse voisine. Elle me masturbe avec une grande habileté, sachant très bien faire
glisser mon prépuce jusquà dégager entièrement mon gland quelle triture et pince
avec ses doigts agiles ; elle me branle lentement et fait durer le plaisir pendant
plus dune demi-heure jusquà ce que jéjacule dans sa main repliée en conque autour
de ma verge.
ma pas regardé une seule fois, apparemment très occupée par le film.
Ayant repris mes esprits et remis mon engin dans mon slip et refermé mon pantalon, me
voici libre pour étudier un peu mieux ma voisine. Elle a un beau visage, à peine
marqué par lâge ; des seins volumineux tendent son corsage outrageusement. Je
menhardis à glisser une main sous le plaid qui recouvre ses cuisses et je suis
surpris de sentir aussitôt une peau nue sous mes doigts : en fait elle a relevé sa
jupe en rabattant la couverture sur elle pour me faciliter certainement lintroduction
de ma main et laccès à ses cuisses que je sens charnues sous mes doigts qui
sactivent. Elle desserre son entrejambe et ouvre le compas de ses cuisses en sentant
ma main remonter vers son pubis ; là encore une surprise ! Je ne trouve aucunement le
rempart dun sous-vêtement : slip, culotte que sais-je ? Mes doigts explorent le
pubis, une toison assez fine et duveteuse ; ce pourrait-il que ce soit une vraie
blonde ? Puis je touche la vulve entrouverte, ce qui fait frémir ma voisine dont le
ventre se soulève spasmodiquement. Je jette un coup dil au mari, ayant tout de même
un peu peur quil saperçoive que je suis en train de masturber son épouse. Toujours
rien de ce côté là ; aussi je menhardis et plonge mes doigts dans la fente vaginale,
inondée de mouille et aussi brûlante que le café du bistrot du coin. Ma voisine
audacieuse pousse quelques soupirs, qui heureusement, peuvent se rapporter au film
romantique qui passe sur lécran, mais elle sagite aussi quelque peu sur notre banc
commun. Je mapplique à la masturber consciencieusement, mes doigts caressant son
clitoris avec délicatesse, puis senfonçant le plus profondément entre ses lèvres
grandes ouvertes qui bavent une liqueur abondante.
sa source et la faire jouir avec mes lèvres et ma langue, mais dans notre situation et
dans ce cinéma cest vraiment impossible. La cinquantenaire a déjà eu plusieurs
orgasmes quelle sest efe de dissimuler à son compagnon, refermant brutalement
ses cuisses sur ma main lorsquelle ne supporte plus les caresses que je lui prodigue.
Aussitôt calmée, je recommence très doucement à agiter mes doigts dans sa cramouille
en feu ; elle tourne alors sa tête vers moi et me regarde avec beaucoup dinsistance
dans les yeux. Elle prend son pied et jen suis très heureux. Je la mène comme cela
jusquà la fin du second film et retire ma main avant que le mot fin napparaisse sur
lécran. Lorsque la lumière se rallume et que tous les spectateurs se lèvent, elle
profite du brouhaha pour me dire du bout de lèvres : « merci ». Je nai jamais revu
cette femme durant les trois ans passés dans ce pays et je nai jamais su qui elle
était. Du peu que jen ai vu, elle paraissait magnifique, plantureuse à souhait et
très baisable. Ce que je nai jamais pu faire et pour cause et ce sera pour moi un
grand regret.
Deux semaines plus tard ma famille arrive pour la première fois sous les tropiques.
Les retrouvailles avec mon épouse que jai quittée trois mois auparavant sont
émouvantes. La chaleur tropicale exacerbant les sens de ma femme, nous faisons lamour
plusieurs fois par jour et jen profite pour linitier à la fellation. Je fais aussi
des tentatives de sodomisation, bien que pour cette dernière pratique cest un peu
trop tôt.
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