Série « Les Voisins » Épisode 2 : Gérard Baise Avec Les Boulangères. Partie 1/2
Je mappelle Gérard, je viens vous raconter mes histoires de cul avec mes voisines de la boulangerie. À cette époque dans les années 80, javais 25 ans, je venais de me marier à Liliane. À en croire les propos de toutes les filles de tout âge que javais pu baiser depuis mes dix-sept, jétais pour elles un bon coup. Javais toujours adoré le sexe en tout genre, je ne pensais quà cela, je couchais aussi bien avec des pucelles que des femmes mariées. Avant de connaitre ma femme, celle-ci travaillait comme secrétaire dans les bureaux du siège régional dune multinationale. Moi, jétais à la fac de droit où je mamusais plus avec les étudiantes quavec mes bouquins.
Liliane étant enceinte et son salaire ne suffisant pas, je fus contraint abandonner mes études avant mon mariage pour gagner ma vie. Nous nous étions installés dans un petit logement dans un immeuble appartenant à Mr Henri G, possédant sa boulangerie au rez-de-chaussée. Hormis le bac et mon permis de conduire, nayant aucune compétence particulière, je navais pas encore trouvé demploi. Jétais inscrit à lagence nationale pour lemploi qui mavait trouvé un boulot les après-midis comme manutentionnaire. Tous les matins dans le couloir de notre immeuble, je croisais Martine, logeant avec son fils au troisième étage.
La vendeuse de la boulangerie était une jolie rousse avec un corps qui se laissait regarder avec ses seins ronds et son cul rebondi. Au début, nos discussions étaient courtoises et fortuites, mais après seulement quelques semaines, nous descendions chercher notre courrier à la même heure afin de discuter un moment. Ce fut après la fausse couche de ma femme, quatre mois après notre installation que nous étions devenus amis. Elle avait compati et fut assez affectueuse avec moi. Depuis nous nous tutoyions, nous nous faisions la bise, je sus que cette femme de 40 ans était divorcée et très naïve.
Ça faisait six mois que je mefforçais à être fidèle à Liliane, pourtant celle-ci avait une nouvelle fois refusé de faire lamour la veille au soir.
Néanmoins, je ne voulais pas être trop brusque, je choisis une approche un peu plus subtile, jouant avec ses sentiments. Jen profitai pour lui dire que je mefforçais dêtre fidèle, cependant je manquais daffection et jen étais malheureux. Je lui avais expliqué quau début de notre mariage, tout se passait bien sexuellement avec Liliane, que nous avions des rapports journaliers mais depuis sa fausse couche, tous les soirs je me masturbais :
Je ne fais lamour avec Liliane que les dimanches. Elle est toujours trop crevée ou malade. Hier encore elle a refusé, si ça continue comme ça, je nhésiterai pas à la faire cocue.
Oh mon pauvre ! Me dit-elle en me serrant dans ses bras et en me faisant une bise sur la joue. (Javais vu juste)
Attention Martine on pourrait nous voir. Dis-je pour la tester.
Tu nas pas froid ? Viens allons chez-moi, jai du café qui passe.
Martine était aux anges, très fière que jaccepte de venir avec elle dans son appartement. Elle ne savait pas quoi faire pour me faire plaisir, elle attendait probablement que je lembrasse mais je la faisais languir, javais très envie de mamuser avec elle, cela mexcitait dautant plus de la voir se trépigner. Après avoir bu le café où javais parlé essentiellement de mes exploits avant mon mariage, elle vint sur le canapé et se rapprocha de moi, me murmurant à loreille : « Jai toujours rêvé de coucher avec toi. » Elle était parvenue à faire ce premier pas que jattendais, nos visages sétaient rapprochés et nous nous étions embrassés sensuellement avant quelle ne poursuive.
Je me levai agrippant ses hanches et me collai contre son corps. Je désirais quelle ressente mon sexe. Javais raison, je remarquai que Martine avait immédiatement apprécié ma grosseur à travers mon pantalon, ce qui fit tout de suite monter la température. Elle se frottait fortement à moi pendant que jattrapais ses fesses à pleines mains :
Tu bandes Gérard ! Ta bite me semble très grosse.
Ton cul sera bien mieux que ma main, tu ne crois pas ?
Elle membrassa avec passion, ses lèvres étaient tendres, épaisses, son baiser était dune extrême violence. Je lui pétrissais la poitrine en massant chacun de ses seins qui durcissaient sous mes doigts. Lorsque je passai ma main sous sa robe, je sentis que son string était très humide. Je me penchai à son oreille : « Tu mouilles comme une jeune salope. » Je fis descendre sa robe, mes lèvres pincèrent ses tétons qui sérigeaient, les doigts de mon autre main avaient glissé sous le mince tissu de son string, son regard en disait long, elle était devenue comme un animal. Elle gesticulait de toute part, ma langue et mes doigts lui procuraient une sensation de bonheur.
Elle gémissait de plus en plus fort, mes mots crus que je prononçais en même temps, lui fit comprendre que jallais la baiser sauvagement, sans amour mais avec rage : « Oui ! baise-moi Gérard. » Elle me retira mon pantalon et se mis aussitôt à genoux devant moi. Mon sexe épais était très raide et tendu devant sa bouche. Elle commença par lécher mon pénis de bas en haut, sans oublier mes testicules. Puis elle goba mon gland, faisant rouler sa langue dans tous les sens. Jagrippai sa tête de mes deux mains, la tirant par les cheveux. Je murmurais des cochonneries, allant même jusquà la traiter de sale pute.
Martine pris mon sexe en entier entre ses lèvres, ce qui me fit gémir dautant plus fort. En même temps que sa bouche faisait des va et vient tout au long de ma belle queue, elle me regardait droit dans les yeux, je lui souriais malicieusement, tout en poussant un peu plus fort lui baisant la bouche.
Je dois dire que tu es une bonne suceuse de bite Martine. Je ne vais plus me branler, je naurai jusquà monter un étage.
Tu pars déjà ? Et moi.
Jadore voir les femmes me supplier.
Elle sallongea sur le canapé et écarta ses jambes. Je mis un doigt dans sa bouche quelle lécha, le suça longuement puis je fis glisser mes doigts entre ses cuisses, mattardant sur le rebord de ses grandes lèvres, tout en malaxant sa poitrine en même temps de mon autre main. Je caressais sa chatte, jouant avec son clitoris, avant que mon majeur ne la pénètre. Elle me caressait le sexe en même temps, je commençais à reprendre de la vigueur, cela mexcita fortement de la voir ainsi. Japprochai mon visage si près de sa chatte quelle avait senti mon souffle puis avec ma langue je lui léchai le clito, ce qui la fit frissonner de plaisir.
Je la léchais, laspirais, la suçais pendant que je la doigtais de plus en plus vite. Lorsquelle avait atteint son premier orgasme, je ladmirais, ma queue était redevenue aussi dure que du bois. Je mallongeai, elle se frottait la chatte contre mon gland, pendant que je lui malaxais la poitrine : « Tu viens de jouir mais je vais te faire crier cette fois salope. » À cet instant, je lavais pénétrée sévèrement. Mes coups de reins puissants se firent plus rapides. Son corps tremblotait pendant que je la ramonais sauvagement, ma bite allait et venait en elle avec toute ma puissance et ma détermination.
Elle poussait que des petits cris « Oui ! Oui ! Oui ! Elle devait beaucoup apprécier sentir mon dard qui lui défonçait la chatte.
Tu mas fait bander comme un âne Martine. Je repasserai demain pour le café.
Tas été génial Gérard. À demain.
Pendant les six mois suivants, je venais baiser Martine tous les matins sauf le mercredi quand son gamin navait pas école. Notre relation prit fin car après un an de petits boulots en intérim, en sortant de chez moi, je tombai nez à nez avec la boulangère dans lescalier. En effet, ce couple qui nous louait lappartement habitait létage en dessous du nôtre, nous nous croisions assez souvent avec la boulangère mais nos discussions nétaient que des banalités. Sachant que javais mon permis de conduire, son mari ayant perdu son salarié, elle me proposa un poste dans son commerce. Tous les jours à 6 h du matin, je devais charger le pain et les diverses pâtisseries dans la camionnette puis faire la tournée dans tous les villages du secteur, pour ne revenir quaux alentours de 13 heures.
Mon patron se levant vers deux heures du matin, se recouchait vers 11 heures, Martine la vendeuse prenait son service au magasin vers midi et lorsque je revenais, la patronne Christiane, maidait à décharger le reste des marchandises de la camionnette avant daller déjeuner. Henri G était un gros travailleur mais il était exécrable, tous les matins avant louverture, il râlait et criait après sa femme voire même après le commis. Lorsque nous étions à la télé les soirs, nous avions même remarqué avec Liliane que cet homme insultait son épouse, nous nous demandions sil ne la battait pas.
Ma patronne était une femme tout à fait ordinaire mais dune grande gentille, elle avait le cur sur la main. Elle avait 45 ans, elle était grande et mince avec une petite poitrine mais un très joli cul. Se levant tôt, Christiane navait pas le temps les matins de se maquiller, elle nen avait presque pas besoin car ses grands yeux bleus étaient magnifiques, elle ne se fardait que les lundis, le jour de fermeture, lorsquelle allait en courses pendant que son mari faisait la sieste. Elle ne shabillait pas sexy mais avec son naturel, elle était agréable à regarder. Malgré ce quelle subissait avec son mari, elle sefforçait de rester souriante.
Un matin, comme souvent Christiane venait de se faire insulter par son mari, elle était penchée en avant, afin darranger les pâtisseries sur létal de ma fourgonnette. Avec son petit cul tendu en arrière, javais peu de place pour ressortir de la camionnette. Je me mis donc sur la pointe des pieds et essayai de me glisser derrière elle sans lui toucher les fesses, mon dos contre les étagères à larrière : « Pardon » lançais-je en forçant le passage. Je navais jamais su si elle avait fait exprès mais à cet instant, elle recula mempêchant davancer, javais mon bas ventre contre son cul et elle ne dit rien. Je posai mes mains sur ses hanches afin de me sortir de là mais elle poussait un peu plus ses fesses contre moi. Notre posture était excitante, si quelquun nous avait vu à cet instant, il aurait pu penser que jétais en train de la prendre par derrière :
Putain ! Jen ai marre de ce con. Me dit-elle en se retournant.
La situation était cocasse, elle saccrochait à moi afin de pouvoir se relever, ma main gauche lui tenait son avant-bras et ma main droite sétait glissé sur le bas de son dos. Nous nous retrouvions face à face plaqués lun contre lautre dans un espace très réduit. Elle leva son visage vers moi en me fixant, jadorais ses yeux et la profondeur de son regard. Javais très envie de lembrasser, cette femme mavais mis dans tous mes états. Avec mon air sérieux, je lembrassai sur la joue et lui dit à son oreille :
Il ne vous mérite pas Christiane...
Arrête Gérard ! Tu es gentil mais tu es si jeune et marié.
Me dit-elle me tenant la main en sortant du véhicule.
Vous nen avez pas marre de jacasser vous deux. Gérard magne toi le cul, tu vas te mettre en retard. Cria Henri qui regarda sa femme méchamment.
Pendant toute la matinée en conduisant sur les routes de campagne, je pensais à ce quavait dit Christiane. Certes, nous avions une vingtaine dannées décart, néanmoins elle navait que quarante-cinq ans et restait une femme très désirable, ce nétait pas un problème pour moi. Daccord, jétais marié, cependant elle létait aussi, rien ne nous empêchait de prendre du bon temps. Plus jy pensais, plus javais envie de coucher avec ma patronne. Un, pour mon plaisir, deux ; pour apporter un peu de bonheur dans sa vie et trois ; pour cocufier ce con dHenri. Je ne savais pas ce que Christiane avait derrière la tête et si je ne me faisais pas un film. Quoiquil en soit, jétais bien décidé de tenter ma chance.
À 13 heures, Christiane mattendait avec impatience, nous avions déchargé la marchandise puis elle me demanda gentiment si je voulais bien venir la rejoindre dans son bureau. Martine était à la boutique et son mari faisait la sieste à lappartement, cétait le seul endroit où la patronne pouvait être tranquille. Là, elle commença son explication, elle attendait que sa fille Sylvie âgée de 16 ans soit majeure avant de demander le divorce. Puis me raconta sans que je lui coupe la parole sa vie de femme battue en finissant par : « Henri depuis que Martine est là, ne me touche plus. Tu sais pour une femme cest très difficile et très humiliant. » :
Vous navez jamais pensé à le tromper ? Vous avez le droit de prendre du plaisir.
Regarde-moi Gérard ! Je nai rien de sexy, je ne suis pas comme Martine, il ny a que les vieux qui me regardent. Mavait-elle dit en se levant et en se présentant devant moi.
Je suis certains que vous pourriez trouver facilement un homme qui vous plaise, avec tous ceux qui gravitent autour de vous.
Devais-je intervenir maintenant ? Pensais-je à cet instant, cependant, jappréhendais sa réaction. Elle était devant moi les mains sur ses hanches. Quattendait-elle de moi ? :
Mais toi Gérard ! Dis-moi franchement ce que tu penses de moi. Insista-t-elle en se rapprochant encore un peu plus de moi.
Subitement, sans lui répondre je lui attrapai la main, en lattirant vers moi, elle se retrouva assise sur mes genoux. Je lavais prise dans les bras et déposai mes lèvres sur les siennes. Elle navait fait aucun geste pour me repousser, elle ouvrit sa bouche et nos langues dansèrent la lambada dans un baiser plein de tendresse. Puis je lui soufflai à loreille : « Jeune et marié, jai envie de faire lamour avec vous Christiane. »
Si nous le faisions tout de suite Gérard, jy ai pensé toute la matinée, tu sais.
Ce jour-là, nous avons fait lamour sans nous dévêtir, javais sorti mon sexe en pleine érection et mapprochai de Christiane qui sétait assise sur le bureau. Javais écarté le tissu de sa petite culotte et lavait pénétrée tout en délicatesse. Elle me caressait affectueusement, le visage, les bras, le dos ou passait ses doigts dans mes cheveux pendant que je lui embrassais les seins ou la bouche. Nos baisers étaient tout en tendresse pendant que jallais et venait en elle. Cette femme nétait pas une salope, cétait cela qui mattirait chez elle. Christiane fermait les yeux, son corps légèrement en arrière, les mains posées à plat sur le bureau.
Jétais planté en elle, javais la tête contre sa poitrine, elle releva son torse et saccrocha à moi en passant ses bras dans mon dos et me serra très fort contre elle, lorsquelle jouit tout en silence. Me tenant ainsi, ne pouvant me retirer, javais éjaculé dans son vagin en même temps quelle atteint son orgasme. Nous étions restés un long moment ainsi en nous regardant droit dans les yeux avant de reprendre notre baiser. Je navais jamais connu une telle femme, à chaque fois que nous faisions lamour, cétait magique, elle était si affectueuse et pleine de délicatesse que je ne pouvais pas me passer delle. Pendant les deux années suivantes, je ne lui avais jamais dit un seul mot cru, je métais même surpris une fois à lui que je laimais.
Je continuerai à vous raconter la suite Mercredi dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Gérard, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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