Ma Professeur De Latin, Christine T. : Episode 2
Retour de Florence : Le train de la perversion
Voici la suite de mes aventures sexuelles avec ma professeur de français Christine T. Lhistoire que je vais vous raconter se déroule le lendemain de ma première relation sexuelle avec Christine et prend place dans le train de retour de notre « voyage culturel ».
Depuis les évènements de la nuit dernière, je faisais tout pour éviter Christine. Je ne pourrai jamais oublier cette nuit avec ma professeur. J'ai réalisé mon plus grand fantasme : "Baiser ma prof". Ce que je venais de vivre confirmait les rumeurs sur les pratiques sexuelles de Christine. Elle aurait eu des relations avec des collègues, un curé, le maire de la ville, le directeur du lycée ... mais jamais je n'ai entendu parler d'un lycéen. Etais-je le premier ?
Le matin au petit déjeuné, je ne pus éviter un regard fugace mais bien pervers de la part de Christine. Elle ne semblait pas déranger par ce qui sétait passé la veille et je sentais même un brin dexcitation dans son regard.
Pour tout dire, ses yeux sentaient le cul.
Notre train était dans la soirée, il sagissait du train de nuit « Florence Paris ».
Bien sûr, je ne pus éviter Christine toute la journée. Elle réussit à me coincer dans une ruelle de Florence. Elle me serra contre le mur et commença à me malaxer les couilles.
« Alors mon petit chérie, on cherche à éviter sa prof, ce nest pas bien » dit-elle.
Elle ajouta : « Jai une petite surprise pour toi cette nuit dans le train ;RDV à 1h00 voiture N°21 et vient sans tes puceaux de copains. »
Elle me lâcha et partit. Jétais complètement médusé
Dun côté, jétais excité par linvitation et de lautre complétement terrifié. Mais quest ce qui pouvait mattendre dans cette voiture N°21 ?
Dans la soirée nous arrivâmes à la gare de Florence. Le train était à quai. Notre voiture se situait en tête de train, nous avons donc remonté tout le quai.
Nous nous sommes installés dans nos compartiments couchette et le train se mit à rouler. Nous quittions Florence pour un voyage sannonçant inoubliable.
A minuit, les professeurs nous ordonnèrent de nous coucher. Pas de trace de Christine depuis le départ du train, jétais tout excité !
Il est presque 1h du matin, ça ronfle sévère dans le compartiment. Je quitte ma couchette et je sors dans le couloir. Pas un chat. Je remonte tout le train jusquà la fameuse voiture 21, la dernière du train.
Je me lance et rentre dans la voiture. Lambiance est particulière. La porte est verrouillée par un militaire après mon passage. Je mavance et minstalle en face de Christine. Ce nest plus la même femme. Elle est habillée comme une prostituée de banlieue :
- Un débardeur noir avec un décolleté jusquau nombril.
- Une jupette noir « Ras la touffe ». Plus court nest pas possible.
Ses seins sont libres, elle na pas de soutien-gorge. Elle écarte ses jambes. Jentrçois un mini string semble-t-il ?
Je suis excité, je bande sévère et jai du mal à respirer.
Tous les males du wagon la matent, la viole du regard.
Christine me regarde et me dit fixement : « Profite bien du spectacle mon chérie. Tu peux te branler si tu veux mais garde ton sperme pour moi ».
Un militaire en face de Christine vient de sortir sa grosse queue et commence à se branler vigoureusement. Deux autres sapprochent delle et commence à la ploter.
Très vite ses deux énormes seins se retrouvent à lair libre. Elle se fait mordiller les tétons.
Christine commence à émettre quelques petits cris de jouissance.
Des grossièretés italiennes commencent à fuser :
- Troia, succhia il mio cazzo (Salope, suce moi la bite)
- Sei una bella femmina, troia (Tu es une belle chienne, salope)
- Amate, lo distruggeremo la vostra vagina ed il vostro ano., puttana (On va te défoncer le vagin et lanus, poufiasse)
- inghiottirai tutto il nostro sperma.( tu vas avaler tout notre sperme).
Christine nétait pas en reste et leur répondait :
- Oh sì, le mie piccole stallone, fatte io male!( Oh oui, mes petits étalons, faites-moi mal !)
- Voglio essere coperto del vostro sperma (Je veux être recouverte de votre sperme)
Christine est rapidement entourée par 5 grands gaillards.
Un militaire lui mange la bouche, deux autres lui mordent les tétons, un quatrième lui bouffe la chatte et un dernier, plus vicieux lui enfonce un doigt dans le trou du cul.
Ma professeur est en extase et mouille énormément.
Le militaire qui se branlait lui présenta sa bite énorme. Elle la goba d'un coup. On devinait son gland tapé le long de sa gorge, elle salivait énormément.
Ma queue était bien bandée. Je me branlai vigoureusement.
Cette scène dura un moment. Ils ont même réussi à lui mettre les 2 plus grosses bites dans la bouche !
Christine était à 4 pattes, la position idéale ... une bite arriva et s'enficha comme dans du beurre dans sa chatte. Le "rital" la bourinnait sévère. Tellement fort, qu'elle semblait avoir très mal ... Rapidement, elle se retrouva la tête au sol, ses orifices en l'air, offerte à une double pénétration qui ne tarda pas. Elle se faisait défoncer la chatte et le trou du cul brutalement. Maintenant, j'en suis sûr, elle pleure, crie de plaisir.
Je crois bien que le régiment entier lui est passé dessus.
Après ces pénétrations "mitraillettes", ils se sont tous mis autour d'elle. Elle s'est pris des giclés de spermes sur la figure et dans la bouche. Ce fut un bukake inoubliable. Elle a avalé tout ce qu'elle a pu.
Aussitôt les couilles vidées, les militaires partirent. Christine était là, en face de moi, pleine de sperme. Elle se leva et me prit la main.
- Viens mon petit chéri, je vais te finir.
Nous quittons donc le compartiment et entrons dans les premières toilettes. Toutes ces affaires de rechange étaient là.
Je me suis assis sur la cuvette. Christine se mit accroupie devant moi et prit ma bite à pleine bouche. Elle me suça en alternant des va et vient rapide et lent. Elle était encore fraiche pour une femme sétant faite défoncée par un régiment entier.
Sentant que jétais sur le point de jouir, elle sarrêta.
- Non pas tout de suite jeune homme
Elle se retourna et empala brutalement son trou du cul, sur ma bite.
Elle émit un cri provenant du plus profond de ses entrailles.
Elle sexcita sauvagement sur mon pénis, elle se remit à de lanus comme la nuit dernière.
- Tu es une vraie salope. Lui dis-je
- Oui jespère bien. Vas-y pète moi le cul.
Elle sorti ma bite de son cul comme une épée de son fourreau.
Elle se remit à me sucer. Ma bite était recouverte dun mélange de sang et dexcréments.
Je ne mis pas longtemps à lui éjaculer dans la bouche
Elle resta comme cela un moment à me lécher le sexe.
Ensuite, elle se leva et me dit :
- Cétait très bien mon chérie, jespère que tu as apprécié le spectacle. La prochaine fois, tu pourras gouter à ma chatte.
Mon cul appartient à tout le monde, ma chatte, je la réserve à ceux qui me donnent vraiment du plaisir comme toi et ces militaires.
Je sortis des toilettes encore sous le choc de cette déclaration.
Je pense que je nai pas fini denculer ma professeur.
Que me réserve donc Christine ? Jappréhende, un peu, le retour au lycée.
Mais cela fera lobjet de la suite de mes aventures sexuelles avec Christine T. Ma professeur de Français / Latin.
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