Gaëlle Et Bruno , Une Semaine De Vacances . Le Départ

Gaëlle et Bruno, une Semaine de vacances. Le départ :

Ce voyage nous le préparions depuis déjà plusieurs mois, depuis en fait notre
dernière escapade sans les s.
N ayant pas souvent l'occasion de nous retrouver seuls, ces petites parenthèses dans
notre vie nous offrent d’une part la possibilité de vivre un peu juste pour nous deux
; et d autre part de laisser libre cours à nos fantaisies sexuelles sans avoir à nous
soucier de quoique ce soit. Et dieu sait que dans ce domaine nous débordons
d'imagination.
Tu es belle dans ta robe légère qui t’arrive au dessus du genou. Je sais que tu la
mise pour me faire plaisir car tu aurais préféré pour voyager une tenue plus passe
partout comme un simple jean avec un t-shirt. Mais tu sais à quel point j’aime te voir
sexy et désirable et donc tu t’es vêtue en conséquence afin de flatter mon orgueil de
mâle.
Sexy tu l’es, cette robe te va à ravir, et lorsque tu montes dans la voiture à mes
cotés je me dis que tu n’as pas fini de te faire mater !!
En t’asseyant les pans de ta robe s’écartent légèrement en remontant sur tes cuisses
car tu as pris soin de ne pas fermer le dernier bouton. Tandis que tes seins, eux,
tendent le tissus qui s'écarte légèrement entre les boutons laissant deviner ton
soutien gorge en dentelle transparente.
Tu es l incarnation même de la féminité et je me dis à ce moment là que si nous
n'avions pas un avion à prendre je te baiserai tout de suite sur le capot de la
voiture.
-Tu es magnifique chérie, un vrai pousse au sexe, si tu veux me faire bander c est
réussi.

-Merci, dis tu en riant. Et effectivement c’était un peu mon but, après tout les
vacances c'est fait pour ca aussi non ?

-Oui c est vrai !! Montres moi un peu ce que tu portes la dessous,… ma main droite
s’égare sur ta cuisse gauche et remonte vers ton sexe.


Docile tu ouvres le compas de tes jambes offrant à ma main une voie royale qui remonte
et découvre rapidement une toute petite culotte que je t ai offerte il y a peu de
temps et qui a l'originalité d être en forme de V grand ouvert sur le devant . Ce qui
non seulement ne cache rien de ta chatte lisse. Mais en plus la met en valeur car tes
lèvres ainsi encadrées par le tissus ressortent d'avantage encore.
L arrière est une simple ficelle de tissu qui disparaît entre tes fesses caressant au
passage ton œillet que je sais sensible.
-Et bien, tu as décidés de me faire la totale .... aujourd’hui.

Je suis aux anges et j en profite pour passer un doigt sur tes lèvres qui sont déjà
légèrement humides.
J en profite pour t embrasser et ma main remonte de ta chatte à ta poitrine que je
caresse a travers ta robe.

-Oui, Mr mon mari j ai hésité entre voyager avec ou sans culotte.
Finalement j'ai opté pour la solution intermédiaire, un peu de tissu mais pas trop.
Puisque tu veux faire de moi une salope autant commencé tout de suite chéri non qu’en
penses-tu ?

-C'est vrai !! Excellente idée, et tu vois tu me fais donnes déjà envie j ai la bite
raide et le cerveau en ébullition.

Ma main sur tes seins continue son travail de pelotage et je sens déjà tes seins
durcir sous mes caresses.
Notre baiser devient plus passionné et humide, ton souffle s’accélère de même que mon
pouls.
J’ouvre un bouton de ta robe et ma main se faufile jusqu'a ton soutien gorge qui
enserre tes deux magnifiques seins.

De ton coté tu n'es pas inactive et tu as ouvert ma braguette pour flatter ma queue à
travers le tissu léger de mon boxeur.

La tension monte encore d'un cran, lorsque je constate que ton autre main est entre
tes cuisses maintenant grandes ouvertes et que tu caresse doucement ta chatte.


-Tu es chaude comme la braise ce matin chérie, j’aime ca ! C est l idée de prendre
l’avion qui te fait cet effet la ?

-Je ne sais pas peut être oui, ou le souvenir de notre baise d’hier soir !
Continues, pinces mes tétons, vas-y tu me fait du bien chéri, ouii

-OK, mais on prend le risque de rater l’avion, car l’heure tourne, et même si j’ai
très envie de toi tout de suite je préfère profiter de toi dans l'avion et te regarder
te branler toute seule comme une petite cochonne pendant que je conduis jusqu'à
l'aéroport!

-D’accord, roules vas y . Mais je te préviens, je vais tacher le siege de ta voiture
tellement je mouille.

-Fais toi plaisir, j’aime ça aussi te voir te faire du bien ca m'excite et ca te rend
encore plus désirable . Et puis on ne sait pas, si on a de la chance on doublera peut
être un camion et le chauffeur pourras mater ta chatte. Lol

-Salaud, ca t'excite de m’exhiber.

-Oui, beaucoup, tu le sais bien. Et puis tu es trop belle pour rester caché.

Tu ne réponds pas et installe tes pieds sur le tableau de bord, dans une position
délicieusement indécente en te disant certainement qu’a 4 h du matin il y a peu de
chance pour que l'on croise du monde sur la route.
Tes cuisses sont grandes ouvertes, et ta robe remontée sur tes hanches autorise une
vision parfaite de ton sexe ouvert que ta culotte encadre sans gêner tes caresses.

A ce moment je me demande comment je vais faire pour couvrir les 50 km qui nous
séparent de l aéroport !! Conduire nécessite tout de même un minimum de concentration
et la franchement j ai du mal à voir autre chose que tes doigts sur ta chatte .

-Ca m’excite chéri de me caresser comme ca, et de penser que quelqu’un pourrait me
voir.
Hooo !! c est bon.
Mais je ne veux pas jouir encore, je veux te faire profiter du spectacle jusqu’au
parking .

J'ai la chatte trempée, tu entends mes doigts dans mon jus chéri ? Humm c'est bon. J
ai envie de ta queue dans mon ventre.

- Fais-moi lécher tes doigts STP

-Oui cochon tiens bois ma mouille vas-y c est toi qui m’excite avec tes idées à la con
,

Tant bien que mal nous avançons, sur l'autoroute. Le télépéage ainsi que l'heure
matinale nous ont permis de passe le premier péage sans voir âme qui vive.
Ta main n’a donc pas quitté son refuge chaud et humide, tes seins sont maintenant
sortis de leurs bonnets de dentelle. Ton 90 F est encore plus tentant dans cette
position et ma bite me fait mal tellement elle est raide.

Mais, frustrée de ne pas avoir pus me branler tout à l heure tu te concentres
uniquement sur ton plaisir et te contente de me demander de mater ton show.

L’approche du second péage te fais revenir sur terre, tu n'as toujours pas jouis et je
sais que tout tes sens réclament maintenant l'orgasme libérateur.

Toutefois tu arrives à descendre tes pieds du tableau de bord, je me demande comment
tu fais pour être aussi maitre de toi.

-Non chérie, ne bouge pas, continue STP,

-Mais s il y a quelqu’un au péage, on va me voir.

-Et alors ?

-Je veux pas passer pour une salope.

-Ha bon ... Pourquoi ?

-Ben .....Parce que ......

-Chérie, nous sommes loin de la maison, le télépéage fait que nous n'allons pas nous
arrêter, ca m’excite de te t'exhiber ainsi. Tu es ma salope et on aime ca tous les
deux. Alors fait toi plaisir et fait moi plaisir.
Pense à la joie de cet homme ou de cette femme qui vont peut être te voir et s’exciter
grâce a toi .

-C’est vrai après tout tu as raison, c’est les vacances et j'ai trop envie de jouir.

Tes pieds remontent sur le tableau de bord, une main caresse tes nichons l’un après
l’autre tandis que deux doigts s’agitent maintenant dans ton vagin ouvert qui laisse
échapper des bruits de mouille synonymes de jouissance.


Du coin de l’œil je t’observe, tu es dans un autre monde plus rien ne compte et nous
pourrions maintenant croiser un régiment entier que tu ne t’en rendrais même pas
compte.

J espère secrètement que le péage ne va pas être aussi désert que le premier. J’ai
envie qu’un homme profite aussi de ta jouissance. Sans doute mon coté candauliste.
Mais le péage est désert.

Sentant approcher l’aéroport tes doigts accélèrent dans ton sexe, et finalement tout
ton corps se raidi sous la puissance de l'orgasme qui vient apaiser la tension de tes
sens. Tu gémis pendant quelques minutes puis t’affaisse dans le siège en reprenant
pied peu a peu.

-Ouf ca fait du bien, c’était bon tu sais.
L’idée d’être vue au péage m’a fait l’effet d’une bombe dans le ventre,

-J’ai vu ça oui chérie, c’était top, tu as vraiment un don pour me faire bander. Mais
maintenant que nous sommes garés et à l’heure j aimerais bien un petit plaisir moi
aussi.

-Non .non, pas question. Le marché était que je te fasse un show en me branlant dans
la voiture et que tu me ferrais du bien dans l’avion. Et nous ne sommes pas dans
l’avion.

-C est vrai mais l’un n'empêche pas l’autre, suces moi ici sur le parking. Avec tes
seins à l'air et ta chatte encore mouillée. Et je te promets que tu ne regretteras pas
ton voyage en avion.

Ce disant je t’embrasse et libère en même temps ma bite qui n’en peut plus d’être
enfermée.
Vas-y allez suces moi bien à fond.
J appuie sur ton cou, et ta bouche descend jusqu’à ma bite qu’elle avale d’un coup
toute entière.

-Ho putain que c'est bon, oui vas-y chérie pompes la bien. Fais-moi gicler dans ta
bouche comme une vraie cochonne.

Tu t’es mise plus ou moins à quatre pattes sur ton siège pour être plus à l'aise et
cette position me donne un libre accès à ton cul qui se trouve exposé à la fenêtre tel
un tableau de maitre.
Tes seins quand a eux toujours à moitiés sortis de ton soutien gorge attirent mes
mains qui les pétrissent et pincent leurs bouts érigés. D’une main tu caresses mes
couilles et de l’autre tient fermement la base de mon vit que ta bouche avale en
cadence. Tandis que ta langue fait des ronds sur le bout de mon gland.

- Vas-y chérie. Oui vas-y t’es la meilleure.

Ton cul se tortille et tu lâche ma bite un court instant pour laisser échapper dans
un souffle d’amour.

-Doigte-moi le cul !

-Oui chérie avec plaisir.

Le ton monte, la buée envahie les vitres de la voiture et mon doigt fait le tour de
ton anneau intime tout mouillé de ta jouissance précédente.

-Vas-y, ouvre ton cul sur mon doigt. Pousses toi même. Empale-toi sur mon doigt si tu
en a envie, et suce-moi bien en même temps.
Faits toi plaisir tu me fais venir,

Je sens ton bassin reculer sur mon doigt et tandis que ton cul s’ouvre, ta bouche
continue son ouvrage sur ma bite.
La peau de mes couilles commence à se tendre et je sais que je ne vais pas tarder à
venir.
Mon doigt dans ton cul ne reste pas passif et je sens à tes mouvements que toi aussi
tu ne va pas tarder.

Ma jouissance arrive, tu dois le sentir aux contractions de ma queue entre tes lèvres.
Ta succion s intensifie l’effet est foudroyant. Mon sperme jailli comme aspiré par ta
gorge, cette idée me crucifie sur l’autel de la jouissance et je me vide à fond dans
ta bouche tout en gardant suffisamment de lucidité pour continuer à m’occuper de ton
cul .
Ma jouissance déclenche ton propre orgasme et nous nous écroulons tous les deux
pendant quelques secondes afin de reprendre nos esprits.

-Pffff , quel pied .

-Oui chérie un vrai régal tu suces tous les jours un peu mieux.

-C’est parce que j’aime ça de plus en plus je crois, tu sais.

-Et bien j’en suis enchanté, et en plus tu m’a laissé la bite propre comme un sous
neuf. Gourmande !! C’est excellent, mais maintenant il faut nous dépêcher sinon on va
être juste.

Nous nous rajustons tous les deux dans la voiture et sortons afin de rejoindre le
terminal.
A la sortie du parking se trouve le petit passage piéton qui permet d’accéder au hall
d' embarquement en passant devant le poste des gardiens du parking. Il est a peine 5 h
du matin et tout est quasi désert .
A notre approche un garde sort du poste,

-Bonjour Madame, bonjour Monsieur. Il doit avoir la quarantaine, brun un visage massif
et viril mais souriant et avenant.

-Bonjour Monsieur.

-C est bien vous qui vous êtes garés il y a environ 15 minutes avec la Mercedes noire
?

-Oui c’est bien ca, en effet. Pourquoi ? Suis-je mal garé ?

-Non, non Mr pas du tout, je dirais même que vous vous êtes très bien garé puisque
face à une caméra de surveillance !

-Je ne peux m’empêcher de sourire mi amusé, mi excité a l'idée que ce mec est pu te
mater en pleine action. Qui sait peut être c’est il même branlé en regardant ton cul à
travers la vitre de la voiture.

Ton visage à toi est rouge cramoisi et tu ne sais visiblement plus ou te mettre.

Ne rougissez pas Mme vous êtes très belle et très sexy. Et sauf votre respect, si Mr
m’y autorise permettez- moi de vous dire que vous m’avez beaucoup excité.

-Je permets bien sur !! Et vous avez raison ma femme est très sexy et je suis content
qu’elle puisse vous avoir fait bander.

-Arrêtes Bruno, tu me gênes ,

-Mais non voyons, Mr est un amateur de jolies femmes ne soit pas gênée, au contraire
la situation ne manque pas de piquant je trouve. Non?

-Vous avez raison Mr. Votre femme est splendide et oui je peux bien vous l'avouer Mme
lorsque j ai vu votre cul à la vitre je me suis masturbé en vous regardant pomper
votre mari.
Et j aurais bien aime m’approcher mais je n'ai pas osé.

Pendant que l'homme nous parle je t’observe du coin de l’œil et de rouge de confusion
ton visage a viré à une expression qui ne m'est pas non plus inconnue et qui me fait
dire que ce discours ne te laisse pas insensible.
D ailleurs je vois tes tétons qui commencent à apparaître malgré l épaisseur de tissu
qui les recouvrent. Ce signe évident de ton excitation n’échappe d ailleurs pas à
notre nouvel ami qui m a tout l air d être un habitué de ce genre de situation.

-Et bien Mr, vous avez eu torts de n'en rien faire car puisque mon mari trouve la
situation à son goût je peux bien vous l’avouer j étais tellement excitée que je
n'aurais pas refusé vos caresses loin de la.

L homme ne se démonte pas et se tournant vers moi,

-Et bien il semble cher Bruno que votre femme soit non seulement belle mais également
gourmande.

Tes propos ont tout a la fois détendu l'atmosphère et fait monter l’excitation de tout
le monde.
Je suis personnellement ravi de la tournure des événements car je sens bien qu’un
rien, pourrait faire basculer la situation. Et même si ce n’est pas la première fois
que nous introduisons un étranger dans notre couple il y a bien longtemps que cela
n'est pas arrivé et je dois dire que je ne serai pas du tout contre une baise rapide
dans ce sous sol anonyme et désert.

-Oui ......comment tu t’appelles au fait ?

-Peloy, William Peloy. Pardon j’aurais du commencer par me présenter.

-Et bien William. Enchanté et oui Gaëlle est une coquine gourmande qui aime le sexe,
et pour ne rien te cacher nous sommes un peu libertins à nos heures, et il se trouve
que c’est justement notre heure car nous partons une semaine en vacances sans les
s et nous comptons bien nous amuser.
Gaëlle a promis de tout faire pour devenir la salope dont je rêve cette semaine.

-Mais chérie avoue que je suis en bonne voie de le devenir non ?

-Je suis tout a fait d accord avec toi Gaëlle, et je dois dire que tes talents de
suceuse m’ont paru à la hauteur du statut de salope que ton mari veut te faire
atteindre .

L’heure tourne et je suis tiraillé entre l'envie de ne pas laisser passer une aussi
belle occasion et la peur de louper notre vol ce qui serrai tout de même trop bête.

Te sentant sur la même longueur d’ondes je décide de passer à la vitesse supérieure.
Je m approche de toi ; t’embrasse devant lui et ouvre un bouton de ta robe afin de
dévoiler ton soutien gorge.

-William as-tu déjà vu des seins aussi bandants ?
Sa main s’approche et prend ton sein en main à travers le soutien gorge. Tes yeux se
ferment alors et ta bouche s’ouvre laissant échapper un soupir de plaisir.

Tu es magnifique de sensualité et tu transpires la féminité par tous tes pores. Ton
excitation est telle qu’il me semble pouvoir sentir tes hormones sexuelles.
Pendant que William te pelote consciencieusement les seins j ai écarte tout en
t’embrassant le pan de ta robe afin d’avoir accès a ta chatte qui est .... disons
marécageuse. Un vrai régal de te sentir aussi chaude et abandonnée.

Je t’entends me dire dans un souffle pendant notre baiser.

-Baisez-moi ! Je vous veux tous les deux, baisez moi maintenant je veux vos bites en
moi.

-Oui chérie on va te baiser, tout de suite.

-Venez ne restons pas là ! Venez dans le bureau suivez moi.

-Oui mais faisons vite nous n’avons que peu de temps avant l’enregistrement.

-Ne t inquiètes pas Bruno je vous ferrai passer par le couloir rapide réservé aux
passagers qui ont normalement des bagages hors gabarits il n’y a jamais personne et
c’est un copain qui est là ce matin.

-Dans ce cas, plus d hésitation donnons à cette adorable salope ce qu’elle attend.

Ce faisant je te pousse délicatement vers le bureau qui se trouve derrière toi jusqu’à
ce que ton cul soit en contact avec le bord de la table.

Et tout en t’embrassant j’ouvre un par un les boutons de ta robe dévoilant ainsi ton
corps et ta lingerie à notre partenaire qui a déjà tombé sa chemise et son pantalon.
Ta culotte ouverte fait son effet bien sur, et la bosse qui se dessine sous son
caleçon laisse deviner une belle érection.

Il te regarde soudain hésitant devant cette femme superbe et demandeuse, se demandant
sans doute si c’est un rêve ou la réalité.

-Montres donc à William ce que tu sais faire avec ta bouche chérie, je crois qu’il
n’attend que ca.

-Malgré ton excitation tu hésites un instant toi aussi, et c’est moi qui te prend la
main pour la passer dans son caleçon au contact de son sexe dressé fièrement.

C’est le signal qu’il attendait, il se met alors a te peloter les seins comme s’il
n’en avait jamais vu avant.

Je te décolle du bureau pour te presser contre lui, passe dans ton dos et te retire
complètement ta robe maintenant inutile. Au passage mes doigts s’égarent dans entre
tes fesses et je sens l’humidité de ta chatte remonter jusqu’à ton cul.
Mes mains caressent ton dos et atteignent enfin ton soutien gorge que je dégrafe
dévoilant ainsi à ton futur amant ta poitrine totalement offerte.

Il est hypnotisé par ce trésor et bouffe littéralement tes gros seins, tandis que de
tes deux mains tu branles maintenant sa queue et ses couilles que tu as eu le plaisir
de découvrir glabre comme tu aimes.

-Suces moi ! je veux ta bouche sur ma bite, vas y STP, j’ai envie que tu me suces.

Pas besoin de te le dire deux fois, tu te baisses devant lui en gardant les jambes
bien tendues et le prend en bouche comme une véritable affamée.
Je te connais et je sais pourquoi tu as de toi-même adopté cette position me dévoilant
ainsi ton cul.
D’ailleurs tout en suçant cette bite encore inconnue 20 minutes auparavant tu écartes
les jambes et tourne ta tête une seconde pour me dire :

-Baises moi, vas y prend moi come une salope j’aime ca. Et aussitôt tu le reprends en
bouche afin de satisfaire ton envie de sexe.

Je me déssape moi aussi et aussitôt sans hésitation ma bite prend le chemin de ta
chatte qui est en fusion. Je te laboure un premier coup jusqu’au fond, puis je fais
quelques allers retours sur les premiers centimètres uniquement. C’est la que ton
vagin est le plus sensible et j’adore jouer avec tes sensations ainsi.
Mon regard croise celui de William.

-Alors elle n’est pas bonne ?

-Elle est au top, ta femme Bruno, j’ai jamais vu une bombe pareille, belle et surtout
qui aime autant le sexe. Excuse-moi de parler ainsi mais oui une vrai salope au sens
noble du terme. Une déesse de l’amour.

-Je sais et j’adore la voir baiser ainsi. Regarde ses seins magnifiques qui remuent en
cadence sous mes coups de bite.
Effectivement le spectacle est d’un érotisme à couper le souffle et je me dis que si
une caméra nous filmait j’aimerai par la suite voir le film.
Notre dialogue t’as certainement encore plus excité et une de tes mains est passée sur
ta chatte pour branler ton clitoris afin d’augmenter ton plaisir.
Une pendule sonne 5h45, hélas déjà .

-Viens William, prend ma place je veux te voir la baiser comme elle le mérite.
Chérie tu veux qu’il te baise ?

-Ouii, je veux le sentir en moi et viens que je te suce toi aussi.
Vas y William, prends moi vite, ne me laisse pas vide, baise moi comme une salope
pendant que je suce mon mari.

Il a enfilé une capote vite fait, et je vois alors sa queue rentrer dans ton sexe, tu
la sens toi aussi et cela te procure une montée de plaisir car tu pousses un cri plus
qu’un gémissement qui ne laisse aucun doute sur le bien-être que tu ressens en ce
moment.

Ta bouche sur ma queue s’active encore, et alors que je pensais tout à l’heure que tu
m’avais vider les couilles jusqu’au cerveau, je sens de nouveau le sperme monter. Mes
mains s’active sur tes nichons que je pétris de plus en plus fort sachant qu’à ce
stade d’excitation tu ne ressens que du plaisir et pas de douleur.

Dans ta chatte William se démène comme un fou et te défonce maintenant comme un
métronome à grand coups de queue, tu lâches ma bite pour crier ton plaisir.

-Hooo , ouii c’est bon,, baises moi encore vas y crache ton jus dans ma chatte je veux
vous sentir me baiser par tous mes trous. Vas-y chéri jouis, donne mon ton sperme sur
ma langue. Je veux te faire crier de plaisir.
Aller donner moi du sexe, je veux prendre mon pied.

C’en est trop pour nous deux, ton excitation, tes mots crus, ton corps dont nous
jouissons tous les deux font que nous lâchons notre jouissance tous les deux ensemble
ou presque. Lui dans sa capote au fond de ton sexe et moi dans ta bouche.

Ce flot de sperme bipolaire te fait partir toi aussi et tu cris encore une fois ton
plaisir avant de t’affaler dans mes bras.

Je t’embrasse, je te caresse, je te câline, fou d’amour pour toi et heureux de te voir
ainsi repue de plaisir.
William discret et plein de tact c’est discrètement tenu à l’écart pendant deux
minutes nous laissant nous retrouver, comprenant que nous avions besoin de ce court
moment d’amour intense pour apaiser nos sens.

Nous nous rhabillons rapidement, et sortons avec lui en direction du hall
d’embarquement.

Nous marchons tous les trois rapidement et William me dit discrètement que si nous
repassons dans quelques jours il pourrait nous recevoir chez lui, car finit il par
m’avouer sa femme et lui sont eux aussi des libertins convaincus et il semble certain
que nous devrions plaire à sa chère et tendre !!!
Arrivé au comptoir d’embarquement nous empruntons comme il nous l’avait dit un passage
dédié qui est effectivement désert et ou un beau métis d’une trentaine d’année nous
fait passer sans histoire lorsque William nous présente comme un couple d’ami un peu
en retard.
Au passage je remarque le regard du métis sur ton cul et je me dis que celui-ci aussi
t’aurait bien volontiers croqué toute nue !

Une dernière poignée de main à William, une bise discrète sur ta joue et nous passons
en salle d’embarquement juste au moment ou une voix monocorde annonce le début de
l’embarquement pour notre vol.

Nous marchons main dans la main en nous serrant l’un contre l’autre comme deux gamins
amoureux qui viennent de faire une bonne blague. Quel plaisir !

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