Leslie La04

Leslie LA04 – Laure, le journal intime - Plaisirs, pensées et décision

Lorsque je me donne du plaisir, seule dans ma chambre, il m’arrive de laisser aller
mon esprit, entré comme dans un rêve en sentant mes caresses et le plaisir qui monte.
Je ferme les yeux et les pensées arrivent, je m’imagine dans des situations, dans des
endroits avec des hommes où des femmes, ce qu’ils me font ou que j’aimerais qu’ils me
fassent, repensant aussi parfois aux images de ma mère en pleine action comme parfois
je l’ai surprise, enfin toutes ces pensées qui font monter l’adrénaline en attendant
le moment de les vivre…

« Mon homme… »
Rien que ces deux et mes seins se durcissent, mon sexe se mouille.
Je m’étire, main effleure mes tétons durcissent à ce contact, je m’excite en répétant
encore :
« Mon homme… »
Doucement, ma main s’égare entre mes cuisses, elle se fait papillon et effleure à
peine mon duvet pubien et avec l’excitation, les pensées reviennent.

Je vais me donner du plaisir….
Toute nue, assise dans le fauteuil de ma chambre face au miroir, mes petits seins
pointent avant même que je les touche, avant même d’être caressés ils s’émeuvent et se
redressent fièrement, je me regarde dans le miroir et, je vois mon image qui se
reflète dedans, et je constate que mon image m’excite.
Mes lèvres intimes finement dessinées et légèrement proéminentes, ambrées, à peine
cachées par le duvet blond, naissant, de mon pubis, luisent déjà d’excitation.

Je repose mon dos confortablement contre le dossier du fauteuil et j’écarte les
cuisses, puis ma main, douce et mutine, caresse mon petit bouton et laisse aller mon
esprit.
« J’imagine des hommes s’approchés de moi, nus, le sexe tendu, ils sont là pour moi,
pour moi seule et viennent pour me posséder et investir tous mes orifices, cinq verges
à la fois, ils sont beaux et leurs verges turgescentes, parcourues de veines
m’excitent et m’émeuvent, je ne pourrais pas en réchapper, je vais mourir de plaisirs
sous leurs assauts répétés.

»

Mon visage est couvert de sueur et les pensées continuent d’affluer.
« Ma chatte sera fouillée par les langues mutines de ses hommes qui bandent pour moi,
ils vont explorer mon cops de leurs langues et de leurs doigts, fouiller mes orifices
pour me faire hurler de plaisir, me rendre folle, me faire perdre raison et conscience
et m’emporter vers des plaisirs lointains, me perdre dans la jouissance et m’évanouir
sous leurs assauts. »

Ma main se faisait plus rapide sur mon clitoris, les yeux toujours fermés, des
frissons parcourent mon corps, le cuir du fauteuil sous mon cul est tâché par une
petite mare de sueur mêlée à ma jouissance qui s’échappe de ma chatte, mon corps se
couvre de fines gouttes de sueur, comme la nature de rosée au petit matin, j’enfonce
un doigt dans mon sexe trempé, et les pensées reviennent.
« Ils sont autour de moi, et commencent à me caresser, j’ouvre la bouche pour gémir et
un membre s’enfonce dans ma bouche, des mains caressent mes seins et d’autres se
posent sur mes fesses. Un doigt s’enfonce en moi et me crochète la chatte, je me
cambre mon cul, qui est aussitôt invertit par un autre doigt. »

La jeune fille que je suis est surprise par tant de pensées, dans ma poitrine un
courant électrique se diffuse, mes seins se gonflent et mes bouts sont durs, je les
pince jusqu’à ce que plaisir et douleur se mélangent. Puis ma main descend pour
caresser ma fente et constater que je suis trempée, mais les pensées reviennent plus
présentes que jamais.
« Ils jouent avec mon corps, profitant de ma jeunesse, mes orifices sont visités,
pénétrés et distendus. Je suis en levrette à présent la vulve prise par le vigoureux
sexe d’un des hommes placé sous moi, épais et long, il distend mes chairs au maximum,
et cambré comme je suis branlant de mes mains deux sexes offerts, ma bouche est
investie par un autre membre disponible.
»

Alors je n’en peux plus, prête de jouir et d’exploser, je me redresse un peu et
j’enfonce un doigt dans mon cul frémissant, les pensées parcourent mon esprit.
« Ils étaient cinq et je n’ai que quatre verges auprès de moi, une en moi, une dans ma
bouche et deux dans mes mains, mais la réponse ne se fait pas attendre car soudain je
sens une queue mon cul et m’embrocher jusqu’à la garde, me faisant hurler et
lâcher celle que j’avais entre mes lèvres. »

L’orgasme arrive, irrésistible, et me secoue comme un tremblement de terre, mais en
aurais-je oublié mes hommes.
« Je ne suis plus que jouissance, ils se relaient tour à tour pour me pendre mes
orifices, sans oublier de jouir dans mon cul, me remplissant à chaque foius de leurs
semence chaude et épaisse, je suis une trainée, souillée par le sperme de mes amants
qui jouissent et réjouissent sur mon corps, maculant chaque partie de leur propre
plaisir. »

Epuisée, je m’affale dans le fauteuil et me regarde dans la glace, je deviens une
vraie folle de sexe.
« Longtemps ils profiteront de moi, de mon corps, longtemps ils m’entendront hurler
mon plaisir, nombreux seront les orgasmes qui me laisseront pratiquement sans vie. »

Je me suis levée et j’ai été m’allongé sur mon lit, heureuse mais un peu honteuse de
toutes ses pensées, car je dois l’avouer, une seule chose m’importait à cet instant,
celle de vivre toutes les expériences qui me seraient données de vivre, car je me suis
surprise de penser que j’y prendrais vraiment du plaisir.
Car malgré ma jeunesse, et ma honte passagère, mon appétit sexuel venait de se
réveiller et je décidais de rapidement de passer à l’acte et de l’assumer
complètement.

En reposant sur mon lit et reprenant mes esprits, d’autres pensées sont venues à mon
esprit, m’encourageant dans ma décision.
Ma mère, qui prenait son plaisir dans des bras autres que ceux de mon père, n’en était
pas une salope pour autant, elle était une femme voulant jouir de la vie, et
d’ailleurs elle avait l’assentiment de mon père, qui lui aussi faisait sa vie parfois
en dehors du cadre conjugal et même parfois ensemble en changeant de partenaires.

Où était le mal, et où le bien, vaut-il mieux vivre une vie convenable et ennuyeuse,
ou bien vivre suivant ses instincts et profiter de la vie.
Je n’avais jamais été brimé par mes parents qui me laissait libre de vivre pleinement
ma sexualité, et ils prenaient le temps de m’expliquer les pièges et les dangers, sans
pudeur et sans tabous, jusque parce que c’est la vie et que le sexe en fait partie.

Je savais maintenant ce qui pouvait me rendre malheureuse et je me suis juré, ce jour-
là, de vivre sans contraintes, suivant ce que me dicteraient mes instincts et ma
raison.
D’ailleurs après en avoir parlé à ma mère, elle m’a fait prendre la pilule, cadeau de
ma majorité.

A suivre…

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