Nouvelle Expérience 2
Vous vous souvenez, je suis Johannie, la jeune aide à domicile de 23 ans, qui a quitté son job pour travailler à plein temps chez Monsieur Vallois, jeune retraité, veuf. Il a fallu peu de temps pour que notre cohabitation, tourne à la liaison.
Remise de mes émotions, après ma nouvelle expérience sur la terrasse, jenfile mon peignoir et rentre dans la maison. Il est dix-huit heures, je nai pas vu le temps passer. Je cherche mon patron, il est dans son bureau.
- Monsieur Vallois, vous voulez boire quelque chose ?
- Oh ! pas de Monsieur Vallois entre nous, appelle-moi Henri et pas de vous non plus. Non, pour linstant ça va, on boira un verre tout à lheure, jai mis une bouteille au frais, ainsi que le dîner. Je termine de ranger ces papiers.
- Daccord Henri
Je vais prendre une douche (la troisième de la journée) et je vous attendrais, pardon tattendrais au salon.
Leau coulant sur mon corps me fait le plus grand bien. Je sors, me sèche et file dans ma chambre, il y a un paquet sur mon lit, je louvre, il y a une magnifique combinaison sexy en résille et motifs rouges, elle est très transparente, un déshabillé et des chaussures à talon assortis, tout au fond un parfum. Je me hâte de lenfiler, je vais délicatement commençant par enfilé mes pieds dans le nylon, le remontant tout doucement, je découvre les motifs rouges sur les côtés de mes mollets, lentrejambe est fendu, mais très discrètement, les décors cachent juste ce quil faut, on pourrait croire un body, et la tenue se termine par un fin ruban qui sattache derrière la tête. Je finis denfiler mes cadeaux, puis, je me parfume légèrement, le coup dil dans la glace, me renvoie limage dune femme très plantureuse et sexy, je ne me reconnais pas, dernière petite touche, je relève mes cheveux en un chignon un peu fou mais élégant. Me voilà prête
En arrivant dans le salon, je découvre Henri assit sur le canapé lisant un livre, mais dès que je fis mon apparition, il leva la tête et je vis un large sourire, safficher sur son visage.
- Comment trouves tu, ta nouvelle garde-robe ?
- Oh ! Jadore, cest trop beau, merci beaucoup, lui dis-je en lui déposant un baiser sur les lèvres.
- Je suis ravi que ça te plaise, mais avant tout je voulais me faire plaisir, et je ne suis pas déçu. Viens tasseoir à côté de moi.
Je me posai à sa droite, il me tendit un verre de champagne. Nous trinquons, buvons une gorgée, il posa son verre sur la table, jen fis de même. Puis il sadossa au canapé, prise dune envie de tendresse je vins me lover tout contre lui, ma tête contre sa poitrine, son cur résonnait dans mes oreilles, jétais bien, ma main chercha à entrer sous sa chemise, le fit sauter les boutons qui me dérangeait, je pu enfin sentir sa peau sur ma paume, jeffleurais ses poils, caressait ses pectoraux, ses tétons. Jétais vraiment bien. Mes doigts descendirent de plus en plus, jusquà son pantalon, il maida en défaisant sa ceinture, se déboutonnant et ouvrant sa braguette. Son slip me faisait encore obstruction, mais je glissais ma main sous lélastique, son membre était déjà bien dur, je frôlais la peau de son sexe, et je commençais moi aussi à mexcité.
Henri se laissait faire, jaimais pour une fois prendre le dessus, alors je pris les choses en main. Me mettant debout, de défit mon déshabillé, tout en me rendant sexy et fougueuse. Puis je dévêtis mon amant, sa chemise, ses chaussures, chaussettes, pantalon et pour finir son caleçon. Le voilà tout nu, et par mes soins. Je regardais cet homme plus très jeune, totalement dépouillé de ses vêtements, lui aussi me regardait, fou de désir pour moi. Et je me rendis compte que javais envie de continuer laventure avec lui, dapprendre, à lui faire plaisir, mais aussi à connaitre mon corps, toutes ses sensations différentes suivants les zones érogènes stimulés. Oui, jétais prête à me donner à lui, corps et âme, peu importe où cela me mènera, je ferai tout pour lui.
Je vins donc me mettre à genou face à lui, il voulut toucher mes seins, mais je lui interdis.
- Tu veux goutter aussi.
Je lui portais mon doigt à sa bouche, il y goutta avec plaisir. Doucement, je saisis sa queue et descendit, pour venir la frotter contre ma chatte, cétait bon, nous gémissions tous les deux, le désir fut plus fort que tout, je me laissais embrocher le plus profondément que je pu, puis commença de délicats va et vient, des ondulations, suivit de déhanchements de plus en plus intenses.
Mon vieux cochon aimait ça plus que tout, il callat ses mains sur mes fesses, maidant dans mes manuvres, je me frottais lorsque je redescendais contre ses poils, titillant mon clito, rejetant ma tête en arrière, la redressant pour le regarder droit dans les yeux. Le regard quil me rendait mencourageait dans ma quête de lextase mutuelle. Henri, accroché à mes fesses, devint plus aventureux, il dirigea ses doigts vers mon anneau de venus, mais bien clôturé, il lui fallait lubrifier un peu, ma cyprine ferai laffaire, vu ses gestes. Je sentais de légères pressions sur mon petit trou, et soudain je sentis quil fut violé, amoureusement profané. A chaque intrusions, toujours plus profondes, je me sentais de plus en plus transportée vers le mont des béatitudes, je men rapprochais à grand pas, chevauchant ma monture de plus en plus vite, dans une folle ardeur devenue incontrôlable.
Je me blottis tout contre le torse de mon séducteur, ses bras menlacèrent tendrement, et il me couvrit les cheveux de baisers. Nous sommes restés un long moment comme cela. Laissant lémotion nous quitté petit à petit.
- Je meurs de faim et de soif, pas toi ?
- Oh que si, ne bouge pas je moccupe de tout, soyons encore un peu plus fou, mangeons ici dans le salon.
- Daccord, tout ce que tu veux.
Je regardais dans le frigo, et cherchais ce quil serait le plus pratique à manger, et mattelais à préparer notre plateau repas. Carré de fromage, petits tomates cerises, saucisson, petits toasts au pâté, et au saumon, et pour finir raisin et chocolats. Henri, fut ravi de mon idée, et nous partageâmes ce modeste repas dans une ambiance très bon . Jétais heureuse, ici, avec lui, et je voyais bien quil est était de même pour lui.
Au moment daller au lit, fatigués tous les deux par notre riche journée de plaisirs, il me demanda si je voulais bien venir dormir avec lui dans son lit. Bien sûr jacceptais son invitation, contente de mendormir et de me réveiller auprès de lui. Combien de temps notre histoire aller durée, je nen savais rien, je voulais juste profiter du moment présent, seul lavenir nous le dira
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