Ah Ces Rugbymen - 7 -

Bonjour à tous, je suis désolé de ne pas avoir reprit l’écriture plus tôt, je n’ai pas
pu. J’espère que vous apprécierez la suite de mes « aventures » et vous préviens que
la majeure partie du récit résume ma vie sur plusieurs mois.
Merci à tous pour vos messages les gars, j’espère de tout cœur que je ne vous décevrai
pas !

Il est toujours important de flatter l’égo d’un homme, surtout du sien. Entre Lucas et
moi, cette année fut plutôt difficile, de tous points confondus.
À la fin de notre année de lycée, nous avions tous deux choisis des orientations de
tous points différentes. Alors que je partais étudier l’anglais à Bordeaux 3, lui
partait à Staps. Certes, les deux établissement sont géographiquement très proche,
mais mentalement très différents. Nous avons donc pris un T2, chacun sa chambre devant
nos parents, mais une seule pour nous deux.
Je voulais vraiment de tout cœur réussir mon année, de même que lui, mais le travail
perso en amont était donc très important. Même si nous habitions tous les deux, il se
passa un moment où nous avons désiré une chose, partir, ne plus jamais se revoir, puis
rester ami.
Les premiers mois nous vivions simplement le parfait amour. Je rentrais le
soir, travaillais tranquillement, partais faire mon footing, puis rentrais m’occuper
de l’appartement. Lucas arrivait, me serrait dans ses bras, puis nous partions la
plupart du temps dans un coït enflammé, où je le libérais par la suite lui permettant
de faire son travail (scolaire), pendant que je préparais le repas. J’aimais lui
faire plaisir, là n’est pas le problème, je lui avais même dit que je lui serai plus
ou moins soumis, mais le stress de la fac, mon amoureux à contenter, l’appart à gérer,
il est arrivé un moment où je n’en pouvais plus. De plus, certes sur accords communs
on taisait notre relation au public, mais ma confiance en Lucas commençait à baisser.


Staps est un endroit rempli de créatures de rêve, et Lucas avait toujours
tendance à flirter un peu trop avec tout le monde. Même en soirée il arrivait à plus
ou moins draguer ses comparses hétéros, l’égo c’est comme une bite, plus on le flatte,
plus il gonfle. Ma jalousie ne cessait d’augmenter, et Lucas en profitait pour me
taquiner. Je faisais tout pour me rassurer, pour me contenir, mais je n’y arrivais
plus. J’avais l’impression que mon amour pour Lucas diminuait, d’autant plus qu’il ne
me complimentait, qu’il ne me disait plus ces petits mots d’amour que j’aimais tant.
Même nos moments de tendresses n’étaient plus comme avant, j’avais l’impression de le
gêner, un simple baiser avait l’air trop demandé.
J’ai donc décidé de poser cartes sur table, de lui parler directement, de ce
que je pensais, ressentais, et lui ai dit qu’il valait mieux que l’on se sépare car
j’avais l’impression de le retenir. On vivait donc dans cet appartement comme deux
colocataires, comme si nous étions juste de simple connaissance, ce qui m’attristait
beaucoup, d’autant plus que je dormais dans notre ancien lit d’amour.
Pour Lucas, les choses semblaient se passer différemment car il avait l’air d’assumer
plus ses gouts, c’est comme ça qu’un de ses comparses venait très souvent à la maison.
La jalousie me rongeait, elle me tuait. La fin de l’année fut très longue car je me
retrouvais plus ou moins seul tout le temps, ayant privilégié ma vie de couple à mes
amis. Et lui, comment me remerciait-il ? En forniquant à côté de moi … On parlait
quand même tout les deux, on était « meilleur ami », j’avais donc droit à tous les
détails, mais je ne voulais pas rompre toute relation avec lui car au fond, je savais
que je l’aimais quand même. Mais le pire fut lorsque son petit ami se mit à venir plus
souvent, et à plus ou moins être dans la routine journalière.

Ce mec, je ne sais pas, ma jalousie me réconfortait en me disant qu’il n’était qu’une
pale réplique physique de moi. Pierre, aux cheveux noirs, les yeux bleus, style
hipster et skateur. Il était mignon, mais il était mou, c’était le chien de Lucas, il
lui accordait tout, remarque, qui suis-je pour juger ça …
Puis un jour, j’ai compris qu’il fallait que je fasse quelque chose, l’hiver
commençait, et je voulais retrouver mon Lucas pour cet été. Cette envie m’a prise
lorsque je les ai entendu un jour s’engueuler, Pierre voulait que Lucas lui prenne la
main dans la rue, l’amène au restaurant … Je connaissais Lucas, et s’il y avait une
chose à faire, c’était tout sauf ça, Lucas ne se fait pas dicter les choses, il les
fait lorsqu’il en a l’envie, qu’il se sent en confiance.
J’ai donc de mon côté augmenté mes rythmes de courses à pied, et puis, j’avais pris
cette carte d’accès aux sports, j’alternais donc chaque jours entre abdos, abdos
fessier, musculation, gym d’entretient, je voulais sculpter mon corps, pour Lucas. Et
le fruit de mon travail se voyait chaque semaine d’avantage.
Au printemps, je commençais donc à me balader en simple Pull-In dans l’appartement, je
manière à laisser apparaître mes formes. Je suis vraiment un connard, mais là où j’ai
été le plus horrible, c’est quand j’ai fais ça alors que Pierre était là. Puis,
voulant augmenter la cadence, j’ai pris la décision de m’acheter un JockStrap, cette
chose est une magnifique invention, mon petit cul était tout simplement à l’air libre,
je me suis fait percer la langue, et acheter une série de sextoys. Lorsque nous étions
que tous les deux dans l’appart, je faisais tout donc pour que Lucas voie mon
piercing, surtout lorsque la saison des glaces commença. Lorsque Lucas révisait dans
sa chambre, je pris l’habitude de commencer à jouer avec mes jouets, intensifiant bien
sûr les cris.
Et me dis que cela portait surement ses fruits, puisque je ne voyais
plus l’autre ****** de Pierre.
L’année universitaire allait prendre sa fin, je venais de passer mon dernier partiel,
et alors que je ne voulais rentrer à l’appart, je partis donc me promener du côté du
miroir d’eau et de la place de la Bourse. Je me résous ensuite à rentrer aux alentours
de 20h, la faim me gagnant, mais surtout l’envie de mater le petit cul de mon Lucas.
C’est une fois passé la porte que je crus me mettre à pleurer. J’arrivais, et toutes
les lumières étaient éteintes, le salon salle-à-manger seulement éclairé par la
lumière du jour et des bougies. Puis, Lucas pointa le bout de son nez.
-Ah, c’est toi, me dit-il.
-Oui, j’arrive mal peut-être ? Tu attends Pierre ou un autre ?
-Non c’est toi que j’attendais, dit-il avec un sourire sur ces lèvres, ce même sourire
qu’il avait lorsqu’on fit l’amour pour la première fois et qu’il me dit « je t’aime ».

Il s’avança vers moi, me prit la main, et me dirigea vers le canapé, où il s’assit à
côté de moi, avant de commencer sa tirade :
-Je sais que j’ai été le plus grand des connards, le plus abominable de tous.
Je suis un minable, un raté. J’avais la perfection devant les yeux, et je n’ai pas su
saisir la chance que j’avais. Je voulais tout, de suite, sans faire attention à toi.
Je voulais tous les avantages, en te laissant tous les inconvénients de notre vie à
deux. Tu me manque mon lapin, personne n’est aussi bien que toi, ton corps me manque,
ta voix me manque, mais pas que ça, tes câlins me manque, tes mots d’amour me manquent
… Je pensais que la routine m’attristait, mais pas autant que le fait de ne pas être
avec toi. Je suis mauvais à ça, et le gros connard que j’ai été et que je suis ne
pourras jamais rattr ce que je t’ai fait subir … En plus te voir t’embellir comme
ça, déjà que tu étais magnifique à mes yeux mais alors là … Te voir te balader torse
nu à côté de moi, sans pouvoir te toucher, t’entendre jouer tout seul sans pouvoir te
rejoindre.
Je t’aime Tom, JE T’AIME bordel, excuse moi d’avoir été le pire des cons,
dit-il en pleurant.
-Moi aussi j’ai été con, de ne pas t’avoir fait confiance, te t’avoir fait
chier pour un rien, d’avoir été capricieux. Je savais qu’on allait être séparé, qu’on
ne se verrait que le soir, qu’on s’était dit que nos études passeraient avant tout …
Et je tiens à m’excuser d’avoir fait la pute quand ton mec était là aussi …
-Le seul reproche que tu peux te faire c’est de ne pas m’avoir assez chauffé.
C’était une chance d’être avec toi, tu es une personne fantastique, belle et
intelligente qui plus est. Je ne ressentais rien pour Pierre, je voulais juste te
faire chier, comme le débile que je suis. Et là où j’ai été surement le plus affreux,
c’est quand je t’ai demandé qu’on soit ami …
-Alors qu’est-ce qu’on fait ? Lui demandai-je
-Je ne sais pas, pour le moment j’ai envie de te faire gouter ce repas que je
t’ai préparé pour me faire pardonner.
-Moi pour le moment j’ai envie de récupérer ce qui m’appartient !

Je me jetais littéralement sur la bouche de mon Lucas, qui m’avait tant manqué. Je lui
déposai un simple baiser sur ses lèvres pour commencer, puis, le deuxième se fit plus
langoureux, le troisième, sa lèvre inférieure était mienne. Afin de reprendre le
contrôle de mes territoires perdus, je défis la chemise de mon amoureux, tout en
gardant l’exclusivité de ses lèvres. Il était censé se faire pardonner, mais j’avais
trop envie de baiser, le temps commençait à se faire sentir, le plastic est certes
fantastique, mais il a ses limites. Alors que j’allongeais Lucas sur le canapé, mes
baisers descendirent petit à petit, pour rester un moment sur ses tétons. En petite
vengeance, j’y mis plus de dents que de langue, le pauvre, mes succions prirent le
chemin de ses abdos, chacun avait le droit à une faveur, et mon visage arriva enfin
devant cette chose qui me rendait fou.
J’abaissai sa braguette, ouvrant son jean skinny slim, me laissant face à mon due, je
commençai donc à l’embrasser à travers le tissu, respirant ce parfum qui m’avait tant
manqué. Je ne pouvais m’empêcher de frotter mon visage à son chibre protégé par ce
beau caleçon de lycra. Je pris quand même la résolution de le libérer, j’en avais
l’eau à la bouche. Ce beau pénis dans mon champ de vision, j’étais maintenant
incontrôlable, me jetant dessus comme si c’était la dernière denrée non périssable sur
Terre. J’allais enfin pouvoir découvrir l’action d’un piercing sur une queue. Je
m’affairai donc pour commencer à des succions de son gland, alternant avec des gorges
profondes. Je descendais ensuite vers ses boules, les léchant allègrement, les
aspirant, - le fait d’être à côté avec lui me plaisait, le fait de savoir que j’étais
avec et à lui me comblait. Je réalisais que de faire l’amour avec des sentiments
était bien plus jouissant.
Lucas me releva et redirigea mon visage contre le sien, tout en ramenant mes jambes
autour de son bassin. Puis, il me souleva, et porta jusque dans la chambre, où il me
déposa sur le lit, afin de défaire mes vêtements, qui étaient maintenant devenus
futiles. Puis il reprit possession de ce corps, mon corps, qui était sien, et que je
lui offrais. Et il entama ce qui pour le moment restera la meilleure fellation de
toute ma vie, en même temps, seuls les mecs savent sucer !
Je ne sais pas comment, mais il arrivait à me stimuler tout en même temps, ma queue,
mes boules, mes tétons, le périnée. Il finit par sucer à une vitesse incroyable mon
gland, frottant sa langue sur mon frein, une main titillant mon téton, et l’autre
tenant mes boules. La coulée de foutre qui s’en suivie n’en fut pas des moindres. Une
impression que cette éjaculation ne s’arrêterait jamais. Il me fit l’honneur de tout
avaler, et conclu par un « Je t’aime ».

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