Se Soumettre À L'Impensable.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Icare sest brulé les ailes à vouloir approcher le soleil de trop près !
Mais les catabatiques (descentes aux enfers) sont toutes aussi dangereuses
Nous cherchions ma tendre et moi, à ouvrir notre sexualité sur dautres plans
dautres horizons, plus libérés, plus grivois et plus débridés.
Nétant pas géographiquement proches lun de lautre, bien quamant depuis quelques temps, nous avons convenu de batifoler sur des sites à la recherche dun amant qui voudrait bien nous initier au joies de ce quil est convenu dappeler le « libertinage ».
Je ne mis pas longtemps à recevoir plein de courriers dhommes qui désiraient nous aider à nous engager sur cette voie.
Madame, voulait essayer avec un black et je ny voyais pas dinconvénient. Nous nous tenions informés des contacts que je pouvais avoir mais aucun dentre eux, ne lui plaisait.
Un jour pourtant, je reçu un message dun homme, un black, répondant au pseudo « dAnatole ».
Il semblait très intéressé de pouvoir être le premier pour nous initier.
Il se disait dominateur et au fil des conversations, semblait en effet connaître son affaire dans le domaine.
Par courrier, nous nous étions décris les uns les autres et après avoir pris des photos de nos ébats sur sa demande et les lui avoir envoyées, il se déclara très content et satisfait de nous voir si bien engagés sur le chemin que nous avions choisi.
Il se montrait plutôt directif, même par courrier et nous demandait de sadresser à lui en disant « Maître».
Jétais assez confiant, et déjà, je jouais le jeu de la soumission, mais ma tendre maîtresse, semblait beaucoup plus circonspecte à son endroit car elle sentait quil voulait plus assouvir ses envies que de nous conduire sur les voies dun plaisir partagé.
Je téléphonais à Anatole pour essayer de sentir si ma tendre amante avait raison ou si cétait juste une méfiance excessive à légard de notre contact ?
Le contact téléphonique ne donna rien de bien concret et je ne parvins pas à discerner le vrai du faux.
Nous continuions de correspondre et un jour, il me proposa de passer me voir.
Commercial de son état, il passait régulièrement en région Parisienne. Je me trouvais un peu pris au dépourvu. Devant son insistance pour juste prendre un café, je nai pas su refuser et je lui ai indiqué mon adresse.
Jétais sur MSN avec ma belle et nous parlions depuis le matin lorsquil arriva.
Je lui fis un café et il en profita pour se mettre au clavier
sans que ne puisse intervenir.
Lorsque je revins et que je men aperçu, il mit un doigt sur sa bouche, me signifiant de ne rien dire.
Il se mit à parler avec ma maitresse de cur en se faisant passer pour moi. Ils parlaient tout les deux dAnatole comme dune troisième personne qui aurait été absente.
Au bout dun moment, il brouilla les pistes et fini par dire qui il était.
Elle fut très surprise, mais continua tout de même à discuter avec lui. Javais un peu mal au dos à lire cette correspondance de travers et décidais de prendre un tabouret pour masseoir prés de Lui.
Sans plus de cérémonie, il me dit
-« Non, viens plus près, mets toi à genoux à côté de moi ».
Je ne sais pas si cest son assurance, son charisme ou la façon douce de parler, mais je me surpris moi même à faire ce quil mavait demandé.
Le dialogue quil entretenait avec ma tendre , était de plus en plus chaud. Elle semblait se livrer peu à peu, à utiliser des mots crus, ce quelle ne faisait pas et à progressivement lappeler « Maître ».
Nous baignions petit à petit dans une espèce dambiance de douce soumission.
-« Ca a lair de texciter tout ce quon dit
Je me trompe ? » me dit-il.
-« Ben oui, cest assez excitant javoues. »
-« Mets toi à laise et sors ta queue pour te branler si tu veux. »
-« Heu
. Non, je préfère pas merci. »
-« Allez fais pas ta chochotte branles toi devant moi, jai envie de te voir faire »
En disant cela, il sétait dégrafé exhibant un sexe de très belle taille et commença à faire coulisser sa main dessus.
-« Allez fais comme moi »
Je ne savais plus quoi faire et
je me suis mis à laise pour faire comme lui.
Il me laissa reprendre la discussion avec ma belle en insistant pour que je lui dise ce que nous faisions.
Elle me demanda en retour de lui décrire la nudité dAnatole.
-« Il a de beaux pectoraux et un peu de ventre, mais il a un sexe impressionnant «
-« Tu crois que jaimerais ? » Me demanda t-elle .
-« Je sais que tu as envie dessayer avec un black et celui là est très bien fait »
Il se caressait toujours mais je pris la décision darrêter et de le laisser faire seul.
La journée savançait et nous dûmes mettre un terme à la conversation MSN. Nous restions entre nous avec Anatole. Il se mit à commenter notre dialogue écrit en disant :
-« Je crois que je vais adoré vous soumettre tous les deux. »
-«
»
-« Tu ne dis rien ? tu nes pas impatient de commencer toi ? »
-« Si, mais uniquement avec elle »
-« pardon ? tu nas rien oublié ? »
-« Oui, excuses moi, oui maître mais avec elle »
-« Ha bon ? Tu ne veux pas me donner un acompte ? »
-« Non je ny tiens pas »
-« Je ny tiens pas qui » reprit-il
-« Je ny tiens pas
Maître » ajoutais-je.
-« Bon, nous attendrons quelle soit présente, mais il faudra bien mobéir nest-ce pas soumis ? »
Jétais abasourdit de son ton mi doux, mi autoritaire et je ne pu répondre quun petit « Oui maître »
En baissant les yeux.
-« Oui maître je serais obéissant
REPETE !!! »
Trouble, je répétais :
-« oui maître, je serais obéissant »
-« Bien, bon jy vais. On se retrouve bientôt, je dois repasser la semaine prochaine. Tu moffriras un café cest daccord ? »
Jétais vraiment sonné et je ne pu que confirmer ce quil exigeait de moi :
-« oui maître, cest daccord je vous ferais un café »
-« Bien à la semaine prochaine mon petit soumis »
-« oui
maître ».
Il sortit, me laissant complètement bouleversé de ce qui venait de se passer en si peu de temps.
Moi, hétéro de toujours, jétais passé dans la peau du soumis en très très peu de temps.
Je ne men croyais absolument pas capable et voilà que lui disais « maître ».
La conversation sur MSN tournait autour de ce que nous devrions faire lorsque nous nous verrions
Tous les trois.
Il sagissait de lui obéir et nous plier à ses exigences sexuelles . Quil nous ferait découvrir les joies de sucer une queue noire et de la sentir en nous.
Pendant quil écrivait cela, assis à mon bureau, je maffolais en me disant que je ne savais même pas si jétais prêt à me soumettre et à lui complaire sexuellement.
Jattendis la semaine suivante avec une grande angoisse. Les conversations avec ma belle décrivaient mes angoisses, les siennes, les nôtres quoi.
Ce qui me paru le plus bizarre fut quelle semblait avoir moins de craintes que moi désormais. Le fait davoir parlé avec Anatole, lavait plutôt rassuré
comme quoi
javais raison de parler de son charisme et de sa séductivité
ou de sa topissitude
Elle me disait que son envie dessayer avec Anatole, faisait son chemin et quelle y pensait de plus en plsu souvent. Elle rajoutait quelle voulait être soumise mais na pas aller trop loin quand même.
Anatole ne téléphona pas de la semaine. Juste un message, un SMS :
« A demain, je ne pourrais sans doute pas rester longtemps »
« OUF » me suis-je dis, me voilà quand même pas mal rassuré du coup.
Le lendemain, alors que je parlais avec ma belle sur MSN, il frappa à ma porte comme convenu. Jouvris et restais bouche bée.
IL NETAIT PAS SEUL !!!
Il me présenta André son cousin qui laccompagnait dans sa tournée puisquil devait se faire embaucher
Dans la même boite.
Je préparais le café et Anatole se remit au clavier encore une fois sans rien me demander.
Japportais le café à André dans la salle à manger et à Anatole dans ma chambre.
Il était en train de dire à ma tendre quil avait bien hâte de nous avoir comme soumis et de nous initier.
Je voyais ma belle répondre « Oui, nous aussi MAÎTRE »
!!!
Il ne lui avait rien demandé de dire et elle acceptait dentrée de lui dire « Maître ». Jétais sur le cul littéralement.
Il lui disait quil attendait impatiemment que nous le sucions ensemble en même temps et alternativement.
La réponse de ma tendre maîtresse me surprit au delà des mots :
« Ok si tu le suce aussi. »
QUOI ?????????? jétais en plein délire, je nen croyais pas mes yeux !!!
Dautant quil répondit rapidement : »OK »
-« Si tu le fais maintenant, je serais ta soumise »
NON MAIS CEST PAS POSSIBLE ???????
Il répondait calmement : « daccord »
WHAT THE FUCK ?????? Ils étaient en train de tout décider en ma présence, mais sans mon consentement je nen revenais VRAIMENT pas !
Il se leva et me dis : « assied toi ! »
Je ne savais quelle contenance adopter et
je massis !
Il se mit à déboutonner mon jean et me pris la queue en main !!!
Moi qui navais jamais été « pris-en-main » par un autre que moi même, je ne pouvais plus réagir.
Il pencha la tête vers mon ventre et je sentis la chaleur de sa bouche sur mon nud et la danse de sa langue sur mon gland.
Ma tendre mécrivit : » Alors ? il le fait ??? «
-« oui » Cest tout ce que jétais en état de répondre.
Je navais jamais été sucé par un mec et ma bitte mit un certain temps avant de réagir favorablement.
Pourtant lentement, mon corps réagissait et je me laissait doucement aller à cette caresse inattendue
Javais du mal à y voir clair, je pensais à André dans la pièce dà côté
Ma tête tourbillonnait et je ne savais plus où jétais.
Sur lécran, je vis un message de ma belle :
-« Alors il te suce bien ? tu aimes ? cest mieux quavec moi ? »
Je nageais en plein surréalisme
Je trouvais lénergie de lui répondre :
-« oui, moyen, non »
Il sarrêta et se releva :
-« Voilà » me dit-il « tu peux te finir tout seul si tu veux. Allez, pousse toi »
Il repris ma place et écrivit :
-« Je lai fait, il te la confirmé non ? »
-« oui tu las fais jouir ? »
-« Non, il va se terminer tout seul, mais jai fais ma part. Donc maintenant, tu acceptes dêtre ma soumise comme jen ai envie nest-ce pas ? »
-« Attendez « maître » rien nest dit pas si vite, jaimerais bien quon se voit un peu avant ! »
-« Ce nétait pas du tout le deal il me semble
Je devais sucer ton mec, ce que jai fait, alors tu dois être à moi maintenant. »
-« Voyons nous avant daller plus loin »
Elle ne lappelait plus «maître ou alors elle y mettait des guillemets et en plus, elle revenait sur sa parole, je sentais très bien quAnatole nappréciait que très moyennement la plaisanterie.
Le malaise sinstalla très rapidement et il se leva apparemment calme mais contrarié.
Je repris le clavier pour lui dire ce qui se passait et comment notre hôte était contrarié.
-« Ca lui passera, il exagère et il exige trop et trop vite. Sil ne calme pas, je préfère quon cherche ailleurs. »
-« Ok mais je lui dis ça comment moi maintenant ? »
-« Ben comme ça, que sil ne se calme pas, nous irons chercher quelquun dautre. Bon je dois aller chercher les s à lécole je te dis à demain mon amour je taime. »
Clic
déconnectée
Je le sentais moyen.
Jéteignis lordi et retournais dans la salle à manger où Anatole et André avaient la mine des mauvais jours et discutaient à voix basse.
Je proposais un autre café et une cigarette puisquAndré sétait plaint de ne plus en avoir.
-« Ok pour le café » répondit Anatole « mais pour le moment je préfèrerais une pipe à une cigarette. »
Hé merde, nous y voilà
Je savais que javais raison de le sentir moyen
-« Ecoute il faut se calmer Anatole, ma tendre me disait que tu demandais beaucoup et de façon un peu trop pressée . Elle a besoin de plus de temps pour être en confiance »
-« Nous avions un deal et je crois quelle na pas lintention de le respecter.
-« Si, elle va le respecter, mais il faut un peu plus de temps voilà tout. »
-« Je nen suis pas si sur
«
-« Mais si ne tinquiètes pas et donnes lui plus de temps pour se faire à lidée. »
-« Je veux bien essayer de vous faire confiance, mais il me faudrait quand même quelques garanties «
-« Comment ça ? Quelles garanties ? »
Il se leva et me demanda de le suivre dans la chambre ce qui me soulagea car je naimais pas tellement la présence dAndré, parce que jignorais ce quil savait et ce quil venait faire là surtout
Arrivés dans la chambre, Anatole me dit à nouveau :
-« Je naime pas quon manque à sa parole et je crois que cest ce que ta belle est en train de faire. Je voudrais que nous procédions à un échange de bons procédés. Ok ? »
-« Comment ça ? »-« Que toi aussi tu me suce il me semble que cest quand même le moins que tu puisses faire pour massurer que nous sommes toujours en phase
nous le sommes toujours ? »
-« Oui, bien sur. »
-« Bien sur qui ? » »
-«
»
-Bien sur MAÏTRE !!! »
-« oui désolé
bien sur Maître »
-« Tu as toujours envie dêtre soumis non ? »
-« Oui
Maître »
-« Parfait alors mets toi dans la position du soumis qui veut plaire à son maître »
-« heu
. Cest à dire ? »
-« Cest à dire A GENOUX !!! »
Je ne savais plus trop où jen étais, je ne comprenais pas cette histoire de garantie. Jhésitais à lui complaire lorsquil me mit la main sur lépaule et pesa pour que je magenouille.
Il me guidait et je me laissais faire sans trop réagir et je me retrouvais à genoux devant lui. Devant mon inaction, il se déboutonna, baissa son jean et descendit son caleçon.
Je me retrouvais à quelques centimètres de son sexe encore au repos. Il me prit sous le menton et me regarda intensément :
-« Tu sais ce que tu dois faire? »
-« Heuuuuuu je nai jamais sucé personne
Maître »
-« Tu vas passer ta langue sur le bout de ma queue pour la faire grossir et pour quelle se redresse. ALLEZ ! »
Je sortis timidement un bout de langue que je passais sur le prépuce, ma tête tournait. La situation, lodeur un peu âcre, lépaisseur de sa bitte, son regard qui me semblait peser sur ma nuque.
Jétais à genoux et je passais une langue hésitante sur ce sexe qui commençait à réagir, à vibrer et à grossir. La bite passât à lhorizontale et effleurait mes lèvres. Je ne voulais pas le prendre en bouche. Je me retrouvais dans une posture de soumission, mais je ne voulais pas craquer et tentais de me dire que je maîtrisais toujours les choses
Je me trompais de beaucoup bien entendu
Javais perdu tout espoir de contrôler quoique ce fut dés lors que je lavais appelé « Maître »
-« Tu vois comme tu me fais réagir soumis ? »
Je ne répondit pas .
-« Tu vois, DIS ? » dit-il alors que sa verge passait au dessus de la ligne de mon nez
exhalant au passage, des fragrances fortes.
-« Oui, Maître, je vois »
-« Bien pose tes lèvres sur mon gland. Embrasse le. »
Je déposais un tout petit baiser sur son sexe circoncit.
-« met tes lèvres sur le gland et ne bouge plus . »
Je fis ce quil me demandait.
-« Regarde moi dans les yeux, voilà cest bien . »
Il passa une main derrière ma nuque et durcit son regard en me disant :
-« bien maintenant, ouvre la bouche et reçois la bitte de ton maître ! »
Je fermais les yeux en ouvrant la bouche et sentis immédiatement ce sexe entrer dans ma cavité buccale.
-« OUVRE LES YEUX SOUMIS ! » dit-il dune voix forte.
Jouvris les yeux à contre-cur.
-« REGARDE MOI !!! »
Je levais les yeux vers lui et vis sur son visage lexpression de la satisfaction quun grand sourire soulignait.
-« Cest bien, ta bouche est à moi, petit soumis nest-ce pas ? »
-« heuuuuuuu
oui
. »
-« OUI QUI ??? »
-« heu
Oui Maître . »
-« Cest bien allez maintenant suce moi sans les mains mets les dans le dos. »
Jobtempérais et repris sa bitte dans ma bouche. La texture était étonnamment douce et soyeuse, Je me surpris à trouver cette sensation agréable.
Si je mattendais
moi qui navais jusquà ce jour, jamais envisagé de sucer REELLEMENT une queue
et voilà que cette situation de soumission, me faisait apprécier de le faire finalement. Jétais dans un état second, au point que je nentendis pas André ouvrir la porte.
Je suçais avec application sans me rendre compte quen plus on me regardait faire.
-« Alors, tu vois, cest pas si terrible que ça hein ? Et tu as lair daimer ça non ? »
-« Heu
non Maître, enfin, cest bizarre quand même »
-« COMMENT CA NON ? »
-« Je voulais dire, non, cest pas si terrible que ça Maître »
-« Et tu aimes bien non ? »
-«
Cest la première fois vous savez
»
-« Vous savez MAÏTRE tu napprends pas vite ! Tu aimes ? dis le moi que tu aimes sucer ton maître »
-« heuuuuu oui, jaime bien vous sucer
Maître »
-« Ta bouche est à moi nest-ce pas ? »
-« Heuuuu
oui
. Maître »
-« Oui quoi ? «
-«
. Ma bouche est à vous Maître »
-« Bien, ferme les yeux »
Je mexécutais et je sentis quil se retirait de ma bouche, javais toujours les mains dans le dos
Jentendais quil bougeais et je me demandais ce qui se passait et ce quil avait en tête, lorsque
Je sentis de nouveau ses mains derrière ma nuque qui mattiraient de nouveau vers son ventre.
-« Ouvre la bouche soumis »
Jouvris ma bouche pour le recevoir de nouveau. Il poussa un peu plus loin sa bitte, jeus un hoquet et voulu me retirer
-« Reste comme ça et garde les yeux clos . Agite ta langue, fais la tourner autour de mon gland. Voilà, cest bien continue »
Je faisais ce quil me demandait et faisais tourner ma langue sur son gland, parfois, je mattardais sur le frein ou le début de la tige. Il continuait de me guider, de sa voix chaude et autoritaire. :
-« Garde la dans la bouche. Tu vas ouvrir les yeux et me fixer quand je te le dirais ok ? »
Je fis oui de la tête continuant à le sucer. Au bout dun moment qui me paru interminable, il me dit :
-« Ouvre les yeux et regarde moi. »
Jouvris les yeux et les levais vers lui pour croiser le regard
DANDRE!!!????!!!??!!!
Je voulu me retirer, mais André me maintenait la tête et minterdisait tout mouvement de recul. Contraint, je continuais davoir sa bitte dans la bouche. Il me faisait aller et venir dessus sur un rythme quil mimposait. Paniqué, je cherchait Anatole du regard et je vis horrifié, quil était en train de me filmer, en train de sucer, les yeux affolés, avec son portable !!!!
-« Ne bouge pas comme ça, tu mas dis que ta bouche était à moi, jai donc bien le droit de la prêter un peu à mon cousin André non ?
-« Mmmmmmmm hon he heux ha »
-« Pardon ? on comprend rien de ce que tu dis. »
André relâcha sa prise sur mon cou et je me retirais enfin.
-« Non, je ne veux pas, cétait pas prévu ça !!! »
-« Allez ne fais pas tant de manière, et reprend ton travail de soumis »
André appuyait de nouveau sur ma nuque.
-« NON JE NE VEUX PAS !!! »
-« Ha non ? Tu préfères que jenvoies cette vidéo aux adresses de ton répertoire ? »
Je paniquais sérieusement en imaginant ma famille, mes amis en train de recevoir cette vidéo
.
Je flippais comme jamais !!!
-« NON !!!! ne faites pas ça ççç »
-« Ne faites pas ça qui ??? »
-« Ne faites pas ça
Maître !!!! »
-« haaaaaaaa ok donc, je suis toujours ton maître non ? »
Jétais piégé de toutes façons.
-« oui, vous êtes toujours mon Maître »
-« Parfait, alors recommence à sucer André et regarde le dans les yeux. »
-« Allez soumis redonne moi ta bouche » Me dit André
Je me sentis soudain remplit dune grande tristesse et après un profond soupir, je rouvris ma bouche et repris la bitte dAndré pendant quAnatole me filmait en commentant :
-« Cest bien mon soumis, lèche le bien, voilà sors ta langue, parfait !!! Regardes moi, voilà, comme ça cest bien !!! »
Après un long moment, il reprit la parole, en disant :
-« Bon, André va sur le lit, et toi, déshabille toi »
-« NON PAS CA , Sil vous plait, Maître, pas ça, je ferais ce que vous voulez mais pas ça !!! »
Il continuait à filmer la scène.
-« Ok, tu feras tout pour maider à soumettre ta maîtresse la prochaine fois tu es daccord ? »
Je ne voyais plus dissues, et me résignais par peur et par lâcheté :
-« Oui, Maître, je vous aiderais à la soumettre »
-« Et je pourrais passer quand je voudrais pour me faire sucer ? »
-« Oui Maître »
-« Parfait alors
FOUS TOI A POIL IMMEDIATEMENT !!!! »
-« Mais, je croyais
»
-« HE BEN TU CROYAIS MAL !!! A POIL JAI DIT !!! Je sais que tu vas faire tout ce que je veux et tu vas commencer tout de suite en te soumettant complètement à mon cousin et à moi tas compris ? »
-« Mais Maître pourquoi vous
»
-« Parce que justement, je suis le maître et que tu es mon soumis. A POIL !!! »
André me fila une gifle magistrale.
-« Fais ce quon te dis crétin fous toi à poil !!! »
Jétais sonné et je me vis agir comme dans un brouillard bourdonnant les tempes battantes, le souffle court. Jenlevais mes vêtements un à un. Lorsque je fus nu, André, mattrapa la tête et me ramena vers sa bitte. Jétais allongé sur le ventre et je repris ma fellation en me mettant sur les coudes.
Jentendis Anatole se déshabiller et le revis dans mon champs de vision avec sa bitte droite, arriver à genoux à côté de son cousin. André, se retira de ma bouche et se plaça à genoux lui aussi.
-« Allez soumis, mets toi en levrette et suce nous ! »
Jobtempérais servilement. Je repris la bitte dAndré dans ma bouche après quil mait de nouveau mis les mains derrière la nuque. Ils présentaient leurs bittes à mes lèvres alternativement et complaisamment, je les prenais tour à tour dans ma bouche. Ils faisaient des commentaires, me guidaient , mindiquant comment leur plaire :
-« Cest bien soumis, mets ta langue sous le gland, voilà, très bien, tu ty prends de mieux en mieux.
Cest bien ma salope ! »
-« Je trouve quelle devient gourmande notre salope ! »
Comment ça « notre salope » ??? Jétais éberlué ils me traitaient de salope, de soumise pendant que je les suçais. Jarrêtais, les regardais et leur dis :
-« Arrêter de me traiter de salope, vous me forcer à me soumettre, mais je ne suis pas une fille »
-« Ha non ? et tu préfères quoi ? Continuer à nous sucer en te laissant traiter comme ce que tu es en train de devenir, « une salope soumise », ou bien tu préfères quon envoies un post à tes contacts ? »
-« Non, sil vous plait, pas le post. »
-« Dis moi ce que tu préfère dans ce cas. »
-« Je préfère vous sucer. »
-« En te laissant traiter comme une salope soumise que tu es ? »
-« Oui maître »
-« Hé ben, mais dis le !!! »
-« Je préfère vous sucer en me faisant traiter de salope soumise
Maître »
Ma « préférence venait dêtre enregistrée en direct sur le portable
je me sentais absolument pris au piège.
-« Allez ma belle salives bien sur nos queues
Tu as du gel annal ? «
-« Non Maître »
-« Alors bave bien, sinon, tu vas le sentir vraiment passer.
Jeus les larmes qui me montèrent aux yeux. Je me retrouvais à les sucer pour quils puissent mieux me coulisser dedans !!! Jy mettais même beaucoup de bonne volonté
Je savais que je néchapperais plus à une soumission totale et que je devrais serrer les dents car ils nauraient aucune pitié pour leur « salope soumise »
Au bout dun moment, Anatole se retira de ma bouche et fit le tour du lit. Je sentis le matelas, saffaisser lorsquil remonta sur le lit. André, mavait repris la tête et enfouis sa bitte dans la bouche. Je sentis les doigts dAnatole écarter mes fesses, je paniquais complètement. Il passa un doigt enduit de salive sur mon anus qui se contractait comme pour empêcher linéluctable
Peu après, je sentais, son gland se poser sur ma corolle encore vierge pour quelques secondes. Il poussa dabord doucement et je sentis mon cul souvrir difficilement. La douleur était vive et encore superficielle. Soudain, il sarc-boutta et pesa de tout son poids. Mon trou souvrit brutalement en cédant sous lénorme pression
Cette fois-ci, la douleur fut dune intensité inconnue jusque là.
Jouvris la bouche pour hurler. André, en profita pour pousser un peu plus sa bitte dans ma bouche. Jeus un hoquet décoeurement en plus de cette grande douleur annale.
-« Voilà, elle souvre des deux côté tas vu ça André ? »
-« Oui, je vois, elle mavale mieux maintenant cette salope. »
Je tentais vainement de retirer ma bouche mais André, voulait, lui aussi mimposer sa présence et ne relâchât pas sa pression. Pendant ce temps ; Anatole, arrivait au fond de mon cul asservit.
-« Te voilà complètement enculée ma salope !!! »
-« MMMMMMMMMM HHHAAAAAAAAA !!!! »
-« André, laisse lui dire quelle aime ça notre salope »
André relâchât ma tête et je pus respirer enfin normalement.
-« Alors petite salope soumise tu me sens bien ? tu sens que tu es une petite enculée ? »
Je pleurais de douleur mais parvins à articuler :
-« Oui je me sens bien enculé »
-« Et dis moi, à qui appartient ton cul maintenant ma salope ? »
-« AÏE !!! A vous Maître
à vous !!!! » dis-je en meffondrant moralement. Je pleurais de plus en plus .
-« Allez cest pas si terrible dautant que je nai pas encore bouger
Tu veux faire plaisir à ton Maître ?»
-« Oui Maître »
Javais peur de ce quil allait me demander
-« Tu vas reprendre ta pipe sur la bitte dAndré, en allant bien jusquau bout de la gorge et puis tu vas bien ouvrir tes fesses avec les mains
ALLEZ » Me dit-il en me claquant brutalement les fesses.
Jouvris les fesses avec mes mains et repris la bitte dAndré dans la bouche et presque jusquà ma gorge.
Anatole me pris par les hanches et recula doucement
Javais limpression dêtre perforé et que jamais mon cul nallait se refermer. Limpression de me vider ou de me retourner
comme une chaussette. Je me sentais vulnérable et de plus en plus soumis à leur entière volonté.
Anatole, se remis à avancer en moi, la douleur reprit plus vive encore, je hurlais sur la bitte que javais en bouche. Le rythme se fit de plus en plus rapide et je me retrouvais ballotté. Il mempalait de plus en plus vite et je nen pouvais plus. Dautant quAndré, me mettais parfois son sexe au fond de la gorge.
Je nai aucune idée du temps pendant lequel je me suis retrouvé avec Anatole au fond des reins, mais ça ma paru interminable
Je savais que de toute façon, André allait, lui aussi réclamer son du et que je devrais subir une seconde pénétration.
Anatole sest retiré en même temps quAndré, je me suis écroulé sur le lit en respirant difficilement, javais limpression dêtre absolument exténué.
André, me mis une grande claque sur les fesses :
-« En position ma soumise
. Il y a un deuxième round
»
HO NON PAS ENCORE CETTE DOULEUR !!!!
Comme je my attendais, ils neurent aucune pitié. Anatole me présenta sa queue toujours recouverte du préservatif (ouf il en avait mis un) et me dis :
-« Allez nettoies moi tout ça !!! »
Je le regardais, les yeux toujours plein de larmes
Jallais devoir aller au bout de mon calvaire ;..
Jessayais de le fléchjr, en lui demandant « pitié » avec les yeux, mais il me repris la tête et calmement il ajouta :
-« Allez, fais ton devoir salope !!! »
Je soupirais, et ouvrit la bouche pour laccueillir et le sucer. Quand il jugea que javais fais mon devoir, il retira le préservatif, avant de me remettre sa bitte dans la bouche en mattrapant la tête de ses deux mains pour mimposer son rythme.
Pendant, ce temps ;je sentis les mains dAndré sur mes hanches et lentendis plaisanter :
-« Dis donc, cousin, elle a le cul bien ouvert la salope
tu las bien démonté
je vais pas la louper non plus !!! »
-« Allez, maintenant, tu vas tenculer toute seule ma belle salope. ALLEZ !!! »
-« Ca fait trop mal
» dis le souffle toujours court.
-« Jmen fous, Tu préfères un peu de publicité ou tu préfères le faire toute seule comme une grande ? »
En disant ça, il brandissait son portable
-« Non, Maître, arrêtez de me filmer sil vous plait !!! »
-« ALORS ? TU PREFERES QUOI ? »
-« Je préfère le faire tout seul
Maître »
-« REDIS le salope tu tes trompée daccord !!!.... André Bourre la bien cette petite salope pour lui rafraichir la mémoire »
André senfonçât brutalement en moi trois ou quatre fois de suite, puis il sarrêta, me laissant sans voix face à cette nouvelle douleur . Lorsquelle satténua légèrement Anatole repris :
-« Tu disais ma belle ? »
-« Je préfère menculer toute seule comme une grande Maître »
-« Hé ben, tu vois quand tu veux ? »
-« Et tu es quoi maintenant ?» Repris André qui recommençais à me bouger les hanches,
-« Je suis votre salope soumise »
-« HE BEN VOILA !!!! » dirent-ils en chur.
Obéissant servilement, jai commencé à aller et venir sur cette queue plantée en moi, le plus lentement possible. André me claqua violemment les fesses et me dis :
-« Plus vite ma salope !!! »
Jaccélérais comme il me limposait pendant que je prenais la bitte dAnatole au fond de ma bouche
Le rythme quil imprimait à ma bouche était de plus en plus rapide, et je savais ce qui allait se passer
André, me repris les hanches et se mit à aller et venir de plus en plus vite, la douleur diminuait un peu, sauf quand il allait trop loin en moi. Dans ces moments là, je criais comme je pouvais la bouche toujours encombrée de cet énorme gland mafflu
Je sentis les mains DAndré se crisper sur mes hanches et je savais quil allait jouir en moi
Les mains dAnatole me tenaient fermement et je savais que je ne pourrais échapper à aucune des deux éjaculations
Jétais sur également quAnatole ne me lâcherait pas et quil mobligerait à avaler tout son foutre
Mes deux prévisions savérèrent justes je sentis les spasmes de la queue dAndré dans mon cul et le bouillonnement de celle dAnatole dans ma bouche
Il ne me laissât pas le loisir de résister, maintenant ma tête contre son ventre et ajoutant :
-« Avales tout ma salope soumise, fait plaisir à ton maître. »
Javalais la semence qui emplissait ma bouche en métouffant à moitié.
Anatole me flatta la nuque en disant :
-« Cest bien ma salope maintenant tu es entièrement à moi nest-ce pas ? »
Je reprenais mon souffle péniblement et eus de la peine à articuler :
-« oui Maître, je vous appartiens entièrement »
-« Cest bien. Bon, on va pas tarder. La prochaine fois que tu vois ta maîtresse, tu menvoies le numéro de la chambre et le code daccès ok ? Tu lui proposera un scénario où tu lattache les yeux bandés. On se chargera du reste. Tu as bien compris salope ? »
-« Oui Maître jai bien compris »
-« Tu me donneras ta belle pour que jen fasse une bonne salope soumise
comme toi nest-ce pas ? »
-« Oui Maître, je vous la donnerez pour que vous en fassiez une salope soumise comme moi. »
-« Tu vois bien
bon allez à plus tard. Laisse ton téléphone ouvert et ne me déçois pas »
Ils partirent après sêtre rhabillés, me laissant exsangue et complètement groggy.
Je venais de vivre une VRAIE descente aux enfer et je savais que je nétais pas au bout de mes (nos) peines
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