Mon Voisin De Palier

Je vis dans un appartement au 6ème étage d’un immeuble haussmannien. Avec ascenseur. Il y a deux apparts sur le palier, le mien et la porte en face, c’est un couple assez sympa. On se croise, on se dit bonjour. Elle est ravissante, et lui plutôt sexy, un très beau cul, un beau sourire, un peu petit à mon goût, je préfère les hommes plus grands que moi, mais il est très costaud. Ils ont un bébé tout neuf, ils viennent d’aménager.
Il y a quelques semaines, je me retrouve sur le palier avec lui le matin. On attend l’ascenseur, on parle de tout et de rien, je le taquine un peu parce qu’il baille à s’en décrocher la mâchoire, il explique que le bébé pleure beaucoup… et qu’il dort peu. Quelques jours plus tard, même scénario, autre dialogue « Vous avez l’air moins fatigué, le bébé fait ses nuits ? » « Oui… enfin, non, mais sa maman dort avec lui dans une autre chambre » je ne peux pas me retenir « C’est sympa pour la vie de couple » il soupire « C’est sûr ! » et moi : « ça ne vous manque pas ? » il a l’air surpris par ma franchise et ma question directe, hésite puis répond « Si, je suis hyper frustré, j’aime ma femme mais ne plus faire l’amour depuis des mois… » Je saute sur l’occas « Si je peux faire quelque chose pour vous, n’hésitez pas. » et je me colle à lui en lui caressant le sexe à travers la toile de son jean. « Qu’est ce que vous…? » J’appuie sur le bouton STOP, me mets à genoux devant lui, déballe son membre déjà raide et l’enfourne dans ma bouche… quelques minutes plus tard, il a déjà giclé dans ma gorge, j’ai avalé son jus parfumé… Je débloque le STOP, l’ascenseur reprend sa course… Arrivé en bas, il est souriant, il me dévisage, stupéfait et heureux…. « Est-ce que… » « Oui, demain, même endroit, même heure ? » Il souffle « Oui. » Pendant plusieurs jours, nous nous retrouvons tous les matins dans l’ascenseur où je le suce. Il a une très belle queue pas très longue mais trapue, comme lui, elle me remplit la bouche complètement, et sa jute est très bonne, un peu sucrée.

Après une semaine de ce régime, il prend son temps pour gicler, cela dure plus longtemps, c’est délicieux et quand je sors dans la rue, je suis mouillée comme une chatte en chaleur. Je passe mes soirées à me masturber en pensant à lui, à sa bite… je me branle avec vibro ou gode, j’attends chaque matin avec impatience. Une semaine passe et je fais faire un double de mes clés. Le matin suivant, pas de pipe. Je lui donne les clés et, pendant que ma main s’active dans son pantalon, je lui explique ce que je veux. Je veux qu’il vienne chez moi dès qu’il le veut, dès qu’il le peut, et qu’il m’encule diret. Il part bosser avec ses couilles pleines et ma clé dans sa poche.
Le soir, je m’endors après une petite séance de vibro, chatte et cul en alternance, j’ai jouis mais de cette jouissance un peu frustrée que provoque la masturbation… J’aime tellement être surprise, prise par une force mâle, j’aime me sentir envahie par une chaleur palpitante… Donc, ce soir-là, je m’endors… et je suis réveillée par le bruit de la clé dans la serrure de mon appart…. Mon cœur accélère, j’ai l’entrejambe trempé en moins de deux… je dors à plat ventre, nue… je bouge un peu, et remonte les genoux vers ma poitrine, la tête toujours posée sur mon oreiller, quand il entre dans la chambre, je lui offre mon cul en l’air « allez, viens, encule-moi… » et quelques secondes plus tard, il enfonce deux doigts dans ma chatte pour récupérer mon jus, l’étale sur ma rondelle, pose son gland sur mon entrée serrée et pousse jusqu’à ce que mon cul s’ouvre et prenne sa queue entière… Je gémis de me sentir pénétrée aussi fort, sa queue est vraiment grosse… et je l’encourage… « Viens, prends-moi, défonce –moi. » « Je peux… ? » « Oui, prends tout ce que tu veux. » Et il se met à aller et venir, à élargir mon petit trou qui se dilate, la douleur du début fait place à un plaisir intense, il va et vient, ressors entièrement sa queue pour mieux s’enfoncer à nouveau, il accélère ses mouvements, je jouis violemment, bruyamment… puis je sens mon cul se remplir de jets brulants, un dernier coup de rein, il se retire et je lui murmure « Merci, à plus tard.
» La porte se referme derrière lui, je reste le cul en l’air, sa semence qui commence à couler entre mes fesses. Je bascule sur le coté… je finis par m’endormir, satisfaite. Le lendemain matin, petite pipe dans l’ascenseur.
Pendant plusieurs semaines, il vient quand il veut, il entre chez moi, m’encule, gicle et repars… Plusieurs fois le matin au réveil, le plus souvent la nuit quand je dors. Nous nous entendons à merveille, nous parlons peu mais suffisamment pour que je l’apprécie beaucoup. Les choses sont claires entre nous : il aime sa femme, je ne veux pas briser une famille, il satisfait mes désirs, je satisfais les siens. On ne fait rien d’autre que de baiser : fellations et sodomies.
Mon anniversaire arrive. Je lui en parle et lui propose de m’organiser une petite fête. « Tu as bien des collègues, des amis qui pourraient être intéressé par mon joli petit cul et ma bouche gourmande ? J’aimerai que tu m’organises un moment spécial, SM » Il hésite « je n’ai jamais fait çà », puis accepte. Le soir arrive, nous avons choisit un weekend où sa femme et le bébé sont dans la famille. Il vient dès que j’arrive du boulot le soir, me soulève la jupe, écarte ma culotte et me sodomise debout dans le couloir… puis il me conseille d’aller prendre une douche et prépare la tenue qu’il souhaite me voir porter, une combinaison toute simple en résille, ouverte sur mon sexe bien sûr et laissant aussi un accès direct à mes seins. Des cuissardes noires à talons de 10 cm… Il me demande de relever mes cheveux pour découvrir ma nuque. Quand je sors de la salle de bain, il m’attend avec un sac à coté de lui sur le lit. Il commence par me faire tourner sur place pour m’admirer puis il se place derrière moi, m’attache les bras dans le dos, chaque main au niveau du coude, avec un jeu de bracelets de cuir ; puis il écarte mes fesses et m’enfonce un plug dans l’anus. Je suis un peu surprise, pour quelqu’un qui ne connait rien… mais je ne suis pas à la fin de mes surprises. Il me fait faire un demi tour, sort du sac un accessoire métallique que j’ai à peine le temps de voir, il m’embrasse à pleine bouche (c’est la première fois !) et quand il se recule, il m’installe avec une agilité stupéfiante un écarteur de bouche ; c’est la première fois que je porte ce type d’accessoire et cela me flippe un peu, mais je lui fais confiance et, de toutes façons, c’est trop tard pour reculer.
Pour finir, il sort deux jeux de pinces de son sac à malice, pose le premier sur mes tétons, des pinces menottes qu’il serre au maximum, elles sont reliées par une chaîne, puis il pose le deuxième jeu sur mon sexe : la première pince sur la grande lèvre de gauche, la deuxième sur celle de droite, les deux pinces étant aussi reliées par une chaîne mais celle-ci passe autour de mes hanches et quand il tire dessus, mon sexe s’ouvre comme une fleur… Il fait quelques essais. Il a l’air content de lui. Je suis là, debout, offerte, soumise entièrement à ses fantasmes, l’excitation et la peur me font mouiller. Il m’explique qu’il a recruté des hommes sur un site de rencontre, il les a rencontré, leur a expliqué la situation et leur a expliqué ce qu’il attendait d’eux. Ils les a choisit plutôt séduisants, il sait que j’aime les beaux mecs, mais il a surtout guidé son casting sur leurs mensurations imposantes. Je ruiselle. La sonnette retenti, c’est parti ! Ils sont deux. Ils commencent par me reluquer en commentant « putain, elle est canon, tu l’avais dit, mais là… » « elle mouille déjà la cochonne » « dis donc, tu nous l’as bien préparée… » Mon voisin leur demande de faire un tour à la salle de bain, d’y laisser leurs vêtements. Quand ils ressortent tous les deux ont la queue dressée, deux gros morceaux. C’est sûr, ça va être ma fête !
Ils commencent par jouer avec moi, ils tournent autour de moi, l’un tirant sur la chaîne autour de ma taille pendant que l’autre admire la vue et en profite pour me doigter allègrement en tirant sur la chaîne reliant mes tétons, l’autre rejoint les doigts déjà dans ma fente et ils me branlent à deux, me soulevant quasiment du sol. Quand je jouis une première fois, ils ont l’air satisfaits de leur efficacité, mon voisin m’att par la nuque et me pousse à genoux, la bouche écartée, il s’enfonce en moi et me baise jusqu’à ce qu’il envoie la sauce, j’avale tout ce que je peux, j’ai à peine fini qu’un des mecs me pousse brutalement en levrette, retire le plug et m’encule sauvagement, je hurle de surprise et de douleur mais mon cri est vite étouffé par l’autre qui s’enfonce dans ma bouche… ils s’en donnent à cœur joie et j’ai l’impression que je suis une poupée gonflable, que crois m’évanouir quand celui qui m’encule tire d’un coup sec sur la chaine sur ma taille et écartèle mon sexe pendant qu’il me détruit le cul… Les deux giclent presque en même temps, le premier dans mon cul, le deuxième dans ma bouche… son sperme a un goût horrible et j’ai du mal à avaler… Je commence à avoir mal à la mâchoire, je ne sais pas si mon voisin s’en rend compte ou s’il (se) sent (que je suis) débordé(e) mais il me libère la bouche en expliquant que je suce mieux sans, puis il m’aide à me relever.
Mon cul dégouline de jute. Il donne des cravaches à chacun d’entre eux et ils commencent à me frapper… doucement d’abord, chacun s’occupe d’une zone : mon voisin de ma chatte qu’il n’a jamais prise, celui qui vient de m’enculer se place devant moi, att la chaîne et frappe mes seins en les tirant vers le haut, le bas, vers lui… le dernier lascar s’occupe de mes fesses dégoulinantes, les coups tombent en rythme, je couine et sursaute… mon voisin demande à celui qui est derrière moi de tirer sur la chaîne sur ma taille « vas-y, plus fort, oui, comme ça » j’ai la chatte écartelée, et les coups de cravaches me brulent le sexe, mon clito est gonflé, rouge… je supplie « non, non… » Mes larmes coulent et je tremble mais soudain une jouissance inconnue monte et me submerge, je hurle de plaisir… Ils se réjouissent « regarde comme elle prend son pied la salope… quelle chienne » « putain ça m’excite, je peux l’enculer ? » Il att ma nuque, me dirige vers mon lit et me couche dessus, genoux au sol. Il me sodomise avec un plaisir ouvert « il est vraiment bon ton cul ma belle, il s’est déjà resserré. Hum, je suis bien dedans, t’es une belle enculée p’tite salope » pendant qu’il me démonte le cul, mon voisin détache mes bras et viens s’assoir devant mon visage, jambes écartées, je me relève en appui sur les coudes et englouti immédiatement sa belle queue, je le suce au rythme des coups de boutoir entre mes reins, ma langue le titille, mes mains le guident, je caresse ses couilles, glisse un doigt dans son cul serré et le doigte pendant que je le pompe… le troisième est entre les deux et a attrapé mes seins, il les malaxe et joue avec, il tire sur les pinces accrochées à mes tétons, tellement fort qu’un téton se libère, meurtri, violacé, énorme, je pivote un peu sur le coté, il gobe mon sein, il tête ce téton gigantesque, et si sa langue adoucit la douleur, ses morsures sont des électrochocs ! La tête posée maintenant sous moi, je lui donne la tétée, il se branle en même temps et il est le premier à jouir dans ses mains, le sperme coule entre ses doigts, puis je sens les giclées dans mon cul, j’entends les râles du jouisseur… Quelques coups de tête plus tard, je retrouve le bon goût sucré de mon voisin, je n’en perds pas une goutte…
Couchée sur le lit, épuisée, repue, rassasiée, satisfaite, débordée… je ferme les yeux et reprends ma respiration, je souris. Les deux mecs reprennent leurs fringues et se rhabillent. Sur le pas de la porte, ils demandent « on pourrait remettre ça bientôt ? » Mon voisin répond « Non. Pas avant l’année prochaine, peut-être. Je garde vos numéros ».
Il me porte quasiment jusque dans la salle de bain, me douche, me savonne, dévisse le pommeau de la douche et glisse le jet puissant, d’abord dans ma chatte, puis dans mon petit trou totalement dilaté qui accepte ce petit tuyau sans mal, l’eau est tiède et bienfaisante… Il me sèche, je me glisse sous ma couette, il enlève le dessus de lit souillé de sperme… il se penche vers moi, m’embrasse dans le cou et chuchote « Bon anniversaire… »

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