Karen L'Amie De Ma Femme (Partie 1)
KAREN L'AMIE DE MA FEMME (partie 1)
Virginie vient d'avoir quarante-six ans. Seul son visage peut témoigner de son âge, car elle possède encore un corps de jeune femme. Elle pèse cinquante-quatre kg pour un mètre soixante-huit, ses seins qui étaient très petits et attachés très hauts lorsqu'elle avait dix-sept ans, sont toujours aussi orgueilleux et bien fermes, bien qu'ils soient maintenant plus volumineux et lourds, ce qui ajoute à son charme naturel. Elle taille un bon 90c ce qui sous un pull-over moulant lui donne des allures de Sophia Loren. Son ventre sest quelque peu bombé, mais ses cuisses et ses jambes sont superbes. Beaucoup d'hommes se retournent dans la rue en voyant sa silhouette élancée et racée. Ses cheveux coupés mi-court sont de couleur auburn, elle a des yeux verts. Elle vient de partir déjeuner avec sa meilleure amie Karen comme chaque semaine. Je sais qu'elles passent un bon moment ensemble dans les restaurants chics où l'entraîne son amie qui est attachée de presse chez un grand couturier parisien. Je travaille comme souvent dans le désordre, sur tous les projets que j'ébauche à longueur d'année. Ce jour-là, je ne vois pas le temps passer. J'ai lu les journaux comme à l'accoutumée, puis j'ai travaillé d'arrache-pied sur un synopsis auquel je crois comme d'habitude, mais qui trouve difficilement preneur. Vers quatorze heures, je mange un plat en quelques minutes à la pizzeria du coin, puis je reviens dans mon bureau. C'est vrai, j'ai oublié de vous dire que nous habitons un duplex dans le XVIIe arrondissement de Paris. En fait, c'est un grand studio de 58 mètres carré situé au 6e étage, comprenant une vaste pièce à vivre avec une cuisine à l'américaine et une salle d'eau. Nous avons heureusement acheté les 4 chambres de bonnes se trouvant au-dessus, les faisant communiquer par un escalier ; dans cet espace réhabilité se trouvent notre chambre et mon bureau. Lorsque Virginie est absente pour la journée, je profite quelquefois de son absence, pour visionner rapidement un film porno sur ma télé ou pour lire quelques pages d'un roman érotique, à moins que je ne relise mes propres productions licencieuses inédites.
- Tu vas bien - Tout s'est bien passé ?
Elle me répond d'une voix inhabituelle, au débit bien trop rapide :
- Je suis sûr que tu étais inquiet mon chéri.
Je sens bien qu'il y a quelque chose d'anormal, je ne veux pourtant pas la questionner sans raison. Je descends l'escalier de la mezzanine, la trouvant assise sur le canapé, le visage empourpré, avec d'autre part un comportement me paraissant très agité. Je m'assois à côté d'elle et lui prends la main. Elle ne tourne pas la tête vers moi, alors que je remarque sa poitrine qui se soulève avec force d'une façon spasmodique. J'essaie de lui parler le plus calmement et le plus doucement possible :
- Ma chérie, tu as eu un problème ? Dis-moi ce qui ne va pas, tu n'as pas eu d'accident au moins ?
À ce moment, elle se laisse aller contre moi, éclatant d'un seul coup en pleurs, lâchant des bribes de mots entrecoupés de gros sanglots :
- Pardon, mhhh, je te demande pardon mon chéri, mh .... mhhh ... j'ai ... j'ai fait une... une... une grosse bêtise. Oh! Je m'en veux ! Mhhh... mh...
- Allons raconte-moi - je suis sûr que tu exagères. Tu as perdu ta carte bleue ?
- Non... non...
- Alors tu as fait un gros achat que tu regrettes ? Ce n'est pourtant pas ton habitude.
- Non, rien de tout ça - mais... mais je suis sûr que tu vas m'en vouloir. C'est.... c'est... c'est Karen. Oh ! J'ai honte ... si tu savais comme j'ai honte.
Je commence à subodorer une histoire salace. Aussi, je me fais très tendre et la berce dans mes bras tout en essayant de la rassurer pour qu'elle me confie ce qu'elle a bien pu faire avec son amie.
- Allons mon bébé, je suis sûr que tu dramatises, je t'en prie ne pleure plus et dis-moi ce quil t'est arrivé. Je te promets que je peux tout comprendre. Allons ma chérie, dis à ton mari qui t'aime ce que tu as pu faire de si grave.
Elle se laisse bercer et câliner, je l'embrasse sur ses yeux humides essayant de sécher ses pleurs.
- Tu sais, comme d'habitude au restaurant avec Karen, nous avons bu du champagne à l'apéritif, et puis, toujours la bouteille de Brouilly durant le repas. Après, et bien le serveur nous a encore servi deux coupes puis le patron est venu, il a aussi voulu nous offrir sa tournée. Lorsque nous avons quitté le restaurant, nous étions un peu pompette, même Karen qui pourtant, a plus l'habitude que moi. Elle a voulu que nous passions par chez elle, car tu sais, son fournisseur de lingerie, le petit homo qu'elle adore. Il lui a offert toute une collection de bas et de collants en lycra brillant comme ceux que tu aimes bien.
Je la laisse s'épancher ne voulant pas l'interrompre afin qu'elle ne perde pas le fil de son récit, espérant surtout qu'elle ose aller jusqu'au bout. Je lui caresse ses cheveux et son front pour qu'elle sente bien que je la soutiens dans ses confidences.
- Alors Karen m'a proposé d'enfiler ceux qui pourraient me plaire, voulant les comparer elle aussi. Avec tout l'alcool que nous avions ingurgité, nous étions très gaies, aussi c'est en riant comme des folles que nous nous sommes mises en petite tenue et que nous avons essayé nos bas. Puis Karen m'a proposé des soutiens-gorge qu'elle venait de recevoir comme modèles pour sa maison de couture. Nous nous sommes retrouvées toutes les deux en train de nous passer mutuellement nos soutiens. Nos mains palpaient nos seins sans penser à mal. Nous étions en petite culotte très près l'une de l'autre, nos corps se sont rapprochés sans nous en rendre compte et lorsque nos têtes furent très proches, nous nous sommes enlacées et nous nous sommes embrassées en gémissant comme des folles, ne sachant pas, je t'assure ce qui nous arrivait. Alors nos mains partirent à la rencontre de nos seins et nous nous sommes caressées en gémissant de plaisir.
Je bandais comme un cerf et caressais la poitrine de mon épouse qui frissonnait de plaisir sous mes attouchements. Elle était excitée aussi par les paroles qu'elle se permettait d'émettre, se gavant de la lubricité dont elle osait faire preuve. Elle caressait machinalement la bosse de mon pantalon qui était prêt à exploser. Mais prise encore par son récit, excitée par ce qu'elle venait de découvrir, elle continue.
- Nous nous sommes léchées longuement, nous mangeant littéralement nos sexes en mordillant nos clitoris, nous étions comme deux furies lubriques lorsqu'un toussotement nous ramena à la réalité. Devant nous, nu comme un ver, se tenait Laurent, le jeune amant de Karen. Nous voulûmes nous relever, mais il nous intima l'ordre de continuer. Alors sous mes yeux, pendant que je léchais la vulve de Karen, il enfonça sa verge dans l'orifice grand ouvert de sa maîtresse. Je n'en croyais pas mes yeux, je voyais ce mandrin entrer et sortir de la chatte de mon amie à quelques centimètres de mes lèvres. Je ne sais ce qui m'a pris, mais j'ai sorti ma langue et j'ai léché la tige et les bourses du jeune homme. Karen hurlait sa joie d'être comblée pareillement, vibrant sous des orgasmes successifs incroyables. Il lui a fait l'amour très longtemps et lorsqu'il s'est enfoncé pour la dernière fois en restant immobile dans la fente comblée de Karen, son sperme a dégorgé de sa fente bavant jusqu'à ma bouche et je n'ai pas retiré ma tête, je léchais cette liqueur comme une diablesse.
Je glisse mes doigts entre les cuisses de ma femme, atteignant son pubis que je trouve libre de toute entrave, la petite coquine n'a même pas remis son slip après ses débordements sexuels. Ma main s'enfonce dans une excavation juteuse et grasse lui arrachant des gémissements voluptueux. Sa main cesse de malaxer ma verge à travers mon pantalon, ouvre ma braguette, puis se glissant dans le slip, elle prend mon pénis entre ses doigts qu'elle serre fortement. Mais elle reprend bientôt ses confidences, voulant aller jusqu'au bout de sa confession, y prenant certainement une certaine délectation.
- Nous étions étendues sur le lit de Karen, épuisées par ce que nous venions de faire alors que je commençais à réaliser dans quelle situation je me trouvais, lorsque Karen m'enlaça tout en me couvrant de baisers et en me caressant les seins, puis elle chuchota à mon oreille. - Tu as bien joui ma chérie, laisse-toi faire, Laurent va remplir ta petite chatte adorable avec son pénis. - Je voulus me redresser ayant compris ce qui allait se passer, mais n'en eus pas le temps. Mes cuisses furent écartées et tenues fermement, aussi bien par les mains de Laurent que par celles de Karen pendant que je sentais le membre rigide envahir mon minou. Oh ! Mon chéri, je te demande pardon, mais cette verge qui glissait dans ma chatte, quel délice. Je fondis littéralement sous la poussée brutale de ce garçon et ne pus m'empêcher de crier ma joie et mon bonheur d'être aussi bien remplie. Il m'a pilonnée pendant presque une demi-heure, tandis que Karen me suçait la pointe des seins. Je projetais mon ventre contre son membre qui labourait mon vagin. Je suis confuse de te le dire, mais je crois que je n'ai jamais autant joui. Oh ! Pardon, mon amour, je ne voulais pas te faire de peine. Je t'aime ! Pardon pour ce que j'ai fait, c'est la première fois que je faisais l'amour sans toi, mais je t'aime.
J'ai enfoui presque tous les doigts dans sa moule. Aussi, elle commence à délirer de la jouissance qu'elle ressent à se confesser en même temps que ma main lui force la chatte grande ouverte qui bave de la mouille qu'elle produit sans discontinuer. Elle sort ma pine qui n'a jamais été aussi rigide. Puis, elle prend mon vit entre ses lèvres et elle me suce avec adresse, titillant mon méat avec la pointe de sa langue, raclant la membrane avec ses dents serrées et pompant mon gland jusqu'au moment où, ne pouvant plus me retenir, je laisse gicler ma semence jusqu'au fond de sa gorge ; elle avale tout mon foutre, léchant la hampe dégoulinante jusqu'aux couilles qu'elle mordille même délicatement, me faisant jouir comme jamais en absorbant mon sperme. Elle est maintenant complètement dépoitraillée, ses seins généreux sortant de son corsage alors que sa jupe courte retroussée jusqu'au nombril compose un tableau des plus libidineux. Je l'embrasse en mélangeant ma salive à mon foutre qui coule encore de ses lèvres, puis je lui susurre d'appeler son amie au téléphone en lui demandant de nous rejoindre, car je veux les voir toutes les deux faire l'amour devant moi, qu'elle me doit bien çà, puisque j'accepte sans lui faire de reproches l'aventure féminine qu'elle vient d'avoir et surtout le fait de s'être fait baiser par l'amant de sa complice. Elle se met à pleurer de nouveau, disant que je la prends maintenant pour une traînée, que je n'ai aucun respect pour elle, enfin tout ce qu'une femme peut dire dans les circonstances où elle se sent en faute. Mais je tiens bon, lui confiant que je veux qu'elle jouisse encore et que de la voir se faire lécher par Karen, cela m'excitera pour que je puisse encore faire l'amour avec elle.
À moitié convaincue, elle se décide tout de même à téléphoner à sa complice alors qu'il est déjà près de vingt-trois heures. Tout en reniflant et en retenant ses sanglots, elle lui dit qu'elle a besoin d'elle, que vraiment, il est indispensable qu'elle se déplace pour arranger les choses. Je sens bien que son amie est réticente à venir à cette heure tardive, mais devant les supplications de Virginie, elle cède, lui annonçant qu'elle sera là dans les plus brefs délais. Mon épouse est bouleversée à l'idée que Karen va venir dans notre appartement, comment pourrait-elle lui expliquer ce que je désire qu'elles fassent ? Je prends donc les choses en main et j'ordonne à mon épouse de monter dans la chambre et d'ouvrir entièrement le lit, ne laissant que le drap du dessous apparent. Puis je la déshabille entièrement, lui faisant enfiler une courte nuisette en dentelle noire, puis je la recouvre du drap du dessus en lui disant de rester immobile et de me laisser faire. Enfin, j'allume quelques lampes tamisées donnant une atmosphère équivoque à la chambre, ensuite je mets un compact-disc de Francis Laï sur la chaîne, ajoutant à l'ambiance déjà érotique de la circonstance.
A suivre
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