Céline (2)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Lorsque j’avais fait aménager mon nouveau salon, j’en avais profité pour faire aménager au sous-sol un petit salon particulier, avec une petite pièce adjacente possédant une vitre sans tain pour satisfaire mes envies passagères de voyeuse. J’avais nommé cette pièce « l’observatoire ».

Lydia et Myriam avaient découvert rapidement l’existence de l’observatoire. Elles ne s’étaient pas offusquées quand je leur avais dit que j’allais les contempler parfois pendant leur « travail ». Elles m’avaient même annoncé en cœur :

- Dites nous quand vous voulez y aller, on s’appliquera.

Je pense que si moi j’étais un peu voyeuse, de leurs côtés elles devaient avoir quelques pulsions exhibitionnistes. C’étaient vraiment des perles d’employées.

Pour en revenir à Céline, j’avais mis Lydia dans la confidence, et lui avais dit d’être la plus tendre possible, car en plus d’être observée, elle aurait l’honneur de s’occuper d’une nouvelle cliente.

Je proposai alors à Céline de lui montrer de visu le travail de Lydia. Je lui avais également faire promettre de ne jamais divulguer ce qu’elle allait voir sous peine de licenciement.

Comme de manière générale je gagnais très très bien ma vie grâce à mes employées, je les rétribuais très bien également. Céline savait que si elle était virée, elle ne retrouverait jamais une place aussi bonne. J’étais quasiment sûre de son silence, sauf si elle était outrée par ce qu’elle allait voir.

Je ne me faisais pas trop de souci car les filles s’amusaient souvent entres-elles à se toucher discrètement les fesses en passant l’une vers l’autre, ou encore lorsqu’il n’y avait pas de clientes, à tirer sur le décolleté des autres pour faire apparaître un début de poitrine. Et je dois dire que Céline n’était pas la dernière à ces petits jeux. Si timide qu’elle était à son arrivée au salon, elle prenait de plus en plus d’assurance au fil des jours.



Céline accéda à ma requête de ne rien dire. Je la fis entrer dans l’observatoire en lui demandant le plus grand silence. Après quelques minutes, elle n’avait même pas détourné les yeux, et semblait scotchée par ce qu’elle voyait. Lydia avait la tête enfouie entre les cuisses de sa cliente, et les mains collées sur ses seins. Toutes deux semblaient avoir plaisir, l’une à ce qu’elle faisait, l’autre à ce qu’elle subissait. Je lui laissai encore quelques minutes, puis l’invitai à sortir de l’observatoire.

- Maintenant que tu as vu quelles sortes de soins elles font, te crois-tu être capable d’en faire autant ? Penses-tu pouvoir donner du plaisir à une cliente de la même manière que Lydia ? Es-tu prête à faire tout ce qu’une cliente te demandera ? Tu vois que ces pourboires sont parfaitement justifiés, et ce que tu dois faire pour les mériter. Ne dis rien. Prends la nuit pour réfléchir. Tu me donneras ta réponse demain. Maintenant retourne au travail.

Tout le reste de la fin d’après-midi, Céline semblait fuir mon regard. Je ne pouvais deviner ce qu’elle pensait. Au moins, elle n’avait pas fait de scandale.

Le lendemain, elle fut la première à arriver au travail, et m’annonça que si j’étais d’accord, elle voulait bien essayer.

Il m’avait semblé décerner chez elle une nature à la soumission, c’est donc avec elle que je commençai à mélanger travail et plaisir.

- As-u déjà couché avec une fille ?

Devant son silence gêné, j’en conclus que non.

- Avant de te mettre avec une cliente, je dois te tester pour voir si tu en es capable, et te former le cas échéant. Dans la journée, quand je te le dirai, tu viendras me rejoindre dans le salon du bas.

Profitant d’un moment creux, je demandai à Céline d’attendre une ou deux minutes avant de me retrouver. Lorsqu’elle entra, j’étais en sous-vêtements. Je ne lui laissai pas le temps de dire un mot avant de lui demander assez directement.


- Mets-toi entièrement nue.

Surprise par cette demande, elle ne percuta pas immédiatement. J’enchainai alors :

- Tu sais que dans le commerce « le client est roi ». Si tu veux avoir cette place, tu dois répondre favorablement et rapidement à n’importe quelle sollicitation de tes clientes.

A peine en tenue d’Eve, je fus tout aussi directe :

- Tu iras voir Myriam qu’elle te fasse une épilation intégrale. Les clientes n’aiment pas voir de poils.

Je ne savais pas ce que pensaient les clientes à propos des poils, mais moi je ne les aimais pas, et Céline était là aussi pour mon bon plaisir.

- Maintenant déshabille moi lentement et tendrement.

Elle commença par mon soutien-gorge qu’elle me retira presque affectueusement. Le string suivi tout aussi gentiment. J’écartai ensuite largement les cuisses. En ayant une vue imprenable sur mon intimité, elle pu constater que je n’avais aucun poil.

- Commence par caresser mes seins.

Elle ne se fit pas répéter deux fois la demande, elle semblait apprendre vite. Je ne sais pas si elle avait l’habitude de se caresser, ou si c’est le fait de déniaiser une hétéro, mais j’étais déjà chaude bouillante. Lorsque mes pointes furent bien dures et bien pointées, je pris une de ces mains que je glissai entre mes cuisses. A peine quelques secondes, et sa main trouva directement le bon endroit et le bon geste. Cette fois j’en étais sûre, elle avait l’habitude de se donner du plaisir. Elle devrait bientôt le faire devant moi.

Je guidai alors son visage vers mes seins, tout en glissant ma main entre ses cuisses. Ses lèvres se firent tout aussi douces que ses mains, et me donnaient beaucoup d’agréables sensations. Dans le même temps je pus constater que cette situation l’excitait tout autant. Son minou était tout humide, et mon doigt trouva rapidement son point sensible.

Après mes seins, c’est sur mon minou que je voulais sentir ses lèvres.
Je lui indiquai d’un petit mouvement de main, ce qu’elle devait faire. Elle ne sembla pas ou ne voulut pas comprendre. Je dus lui prendre la tête à deux mains pour la guider ou je voulais. Semblant résigner, elle se contentait de me faire des petits bisous sur le Mont de Venus, et sur mes lèvres intimes. Si je l’avais laissé faire, elle ne m’aurait fait que cela.

- Ta langue ! Tout de suite ! Lui intimai-je alors.

Comprenant qu’elle n’avait pas d’autre choix, elle glissa la pointe de sa langue à l’entrée de mon intimité.

- Si c’est tout ce dont tu es capable de faire, tu n’es pas prête de faire comme Lydia ou Myriam.

Son amour propre sembla en prendre un coup, car immédiatement elle fit pénétrer son appendice au plus profond de moi. Ce fut ensuite mon clito qui découvrit les vertus de ses caresses.

Prête à jouir, j’empoignai alors sa tête pour la bloquer tout contre mon corps. Et lorsqu’elle reçut ma jouissance, je la maintins alors un bon moment, d’une part pour qu’elle me goûte bien intimement, mais également pour la punir de son hésitation. Je la libérai enfin en la critiquant :

- Tu es vraiment nulle, on reviendra demain, et si tu me déçois encore tu n’auras pas d’autre chance.

Elle vit que j’étais vraiment en colère, et elle m’expliqua que c’était sa première fois, et que demain elle ferait tout son possible pour ne pas me décevoir.

- J’espère que ce sera mieux demain, et que tu ne me feras pas perdre mon temps. Maintenant file.

Dans précipitation, elle allait repartir nue, je la rappelai en lui disant que ce n’était pas une tenue pour aller au salon.

Elle rougit davantage et partit la tête baissée, encore plus gênée.

Le lendemain, à peine entrée, je lui fis remarquer qu’elle n’était pas encore en tenue. Elle fut nue en quelques secondes, je constatai avec plaisir que Myriam avait fait du bon travail.

De mon côté, j’étais déjà nue, et en écartant les cuisses, je lui indiquai immédiatement.


- Comme tu étais hésitante hier, tu vas commencer par me donner du plaisir avec ta bouche. C’est pour cela que les clientes viennent ici,

La leçon de morale avait porté ses fruits. Elle appliqua immédiatement sa bouche contre mon bas-ventre, et je sentis de suite sa langue chercher mon bouton intime. Il ne manquait que ses mains sur ma poitrine. A peine y avais-je pensé que mes seins retrouvaient la douceur de ses caresses.

On voyait qu’elle s’appliquait vraiment pour me donner du plaisir. Celui-ci ne fut guère long à m’envahir.

- Tu vois quand tu veux. C’est beaucoup mieux qu’hier.

Je lui laissai la place sur la table en lui expliquant.

- Je suis contente de toi. Pour te remercier, tu vas te donner du plaisir devant moi. Certaines clientes adorent cela.

Je ne savais pas si c’était vrai, mais une nouvelle fois, je voulais qu’elle fasse tout ce que je lui demandais sans rechigner. Une fois de plus, elle sembla hésitante, je dus lui faire une nouvelle leçon de morale.

- Mes clientes particulières viennent ici, parce qu’elles savent qu’on saura bien se préoccuper de tous leurs désirs. Si tu hésites à leur offrir ce qu’elles souhaitent, elles seront déçues de ton service. D’une part tu n’auras pas de pourboire, mais ce qui est plus grave, c’est qu’elles risquent de ne plus revenir, et de nous faire une mauvaise publicité. Ca je ne peux pas l’admettre. Tu dois te décider si tu désires être une « rose » ou non. Si c’est le cas, tout ce que tu dois penser et faire, c’est dans le seul but du plaisir des clientes.

Céline savait par Lydia et Myriam que certaines clientes étaient très généreuses si elles étaient satisfaites. Mes deux collaboratrices parvenaient presque chaque mois à doubler leur salaire grâce à ces extras. Et comme elles étaient bien rémunérées, avec cela elles pouvaient s’offrir presque tout ce qu’elles désiraient.

Elle n’hésita plus cette fois après ma diatribe. Elle commença par caresser ses seins, un pour chaque main, ses caresses étaient douces et appliquées. Je voyais tout de même qu’elle était gênée de faire cela devant moi, par contre, c’est cette attitude qui m’excitait plus que tout. Une de ses mains glissa jusqu’à la fourche de ses jambes, mais semblait encore inquiète. L’excitation arrivant peu à peu, Céline devenait moins farouche. Le doigt glissé dans son intimité était agité comme une puce, quand à ses seins, leurs pointes étaient bien plus malmenées qu’au début. Ils semblaient apprécier ce traitement car ils étaient tendus à l’extrême. J’en profitai pour lui écarté davantage les cuisses :

- N’oublie pas que la vue est aussi excitante que le reste.

Elle entendit bien mes paroles, mais prise dans son plaisir qui n’allait pas tarder à la cueillir, elle fit comme si je n’étais pas là et continua sa masturbation sans complexe. Ce n’est qu’une fois son plaisir atteint assez bruyamment, qu’elle prit conscience de ma présence, et eut un sursaut de pudeur. J’écartai alors ses mains qui cachaient sa féminité en la congratulant.

- C’était très bien, mais il faut encore que tu corriges ce dernier petit geste de timidité. Nous reprendrons ton éducation mardi.

Le lendemain était samedi, jour très chargé, et les dimanches et lundis étaient jours de fermeture du salon. Ce mardi serait une nouvelle étape dans son asservissement.

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