Leslie La05

Leslie LA05 – Laure, le journal intime - De découverte en découvertes

Un jour, un vendredi soir, je venais juste rentrer du lycée et j’allais commencer à
faire des recherches sur internet pour un exposé sur les courtisanes au temps de rois,
quand le téléphone a sonné. C’était ma mère qui m’expliquait que comme mon père était
à l’étranger pour son travail, j’allais passer le week-end seule à la maison.
Elle avait oublié, m’avait-elle dit, de me prévenir qu’elle avait un week-end de
travail en province et qu’elle ne rentrerait que le dimanche soir, que je n’avais pas
à m’inquiéter car elle avait tout prévu et qu’elle avait préparé des petits plats pour
le week-end et qu’un peu d’argent était posé sur la table basse du salon, au cas où.
Elle savait que je n’étais pas idiote et que je que son explication ne me satisfaisait
pas, un peu déçue de son manque de franchise, je lui ai demandé :
- Il est beau ton week-end ?
- Que dis-tu, ma chérie ?
- Maman arrête de me prendre pour une cruche, car je ne suis plus une gamine, tu
as tout préparé, tout prévu et tu ne m’as rien dit, je te demande si l’étalon que tu
vas chevaucher ce week-end est un bel étalon ?
Un silence s’est fait, elle aussi savait de quoi je voulais parler, elle allait passer
un week-end de cul avec un mec, mais elle aurait pu me le dire sans essayer de me
prendre pour une dinde.
- Ma chérie, oui il est beau et vas certainement me donner du plaisir, alors
profites de ce week-end, sors si tu en as envie.
- Merci de ta franchise maman, soit heureuse et à dimanche soir.
- Je t’aime, ma chérie.
- Moi aussi, maman.
Quand j’ai raccroché je me sentais libéré, ma mère m’avait confiance et m’avait tout
dit.

J’ai fait rapidement tous mes devoirs et mes recherches sur internet ont été
fructueuses, j’étais satisfaite car j’allais pouvoir profiter complètement de ces deux
jours de solitude, cela allait être une ie de plaisirs solitaires…
Avant de fermer l’ordinateur, sur le bureau je me suis aperçue qu’il y avait trois
raccourcis, l’un était nommé « Claire », le prénom de ma mère, le deuxième « Christian
», le prénom de mon père et le dernier « CC », inconnu.


Intriguée, j’ai cliqué sur « Christian » et un dossier s’est ouvert, dedans il y avait
des dossiers contenant des photos de femmes nues, des raccourcis de site internet de
rencontres et des dossiers contenant des mails échangés entre mon père et des femmes.
C’était chaud et ma curiosité a été plus forte que ma volonté de respecté l’intimité
de mon père, alors j’ai parcouru tous les dossiers. Au bout d’une demie heure je
savais tout de la vie extra conjugale de mon père, tout jusqu’au prénom de ses
amantes, leurs tendances sexuelles et même leur corps nus, nombreuses et jolies en
plus.
Quand j’ai cliqué sur « Claire », même chose, et j’ai découvert la photo nu de
l’étalon du week-end de ma mère, je suis restée bouche ouverte devant le membre
imposant qu’il arborait, et je me suis demandé comment un tel membre allait entrer
dans les orifices de ma mère, je me garderais bien de lui demander…
Et puis il y avait aussi des sites d’achats en ligne, en fait des sexshop en ligne, où
l’on trouvait et pouvait acheter toutes sortes d’accessoires pour le plaisir.

Bon me voilà au courant que mes parents non contents d’avoir une vie sexuelle libérée
ne s’en cachaient pas mutuellement, mais qu’ils devaient respecter l’intimité de
l’autre sans aller fouiller dans leur dossier perso, comme je le faisais.
Le dernier, « CC », était certainement commun, car il ne contenait que des sites de
rencontres pour échangistes, et me voilà maintenant avec des parents en plus
échangistes.

Deux heures étaient passés, je me suis préparée un plateau télé et j’ai diné dans le
salon devant la télé, comme c’était l’heure les actualités, j’ai été cherché un film
dans la réserve de mes parents et j’ai mis un de leur DVD. Et là, encore une nouvelle
surprise, je venais de mettre un film de cul, alors je l’ai regardé avec intérêt en
zappant pour ne visionner que les scènes les plus intéressantes.

A minuit, j’avais regardé la moitié de leur collection et je savais un peu près tout
sur les pratiques envisageables question sexe.
Les femmes entre-elles, les couples, les partouzes, les mecs ensembles, même les
femmes membrées appelées transexuelles, tout et aussi et surtout comment se donner du
plaisir avec des accessoires. J’étais excitée comme jamais, et il me fallait jouir
après mettre masturbée comme une folle devant toutes ces scènes plus chaudes les unes
que les autres, seulement j’aurais aimé avoir un accessoire pour me donner du plaisir
comme dans certaines scènes.

Bon, il est temps d’aller dans ma chambre pour me finir et m’endormir, demain est un
nouveau jour et peut-être que je ferais de nouvelles découvertes.
En allant rejoindre ma chambre, je passe devant celle de mes parents et je ne peux
résister à la curiosité qui m’étreint d’y entrer pour aller fouiner dans l’armoire et
les tables de chevets, peut-être y trouverais-je des choses intéressantes…
Après avoir inspecté les tables de chevets, où je ne suis pas étonnée de trouver des
préservatifs et du gel intime, des piles de rechange et deux télécommandes, une paire
de menottes, je passe à l’armoire.
Après y avoir découvert toutes sortes de lingerie érotiques pour femme, strings,
guêpières, porte-jarretelles, soutien-gorge seins nus ou demi-nus, culottes et string
fendus, enfin toute la panoplie pour mettre le corps d’une femme en valeur et la
rendre désirable, je découvre aussi quelques sous-vêtements pour homme.
Alors j’ouvre le tiroir et tombe sur une panoplie d’accessoires et de jouets sexuels,
plusieurs godes et vibromasseurs, un gode ceinture, un gode réaliste à ventouse, deux
plugs anaux, deux œufs vibrants, des boules de geisha, un rosebud, des anneaux
péniens, enfin pour faire court, la caverne des plaisirs.

Je suis dans tous mes états, je vais avoir une nuit inoubliable, je sens déjà que cela
va être fort, inoubliable, je n’ai que l’embarras du choix…
Je porte mon choix sur un gode réaliste noir, avec des veines en relief, il a un joli
gland qui lui donne l’air d’avoir été moulé sur un vrai sexe, pas trop long, peut-être
dix-huit centimètre et pas trop épais, je suis certaine qu’il fera l’affaire.

Bien émoustillée par cette collection impressionnantes d’accessoires en tout genre, je
regagne rapidement ma chambre, le gode noir en main, frémissante d’impatience…

Je me fous à poil et saute dans mon lit avec le gode…
Et si je prenais le miroir de la salle de bains avec moi, je pourrais voir ma chatte,
je verrais le gode s’enfoncer dans mon vagin, écartée mes lèvres et disparaitre dans
mes chairs, ma chatte couler de désir en étant pénétrée avec le rythme et la
profondeur idéale que je m’imposerais.
La gorge sèche, je vais chercher le miroir de la salle de bains, je me réinstalle dans
le lit jambes écartées, les pieds posés sur le mur avec le miroir au milieu, reflétant
ma chatte.

Ainsi installée je commence par me caresser les seins, puis ma main droite se dirige
dans mon entrejambe, les cuisses ouvertes, je suis sur le dos confortablement
installée.
Le gode va être une grande nouveauté.
A ce jour, a seize ans, à part mes doigts, je n’ai encore jamais utilisé un tel engin,
rien ne m’a pénétré, mais je sens que ma libido va ce soir prendre un tournant…

Je suce le gland du gode pour l’enduire de salive, comme j’ai vu le faire dans un des
films, puis je le positionne à l’entrée de mon vagin et je le pousse doucement en moi.
Aucune résistance car il rentre avec une facilité déconcertante.
Je creuse le ventre et je continue de l’enfoncer doucement dans ma chatte, maintenant,
toute humide d’excitation. La sensation est très agréable, je suis pénétrée et je sens
en moi comme un déchirement, certainement mon hymen qui vient de céder sous la
pression du gland, pas de douleur, juste une petite voix en moi qui me dit que je ne
suis plus vierge, alors j’enfonce le gode très profondément, si profondément que je
finis par buter douloureusement sur le col de mon utérus.
Aïe, ce truc est trop dur et trop long, il ne faut pas que j’aille si loin.

Je commence à donner au gode des petits mouvements synchronisés avec des ondulations
de mon bassin, tout en regardant dans la glace, des sensations montent en moi et une
plénitude se fait sentir, le va-et-vient imprimé me comble de bonheur.
Très vite, la chaleur monte en moi, oui, ça vient, ça monte et je vais éclater dans la
jouissance.
Je me cambre, puis je me contracte sous le spasme qui m’emporte, je me recroqueville
sur le gode que je continue de remuer. Plusieurs vagues de plaisir déferlent,
s’enchaînent, je ne suis plus que jouissance.
Ohhh ! Punaise, avec ce truc, c’est vraiment un plus, la jouissance plus complète.

Je me retourne pour poser ma tête sur l’oreiller, pause le miroir sur la table de
chevet et je m’endors heureuse et encore vibrante de plaisir, mon nouveau compagnon
toujours au fond de moi.

A suivre…

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