Leslie La06

Leslie LA06 – Laure, le journal intime - Mon premier achat

J’ai dormi comme une reine et j’ai fait des rêves érotiques, je me suis redonnée du
plaisir avec le merveilleux gode de ma mère et après avoir pris une bonne douche, j’ai
pris un petit-déjeuner.
Je venais de ranger ma vaisselle, quand ma mère m’a téléphoné pour prendre de mes
nouvelles.
- Allo, ma chérie comment vas-tu ce matin ?
- Super, maman, j’ai fait tous mes devoirs et j’ai dormi comme une reine.
- Tu as regardé la télé, hier soir ?
- Euh… oui, enfin je me suis fait un plateau télé et j’ai regardé un film.
- Quel film ?
- Tu veux toujours tout savoir, disons que c’était un film instructif…
- Un film de notre collection privé ?
- Pas qu’un, plusieurs…
- Nous t’avions avec ton père pourtant interdit, tu as aimé ?
- Oui beaucoup, et toi comment ça va ?
- Bien, bien, ma chérie, je suis juste un peu courbaturée et certains endroits
sont endoloris, mais ça va.
- Bon, j’ai compris, pas la peine de me faire un dessin, ma jolie maman à la
libido débordante a grimpé aux rideaux toute la nuit.
- Laure, je t’interdis de parler ainsi !
- Maman, je ne suis plus une gamine et je suis contente de te savoir heureuse,
mais tu es mon exemple et peut-être qu’un jour je serais comme toi, accro au sexe !
- Laure !
- Oui maman chérie.
- Nous en reparlerons…

Et elle a raccroché.
En moi je pensais que de toutes les façons elle serait bien obligée de me dire ce
qu’elle avait sur le cœur, mais en attendant il me fallait aller m’acheter mon jouet
personnel…

Donc, après voir récupéré mes économies, je me suis préparée pour sortir faire mes
achats et à cette fin je me suis habillée en tenue très glamour, mini-jupe avec des
bottines aux mi-talons, mon spencer passé par-dessus un tee-shirt moulant, je me suis
maquillée, embijoutée et parfumée, et je suis partie pour Pigalle, là où j’avais des
chances de trouver un magasin répondant à mes attentes et qui aurait ce que j’allais
chercher.

Arrivée dans les lieux, je remarque un petit sexshop, alors je pousse le rideau de la
boutique et entre à l’intérieur. Atmosphère feutrée, je jette un coup d’œil
circulaire, évidemment pas une seule femme ! Que des hommes qui farfouillent dans les
rayons de DVD pornos et qui me zieutent en se demandant ce qu’une jeune fille vient
faire ici et va pouvoir acheter. Une nana seule dans un endroit pareil ce ne peut être
qu’une super salope.
A la caisse trône un petit asiatique, normal, ces gadgets doivent venir des pays
asiatiques et comme je n’ai pas envie de m’attarder dans ce lieu je m’adresse
directement au vendeur.
- Bonjour Monsieur, auriez-vous des boules de geisha ?
Sans sourire il me répond très professionnellement :
- Bien sûr, plusieurs sortes, vient, je te montrer.
Il m’emmène vers le rayon des sexy-toys de façon très solennelle comme s’il allait me
rendre service en faisant une vente. Bien sûr tous les clients me regardent en coin et
du coup pour ne pas les décevoir, je marche en balançant les hanches et en dandinant
un peu du cul.
Mon choix se fait rapidement sur une paire de boules de Geisha tout en métal argenté,
dont le vendeur, même s’il ne les a jamais testé m’en dit grand bien.
- Tu vas voir elles sont spécialement conçues pour tonifier et resserrer les
muscles intimes, bien aussi pour plaisir discret en solitaire, et t’as une pochette de
rangement noire satinée.
Bon s’il le dit.
- Et je voudrais un gode, vous pourriez me conseiller.
Il me montre un gode noir, presque comme celui de ma mère, mais apparemment celui-ci
est vibrant.
- Ça, c’est bien, me dit-il, pas de problème avec, longueur idéale, dix-neuf
centimètres et pas trop gros, trois centimètres, plusieurs vitesses, idéal pour jeune
fille comme toi.
Je le regarde, le gode pas le vendeur, il me plait avec ses veines apparentes, sa
texture douce et son gland au relief parfaitement détaillé, un petit bijou.
- Je le prends dis-je.
- Bien, bon choix.
Quelques minutes plus tard, je ressors du magasin, contente de moi, avec un grand
sourire aux lèvres.

Mon cœur battait fort et je n’ai pu résister à la tentation de faire l’essai des
boules de geisha, alors je suis allé dans un café et j’ai été directement aux
toilettes et je me suis enfoncé les boules en moi, et super pratique au bout du fil il
y a un anneau pour les retirer, équipée je me suis rajustée et deux minutes plus tard
je marchais dans la rue…
J’avais fait à peine quelques pas que déjà des sensations naissaient en moi, me tirant
inconsciemment des soupirs, qui pendant que je marchais devenaient de plus en plus
rapprochés et de plus en plus intenses, je tentais de me retenir en me mordant la
lèvre.
C’est dingue l’effet que me font ces boules dans le corps d’une femme, l’intensité est
parfois insoutenable, je décidais de prendre le bus et de m’asseoir en l’attendant,
histoire aussi de me calmer un peu, je n’allais pas jouir comme cela dans la rue.
Dans le bus, ce fut pareil, les vibrations et les secousses n’arrangèrent rien,
heureusement que j’avais trouvé une place assise dans le fond car j’ai joui comme une
folle en retenant mes gémissements de plaisir.
C’est dingue, les ravages que peuvent faire ces boules, je sentais ma culotte trempée
et il me tardait d’être à la maison car à cette allure, j’allais tacher ma robe.

Une fois rentrée à la maison, je n’ai pas retiré les boules tout de suite, je suis
allée dans ma chambre et je me suis mise nue et je me suis regardée dans la grande
glace de ma chambre, cela me faisait drôle de vois l’anneau des boules pendre entre
mes cuisses, mais j’avoue que cela restait relativement discret.
Je me suis rendue dans la chambre de ma mère pour lui emprunter quelques sous-
vêtements et lorsque je me suis de nouveau regardée dans la glace de ma chambre j’y ai
vu une superbe jeune fille qui allait faire tourner la tête de bien des hommes.
En soutien-gorge noir demi-seins, laissant mes aréoles visibles et relevant ma
poitrine, porte-jarretelles assorti et bas coutures fumés à couture, escarpins noirs à
haut talons et un petit string ouvert laissant visible la fine toison blonde de mon
pubis, je me suis trouvée jolie et désirable.
J’ai passé le reste de la soirée dans cette tenue, allant et venant dans l’appartement
sous les effets des boules insérées en moi, me faisant gémir au moindre mouvement,
alors excitée comme une puce, je me godée devant un film de cul.

J’ai passé une nuit torride, pleine de rêves érotiques, me réveillant en sueur et me
godant à chaque fois pour apaiser mon corps en feu. Jamais je n’avais autant jouis de
ma vie et j’espérais bien que ce n’était que le début d’une vie sexuelle bien remplie…

A suivre…