Laure Fille Soumise Chapitre 3 La Rédemption

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Laure fille soumise - Chapitre 3_ la rédemption

Laure est pensive, presque endormie dans le train qui la mène vers sa rédemption.
Cette histoire incroyable lui a fait toucher le fond pense-t-elle. Son père ne peut plus la regarder, il ne lui adresse même plus la parole. Elle n’a plus revu aucune connaissance depuis cette nuit où tout à basculer, elle est restée cloitrée chez elle, tous les moyens de communication lui étant confisqués par son père qui en arrivé à la gifler lui d’ordinaire si attentionné pour sa fille chérie. Elle revoit constamment ses longues heures aux poste de police, les explications qu’elle a du fournir, la honte et l’humiliation indescriptible. Ces souvenirs lui font monter les larmes aux yeux systématiquement. Pourtant, elle ne se l’explique pas, mais elle n’arrive pas à regretter tout ce qu’il lui arrivé avant. C’est un sentiment étrange, elle a honte, elle regrette les conséquences, elle fera tout pour ne jamais revivre ça, mais tout au fond d’elle, elle ne regrette pas cette débauche, l’aventure que lui a fait vivre cet homme mystérieux.
Regardant au loin le paysage qui défile par la fenêtre du TGV, Laure est interrompue par l’annonce de l’arrivée imminente. Remettant son blouson et descendant sa valise du rangement en hauteur, Laure se dirige vers la porte attendant sagement que le train s’arrête. Tout ce qu’elle sait c’est que quelqu’un vient la chercher pour l’amener dans cette fameuse maison où elle est sensée faire le point sur elle-même et retrouver le droit chemin.
Dans le hall de la gare, elle aperçoit un homme, certainement un taxi, qui tient une petite pancarte à son nom. Laure s’approche c’est bien ça, l’homme l’emmène à destination, le trajet dure une vingtaine de minute après la sortir de la ville, c’est la campagne.
Dans un petit bourg, au détour de petites rues et d’une impasse, ils arrivent devant un immense portail métallique.

A l’interphone, le taxi se présente, la porte s’ouvre sur une allée gravillonnée au bout de laquelle se trouve une grande maison de maitre. Le taxi débarque Laure et sa valise au pied du perron et s’en retourne. Laure monte les quelques marches et sonne à la porte intriguée. Un homme la quarantaine plutôt costaud et le crane rasé la fait entrer dans le grand hall, Laure est impressionnée par le faste du décor et l’escalier monumentale lui rappelant les films sur les années folles.
L’homme s’exclame :
- Monsieur ! Elle est arrivée.
Elle entend quelqu’un à l’étage s’approcher de l’escalier et descendre. D’un coup, Laure est prise d’une douleur intense dans le ventre, son sang se glace et bouillonne à la fois. L ’homme à la canne, c’est lui, que fit-il là ? Les joues de Laure s’empourprent, c’est un mirage, ce n’est pas possible. La gorge sèche, suffoquant, Laure le regarde descendre.
- Surprise ?
Laure ne peut plus parler, trop choquée.
- Qu’est-ce que tu croyais ? Que tu t’es faite embarquée par manque de chance ? Pas du tout. C’était le moyen de te mettre à ma disposition.

Bizarrement, Laure est presque heureuse de savoir qu’il était derrière tout ça. De plus, c’est le premier visage connu qu’elle voit depuis cette fameuse nuit hormis son père. Laure est rassurée et terrifiée à la fois. Elle le connait, sa venue ici n’est finalement que la suite des événements mais où est-elle arrivée si ce n’est dans sa perdition ?
Son cerveau s’embrouille, Laure ne perçoit plus très bien ses sensations et la situation.
- Je dois me rendre à Paris pour affaires pendant une semaine. Pendant ce temps, tu apprendras les bases de ce que j’attends de toi. Tu n’as qu’une seule chose à faire, c’est obéir à Hector. C’est clair ?
Aucun son ne sort de la bouche de Laure abasourdie parce qu’il se passe.
- C’est clair ?!
- Oui, mais je ne peux pas,…
- Tu n’as rien à négocier, tu es ici et tu n’es pas prête d’en sortir.
Alors le plus simple pour toi et d’obéir, sinon nous te soumettrons par la force.
- Mais…
Une gifle s’abat, Laure est déséquilibrée. Avant qu’elle ne réagisse, Hector la saisit par le bras et lui passe des menottes d’acier qui écrasent ses poignets.
-Aie. Vous me faites mal.
- eh bien comme tu n’es pas dans les meilleures dispositions, Hector va déjà te mettre au pas avant de commencer quoi que ce soit. Nous on se revoit à mon retour.
Sur ces mots, Laure se fait sortir de la maison par le bras. Elle a beau protester et le supplier, il l’emmène vers une petite dépendance à l’écart au milieu du vaste jardin entourant la maison. Hector ouvre la porte et la pousse à l’intérieur, et lui claque la porte au nez. On dirait une remise, Laure y découvre du vieux matériel agricole à priori hors d’usage et tout un tas de bazar qui ferait certainement le bonheur de brocanteurs. Elle entend des chiens par la fenêtre et s’approche, elle voit Hector revenir avec un sac de sport entouré de deux immenses chiens. Bien dressé ils écoutent quand ils les renvoient et disparaisse immédiatement. Des chiens de garde pense Laure. A peine a-t-il pénétré la pièce que Laure essaie de l’attendrir.
- S’il vous plait, J’étais juste surprise, je ne voulais pas vous mettre en colère, excusez-moi, s’il vous plait.
- Tu es pénible, il faut que tu apprennes à te taire. Et Maintenant c’est trop tard, tu es seule avec moi, je te ferai ce que j’estime nécessaire. Maintenant tais-toi !
Laure comprend qu’il y va de son intérêt et n’ajoute pas un mot, elle se dit qu’avec un peu d’obéissance, elle devrait s’en tirer. Il att une large chaine au milieu de capharnaüm est la passe autour du cou de Laure, Il la fait ensuite passer par-dessus une poutre soutenant le plafond. Tirant dessus il oblige Laure à se mettre sur la pointe des pieds pour éviter la pendaison.
-Tu seras plus sage comme ça.
Prenant une paire de ciseau dans son sac, il s’approche de Laure et commence à découper sa tunique.
Sans aucune précaution, il ouvre par devant le vêtement en plein milieu jusqu’au col et fait de même dans le dos. Il découpe ensuite au niveau des manches afin de libérer le vêtement en laissant Laure menottée. Sans un regard pour sa belle poitrine mise en valeur par un joli soutien-gorge, il passe au taille basse de Laure qui se retrouve en sous-vêtements et ballerines en moins de deux minutes. Laure fait très attention à ne pas bouger d’un part pour ne pas être blessée par la paire de ciseau, et d’autre part pour ne pas s’ avec la chaine. C ’est sans aucune résistance qu’il termine son travail, Laure est nue comme un ver, menottée et à moitié pendue devant lui.
-Pas mal, t’es bien gaulée. Je crois qu’on va bien s’amuser tous les deux.
Laure est extrêmement gênée de lui montrer toute son intimité sans pouvoir se défendre, de plus ses mots lui font entrevoir mille tourments. Pourtant tout au fond d’elle-même si elle a peur, une petite partie sombre est excitée à cette idée. Hector sort de son sac une longue cravache et se met à fendre l'air.
-Tu vas déguster ma petite!
Aussitôt un coup s'abat sur le flanc droit de Laure qui pousse un hurlement.
-Et bien, tu n'a pas fini de gueuler.
Un deuxième coup de l'autre côté, Laure serre les dents mais laisse tout de même échaper un cri de douleur. Sa peau la brûle.
-tais-toi.
Un troisième coup, Laure arrive à canaliser sa douleur.
-C'est mieux, allez on continue.
La cravache parcourt le corps de Laure lentement et s'abat sur son sein. Les premières larmes coulent, mais Laure ne dit pas un mot.
Hector lui fait subir une lente mais terrible punition prenant le temps entre chaque coup de regarder la réaction de la gamine.

Laure est en sueur. Son corps brille de milles gouttelettes. Hector est passé de la cravache au fouet. Le tableau est saisissant entre la douleur qui se lit sur son visage et la beauté de son corps. Hector est excité. Son sexe voudrait sortir de ce pantalon côtelé épais de paysans et planter la bouche jusqu'à la gorge de cette jeunette.
Ses couilles lui font mal tellement cela fait longtemps qu'il n'a pas juter, expulser, cracher son trop plein.
Mais la règle est formelle, il n'est pas maitre de sa jouissance. Le maitre pense que la frustration est bonne conseillère, qu'elle décuple le vice et que comme cela Hector tout à sa tâche de bras séculier de son maitre, châtie sans faiblir les pauvres filles envoyées ici.
Dans le cas ou la faiblesse se ferait jour ou plutôt que l'envie de jouissance serait trop forte, le maitre lui fait porter une cage qui enferme sa verge et enserre ses testicules. Une fente au bout du gland lui permet d'uriner mais sinon un cadenas ferme le tout. Le pire est quand il entre en érection. Son sexe tente de s'épanouir et ses couilles de gonfler mais la cage de contention l'en empêche.
C'est exactement ce qui se passe là maintenant. Du coup Hector passe ses nerfs sur Laure qui se fait lécher le corps par la fine lanière du fouet. Laure pleure à chaudes larme, on coprs la brûle de partour, ses seins sont régulièrement atteints. A moitié pendue, elle ne voit pas son état et sa peau cramoisie par endroit, mais elle a l'impression d'être à vif.
-Tes pleurnicherie m'agace.
Hector se saisit d'une pince et s'approche de Laure la saisissant par la mâchoire.
- Ouvre.
Laure ouvre la bouche.
- plus grand
Laure écarquille la bouche a s'en décrocher la mâchoire comme elle le fait lors de ses visites chez le dentiste.
Hector saisie sa langue a l'aide d'une pince longue et fine de ferronnier et la tire comme il le ferait d'une guimauve. Il sort de sa poche une pince à dessin noir et la clipse sur la langue. Laure ressent une douleur qui lui traverse le corps de haut en bas. Hector se baisse, prend une autre pince. Il écarte les cuisses de Laure, fouraille dans sa toison, écarte ses grandes lèvres, tire et allonge ses petites lèvres. Il présente la pince ouverte prete à mordre la chair fragile. Hector prend soin à ne pas saisir la partie clitoridienne de la fente. Il lache les mors de la pince qui aussitôt fait hurler Laure. Puis, il prend une ficelle de cuisine qu'il passe entre les deux pinces et qu'il tend de telle sorte que Laure est obligée de pencher la tête en avant, la langue sortie et tendue alors que ses lèvres sont elle mêmes au supplice, pincée au sang et tirée vers le haut. D'un air vicieux, Hector se recule et brandit le fouet qui s'abat sur le flanc de Laure. La puissance du coup oblige la belle se tortiller de douleur, ce qui rend le supplice encore plus insoutenable. La douleur l'empêche de rester immobile mais tout mouvement décuple sa douleur.
Fier de son idée, Hector passe dans le dos de Laure et s’attaque à son dos intact jusqu'ici.
Quand le fouet fait le tour du corps de Laure, il enserre et tend la ficelle qui répercute comme la corde d'un violoncelle non pas le son mais la douleur partagé entre la langue et les lèvres de Laure. Hector en joue comme un chef d'orchestre dégénéré et Laure résonne par des gémissements douloureux.
Hector lache le fouet et prend la ficelle qu'il tire vers lui. Laure est tendue comme un arc. A la limite de la tension, il lache la ficelle, ricane et reprend son petit jeux jusqu'au moment ou la pince qui accrochait les lèvres de Laure claque en de clipsant brutalement. Laure, les yeux écarquillées redresse la tête cherchant l'air la bouche grande ouverte dans un cri muet. Sa tête retombe inerte, les cheveux couvrant son visage, évanouie.....Immédiatement la manque d'air et la pression de la chaine autour de son ou la ramène à la réalité, elle s'étouffe. Hector la libère, Laure tombe à genoux. Fouillant dans son sac, il en sort une barre d'écartement qu'il commence à fixer aux chevilles de Laure, qui se retrouve les jambes largement écartées.
Les lèvres de son sexe sont tuméfiées et gonflées. Elles sont bien visible malgré sa toison blonde. Hector saisie la barre par le milieu l'accroche à un palan et commence à manœuvrer le système. Par à-coup, Laure se sent soulevée en chandelle. Hector la hisse jusqu'a ce que seule la tête et les épaules de Laure reposent sur le sol. Il s'approche, le sexe de Laure est sous ses yeux, offert, écartelé.
Et bien ma petite, on va débroussailler tous ces poils et rendre le terrain accessible. Hector va à une armoire en bois et aux portes dégondées et revient avec une vielle lampe a souder. Il sort un briquet, ouvre le gaz et allume la torche. Laure gigote dans tous les sens.
- bouge pas, sinon je vais te faire cuire comme une escalope. Il regle la flamme et approche de Laure. Il joue à approcher la flamme et à lécher les cuisses de Laure. Sortant une cigarette de son paquet de gauloise brune, il l'allume avec la lampe, se la colle au coin des lèvres et attentionné, les yeux plissés, commence à griller en surface les poils blondins. Laure sent la forte chaleur et presque la brulure, elle ne bouge plus de peur des conséquences.
Hector se penche sur son travail. Il a brulé les poils au trois quart et ne reste qu'une morne plaine aux brin noir brulé. La peau de Laure à été épargnée mais tout son sexe est échaudé. Ses lèvres en sont ouvertes comme une fleur au soleil et un leger nectar perle à l'entrée de son vagin.
Bon, on finalise le travail. Ne bouge pas sinon tu perdras ton clit et le reste.
Hector sort de sa poche un rasoir de coiffeur. Il est ancien, vieux mêmes. La lame est rouillée et émoussée. Il s'approche tout près et Laure peut sentir la rougeur de la braise de la cigarette toute prete de son clit.
Hector fait une première passe. Ca crisse et ce rasage à sec, échauffe encore plus la peau de Laure. Au bout de cinq minutes, le sexe de Laure est lisse, net mais toute sa peau est rouge, enflammée.
Ses lèvres sont turgescente, son clit est tendue et sort offert. Son vagin coule comme pour éteindre ce feu infernal. Hector se régale du spectacle.
Dans un dernier acte, il prend le mégot de sa cigarette ,souffle sur la dernière braise et rapidement l'écrase sur la base du clitoris de Laure tout en faisant bien attention à ne pas toucher la tête de l'organe fragile.

La punition va trop loin, beaucoup trop loin pour elle. Elle sanglote alors qu'Hector se relève son travail terminé.
-tu devras m'entretenir tout ça sinon, c'est moi qui le ferai ok?
Laure pleurniche un oui monsieur à peine audible ce qui fait sourire Hector qui reprend sa cravache. D'un coup sec à l'intérieur de la cuisse, il la reprend:
-Comment? je n'entend rien.
-Oui, Monsieur,
un deuxième coup plus fort:
-Comment?
-Aie, oui, Monsieur!
Tu sais parler c'est très bien mais est-ce que tu sais compter?
Il claque l'entrejambe de Laure qui hurle de douleur.
Tu vas compter 20 coups pour chaque coup donné sur tes fesses. Si tu ne donnes pas le bon compte, ce sera 5 coup sur ta chatte et on reprendra à zéro.
Compris ???
Oui dit Laure toujours offerte les jambes grandes écartées et le sexe sans plus aucunes defense....
le premier coup tombe :
-Aie! un.
-Aie! deux. Laure souffle la douleur est atroce. Un troisième coup s'abat
-Argh!! trois. Arrêtez s'il vous plait j'ai trop mal...
-Silence! ou on recommence!
-4. Hurle Laure
deux coup tombent en mêems temps
- Aiiie !! 5 !!!
-faux! on en est à six! Aller on repart à zéro!
Deux coups claquent violement sur sa chatte de Laure qui comprend qu'Hector s'est armé d'une seconde cravache.
-Ahh!! Un, deux!
Laure n'a jamais connue une telle douleur. Heureusement plus que trois coups.
-ahhhh! trois.
-Quatre,
- cinq.
Laure a l'impression de sentir son cœur battre dans son sexe, pleurant à chaudes larmes elle se jure de ne plus se tromper.
Les coups reprennent sur se fesses, Hector joue à varier la fréquence de ses coups pour perturber Laure. Un coup, deux coups, voire trois s'abattent par rafale.
-8 heu non 9, HAAaaaa Hector lache une rafale de coup directement sur son sexe. Laure pleure, se débat dans un bruit de chaine.
Hectore lache ses instruments et va chercher sur un établi une bouteille d'eau de Cologne. Il s'en verse sur les mains et les frictionnent puis prenant la bouteille il va vers Laure.
L'odeur de l'eau de Cologne inquiète tout de suite Laure. Elle tente de resserrer les cuisses sans résultat. Hector caresse le cul de la bouteille le long du sexe de Laure. La fraicheur du verre lui fait du bien. Il penche la bouteille et continue à lisser ses lèvres de sorte qu'elle se sépare. A travers le verre Hector voit par effet de loupe le clitoris grossit. Il écrase bien la bouteille contre. Alors que Laure se détend un peu, Hector retourne la bouteille et largement verse l'alcool sur le sexe de Laure. Sur l'instant une douce fraicheur se fait sur son entrejambe pour être aussitôt remplacée par une coulée de lave qui ravage ces fragiles organes. Positionnée comme elle l'est, l'alcool a vite fait de se faire un chemin en son intérieur. Laure essaie bien de bloquer ses muscles mais la fatigue et la position laisse le produit l'enflammer.
Hector se réjouit du spectacle. Son sexe emprisonné dans sa cage et surexcité veut gicler coute que coute. Il sort de son pantalon ce paquet de fer. Sa verge emprisonnée mais en érection est violacée. du precum coule de son méat en un long filet. Ses couilles lui font mal. Il s'approche de la bouche de Laure et lui intime l'ordre, sous la menace d'enflammer l'eau de Cologne, de glisser sa langue entre la fente de sa cage.
Laure dégoutée doit obéir. le filet de precum coule sur sa langue. Elle fait de son mieux pour glisser à l'intérieur du méat la pointe de sa langue. Hector lui pousse des reins instinctivement. Pour accélérer son orgasme, il prend les tétons de Laure qu'il maltraite en tout sens. Il sent venir cet orgasme bien particulier qui sans se toucher vient du fond du corps. Il sent la sève monter lentement. I lse concentre sur les seins martyrisés et la langue qui va recevoir son jus. Laure elle accélère, la langue à la limite de la crampe et les seins en feu. Dans un long râle, Hector voit sa queue faire des soubresauts comme un taureau coincé dans les stall d'un rodéo. Le sperme explose en jet conscrit par la cage. Hector tiens la tête de Laure qui reçoit ce jus chaud visqueux sur sa bouche en des jets détournés. Hector pousse les dernières giclées dans la bouche de Laure. Le métal cogne contre ses dents et le gout acre lui emplie la gorge.
Hector se relève. Il va au fond du hangar et Laure entend un jet d'urine taper contre le mur. Elle mêmes voudrait bien uriner et rincer son uretre atteinte par l'acool.Au lieu de ça, elle sent son sexe la bruler. le goût d'Hector ne la dégoute bizarrement pas, elle déglutit même comme pour ne rien gâcher. Hector revient vers elle et lui met son sexe emprisonné devant la bouche.
-Nettoie.......
Laure tète et aspire ce qu'elle peut. Le métal lui trinque les dents. Hector se retire et remet son sexe dans son pantalon. Il libère Laure qui à bout de force à du mal à se lever. Il l'aide et l'entraine dehors.
- Tu vas aller au bain. Tu feras la connaissance de Claude......
Laure est apeurée, qui est-ce encore? Elle devient le jouet de tout le monde, ce n'est pas possible d'être ainsi souillée. Pourtant elle ne pose pas de question, sure qu'elle pas d'autre choix que l'obéissance. Hector la tien toujours par le bras, mais n'a même pas besoin de la contraindre.
Il se dirige vers la maison. Une fois rentré, Hector indique à Laure l'escalier. Monte là haut. Claude t'attend...
Fébrile et nue, Laure monte les marches regardant Hector qui la fixe sans sourciller. Pourtant pudique, Laure ne se cache même plus. Arrivée sur le palier, une porte est entrouverte. Laure s'approche et frappe.
-Entre.
Laure s'avance. Quelqu'un est assis sur le lit. la tête basse Laure découvre de magnifiques escarpins, certainement des Louboutin puis des jambes gainées de bas 15 deniers. Laure est impressionnée et découvre un grande femme longiligne dans un tailleur cintré du plus bel effet. La femme est extremement classe, maquillée ce qu'il faut, des griffes à la place des ongles et un chignon mettant en valeur ses pendantes en diamant.
Il se dégage de cette personne une aura envoutante. Tout est sensuelle en elle. La cambrure accentuée par la coupe stricte du tailleur et la finesse de la jambe que les hauts talons mettent en valeur. Laure imagine les cuisses gainées et fuselées et la démarcation entre chair blanche et bas noir. Elle ne sait pas pourquoi mais elle est autant attirée que impressionnée surtout quand cette femme se lève et la dépasse de deux têtes. Déjà grande, ses Louboutin ,au moins des 140mm, finissent sa silhouette longiligne Les seins volumineux sont soutenu par un soutient gorge à balconnet sein nue. Ce genre de soutien gorge Laure n'a jamais osé en porter. Les pointes de seins sont dégagées, offerts hors de la corbeille de tissus et pour peu que le chemisier soit un peu fin et transparent comme c'est le cas là, et l’indécence se mêle à l'audace d’exhiber ses tétons pointés. Laure qui a les yeux juste à la hauteur des seins est hypnotisée. et sa bouche entrouverte serait presque à effleurer le tissus électrique
Voyant son trouble la femme sourit d'un air carnassier.
- Tu aimes ma tenue?
-oui, madame.
- c'est bien tu es polie, c'est un bon début.
-Et toi quel était ton style avant de venir ici?
-Normal, madame, comme toutes les filles de mon âge.
-C'est-à-dire? jupe ou pantalon?
-les deux, les jupes c'est joli, mais les pantalons c'est pratique.
-ici tu ne porteras que des jupes. Ton maître te veux parfaite, tu seras donc sexy mais classe en permanence.
-J'ai apporté quelques habits pour tester des choses, mais avant, tu dois te laver tu empestes petite souillon.
Ha oui au fait, je m'appel Claude. Toi par contre pour moi tu n'es rien d'autre qu'une chose à servir
Claude l'a dirige vers une salle de douche. Elle fait le triple d'une salle de douche à l'italienne.
- Place-toi au fond.
Laure s'exécute. Claude prend ce qui ressemble à une lance à incendie reliée à un gros tuyau à part que celle là est chromée et avec des réglages de jets.
-Les mains derrière le dos, écarte les jambes.
Laure s'exécute un peu inquiète de ce lavage particulier. Claude ouvre un jet très léger et augmente la pression pour frapper le corps de Laure. Laure sursaute l'eau est gelée.
- Ne bouge pas c'est bon pour la peau.
Le jet monte en pression à tel point que Laure à du mal à ne pas reculer sous la force du jet. Claude dirige la lance sur les seins de Laure. Ses seins tressautent en tout sens sous les divers angles de frappes que dirige Claude. Ses tétons durcis par le froid sont tendus, violacées. Sa peau est hérissée de chair de poule et Laure commence à claquer des dents.
- Ecarte bien les cuisses !!!
Péniblement elle s'exécute mais la douleur est trop vive, Laure referme les jambes en se plaignant.
-encore un peu! Écarte.
Laure obéit en serrant les dents de froid et de douleur, elle a l'impression que des milliers de petites aiguilles lui transpercent le pubis mais cela calme au moins le feu du rasoir qui lui a mis le sexe en feu
Claude pose la lance, prend un gant de crin et le plonge dan un petit seau pour le ressortir gluant d'une pate noir
Voyant l'air interloqué de Laure, Claude souris.
- ce n'est que du savon noir mélangé a du piment d'Espelette. C'est une spécialité du sud ouest mais plutôt réservé aux initiés. Approche!
Laure approche inquiété alors que Claude lui frotte énergiquement le pubis, trés vite Laure sent une brulure et se met à hurler en faisant un pas en arrière.
-Arrêtez c'est horrible.
-Approche lui dit Claude d'un air sévère.
il lui glisse la main entre les jambes et commence à la caresser. Les doigts agiles de Claude, la paume qui lisse, passe et repasse sur ses lèvres calme la douleur. Du coup Laure se laisse aller, le ventre en avant en soupirant. Bientôt la voilà qui ondule sous les doigts, les jambes tendues. Les doigts de Claude caressent le sexe de Laure comme si elle connaissait par cœur son corps. Experte, elle obtient de longs gémissements de Laure qui sent le plaisir monter. Alors que Laure le ventre tendue en avant, prête à un orgasme libérateur se mord les lèvres aux portes du plaisir, Claude, techniquement se joue d'elle. Elle la suspend le clit hyper sensible au point que la moindre caresse la ferait partir et puis s'éloigne du point explosif pour lui caresser l'intérieur des cuisses, puis revient lui claquer dans un bruit sec la chatte et repart à la faire pleurer d'envie de jouir.
-Veux-tu que je continue?
-Oui, s'il vous plait.
-Tu es une vraie petite salope dis-moi;
Laure ne se contrôle plus vraiment.
-Oui, madame.
-Dis-le si tu veux que je continue.

Laure tend son pubis en guise de réponde mais Claude la prend par la main et l'entraine dans la chambre.
Debout, le corps transie de froid et l'esprit en fusion Laure accepte la serviette chaude que lui tend Claude. Elle s'en entoure le corps et comme une naufragée perdue reste là à attendre la suite des évènements.

- Hum, Voyons voir… Essuie-toi correctement et je vais t’apprendre une ou deux règles que tu devras suivre. OK ?
-Oui, Madame.
Claude lui sourit.
-Je ne sais pas si une idiote comme toi a remarquée, mais ton Maître aime les belles choses et le bon goût. Tu devras donc être en accord avec ce principe.
-je vois que tu as conservé ta manucure de la dernière fois. Peux-tu me dire pourquoi ?
Un peu surprise et ne sachant pas la réponse attendue de Claude Laure lui dit la vérité penaude.
-Je trouve ça joli, et c’est le seul truc féminin que mon père ne m’a pas obligé à supprimer.
-Qu’est-ce qu’il t’a obligé à supprimer ?
-Tout. Le maquillage, les chaussures à talons. Je devais porter pantalon pull et chaussures plates sans aucune trace de maquillage. Mais je le comprends il a été très choqué de ce qui est arrivé.
-Et toi tu as été choquée ?
-Oui, beaucoup. Laure basse la tête et n’ose avouer que même si le choc a été rude, elle n’en garde pas moins des souvenirs incroyables que son côté sombre n’interprète pas tout à fait comme un cauchemar.
Voyant son trouble, Claude n’insiste pas et déguste la gène qu’elle a réussi à provoquer chez la jeune fille.
-Bref ! Ici, ce sera tout l’inverse et je vais vite te donner une idée du dressCode que tu devras suivre.
Claude ouvre une armoire et sort des affaires à priori déjà préparée pour Laure. Elle lui prend sa serviette d’un geste ferme laissant la jeune fille nue devant ses yeux.
-Commençons par le début.
Elle déplie une magnifique guêpière noire faite de dentelle de stretch et de tulle.
-Comme tu peux le voir, c’est du Chantal Thomass. Ici pas de place pour le bas de gamme. On te veut très classe, ton maître reçoit et tu seras amenée à sortir donc il faut que lui fasse honneur.
Experte, Claude aide la jeune fille à enfiler la pièce de lingerie. Un fois ajustée elle lui passe une paire de bas à couture noirs de la même maison. Le contact des 15 deniers sur sa peau fait frissonner Laure.
-Tu apprécie je vois.
-C’est joli, répond bêtement Laure.
-Il ne s’est pas trompé, tu as du potentiel, sourit Claude.
Laure doit ensuite enfiler un tailleur comparable à celui de Claude, noir à liserés gris dans un tissu très soyeux voire brillant. La veste est très cintrée voire étriquée mettant son décolleté en valeur, le dernier bouton arrivant juste sous sa poitrine. La jupe est courte mais pas mini, juste assez pour jouer avec la lisière de ses bas. Une fente sur la cuisse droite encanaille légèrement la tenue et donne un peu d’aisance.
Laure apprécie et essaie de se regarder. Claude l’incite à se regarder dans le miroir de l’armoire.
Elle n’ose pas trop montrer son enthousiasme, mais elle se trouve très jolie dans vêtements qu’elle n’aura jamais les moyens de se payer.
-Et la touche finale !
Claude lui tend une paire de Louboutin. La fameuse semelle rouge se mêlant au noir du soulier vernis est éclatante. Laure les chausse et refermant la large bride sur son coup de pieds, elle contemple le raffinement et le luxe de ces plateformes.
-Lève-ti que je regarde.
Laure obéit, elle n’a jamais vu les choses de si haut. Elle est surprise d’avoir grandit de presqu’une tête.
-Pas mal, ma poulette ! Bon il nous reste le maquillage, la coupe de cheveux mais on n’est pas là pour ça. Donc tu vois c’est ça le dressCode. Rien n’est impératif, pas la guêpière, pas la longueur de jupe ou la hauteur des talons. C’est l‘esprit qui est impératif. Mais ne t’inquiètes pas si ton maitre n’est pas satisfait tu seras sévèrement punie et tu apprendras vite fais-moi confiance.
Intérieurement, Laure se dit qu’il y a pire comme règle à suivre, elle ne s’est jamais sentie aussi belle dans des fringues et on lui demande de continuer. Au milieu de son calvaire, c’est une vraie bouffée d’oxygène.
-Tout travail mérite salaire, je vais me payer sur la bête comme on dit.
Laure comprend de suite. Elle n’est pas lesbienne, elle n’a jamais fait ça. Claude est une très belle femme mais tut de même. Elle est condamnée à débauche dans cette maison ? Laure ne sait plus quoi penser si ce n’est que tout lui échappe et qu’elle n’est qu’un objet à la merci de tous ici. Déjà résignée, pas un moment elle ne conteste ou ne tente d’échapper la sentence. Claude retire sa veste et la laisse tomber sur l’épaisse moquette.
-Approche.
Laure fait un pas.
-N’aies pas peur je ne vais pas te manger.
Un deuxième pas, Claude lui prend les mains et les amène doucement sur le zip de sa jupe. Guidant Laure, la fermeture descend, la jupe s’ouvre et Laure s’accroupit et accompagne la jupe qui descend le long des jambes de Claude. Un détail attire son attention, sous son string en dentelle, Laure en découvre un deuxième en latex plutôt épais. Claude s’appuie sur la tête de Laure pour lever un pied puis l’autre et se dégager de sa jupe. Mettant la main dans son string, elle en ressort par le coté un pénis, plutôt long bien épais et surtout bien réel. Un homme, Claude est un homme. Laure fixe le membre incrédule. Devant la stupéfaction de la jeune fille, le transsexuel ne lui laisse pas vraiment le temps de réagir.
-Au boulot ma petite et ne me dit pas que tu n’as jamais taillé de pipe.
la bite est bien raide, les veines saillantes par la compression du membre par la couture du latex. Elle a un mouvement de balancier qui hypnotise Laure.
- Dit donc, je ne l'ai pas sortie pour qu’elle prenne l'air !!!
Cette réflexion rappelle à Laure le film Requiem for edream ou un black qui d'une fille e lui fait la mêmes réflexion.
Elle ouvre la bouche en un jolie O et lentement absorbe toute la longueur de l'engin. Arrivée le nez contre le latex, elle repart en arrière en une aspiration à faire rougir une sangsue. Claude, la tête en arriere emet un long soupir de contentement.
IL passe la main dans son slip et dégage, en plus de sa bite, la masse de ses testicules. Laure est confuse. Voilà qui chamboule ses repères classiques. Cet homme/femme femme/homme, comment le replacer, faire que se qu'elle a toujours crue être "normal" ne lui échappe pas. Cette douceur de peau, de personnalité. Ces seins lourds et féminin et ce sexe dur qui est le pilier de la référence masculine planté là à la narguer de son gland violacé. Le physique n'est donc pas tant que ca un reférenciel de la vrais nature de l'être ? Une bite, pas plus qu'un clit urétral et les grandes lèvres des testicules en devenir ? Toutes ces pensées occupes l'esprit de Laure qui consciencieusement suce son ..... "Partenaire " pour rester unisexe...
Claude, lui, sent ses couilles gonfler au fur et à mesure du travaille de pompe de Laure. Il à bien remarqué la confusion de cette petite femelle bien dans le rang qui, tranquille de sa représentation sexuelle, se fait mettre la chatte offerte par ses petits amant Mâle qui la baise sans se poser de questions sur une éventuelle tendances physique ou mental à se sentir ou être de l'autre sexe.
Claude la commande :
-je vais te baiser la bouche, tu pompes fort quand je me retirerai et tu laisseras simplement tes lèvres sur ma queue quand je m'enfoncerais. Tu as compris?
Laure bouge la tête en signe d'approbation. Claude s'enfonce lentement
Elle recule un peu la tête quand il arrive au fond de sa bouche
-tranquille là.... dit il en lui prenant la tête à deux mains
Il se renfonce lentement et une fois au fond de sa bouche il colle la tête de Laure contre son ventre. Laure qui pensait être en bout de course sent le gland passer sa luette et passer l'entrée de sa gorge. Un reflex lui fait régurgiter mais Claude s'enfonce au contraire le gland encore plus gros de sang congestionné. Laure a littéralement les dents plantées dans le ventre de son tortionnaire. Elle n'arrive plus a respirer mais Claude maintient et sens un volcan en phase d’éruption en ses couilles. Il tapote le fond de la gorge de Laure qui le visage violacée est au bord de l’évanouissement. Les mains crispées sur sa tête, Claude, la bouche ouverte laisse venir et monter un feu de laves le long de son membre. De son gland gicle à répétition son jus blanc qui injecté directement dans la gorge de Laure, l'étouffe et l'inonde jusqu'à remonter dans sa bouche pour exploser sur le ventre de Claude.
Quand il ressort de sa bouche, il la réprimande:
-Petite idiote! Nettoie-moi tout ça! Il faut que tu apprennes! Nous recommencerons immédiatement dès que tu m'auras remise en condition.
-Pardon Maitresse.
Soumise Laure lèche le sexe pour le nettoyer. A aucun moment elle ne pense à se refuser, au contraire, elle s'en veut d'avoir fauté. Ayant presque terminé, elle se fait interrompre :

-Aller, ca suffit comme ca, garde ta langue pour tout à l'heure. Je vais te faire faire connaissance avec la cuisinière. Tu devras lui obéir en tout ordres qu'elle pourrait te donner..

Claude range son sexe et se réajuste, pendant que Laure fait de même un peu déçue de ne pas avoir terminé sa tâche. Claude sort de la chambre suivie de Laure tête basse. Les talons des deux femmes claquent sur le parquet et dans le grand escalier.
Pendant ce temps, Laure regarde Claude
Comment un homme peut il être aussi féminin dans son attitude et son physique. Hormis ce sexe qui bande et jute, rien d'autre ne rappelle la masculinité. Laure perdue dans ses pensées à encore le goût acre du sperme de Claude dans sa bouche. Elle ressent une chaleur au bas de son ventre. Elle aimerait poursuivre ce que Claude lui a laissé entrevoir.


Claude arrive à une porte qui donne sur une grande cuisine. Il fait entrer Laure. De dos, une femme corpulente est entrain de couper de la viande dont elle lance les morceaux à un chien, un doberman qui att au vol les morceaux dans un claquement sec
- Voici ton commis de cuisine. Surveille le doberman, tu sais bien qu'il adore ce genre de femelle....

FIN du chapitre……………

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