Visite À La Voisine
Elle ma invité comme nouvelle voisine à prendre un café et je ne refuse pas ce petit
rien. Cest vrai que je me sens seule depuis ma mutation en avancement. La ville est
agréable, pas loin dune foule de lieux : la mer, la montagne à vache et plus loin des
stations de ski.
Je me fais presque belle avec ma robe bleue, mes bijoux. Elle maccueille
chaleureusement. Nous bavardons de plein de chose, à nous rapprocher par nos état
dâme.
Elle prend ma main, la regarde, la caresse doucement. Je ne peux mempêcher de lui
dire :
- Vous ne me draguez pas non ?
- Moi, un peu !
Elle me drague un peu... Quest ce que je dois faire ? menfuir, crier au viol,
essayer et participer ?
Je me décide vite, je suis curieuse, cest ma voisine, jessaie, même si je sais
comment marchent les filles jen suis à ma première fois. Et puis, elle est mignonne,
sous ses habits elle semble bien fichue. Je suis tentée, je succombe. Et pendant que
mon époux travaille jaurais un dérivatif.
Les « on dit » ne peuvent pas exister, nous habitons le même palier. A moins quelle
me demande daller ailleurs avec elle. Pourquoi pas après tout. Tromper son mari ici
ou ailleurs, quelle importance, surtout avec une autre femme : ça ne compte pas
puisquelle ne peut utiliser son sexe contre le mien.
Je turbine à 1.000 t/s à lheure ( ! ) Davance jai mes excuses, davance je me
déclare innocente. Et puis, je peux reculer encore sauf quelle pose ses lèvres sur
moi, holà, pas sur la bouche, sur une joue. Je sens sa chaleur, sa douceur. Sa main
droite se pose sur mon épaule. Je sens encore plus sa chaleur. Je la voudrais contre
moi.
- Tu sais ce serait bien nous deux !
- Pourquoi nous deux ?
- Tu nous vois avec nos maris, maintenant, ils voudraient nous baiser. Nous
somme mieux seules.
Cette fois elle membrasse sur la bouche.
langue force un peu pour entrer. Si je la laisse faire, je vais tomber dans ses
filets. Si je ne la laisse pas faire, je le regretterais. Alors nos langues samusent
comme des folles dans la bouche de lautre. En plus sa salive a un gout attirant. Et
puis tout sarrête, nous nous séparons. Nous nous regardons, moi avec un air in,
elle avec lair de celle qui va agir, qui sait.
Cest mon cou, coté gauche qui reçoit ses lèvres. Elle passe ses mains sur le dos, je
frémis. Elle les descend tout en bas. Elle ne va pas quand même les poser sur les
fesses. Depuis que je suis mariée, seul lui ma touché et caressé les fesses, jaime
ça. Elle se lève en mentrainant vers je ne sais où. Elle est contre moi. Notre
conversation est tombée à leau. Je le sens contre moi, tout son corps contre le mien.
Elle est toujours chaude. Ses mains englobent les fesses. Et puis là, elle passe une
main sur les hanches. Lautre la rejoint. Ses lèvres ne quittent pas le cou. Cest
assez agréable.
Elle passe les mains sous le t-shirt, dans le dos. Elle sattaque au soutient gorge
quelle arrive à défaire. Mes seins sont libres, Si je bouge trop ils vont balancer.
Je ne sais comment elle fait : elle sort le sousting par une manche. Elle met à
nouveau ses mains sur moi : elle caresse les seins qui enflent, je le sens. Elle tord
un peu les tétons ça mexcite pas mal.
Je devrais me défendre, lui interdire de me toucher. Je suis molle sans mes réactions.
Elle le sait, la garce. Ma chère voisine passe une main sur le jean, juste à
lemplacement de ma chatte. Elle frotte fort : je sens ce quelle fait. Elle ouvre la
braguette, y fourre la main. Elle est sur la petite culotte. Je la sens caresser mes
endroits très sensibles.
Je me laisse toujours faire : comment me dépêtrer après avoir accepté le début.
suis une sotte, je naurais jamais du lui permettre tout ça. Elle passe ses doigts sur
une partie de ma chatte, la partie où jaime me faire masturber là où je me caresse.
Je ressens un plaisir plus fort quavec mon mari : peut être parce que cest une femme
qui sait exactement où aller, comment faire. Il manque quelque chose quelle apporte :
sa langue dans la bouche. Elle narrête pas son baiser, si elle arrête le reste. Je
men rends compte au fur et à mesure quelle le fait : je suis nue entre ses bras. Je
sens son corps aussi nu que le mien. Jouvre les yeux pour la regarder. Elle est bien
bâtie, bien faire avec des seins qui me semblent plus petits que les miens. Elle
continue son uvre de dislocation : je suis docile, je suis prête à tout. Je passe une
jambe sur la sienne, mon sexe est entrouvert. Elle en profite pour caresse lintérieur
de la jambe. Je ne sais que faire, alors je subis. Sa main sapproche de mon puits aux
trésors. Elle ne va pas mettre ses doigts dedans ?
Ca y est, elle me caresse là où jadore. Mon clitoris est sa cible. Cest bon, trop
bon. Je jouis trop vite. Je na pas le temps de dire encore, quelle recommence. Mais
elle nest plus à coté de moi.
- Ne bouge pas. Tu verras comme cest bon.
Je ne bouge pas, elle vient en face de moi, je vois son visage en entier, elle passe
entre mes cuisses qui souvrent sans pudeur. Je sens ses cheveux contre moi, je les
sens contre le pubis. Elle me regarde droit dans les yeux avant de poser ses lèvres
sur les miennes. Son baiser spécial me fait crisper : sa langue lèche le clitoris. Je
mécroule sur le lit, son lit. La langue passe dans les recoins de mon con. Sa main
soccupe du reste : une sur mon sein, lautre vers mon petit trou. Je ne pensais pas
quelle ailler jusquà me caresser lanus.
Je mentends gémir de plus en plus fort. Elle me fait jouir plusieurs fois.
seul coup elle change de position : elle me donne sa chatte sur la bouche. Ma première
fois. Jhume, je goute. Cest bon, je lèche à mon tour.
Jai de la chance je la fait jouir moi aussi. Nous recommençons plusieurs fois.
Elle maccompagne nue jusquà sa porte. Je traverse le palier, nue comme elle. Avant
dentrer chez moi je lui dis simplement
- A demain.
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