Premier Été Sans Emilie (2)
Après notre journée plage, nous rentrâmes ensemble Bruno et moi. Il me laissa sur le pas de ma chambre. Je lui proposais de rentrer et de poursuivre ce que nous avions commencé mais il refusa, me disant quil valait mieux que lon attende. Que ça nen serait que meilleur. Déçu je me suis donc contenté de me branler sous la douche.
La semaine se passa. Je croisais Bruno et nous nous disions bonjour comme si rien ne sétait passé. A chaque fois je bandais et craignais que cela finisse par se remarquer. Jattendais le dimanche avec encore plus dimpatience que les semaines précédentes.
Je le trouvais comme à son habitude au bar une bière à la main. Je minstallais et commandais la même chose. Ii engagea la conversation sur des sujets banals. Il me proposa comme à chaque fois de sortir avec lui. Cette fois jacceptais. Nous finîmes nos bière et je le suivais. Nous fîmes un tour en ville mais sans nous arrêter dans un bar ou en boite.
Je ne suis pas certain que tu sois dhumeur pour un verre, ou pour trainer en boite. Rien quà voir la bosse dans ton pantalon je devine que tu penses plus à mon cul et à ma bite quà une bière, me dit-il alors que nous nous étions assis sur un banc en front de mer.
Jy pense depuis notre journée à la plage. Jai vraiment envie daller plus loin.
Il se leva, me lança un regard sans équivoque et je le suivis. Nous regagnâmes sa chambre. A peine la porte fermée et les rideau tiré il envoya baladé ses vêtements. Nu devant moi, sa belle bite dressé il commença à se caresser.
Tu préfères quoi, je te suce dabord, ou cest toi qui commence.
Je me mis a genou et lui pris sa bite en bouche. Je lavalais complètement avant de la sucer. Il sinstalla sur le bord du lit et me guidait en posant ses mains sur ma tête. Jaimais cette soumission a son plaisir.
Je suis ta chose lui dis-je entre deux sucions.
Alors lâche ma queue et donne moi ton cul.
Je me reculais, me déshabillais. Il enfila une capote, sorti un tube de lubrifiant. Je me mis a quatre patte sur le lit. Je sentis le froid du gel sur mon trou, son doigts qui y entra pour préparer le terrain. Ma queue jutais sur les draps dexcitation. Son gland vint se poser entre mes fesses et sans préavis dun coup de rein il menculas. Je lâchais un cri de douleur. Javais perdu lhabitude et la bite de Marc était moins grosse. Il était plus délicat aussi. Il me pilonna sans se soucier de moi. La douleur qui mavait traversé le corps se transforma peu à peu en plaisir. Ses mains me tenaient les hanches accentuant la force de ses coups de rein.
Tu aime ça, disait-il, tu aimes de faire défoncer, tu es ma petite pute du cul, tu aimes ma grosse bite.
Jaimais ça, plus il me baisait plus jaimais ça, plus le plaisir montait. Jeu un premier orgasme, plus fort que ceux que javais connu. Tout mon corps se contracta et jéjaculais sur le lit de Bruno. Lui nen avait pas fini et continua jusqu'à se vider les couilles dans mon cul. Je sentis son foutre chaud remplir la capote. Il se retira, ôta la capote quil envoya valser, et se coucha à côté de moi.
Désolé si je tai fait mal, je suis parfois un peu brute, mais javais trop envie de ton petit cul.
Il membrassa sur le front et descendit vers ma queue. Javais un peu débandé mais il ne lui fallu que quelques secondes pour que je redevienne dur entre ses lèvres.
Baise moi maintenant, tu en rêves aussi, mon cul est à toi.
Il se tartina la rondelle de lubrifiant, me mit une capote et se mit en position.
Contrairement à lui, et même si jen avais très envie, je me fis plus doux, moins violent. Je le pénétrais lentement, retrouvant le plaisir dun petit cul bien étroit autour de ma bite. Après sa sauvagerie jappréciais de prendre mon temps. Par petit coup, progressivement. Bruno mencourageait à accélérer mais maitre du jeu je retins le plus longtemps ma rage avant de me lâcher.
Baise moi mon salaud, criait-il, encule moi comme un chien, fait moi crier.
Je le baisais comme je navais jamais baisé personne de ma vie. Sauvagement, sans tendresse. Je hurlais de plaisir en lui jouissant dans le cul. Il retomba sur le lit, moi aussi. Essoufflés. En sueur.
Une fois que nous eûmes reprit nos esprit, il le leva me jeta mes fringues et me dit de partir. Devant ma réaction il me dit que je nétait pas son petit ami, juste son plan cul. Pas question de dormir ensemble, de se faire des câlins et des bisous. Si je voulais baiser il était daccord, une petite pipe à la plage aussi, mais pour le reste cétait sans lui. Je pris mes fringues me rhabillais et le quittais.
Le temps que je rentre à ma chambre ma colère avait disparue. Jétais daccord avec lui. Javais une petite amie, et pour lété un plan cul cétait parfait.
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