Ma Femme, Son Amant, À L'Hôtel Avec Un Troisième Homme

Après ces deux expériences réussies avec des hommes qui l’avaient comblée et où elle avait découvert le plaisir d’être baisée et de se laisser complètement aller avec d’autres hommes, je me suis dit qu’on pourrait réunir les étalons dans une même écurie pour grimper la jument. J’ai donc envoyé des messages aux deux amants et nous nous sommes mis d’accord sur une rencontre un samedi après-midi dans un hôtel près de Colmar. Je ne lui ai rien dit, juste qu’elle allait être prise le samedi dans un hôtel. Nous sommes arrivés un peu avant et elle a été préparée : jupette noire, haut en argent avec fermeture éclair et masque rouge à paillettes. Elle s’est installée sur le lit et elle a attendu. J’étais sur le parking de l’hôtel et ils sont arrivés à l’heure. Les libertins sont toujours à l’heure ! Je leur ai simplement dit : « elle vous attend » et les ai conduit à la chambre. A leur entrée, ils sont allés l’embrasser tous les deux sur la bouche , et elle a répondu à leurs langues goulues avec délice. Je me suis assis près de ses cuisses écartées, j’ai soulevé la jupette pour découvrir sa petite motte déjà un peu ouverte et rasée et elle leur a dit avec beaucoup de gentillesse qu’elle attendait leurs belles queues et qu’elle était à eux pour l’après-midi. Elle voulait voir leurs sexes et ils se sont déshabillés rapidement. J’ai rangé les habits pendant qu’ils le faisaient se lever et s’appuyer au montant du lit superposé en cambrant ses fesses. Ils étaient à la hauteur de la fenêtre et un observateur attentif aurait pu les voir.
Le premier, E., l’a embrassée avec passion et le deuxième, N., est allé chercher son autre bouche entre ses jambes avec sa langue en passant sous la jupette. Il l’a léchée longtemps pendant que E. lui malaxait les seins et lui suçait la langue. Puis N. a pris un doigt et a commencé à la branler. Il a ensuite enfilé un autre doigt dans son anus et a bougé comme une fourchette qui la masturbait dans les deux trous.

Elle gémissait déjà beaucoup et E. l’a penchée en avant et lui a donné sa queue à sucer. On entendait le clapotis de ses trous humides et le bruit de succion sur la queue.
Puis ils l’ont allongée sur le lit et l’ont caressée et sucée de partout, N. la mettant à qutre pattes pour se glisser sous elle et lui bouffer le clitoris pendant que E. léchait son trou du cul avec avidité. Elle avait sa bouche sur la queue énorme de N. et l’enfilait jusqu’à la luette.
Ils ont joué comme ça pendant une heure et elle a eu deux orgasmes qui ont dû faire le bonheur des chambres voisines.
Ensuite, N. l’a empalée avec toute sa puissance et j’ai remarqué combien elle avait besoin de ce pilonnage long et fort que je ne pouvais lui donner. Elle était étalée sur le lit et a cherché avec sa main la queue de E. qui ne s’est pas fait prié.
Pour un petit temps de repos elle s’est ensuite allongée entre eux et ils ont échangé des longs baisers humides, des léchouilles sur le corps et l’ont branlée doucement pendant qu’elle les encourageait de la voix. Elle a dit tout haut : je suis une grosse pute et j’adore baiser avec vous et c’est encore mieux quand mon mari regarde ! ».
Elle s’est levée et s’est positionnée au-dessus d’eux pour qu’ils voient bien ses trous qu’elle a tenu écartés en les excitant de la voix. N. lui a alors dit qu’il voulait l’enculer et elle s’est laissée tomber sur sa queue et a offert son trou du cul. Puis il a changé de préservatif, est venu dans sa chatte et E. s’est placé derrière elle et est entré d’un coup dans son cul déjà largement ouvert par la grosse queue de N.. Je filmais tout et étais excité de voir comment elle se laissait aller et quelle jouisseuse elle était. Ils la serraient entre eux et l’écrasaient sous leur poids. N. L’embrassait à pleine bouche et crachotait un peu sur ses lèvres pour les rendre très humides, afin que leurs bouches glissent mieux l’une sur l’autre. Ils on t joui ensemble, comme des animaux et sont restés longtemps les uns dans les autres, tellement ils se sentaient bien.
Tout a une fin, cette après-midi de cul aussi. Ils l’ont encore embrassée et lui ont palpé ses trous humides en leur disant à bientôt. Elle est allée se doucher, on est montés dans la voiture et nous sommes allés faire des courses au supermarché. Je savais qu’elle venait de se faire troncher comme une truie et la regardais choisir des fruits et de la viande comme si rien ne s’était passé quelques minutes auparavant. J’étais très fier de l’avoir livrée à ses envies et ses turpitudes.