Se Soumettre À L'Impensable ... Deuxième Partie
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Comment avais-je pu en arriver là
A leur départ, jétais complètement sonné.
Abasourdi, lair absent et des douleurs partout davoir été ainsi malmené.
Un goût fort dans la bouche et surtout très très mal aux fesses.
Je dormis très mal cette nuit là. Trop dimages se bousculaient.
Javais beaucoup perdu en si peu de temps.
Jétais passé dun statut dhétéro convaincu à celui de « salope soumise » en un après midi.
Javais laissé un homme me prendre par les fesses je lavais sucé et javais avalé tout son foutre.
Plus encore, il mavait partagé avec son cousin !!!
Le pire, fut quil me filma pendant toute cette séance et quil menaçait denvoyer le film sur le net, si je ne lui permettais pas de soumettre ma maîtresse.
Je ne voyais aucun moyen, déchapper à ce piège.
Je neus pas de nouvelles pendant plusieurs jours. Je recommençais à espérer quil ne sétait agit que dun cauchemard et quil abandonnerait son idée daller plus loin.
Le mardi de la semaine suivante, on sonna à ma porte. Mon cur fit un immense saut dans ma poitrine. Je me mis à respirer beaucoup plus vite.
Je mis mon il au Judas et je failli me trouver mal
CETAIT BIEN ANATOLE !!!
Je pris une grande inspiration et jouvris la porte.
-« Bonjour ma belle laisse moi entrer »
Ca y était, il recommençait à me traiter en fille et simposait directement .
-« Fais moi un café et reviens me le servir à poil. »
Je parti dans la cuisine sans dire un mot et fis le café. Pendant quil passait, jenlevais mes vêtements comme il me lavait demandé
Sur ce ton faussement agréable mais qui, en fait, ne supportait pas la contradiction.
Je revins avec le café et entièrement nu. Je le servis sur la table basse et pendant ce temps, il me caressait les fesses.
-« Alors ça y est, tu ten aies remise ma jolie salope ? »
Je ne répondis rien et je baissais la tête.
Il passa un doigt sur mon anus. Je tremblais dappréhension mais il nallât pas plus loin.
-« Bien, je tai dis que je passerais quand jaurais besoin ou envie de tes services tu te rappelles ? »
-« Oui Maître je me rappelle »
-« Bien, finalement tu apprends quand même. Bon, et tu es toujours daccord ? »
Cela me coûtais énormément, mais je répondis :
-« Oui maître »
-« Oui quoi ? »
-« Oui, je suis toujours daccord Maître »
-« Parfait, alors pourquoi nes tu pas encore en position de soumise ma petite salope ? »
Je baissais les yeux, me mis à genoux devant lui et répondis timidement :
-« Pardon Maître ».
Il ne fit aucun mouvement pour enlever son pantalon, me laissant dans le rôle quil mavait imposé. Je devais me conduire comme une salope soumise de sous peine de voir mes frasques exposées sur le net.
Je défis la ceinture et les boutons et ouvrais les deux pans du jean. Il ne portais pas de caleçon et sa bite était presque déjà dure. Il ne me pris pas derrière la nuque pour me laisser tout faire tout seul
ou toute seule
.
Javais réellement limpression dêtre dans la peau dune femme.
Une femme dominée et qui navait dautre choix que de plaire à son maître.
Je mapprêtais à prendre le sexe dans mes doigts pour lamener vers ma bouche.
-« Sans les mains ma salope
tu sais bien non ? »
Je penchais mon visage vers cette bite maintenant parfaitement dressée et qui attendait les hommages de ma bouche.
Je savais quil voulait que je le lèche en le regardant dans les yeux afin quil puisse se repaître de sa position de maître, de dominateur.
Je pointais ma langue timidement vers sa tige droite en remontant vers le sommet, vers le gland.
-« Oublies pas mes boules ma salope. »
Je redescendis vers ses couilles et passais ma langue dessus, les embrassant, les prenant alternativement dans la bouche.
Je me doutais quil avait envie que je pose ma bouche sur son gland et que jattende quil me pénètre lui même les lèvres.
Ce que je fis.
Il sourit en disant :
-« Cest bien, tu sais ce que jaime hein ma salope ? »
Je hochais la tête et comme je voyais quil ne faisait rien, je répondis :
-« Oui Maître »
A peine avais-je fini ma phrase quil posait sa main sur ma tête en appuyant et faisait entrer sa bitte entre mes lèvres asservies.
Il voulait visiblement entrer le plus loin possible, jeus plusieurs hoquets. A chaque fois il se retirait pour se ré-introduire plus profondément.
-« Laisse ta bouche ouverte »
Je lui complu laissant ma bouche ouverte comme un réceptacle pour sa bitte. Il me pénétrait la bouche se retirait et recommençait. Je bavais de plus en plus et il semblait très satisfait.
-« On dirait une actrice porno ma salope cest bien continues come ça »
Jabandonnais toute fierté, je restais dans mon rôle de soumise, je me laissais complètement faire.
-« Allez souris un peu sois VRAIMENT salope ma belle. »
Jessayais de sourire mais jétais trop triste pour ça. Je repris donc ma fellation en silence.
Il me pris sous le menton et me regardât en disant :
-« Si on passait à quelque chose de plus sérieux
Je suis sur que tu en as très envie hein ma salope ? »
Je nosais pas répondre, je voulu retirer le sexe de ma bouche pour me relever mais il interrompit mon geste.
-« Je tai posé une question salope alors TU REPONDS !!!»
-« Oui Maître »
-« Oui quoi ? FAIS DES PHRASES !!! »
-« Oui jai envie »
Je vis son regard se durcir et me scruter. Je sus immédiatement ce quil voulait que je lui dise. Il voulait que je lui offre ma soumission en même temps que mon corps.
-« Oui maître jai
très envie de me faire prendre par vous. »
-« tu as très envie que je tencule ma salope ? »
-« Oui maître jai très envie que vous menculiez »
-« Tu veux encore être ma salope soumise ? »
-« Oui Maître »
-« DIS LE !!!! »
-« Je veux encore être votre salope soumise ».
-« bien va sur le lit et installes toi, jarrive ! »
Il partit aux toilettes et pendant ce temps, je me mis en levrette sur le lit.
Je savais pertinemment quil me voulait dans cette position de soumission et que si je lattendais en écartant, les fesses, il serait encore plus satisfait.
Après un instant, dhésitation, je mis mes mains de chaque côté et jouvris mes fesses pour les lui offrir.
Il entra dans la chambre, je ne le voyais pas mais je devinais parfaitement son sourire satisfait.
-« Cest très bien ma salope, très bonne initiative ! Tu moffres ton cul ? »
-« Oui Maître, je vous offre mon cul. »
-« Pourtant tu nas pas à le faire nest-ce pas et tu sais pourquoi hum ??? »
-«
Oui Maître, parce que mon cul vous appartient. »
-« Bonne réponse. Maintenant, je veux te voir te préparer. Mets toi un doigt dans le cul »
Je lâchais mes fesses mettais un doigt dans ma bouche et enfonçais une phalange dans mon cul.
-« Bien, ma salope, allez fais le tourner un peu ressors le, oui cest bien remets le maintenant
»
Je faisais tout ce quil me demandait comme pour ne pas lui déplaire.
-« Allez écartes bien ton cul, montre moi, comme tu as très envie que je te tamponne »
jouvris de nouveau les fesses.
-« Tu as vraiment envie hein ma salope ? »
-« Oui maître jai vraiment envie »
-« Demandes le !!! »
-« Prenez moi Maître . »
-« Comment on demande ? »
Après un moment dhésitation, je plongeais dans une parfaite soumission :
-« Enculez moi Maître
. Sil vous plait »
-« Cest beaucoup mieux ma salope »
Je sentis quil posait son gland sur mon anneau et quil commençait à me perforer, me pénétrer, membrocher lentement.
La douleur revenait un peu moins forte que la fois précédente, mais tout de même très très présente. Je grimaçais en serrant les dents.
Il sarrêta à mi chemin avant de dire :
-« Allez, à toi de faire le reste du chemin, puisque tu en as tellement envie, fini de tenculer toi même «
Je craignais quil ne me demandât cela.
Je reculais doucement vers son ventre, les larmes me montaient aux yeux. Je continuais progressivement je sentais mon cul sagrandir. Chaque centimètre était plus douloureux que le précédent. Jessayais davancer et de reculer un peu plus à chaque fois sur ce membre tendu.
Lui, ne faisait rien et me laissait menculer tout seul .
Petit à petit, je parvins à toucher son ventre avec mes fesses. Je su quil était au fond de moi
enfin !
Je pensais prendre un peu de temps pour mhabi à cette intrusion dun sexe de grosse taille, mais à peine avais-je touché son ventre, quil me prenait par les hanches et mimposait un rythme trop important pour moi.
Je hurlais de douleur :
-« AÏEEEEE !!! STOP !!! ARRÊTEZ MAÎTRE PAS SI FORT HAAAAAAA !!! »
-« TAIS TOI, ET OUVRES TES FESSES !!!! »
Je fis ce quil demandais et il repris son rythme infernal. Javais limpression dêtre complètement ouvert et dominé. Il mimposait son allure et je subissais en pleurant la tête dans loreiller.
Il sarrêtât brusquement et se retira dun seul coup. La douleur fut encore plus vive !!!
-« HAAAAAAAAAAAAAA SIL VOUS PLAIT
DOUCEMENT HAAAAAA !!!! »
Je meffondrais sans force sur le lit
Il me contemplât un moment et sallongea à côté de moi sur le dos.
-« Viens tempaler sur moi salope. »
Jouvris les yeux et me remis doucement sur les genoux je ne voulais plus ressentir cette atroce douleur et le regardais suppliant :
-« Sil vous plait Maître, jai trop mal je peux vous sucer si vous voulez »
-« Tu as envie de me boire ? »
-« Oui Maître, jai envie de vous boire. »
-« Daccord, tu vas tout boire ne tinquiètes pas
»
Je mapprêtais à me pencher sur sa bitte toujours recouverte du préservatif, mais il me pris le menton attirant mon regard vers le sien et me dit dune voix douce et calme :
-«
Mais dabord, ma salope, tu vas venir tempaler sur la belle bitte de ton maître, parce quil a encore envie de ton joli cul et que tu ne dois JAMAIS contredire mes ordres tas compris ? »
Jeus encore plus envie de pleurer. Je baissais les yeux et répondis :
-« Oui Maître, jai compris »
Je me remis sur les genoux et enjambais son corps allongé. Je me mis accroupi au dessus de lui en écartant mes fesses dune main. Jattrapais son sexe dressé et dur et posais son gland sur la corolle de mon anneau distendu. Je lenfonçais légèrement avant de reprendre mes fesses dans chaque main et de descendre doucement sur cette tige érigée.
Je voulais y aller doucement car déjà la douleur refaisait son apparition, mais à peine avais-je entamé lhorrible descente, quil donnât un violent coup de rein et mempalât dune seule poussée.
-« HAAAAAAAAA !!!!! PITIE DOUCEMENT !!!! »
-« savoure ma belle tu es à qui ma salope ? »
-«
A vous Maître, mais sil vous plait faites doucement jai tellement mal
»
Il me collât contre son ventre et me demandât de faire des mouvements davant en arrière.
-« Profite bien de ma bitte tu aime mappartenir nest-ce pas ? »
-«
Oui Maître jaime être à vous »
Pendant que je mexécutais, il repris sa domination en me disant :
-« Alors comme ça, tu as envie de me boire petite salope ? »
Je navais pas dautre choix que de lui complaire et de confirmer ce quil exigeait de moi.
Au fond de moi, je préférais largement le boire que de subir cette douleur affreuse à laquelle je ne mhabituais pas du tout.
-« Oui Maître, jai envie de vous boire. »
Je bougeais toujours sur sa queue suivant ses instructions et au bout dun long (trop long) moment il me dit :
-« Allez, fais toi plaisir et fini moi comme une salope doit le faire pour faire plaisir à son maître. »
Je me retirais le plus lentement possible pour, à la fois, ne pas trop souffrir et ne pas lui déplaire en allant trop doucement.
Jenlevais le préservatif et mis ma bouche sur son gland. Je levais les yeux vers lui, attendant quil matt la nuque pour faire descendre ma bouche le long de son manche dressé. Jouvris grand les yeux
HOOOOOOO NON !!!! IL ETAIT EN TRAIN DE ME FILMER !!!
Il souriait tenant la caméra.
-« Tu es très bien comme ça, les lèvres sur mon gland tu aimes plaire à ton maître hein salope ? »
-« Oui Maître. »
-« Tu as envie de me boire ? »
-« Oui, jai envie de vous boire Maître. »
Il appuya sur ma tête, le signal était donné, jallais de nouveau recevoir sa semence dans ma bouche dans peu de temps.
Je le suçais comme il aimait et je mappliquais pour essayer décourter cette
En finir au plus vite.
-« Cest bien, salope, tu ten tire très bien, tu apprends bien. Allez applique toi.
Bon, tu la vois quand ta belle ?»
Je sortis sa bitte de ma bouche avec un temps darrêt
Il voulait toujours soumettre mon amante et je ne voyais pas comment y échapper.
-«
Jeudi Maître »
-« Tu sais ce que tu as à faire nest-ce pas ? »
Les larmes me montaient aux yeux.
-« Oui Maître, mais sil vous plait ne le faites pas je vous en prie. »
-« Je vais pas me gêner tu le sais très bien car tu t aies engagé à me faciliter les choses tu te souviens nest-ce pas ? »
Je ne répondis pas .
-« NEST-CE PAS ???? »
-« Oui maître » Dis-je en pleurant.
-« Alors que dois tu faire salope ? »
-« Je dois vous envoyer le numéro et le code daccès par SMS et lui proposer un scénario où elle sera attachée les yeux bandés. »
-« Voila cest tout à fait ça
allez fini moi. »
Je repris sa bite dans la bouche et la fis coulisser dans ma bouche. Il me reprit la tête à deux mains et accélérât la cadence à sa guise. Je sentais ce sexe énorme enfler encore
Il allait jouir de nouveau !!!
-« HAAAAAAA AVALES TOUT MA SALOPE !!! »
Je sentis sur ma langue, sécraser un à un les jets de foutre qui emplissaient peu à peu ma bouche. Je fermais les yeux et avalais tout le foutre le plus vite possible
Encore cet horrible goût dans ma bouche
et partout sur moi.
-« Cest bien, tu aimes ça hein ma belle ? »
Je ne savais plus quoi faire pour échapper à cette soumission et lui répondis :
-« Oui Maître jaime boire votre jus »
Il glissât sur le côté et se leva pour aller boire dans la cuisine. Je restais anéanti allongé sur le ventre. Dans la position dune amante fatiguée
alanguie
Je me dégoutais.
Il revint et se rhabillât :
-« Bon, je te dis à Jeudi et ne me déçois pas si tu ne veux pas de publicité tu as bien compris ? »
-« Oui Maître, jai bien compris. »
Il sortit et jentendis la porte se fermer. Je me remis à pleurer à chaude larme ne voyant vraiment aucune solution pour me sortir de ce guêpier.
Je ne dis rien à ma maîtresse sur le traquenard qui lattendait. Je savais quils allaient la soumettre. Aucun doute quAndré serait là lui aussi et quil participerait à la fête.
Jangoissais. Ils allaient, bien sur tout filmer et je nosais même pas envisager la suite
Son ménage ruiné, ma vie entièrement bouleversée
Nous deux en salopes soumises
Voire pire
Le Jeudi, vint beaucoup trop vite à mon goût et jarrivais à lhôtel le premier. Je pris la chambre et montais my installer.
Je regardais les lieux
futurs témoins de notre asservissement, de notre déchéance, de notre soumission.
Je pris mon téléphone et envoyais un SMS à Anatole.
Il répondît immédiatement :
« BRAVO MA SALOPE NOUBLIES AUCUN DETAILS !!! »
Elle allait être donnée par moi, en pâture, aux appétits lubriques dAnatole et André.
Jallais devoir assister à sa transformation en « salope soumise » comme je létais devenu(e) moi même. Je me disais que nos vies allaient changer à jamais dés la fin de cette journée.
Jentendis des pas dans le couloir
Mon cur bondit violemment
On grattât à la porte.
Je ne pouvais plus reculer je ne pouvais plus faire marche arrière. Nous y étions de façon inéluctable cette fois-ci !!!
Jouvris. Elle était belle, radieuse même et jeus un pincement au cur en imaginant que tout à lheure, elle allait être à genoux, les mains dans le dos, menottée
obéissante
servile même.
Je la pris dans mes bras enfouissant ma tête dans son cou et lembrassant le plus fort possible.
Je tentais de prendre un air dégagé
-« Mon amour, aujourdhui, tu vas être très très obéissante. Tu vas mêtre soumise entièrement »
-« Ha bon ? entièrement ? Tu vas me faire découvrir des choses encore ? »
-« Oui ma chérie, plein de choses. Dabord, je vais te bander les yeux et toi, tu te laisses faire ok ? »
-« HUMMMMMM oui mon amour. »
Jétais déchiré de la piéger de cette façon.
Je lai déshabillé, puis lui ai bandé les yeux. Pour finir, je lai agenouillé lui passant les menottes les mains dans le dos.
-« HUMMMMMM mon ange, tu a lair très chaud et imaginatif aujourdhui. »
Je la voyais prête au sacrifice de sa tranquillité, de sa liberté, prête à être ce quAnatole et André voulaient quelle devînt.
Je lembrassais, la caressais, lui disais des mots doux. Jentendis des pas dans le couloir.
Javais de plus en plus de mal à respirer, jétais au bord du malaise.
Comme nous lavions convenu avec mes « Maîtres », je lui dis :
-« Je vais aux toilettes et je reviens, ne bouges pas mon amour. »
Je fis bruisser mes vêtements, comme si je me rhabillais et jouvris la porte.
Anatole et André étaient bien là, souriants.
Je sortis et ils me dirent à loreille :
-« Bien, je vois que tu es obéissante. On se désappe maintenant et on entre à trois. Tu commences le scénario et ensuite, on prend le relais. »
Je chuchotais :
-« Oui Maître. »
-« Tu as pensé au parfum ?
-« Oui Maître »
-« Donnes »
Je leur tendis ma bouteille de parfum. Il sen mirent partout, sous les bras, dans le cou, sur le ventre et même sur le pubis.
-« Pendant quon soccupe de ton ancienne conquête, toi, tu vas filmer
enfin quand tu ne seras pas pris par tes autres devoirs. »
Il me tendit une caméra
Je rouvris la porte, les deux maîtres sur mes talons.
Elle était belle, offerte. Ils la regardaient avec une grande concupiscence. Je voyais quils se réjouissaient de ce qui allait se passer.
Anatole savançât et effleurât sa peau. Il était impossible à ma belle de savoir que ce nétaient pas mes mains.
Des épaules, il glissât sur les seins dont les pointes dressées témoignaient quelle était excitée et quelle attendait ces caresses là.
Je voyais sa peau frissonner et jeus une grande peine en pensant quelle allait changer dattitude dans très peu de temps. Jignorais comment elle allait réagir, lorsque je vis quAndré me donnait un papier : « Dis lui, laisse toi faire mon amour »
Je répétais la phrase et vis quAnatole tenait à la main une espèce de harnais avec une boule rouge en latex.
-« Oui je me laisse faire mon amour je suis à toi.»
Cette phrase me fit terriblement mal. Je la savais tellement lourde de conséquences.
Anatole, me tendit le harnais. Je plaçais la boule dans la bouche de ma belle, et bouclais le harnais derrière sa tête.
-« Ca va comme ça tu nes pas trop gênée ? »
Elle balançât la tête de gauche à droite « HUU-HUU .»
Je compris quelle ne pouvait plus du tout parler
Juste émettre quelques sons rien de plus.
André posât ses mains sur la nuque de ma belle, descendît sur son dos se collât doucement derrière elle et empaumât ses seins. Il caressait doucement sa peau pour que, trompée par le parfum, elle ne se doutât pas quil se fut agi dun autre.
Il déposait des baisers dans son dos et faisait glisser ses doigts vers son ventre, effleurant les poils de son sexe qui déjà devait largement dégouliner de ciprine.
Pendant ce temps là, Anatole me prit la caméra, posât sa main sur ma nuque et je compris que les choses étaient lancées et que plus rien ne les arrêterait.
Je me mis silencieusement à genoux cherchant déjà à prendre la bitte de mon Maître dans la bouche. Jy parviens et maîtrisant mon souffle, je commençais ma fellation.
Du coin de lil je voyais André. Il avait pris un téton entre ses dents et le mordillait, le suçait.
Il sallongeât, sur le dos, fît écarter les jambes de la belle et se glissât entre elles.
Il se mît à embrasser lintérieur des cuisses, posât ses lèvres sur la chatte ouverte et suintante et je vis sa langue lécher lintérieur pendant que je pompais toujours Anatole.
La belle soupirait déjà croyant se donner à moi.
A ce moment là, je pense que ma tendre, ne se doutait encore de rien. Elle se laissait aller dans ce silence que je percevais si lourd, si pesant.
Je vis les mains dAndré emprisonner les seins et les presser de plus en plus fort.
-« HUUUMMMM !! »
La belle fut un peu surprise, mais se laissait toujours faire.
Il marrivait de faire la même chose pour la surprendre de temps à autre.
André prit les fesses de mon amante dune main et toujours les lèvres collées a sa chatte, il la souleva son autre main dans son dos. Il la posât sur le lit les jambes toujours écartées
offertes.
Il se releva pour laisser la place à Anatole qui sinstallât entre le compas ouvert de la belle qui ne se doutait toujours de rien. Il lui pris les cuisses et se mît à la lécher abondamment.
André prît la caméra et la place de son cousin dans ma bouche ouverte, déjà pleine de filet de bave.
Je pleurais en silence voyant que ma tendre, qui se laissait faire, ignorant quelle venait de changer de Maître sans le savoir, sombrait lentement dans ce qui allait devenir son entière soumission.
Après un interminable cunnilingus Anatole se levât. Il fît un signe de tête à André.
Celui-ci sortit de ma bouche servile et me fît un signe à son tour
Je savais ce que cela signifiait
Il mavait dit le Mardi, que je devrais lui offrir la chatte de ma tendre en mettant moi même sa bitte à lentrée du sexe quil comptait asservir.
Sans bruit, je mapprochais, pris la bitte entre mes doigts. Anatole mappuyât sur la tête pour que je le suce un peu.. ce que je fît.
Après quelques aller-retour sur ce sexe dur, je le repris entre mes doigts et le posait à lentrée de la chatte de ma belle qui allait changer de maître de façon assez soudaine.
Nul doute quelle allait sentir la différence de calibre et que lambiance allait en être bouleversée.
André, mattrapât par les épaules et maidât à me relever sans bruit.
Nous restions ainsi côte à côte pendant quAnatole pressait son gland contre louverture béante de la nouvelle victime
Encore consentante pour quelques secondes.
Il entrât le bout du gland et dans un mouvement lent et inexorable, pénétrât tout le sexe de cette femme alanguie.
-« HUMMMMMMMMMMM !!!! »
Je me doutais quelle était surprise et quelle commençait à comprendre quil ne sagissait pas de moi.
Quand il fût au fond, il se penchât à son oreille et lui dit doucement.
-« Tu ne reconnais pas cette bitte nest-ce pas ? Tu vas apprendre à lui obéir pourtant ma belle. Tu vois, je naime pas quon revienne sur sa parole alors je viens prendre ce que tu avait promis de me donner. »
-« HONNNNNNNNNNNNNN HUMMMMMMMMMMM !!!! »
Elle essayait vainement de se débattre de le faire sortir delle.
Elle ne pouvait émettre que des sons étouffés et presquinaudibles du couloir.
-« Tu vas mappartenir ma chérie et ne plus jamais me désobéir
tu vas voir. »
Il pesait de tout son poids et elle devait avoir mal aux bras toujours maintenus dans son dos par les menottes quelle avait aux mains.
Elle ruait encore et tentait de resserrer ses jambes en se cambrant.
Il lui attrapât la gorge et se mît à serrer de plus en plus fort :
-« Chutttt inutile de te faire mal, tu vas être ma nouvelle soumise. Ne bouge plus si tu ne veux pas que je serre encore. »
Elle cessât de remuer.
-« Cest bien maintenant, tu ouvres les jambes et tu les refermes sur mon dos. »
André filmait la scène avec une grande excitation et un grand sourire sur les lèvres.
Jétais effondré et je vis ma belle qui ne ruait plus, ouvrir ses jambes en grand et les nouer sur le dos de son nouveau maître.
-« Bien, tu comprends assez vite. Laisse toi aller maintenant. »
Il se retirât un peu pour revenir au fond de ce sexe écarté comme jamais.
Il prît un rythme lent dans le retrait mais puissant et rapide lorsquil senfonçait de nouveau.
-« HUUUUMMMMMMMMMMM HUMMMMMMMM HUUUUH HUMMMMMM !!! »
Elle subissait la pénétration dun calibre jusque là inconnu. Anatole se plaisait à imposer son rythme et se délectait des réactions, des sursauts de celle quil pénétrait à sa guise.
Il se retirât et lui dit en faisant un signe de tête à André,
-« Je vais te présenter mon cousin André . Tu restes les jambes bien ouvertes et tu fais comme pour moi. Aujourdhui, tu as deux maîtres pour le prix dun »
Il laissât la place à André qui nattendait que ça !
Il pointât son gland sur la chatte asservie et dilatée et senfonçât dun seul coup.
-« HUUUUUUUUUUUUUUUUUH »
Elle sursautât et se remit à gémir mais plus faiblement. On sentait, quelle se résignait peu à peu.
Ils étaient tout simplement en train de la briser comme on le fait dune jument trop rétive. Il allaient se servir delle jusquà ce quelle ne dise plus rien et quelle se laisse faire comme une poupée de chiffon.
André imposât un rythme beaucoup plus soutenu que son cousin, qui semblait vouloir savourer ces instants là. André nétait que le maître en second
Celui qui dirigeait, cétait Anatole.
-« Tu vois, on a les même proportions avec André
Tu en penses quoi ma salope »
Il me regardait en finissant sa phrase.
Ma belle ne pouvait pas parler, je compris, je baissais les yeux et répondis timidement :
-« Oui maître »
Jespérais quelle ne mentendrait pas avec le bruit que faisait le sommier.
Anatole me fit un clin dil
Je sais quil nous réservait dautre surprise, dautres s morales et physiques.
-« Noublies pas tes devoirs » me dit-il
Je me remis à genoux devant lui, et pris sa bitte entre mes lèvres échauffées et toujours douloureuses pendant quil filmait la scène.
Au bout dun long moment durant lequel ma tendre gémissait de plus en plus faiblement commençant à shabi au calibre qui lui distendait le sexe
et lui donnait peut-être même du plaisir, André se retirât et Anatole dit alors :
-« Bon, on va passer à la suite mes petites salopes. »
Il retournât la nouvelle soumise toujours attachée, sur le ventre.
Comprenant, ce qui allait lui arriver, elle tentât de se soustraire à linévitable en gigotant de plus belle essayant de se lever, de fuir.
Anatole se mît derrière elle, lentourât de ses bras , linstallât en levrette les jambes serrées en la maintenant par les hanches.
Elle devait sentir son sexe, contre elle et refusait de se plier aux volontés de celui qui, de toute façon allait lui imposer ses exigences.
Elle parvînt à sallonger sur le ventre.
-« Tu napprends pas vite et tu nas pas encore compris ce qui se passait ici hein ? »
Il lui claquât violemment les fesses plusieurs fois. Celles-ce prirent immédiatement une teinte rouge tant les coups qui pleuvaient étaient rapprochés et brutaux.
-« HUUUUUUUUU HUUUUUUUUU HUUUUUUUUUUU »
Elle criait à chaque claque. Après une dizaine de coups, il lui dit calmement :
-« Tu te remets en levrette toute seule comme une grande et tout de suite ma salope. »
Elle nobtempérât pas tout de suite.
Les coups reprirent de plus belle. Une autre dizaine de claques venaient de sabattre sur ces fesses si rondes, si belles et bientôt si complaisantes
-« Obéis ma belle sinon, tu vas le regretter. »
La voix dAnatole était douce, presque prévenante, mais je sentais quelle était aussi lourde de menaces.
La belle du le sentir aussi car en suivant, elle se mit dans la position que lui avait indiqué celui qui était DEJA son nouveau maître.
-« Cest mieux ma belle. Tu es toute à moi aujourdhui tu as bien compris ? »
En disant cela, il lui avait attrapé les cheveux et lui tirait la tête vers larrière.
Il la laissât retomber lourdement sur le lit et il sapprochât de ses fesses tendues et soumises. Il me regardât et me fît signe de venir.
Silencieusement je mapprochais et nattendant pas ses consignes, je pris sa bitte dans ma bouche et le suçait pour quil redevienne parfaitement dur.
Il mit ma tête entre les fesses et dit simplement :
-« prépare la bien pour moi »
Je ne me posais plus aucune question, je subissais simplement mon sort qui était en train de devenir celui de celle que javais piégé et offerte aux appétits des deux maîtres qui allaient nous dominer toute la journée
et peut-être
certainement même bien au delà de la journée
Le léchais le trou de ma belle lui écartant les fesses au maximum.
Je faisais tout ce que je pouvais pour entrer ma langue afin de lui épargner une trop grande douleur.
Je savais trop bien ce quune pénétration mal préparée pouvait engendrer comme douleurs. Surtout avec de tels calibres.
Anatole mécartât, posât son gland sur la rondelle qui se serrait spasmodiquement.
-« Détends toi ma belle sinon, tu vas vraiment jongler. »
maintenant les fesses écartées, je regardais son gland qui forçait ce trou habitué à un sexe plus modeste. Il poussât un peu plus et lanneau souvrit dun seul coup arrachant un énorme cri assourdit par la boule de latex.
-« HUUUUUUUUUUUUU HONNNNNNN HONNNNNNNN HONNNNNNN »
Elle secouait la tête dans tous les sens et hurlait tout ce quelle pouvait.
Le gland était passé, et le reste allait suivre. Javais peur quil nabîme définitivement le cul de se nouvelle soumise.
Il marquât une pose laissant à sa victime le temps de shabi un peu à cette intrusion inédite.
-« Détends toi, tu ne peux rien empêcher, alors pousse un peu vers moi pour ne pas prendre trop cher »
Il senfonçât encore un peu se retirât immédiatement et reprît son manège sans sarrêter.
-« HUUUUUUUUUU HUUUUUUUU HONNNNNNNNNNNN !!! »
Il fît une pause en lui flattant le dos comme on le fait à un animal pour le calmer, le rassurer.
-« Voila ma salope, on y est presque relâche toi accepte ton nouveau maître »
Il reprit ses aller-retour lents mais tellement déterminés. Il la limait complètement allait jusquau fond de son cul avant de se retirer en sortant presque.
-« HUUUU HUUUUU »
Elle semblait saccoutumer peu à peu à la bite de son suborneur qui prenait un évident plaisir à visiter ce cul majestueux et offert à se concupiscence.
André filmait toujours pendant que javais repris mon travail de suceur (suceuse ?)
Après un très long moment, Anatole sarrêtât et laissât la place à son cousin tout heureux de pouvoir à son tour prendre possession de ses fesses tendues.
Anatole continuât de filmer. Il me prenait en gros plan et me dit :
-« Alors quen penses tu ? Elle semble bientôt prête à être notre nouvelle salope soumise non ? »
Jessayais de ne pas répondre trop fort mais ne pu que me résigner à dire :
-« Oui Maître ».
Encore une fois, les bruits du sommier avaient été assez forts pour couvrir le son de ma voix.
Je me sentais à la merci dAnatole qui décidât de ne pas poursuivre cette domination morale, intellectuelle sur moi. Il se contentât dappuyer de nouveau sur ma nuque pour me plier en deux et mobliger à le reprendre en bouche
ce que je fis
servilement.
André se montrait moins doux que son cousin et pris dassaut les fesses de la nouvelle soumise qui se remit à gémir de plus belle.
-« HUUUUUUUUU HUUUUUUU HUUUUUUUU »
Il la limait sans pitié
Changeait de rythme
Tantôt lent tantôt plus rapide et plus sec.
Ce fut encore une fois interminable. Pour elle et pour moi. Elle devait avoir les bras complètement ankylosés, mal aux épaules aussi certainement
Sans parler de son cul évasé, distendu complètement ouvert.
LorsquAndré sortit du cul de la soumise, nous vîmes tous que lanneau ne se refermait pas tout de suite restant béant
Anatole, me dit alors :
-« Nettoies ! »
Je me mis à faire aller ma langue sur le pourtour de cet anneau martyrisé et encore ouvert. André pesa sur ma tête, je compris ce quil voulait et enfonçais ma langue au fond de ce cul désormais soumis à dautres que moi.
Anatole sapprochât de la belle qui gémissait sourdement dans son bâillon de latex, toujours menottée, toujours aveugle :
-« Tu veux que je te retire la boule ma belle ? »
Elle fit oui de la tête sans hésiter un instant.
-« Bien je vais le faire mais tu dois me promettre dabord que désormais lorsque tu tadresseras à nous ça sera en nous appelant Maître cest entendu ? »
Il avait parlé avec la voix de celui qui fait juste des recommandations dusage du genre
« Avant de traverser la route tu regarde dabord bien à droite et a gauche hein ?
Il me sembla quelle pleurait doucement mais plus de douleur. Elle pleurait de résignation, comme javais pu le faire quelques jours avant elle.
Elle fit « Oui » de la tête.
-« Bien. Désormais, tu es NOTRE SALOPE SOUMISE. Tu es daccord ? »
Elle soupirât lourdement avant dopiner du chef.
-« Bien, je vais tenlever la boule et tu vas juste nous dire ça : « Je suis désormais votre salope soumise » tu mas bien compris juste ça !!! Sinon je te remets la boule !!! »
Elle opinât derechef.
Anatole enlevât le harnais qui maintenait la boule de latex.
Elle ouvrit et fermât la bouche à plusieurs reprises pour détendre un peu les muscles tétanisés par la position contraignante ainsi que le cris quelle avait du pousser mais qui étaient restés presquinaudibles .
On lentendit dire dune voix faible :
-« désormais je suis votre salope soumise »
-« BRAVO !!! cest bien tu apprends vite et bien. Dis moi, es tu heureuse dêtre notre nouvelle salope soumise ? »
-« NON JE NE SUIS PAS HEUREUSE VOUS MAVEZ VIOLE »
Anatole lui gifla la joue à toute volée. Elle tomba sur le côté et André, reprit le harnais pour le lui remettre.
Il linstallât posément sur ses genoux et lui mit une fessée énorme. Il lui claquât les fesses une bonne vingtaine de fois.
-« HUUUUUUUUUUUU HUUUUUUUUUUUUU HUUUUUUUUUUUUUU »
Elle criait à chaque fois mais il se montra intraitable.
Je voyais de grosse larme couler sur ses joues.
Anatole la repris par les cheveux et lui parla calmement :
-« Je vais reposer ma question une seule fois
essaies de te souvenir de ce que tu es devenue et ce que tu dois me répondre pour ma plaire. Tu as compris ?»
Je la vis faire oui de la tête en pleurant sur la boule de latex.
-« Alors ma salope tu es heureuse de nous être soumise maintenant ? »
Puis, il retirât de nouveau le harnais.
Jattendis anxieux la réponse de celle quon libérait.
-«
Oui Maître, je suis heureuse dêtre votre salope soumise »
-« Bien je suis très content de te voir devenir raisonnable. »
Il lui caressait les joues, essuyait ses larmes.
-« Ne pleures plus. Tu veux que je te détache ? »
-« Oui Maître »
-« Et comment on demande ? »
-« Sil vous plait Maître »
-« Lorsque tu seras détachée, tu garderas les mains dans le dos, cest ta position de soumise tu mas bien compris ? »
La tête baissée, elle répondit faiblement :
-« Oui Maître, jai bien compris. »
Il la détachât. Elle suivit les consignes en attrapant ses poignets pour rester dans cette position.
-« Je suppose que tu veux nous remercier de tavoir fait découvrir ta nouvelle condition hum ? »
-« Oui Maître »
-« Bien, je te détache et tu viendras nous remercier comme il se doit nest-ce pas salope ? »
-« Oui Maître »
Il lui ôta le bandeau des yeux. Elle clignât des paupières et ne vit dabord que ses nouveaux maître assis tranquillement sur le rebord du lit. Jétais derrière larmoire, om mavait mit André et je filmais la scène.
Anatole lui prit le bras pour quelle se remette sur ses pieds et quelle vienne devant eux.
Elle tremblait sur ses jambes ankylosées par la longue position à genoux.
Je la filmais de profil. Je voyais ses seins lourds monter et descendre au rythme de sa respiration haletante.
Elle gardait la tête baissée.
-« Tu navais pas parlé de nous remercier ma salope ? »
Elle levât les yeux interloquée :
-« Merci davoir permit que je sois votre nouvelle salope soumise »
-« Cest bien, mais cest insuffisant ma salope. A qui appartient ta chatte désormais ? »
-« A vous Maîtres »
« Bien et ton cul à qui appartient-il. ? »
-« A vous Maîtres »
-« Bien, et que te reste t-il à nous offrir pour nous remercier ? »
Elle resta interdite un moment, je voyais dans le viseur quelle avait cru que ça sarrêterait là. Je voyais également quelle réalisait que ce nétait QUE le début
Elle baissât les yeux et dit faiblement :
-« Il reste ma bouche Maîtres »
-« Bien et tu veux nous offrir ta bouche pour nous remercier ?cest ça salope ? »
Elle hésitât mais vit quelle était complètement coincée et dune voix faible répondit :
-« Oui Maîtres je veux vous offrir ma bouche pour vous remercier »
-« Nous remercier de quoi déjà ? »
-« Pour vous remercier davoir fait de moi votre salope soumise »
-« Commences à nous remercier .»
Je la vis se mettre à genoux, toujours les mains dans le dos et je savais ce quils allaient lui demander puisque jétais aussi passé par là.
-« Regardes nous pour bien nous remercier et commences ton devoir »
Je la vis essayer de prendre la bitte dAnatole dans sa bouche.
-« Non, lèches là dabord . fais là se redresser.»
Elle léchât la bitte de la base à la pointe puis passât à lautre bite
Les deux sexes se redressaient autant par les coups de langue que par la soumission de la nouvelle salope servilement obéissante offrait à ses nouveaux maîtres.
Lorsque les deux membres furent dressés tout à fait, Anatole la prit par les cheveux et lui dit :
-« Poses tes lèvres sur le bout de mon gland. »
Je la vis obéir et regarder Anatole dans les yeux.
-« Ta bouche est à moi désormais. Suces moi»
Elle ne le quittât pas des yeux et je la vis refaire les mêmes gestes que je fis quelques jours avant.
Elle le suçât longtemps. Je voyais sa tête monter et descendre sur la tige tendue.
-« Un peu à moi aussi. »
Dit alors André en lui attrapant les cheveux.
Elle soupirât lourdement quittât la bite dAnatole en passant à celle dAndré.
Anatole s élevât et vint vers moi.
-« Allez viens voir ton ex sucer mon cousin. »
Elle voulut se relever mais André lui tenait la tête et la maintenait dans son rôle de suceuse.
-« Lâches là un peu cousin. Il faut quelle sache pourquoi son ancien mec na pas réagit tu ne crois pas ? »
-« Oui t as raison cousin. »
André remis la nouvelle soumise qui nen croyait pas ses yeux ni ses oreilles. Elle ouvrait de grands yeux et gardait la bouche bée.
-« Si ton ancien mec na rien fait ni rien dit, cest parce quil occupe la même position que toi tu comprends ? »
Elle narrivait pas à faire le tri dans sa tête et ne comprenait rien. Interdite, elle dit seulement :
-« Non Maîtres, je ne comprends pas.»
Il sadressa directement à moi :
-« hé bien, mais éclaire là, tu lui doit quand même bien ça non ? Dis lui qui tu es. »
Je baissais les yeux en pleurant doucement et laissais échapper :
-« Je suis comme toi
Une salope soumise »
-« NON !!!! pas toi mon chéri »
-« Bon, tu ny couperas pas. Comme elle ne semble pas comprendre, montre lui. »
Je magenouillais devant Anatole les mains dans le dos en le regardant dans les yeux.
Je posais ma langue sur ce sexe qui reprenait peu à peu une belle consistance et me mis à le lécher sur toute la longueur. Il se dressait lentement et lorsquil fut presque droit, je mis ma bouche sur le gland attendant immobile que le Maître senfonçât entre mes lèvres.
Je sentais sur moi, les yeux hébétés de ma belle qui refusait de comprendre lévidence.
-« Tu comprends mieux mais je vois que tu narrives pas à y croire hein ? »
Il dut faire un signe à André qui sapprochât de moi. Je me mis à passer dune bitte à lautre sous les yeux baignés de larmes de ma belle complètement sonnée.
-« Que vas tu faire pour quelle comprenne dis moi ? Etonnes ton Maître .»
Je compris ce quil voulait. Je pris mes fesses dans chaque main pour les écarter et je dis en soupirant :
-« Enculez moi en même temps Maître »
-« Tu en as envie ? »
-« Oui Maître jen ai très envie Maître .»
Anatole passât derrière moi, me prit par les hanches et poussant fort pour entrer dans mon cul.
Elle me regardait les yeux fixes et plein de larmes en train de sucer André pendant quAnatole menculait sans ménagement.
-« Tu comprends mieux maintenant ma belle ? Tu as deux maîtres pour le prix dun et nous deux salopes soumises. »
André ma pris par le menton et insista :
-« répètes lui ce que tu es maintenant. »
-« Je suis leur salope soumise maintenant »
-« Et tu aimes ça nest-ce pas ? »
-« Oui, jaime ça »
Anatole me mit un grand coup de rein qui me fit un mal de chien.
-« HHHHHHHAAAAAAAAAANNNNNN Oui, jaime ça Maître HAOUUUUUUUU !!!! »
-« Dis lui tout car je suis sur que tu commences à préférer être une salope soumise quun hétéro non ? »
Il me martelait violemment le cul en disant cela.
-« NONNNNNNNNNNN MAîîîîTREEEEEEEE HAAAAAAAAAAÏÏÏÏEEEE. »
-« Réfléchit bien »
Il accélérât son mouvement, jétais ballotté et je pleurais sans arrêt. Il se mit sur ses pieds et reprit ses aller-retour avec un regain dénergie. Il me martyrisait le cul, je souffrais atrocement. André vint près de moi et me giflât en longues baffes en même temps.
Je cédais du terrain à mesure que les deux me torturaient et je baissais la tête en signe de reddition.
-« AÏÏÏÏEEEEEEEEE ARRÊTEZ, ARRÊTEZ SIL VOUS PLAIT !!!!!!!! »
-« Tu veux dire quelque chose ma salope ? »
Il me secouât encore un peu avant de sarrêter.
-« Oui Maître, je voulais dire que je préfère être une salope soumise. »
Réussis-je à dire la voix entre coupée de sanglots.
-« Donc tu nas plus envie dêtre hétéro cest ça ? »
Je ne savais plus où jen étais.
-« Non je nen ai plus envie Maître »
-« Tu préfères sucer des bittes et les prendre dans le cul comme une bonne salope cest ça ? »
-« Oui Maître cest ça. »
-« DIS LE !!! »
-« Je préfère sucer des bittes et me les prendre dans le cul. »
-« super !!! Tu nas donc plus rien à faire dune femme maintenant cest bien ça ? »
-« Oui cest bien ça Maître, je nai plus rien à faire dune femme »
-« NONNNNN !!!! »
Ma tendre, venait de crier en se laissant tomber sur le lit
Son dernier espoir venait de sévanouir.
Anatole se retira brusquement marrachant un cri de plus.
-« ALLEZ SALOPE NETTOIES MAINTENANT !!! »
Je me retournais et servilement je me mis à avaler cette bitte couverte dun préservatif et tâchée de mes sécrétions anales.
Je cherchais André des yeux et je vis quil se faisait sucer par la femme quil venait de soumettre avec son cousin.
Anatole sallongea sur le lit en faisant claquer ses doigts. André tourna la tête.
-« On passe à la suite »
André la pris par les cheveux et la releva.
Anatole me donna la caméra et me dis :
-« Tas pas intérêt à louper cette prise je te préviens. »
-« Bien Maître »
André souleva La belle et la mit à cheval sur le ventre dAnatole
Je compris immédiatement et elle aussi qui laissât échapper un faible:
-« Maître, sil vous plait
pas ça ! »
-« TAIS TOI. TU NE VEUX PLUS ÊTRE MA SOUMISE MAINTENANT ? »
-« Si Maître, mais je vous en supplie faites ce que vous voulez mais pas ça ! »
-« TOUT ce que je veux ? »
-« oui Maître
tout ce que vous voulez
»
-« Parfait, alors enfonces toi ma queue dans la chatte. »
Elle sempressa de plaire à son maître toute heureuse de le voir changer davis et pris sa bitte pour se lenfoncer profondément dans la chatte.
Il lui pris les hanches et la fit valser sur son ventre profondément ancré à son sexe dominateur.
-« REMUES TOI, ET JOUIS PLEINEMENT MA SALOPE !!! »
Elle se donnait encore et encore et commençait à haleter et gémir. Elle donnait tout pour jouir et plaire à son nouveau maître. Il lobligea à le lui dire :
-« Qui est ton nouveau maître ma jolie salope ? »
-« Cest vous mon nouveau Maître »
-« Tu es toute à moi nest-ce pas ? »
-« oui Mon maître je suis toute à vous. »
-« Je fais ce que je veux de toi nest-ce pas ? »
-« Oui tout Maître ! »
Elle parlait de plus en plus fort et respirait de plus en plus vite. Elle se mit à jouir en soufflant et en dansant sur cette bite tendue
Arrivée au paroxysme de son orgasme, il la penchât sur lui pour lembrasser.
Elle se laissa embrasser à pleine bouche et ne sentit pas André se placer derrière elle.
Anatole la tenait à plein bras et elle ne voulu se retirer que lorsquelle sentit le gland dAndré sur son cul
Il était trop tard.
Lautre sexe, se faufilât dans le cul déjà plus souple et se cala sur le rythme quAnatole donnait.
Elle hurla de plus belle dans la bouche dAnatole qui ne la lâchait pas :
-« NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN PAS CA VOUS ME FAITES MAL PITIE !!!»
Elle était prise des deux côtés à la fois et je filmais toujours la scène hallucinante qui se déroulait sous mes yeux.
Ils la secouèrent encore longtemps. Elle était comme prévu, réduite à une poupée de chiffon entre les mains de ses maîtres.
Lorsquils se retirèrent, elle resta allongée sur le lit. Ils récupérèrent en buvant une bière. Javais éteins la caméra et lavais posé sur la table de chevet près du lit.
Ils sassirent côte à côte et nous appelèrent pour que nous nous mettions face à eux.
Elle était face à Anatole et moi face à André.
-« Vous allez finir chacun un maître avec la bouche vous voulez bien. »
-« Oui Maîtres » dire nous en même temps.
-« Allez-y le premier à faire jouir son maître aura un prix. Lautre sera puni »
Nous nous mîmes à genoux en respectant les consignes, pas les mains, juste la langue et ensuite la bouche sur le gland les yeux fixés sur le Maître. Ils entrèrent en même temps et nous voilà tous (toutes ?) les deux à sucer comme des fous (folles).
Peu de temps après, excités comme ils létaient, ils nous attrapèrent la tête et jouirent dans nos bouches asservies.
Sans nous poser de question, nous avalâmes en même temps le sperme qui giclait dans nos bouches, tapissant nos palais.
-« BRAVO mes salopes. Vous êtes presque parfaites »
Nous nous regardâmes sans vraiment oser comprendre.
André dit alors
-« toi la salope, tu thabilles et tu te casses. »
Bientôt, je restais seul (e?) avec les deux suborneurs.
-« Cest bien ma salope tu as bien agit aujourdhui. Je repasserais dans la semaine pour une autre séance avec toi et pour notre autre salope, ne tinquiètes plus pour elle. Son avenir est tout tracé. »
Je le sentais depuis un moment
Ils voulaient en faire une pute cétait sur.
Je nosais pas le demander et restais silencieux, écurant, de servilité.
Anatole prit une douche pendant quAndré allait à la réception pour chercher à manger et à boire.
Jétais devenu quasiment invisible insignifiant pour eux.
Je pris le téléphone dAndré, allait dans la mémoire et effaçais toutes les photos et les vidéos. Je fis de même avec celui dAnatole. Je retirais vivement la carte SD de la caméra et la mit sous la semelle de ma chaussure espérant quil ne leur viendrait pas à lidée des les revoir avant de partir
Quand ils eurent pris leur douche ils me permirent de mhabiller et nous reprîmes le chemin du retour. Arrivés sur le parking Anatole me dit :
-« Je passerais mardi. je te veux à poil et à genoux derrière la porte prête à lemploi tas pigé salope? »
-« Oui Maître jai compris. Je le ferais »
Il monta sur sa moto, André derrière lui et je repris la route vers chez moi.
Je pris mon téléphone et appelais mon frère et ses potes du Rugby et de la boxe.
Je lui dis que javais besoin deux pour coincer un mec qui me causait des soucis.
-« Pas de souci frangin, on sera là on viendra à 5 ou 6 ça ira ? »
-« Oui, je crois que ça ira comme ça, il faudra lui foutre la trouille, une bonne trempe et de quoi filmer le tout ok ? »
-« Ok on fait comme on a dit à Mardi !!! »
Avec le reste des preuves, je sentais que jallais pouvoir reprendre la main sur le cours de ma vie et que jallais pouvoir moffrir une bonne vengeance
Mardi allait voir un Anatole tout mielleux, tout péteux comme javais pu lêtre et aussi servile que moi
Lui aussi servirait de salope soumise et risquait aussi de se retrouver sur le net
A moins que certains potes de mon frère nen veuillent comme lope personnelle
allez savoir
Quand la roue se met à tourner il vaut mieux séloigner si on veut éviter les éclaboussures
Je mis les vidéos de la carte sur un disque dur externe et détruisis la carte elle même.
Javoues les avoir revu en compagnie de ma tendre maîtresse quelques temps après. Nous nous sommes même bien excité à ce moment lamais ça
cest une autre histoire.
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