Initié Par Mon Beau-Père

J'avais 6 ans quand mon père a quitté la maison.
Les premiers temps ont été difficiles. Ma mère n'ayant pas de travail et mon père ne lui donnant pas un sou, on a dû quitter l'appartement. Nous nous sommes réfugiés dans une chambre où le lit tenait toute la place.
Ma mère n'avait jamais travaillé avant. Il lui fut difficile de trouver un emploi. En attendant, faute de place, je dormais avec elle. Je l'entendais pleurer toutes les nuits. Alors, je me collais contre elle et la prenais dans mes bras.
Ma mère était intelligente. Elle a répondu à une petite annonce et a rencontré un gars perspicace. Il a compris son potentiel et a accepté de la former sur un poste de secrétaire comptable. Six mois plus tard, elle dirigeait le service.
Durant quelque mois, Maman n'a été "qu'à moi".
A son premier salaire, nous avons déménagé. J'avais une chambre rien que pour moi. Sauf que, moi je voulais rester avec elle. La séparation a été douloureuse. Je haïssais ma mère. Je ne faisais plus rien à l'école. J'ai même séché les cours. Un jour, j'ai volé dans un magasin.
J'avais 11 ans quand ma mère a rencontré son nouveau mari. Je l'ai rejeté d'entrée. Il me volait ma mère. C'était surement pour lui donner ma place qu'elle m'avait chassé de son lit.
Pendant des mois et des mois, le pauvre homme a déployé des trésors de gentillesse et d'amour pour m'apprivoiser. Il m'a acheté un vélo. Un VTT, une merveille. J'ai mis un mois avant de m'en servir. Je l'ai vu pleurer en cachette. Il a commencé à m'acheter des fringues. Un jour, j'ai fait un scandale parce les vêtements ne me plaisaient pas. Il s'est mis en colère et m'a dit que la prochaine fois, je n'avais qu'à l'accompagner.
J'y suis allé avec dans l'idée de le ridiculiser devant tout le monde. Il m'a pris dans un coin et a essayé de me parler. Il m'a pris dans ses bras et s'est mis à pleurer. Je ne sais pas comment c'est arrivé, mais mes bras se sont enroulés autour de son cou, et j'ai pleuré avec lui.

Les années qui ont suivi ont été celles du bonheur. Il m'emmenait au stade, m'achetait de nouvelles fringues....Il venait me parler dans ma chambre. Ma mère était aux anges.
Un jour, dans ma chambre, j'ai trouvé un magazine. Il y avait des photos de mecs à poils. J'étais excité en le regardant. Je l'ai gardé pendant des années, planqué sous mon matelas. Le nombre de fois où je me suis branlé sur ces images, Pffff !!!
L'année de mes 18 ans, mon beau-père est entré dans ma chambre. Je n'ai pas eu le temps de planquer le magazine. Comme d'habitude, il s'est assis sur mon lit. Il s'est emparé du mensuel et l'a feuilleté. J'ai voulu lui arracher des mains. J'étais rouge de honte.
Il a posé le magazine et m'a dit :
- T'as pas à avoir honte, tu sais. Chacun a ses goûts et je ne suis pas rétrograde. Si tu es intéresse, je ne suis pas contre. Tout ce que je te demande, c'est de ne pas faire de bêtises. Si tu veux savoir quelque chose ou si tu décides de coucher avec un garçon, je veux que tu m'en parles avant.
C'est alors que ses yeux se sont posés sur mon entrejambe. Je bandais comme un cerf. en entendant le mot "coucher", mon regard s'est allumé. Sa main s'est posée sur mon sexe et il a dit :
- Tu veux que je te montre ?
J'ai levé mes bras en l'air, en signe d'acceptation.
Il est monté sur le lit et a enjambé mon corps. Il était assis sur mes cuisses. Il a soulevé mon t-shirt puis me l'a ôté. Il s'est reculé et s'est penché vers ma taille. Il a défait la ceinture de mon jean et l'a baissé jusqu'à mi-cuisses. Je portais un boxer bien serré.
Il s'est penché et a happé ma bite à travers le tissu. Ensuite il a tiré glissé ses mains dans le sous-vêtement et ma queue, déjà bien raide a jailli. Il l'a prise à pleine main et l'a mise dans sa bouche. J'ai poussé un soupir d'aise.
Encouragé, il m'a enlevé tous mes vêtements, du boxer jusqu'aux chaussettes. Puis, il s'est déshabillé aussi.
Remontant sur le lit, il ma retourné sur le ventre. Il a écarté mes fesses et a enfoncé sa langue dans mon trou. Il a saisi mes jambes aux genoux et m'a fait mettre à quatre pattes. J'avais la tête enfoncée dans l'oreiller, les bras écartés et les fesses bien dressées. Il m'a pris par les hanches et son chibre s'est posé sur mon trou. Lentement, il s'est enfoncé tout entier dans mon cul. Les poils de son pubis chatouillaient mes couilles. Il s'est mis à bouger et son membre glissait entre mes fesses. Le plaisir montait et je tendait ma croupe encore un peu plus vers lui. Il s'en est aperçu.
Il s'est alors retiré et m'a retourné. Il a passé bras sous mes genoux et a relevé mes jambes. Mes fesses étaient bien écartées et mon cul ouvert et offert. Il a posé son gland sur mon trou et s'est laissé tomber. Le membre m'a pénétré encore plus profond. Il s'est agité à nouveau. Il n'en avait pas assez. Me soulevant encore plus, mon cul était en l'air. Il poussait encore plus fort. On aurait dit qu'il voulait atteindre l'autre côté. Sa rage de me posséder montrait peut-être qu'il attendait ce moment depuis longtemps. Enfin, quand son sperme coula dans mon cul, je me suis aperçu qu'il ne portait pas capote.
Ce jour-là, j'ai joui comme jamais depuis. J'ai essayé de renouveler l'évènement, mais il n'a jamais voulu. Je n'en ai jamais parlé à ma mère et maintenant, je suis épanoui avec des garçons de mon âge.