Mon Épouse, Cette Inconnue- 5Ème Partie : La Vie Reprend, Les Habitudes Aussi
Nous fûmes rentrés des Ardennes dimanche soir, les s reprirent leurs habitudes et nous aussi.
Le lundi soir, je rentrais comme d'habitude vers 19h30. Mon épouse était déjà là, j'avais hâte de lui demander comment s'était passée sa journée.
Dès qu'elle eut fini de servir le dîner aux s, elle vint me retrouver dans le salon où je lui avais servi un apéritif.
- « Alors? Comment ça s'est passé?
- « Bof! Rien de spécial, sauf qu'il n'y a plus que Guy qui m'adresse la parole, les autres tirent une tronche pas possible. Il sont tout de même gonflés, je leur laisse disposer de mon corps à leur guise, leur donne du plaisir plus qu'ils peuvent en espérer et voilà comment ils me remercient!
- « Quelle ingratitude! (là, j'en fait un peu trop). Ça leur passera avec le temps!
Puis les jours et la semaine s'écoulèrent. Mon épouse avait gardé ses habitudes du mercredi avec son chef, le vendredi soir elle ne voyait plus que Guy chez lui, donc la soirée était plus calme pour elle qu'auparavant, ce qui la faisait rentrer plus tôt. Par contre, les parties de jambes en l'air du midi à l'usine, c'était fini. Elle m'expliqua qu'elle avait peur qu'un de ses anciens partenaires ne la dénonce à la direction, ce qui, si elle était surprise en galante compagnie et en pleine action sur le lieu de travail, serait synonyme de licenciement. Je gagnais au change car ses besoins sexuels restant les mêmes mais étant moins comblée à l'extérieur, elle comptait sur moi pour compenser. Nos couchers et quelque fois nos réveils étaient donc très chauds.
Et les semaines s'égrainèrent aux semaines. La sérénité régnait désormais dans notre couple. Quand un soir où nous venions de nous coucher et que, comme d'habitude, nous faisions l'amour, elle eut une drôle d'idée. Depuis notre dernière fâcherie, il faut dire que Joss s'était libérée et qu'elle ne me refusait plus grand chose, comme des fellations par exemple.
Elle me disait qu'alors, elle avait l'impression que j'étais encore plus gros dans sa bouche.
C'est au cours d'une de ces pratiques qu'elle me dit :
- « Ça te dirait d'avoir autre chose à la place de mes doigts?
- « De quoi tu parles? D'un gode?
- « Non, non! De quelque chose de plus naturel!
- « explique toi, je ne vois pas ce que tu veux dire!
- « A l'usine, j'ai un collègue qui est homo, un gentil garçon...
- « Holà! Je t'arrête tout de suite, je ne suis pas gay!
- « C'est pas la question! Ça te ferait une expérience, il suffirait que tu te laisses faire, c'est tout et en même temps tu me ferais l'amour, je suis certaine qu'on apprécierait tous les deux!
- « Tu as de ces idées!
- « Ah! Je vois que tu ne dis pas non. Je te tiens au courant.
- « Mais je n'ai pas dit oui non plus.
- « Bof! C'est tout comme.
Et voilà, ma chérie allait encore nous organiser une soirée trou du cul - c'est le cas de le dire - dont elle a le secret.
Elle ne m'en parla plus le restant de la semaine. Samedi, nous abordions déjà deux semaines de vacances scolaires. Donc, direction les Ardennes.
Et c'est le mardi soir suivant qu'en rentrant du bureau elle m'annonça:
- « J'ai invité Régis à dîner jeudi soir. Il est d'accord!
- « Régis? C'est qui? Et il est d'accord sur quoi?
- « Tu sais bien! Ce dont je t'ai parlé la semaine dernière, une petite soirée coquine à trois!
- « Ah d'accord! Je croyais que tu avais oublié, ce qui m'arrangeait bien d'ailleurs!
- « Et ben non! Mais tu verras, ça se passera bien!
Si elle le dit.
C'est ainsi que nous arrivâmes à ce fameux jeudi qui devait-être riche en expérience.
- « Baisse ton pantalon et penche-toi en prenant appui sur le bord de la baignoire.
En disant cela, elle s'était emparée d'un flacon en plastique contenant environ 50 cl d'un liquide blanc.
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- « Mais qu'as-tu l'intention de faire?
- « C'est pour te préparer pour tout à l'heure. Il faut que tes intestins soient vides, c'est plus propre!
- « Mais qu'est-ce que tu ne me fais pas faire!
Je me mis donc en position et je sentis qu'elle m'introduisait une canule dans le derrière, puis un liquide froid commença à me gonfler les intestins. Quand elle eut tout injecté, elle m'indiqua:
- « Tu dois rester au moins 10 mn avec ça dans le ventre avant d'aller te soulager;
Ce qui fut fait.
En revenant, je vis que mon épouse avait tout préparé dans le salon. En fait elle avait prévu un apéritif dînatoire, beaucoup plus convivial qu'un dîner classique.
A 20h30 le fameux Régis sonna. Mon épouse s'occupa de l'ouverture des portes, le fit entrer et fit les présentations. Régis était un homme pas très grand, blond, assez fluet et aux allures efféminées. A le voir, on se rendait rapidement compte du sens de ses orientations sexuelles.
On s'installa autour de la table basse du salon, je fis le service et nous discutâmes de choses et d'autres. Régis avait une discussion intéressante, il était cultivé. Je parlai avec lui de littérature, des auteurs qu'il préférait. C'était un grand amateur de lectures diverses, surtout sur l'histoire contemporaine, ce qui était pour moi une passion. Ce qui fit que le temps s'écoula rapidement. Ce fut mon épouse, que ces discussions intéressaient peu, qui nous ramena à la réalité.
- « Bon, chéri, tu m'aides à débarrasser qu'on puisse passer aux choses sérieuses.
C'est Régis qui minterpella alors:
- « D'après ton épouse ce sera une première pour toi avec un homme?
- « Ah oui! Ça, je confirme!
- « Bon, alors il faudrait tout d'abord te préparer.
- « Mais me préparer à quoi?
- « Et bien il faudrait t'assouplir afin qu'il n'y ait aucune douleur au moment de la pénétration. Rassure toi, j'ai tout prévu. S'il te plaît, retire ton pantalon et allonge toi sur le canapé.
- « Pendant que tu y es, tu n'as qu'à te déshabiller complètement, ce sera çà de fait.
Elle même commença à se dévêtir.
Pendant ce temps, Régis avait sorti de sa sacoche un tube de pommade et il réclama une serviette à mon épouse.
Dès que je fus nu, je m'allongeai comme indiqué. Aussitôt Régis vint sasseoir contre moi, il me badigeonna le trou du cul de sa pommade, en fit entrer à l'intérieur et commença à me masser le sphincter avec ses doigts. Ses gestes étaient doux, ce n'était pas désagréable.
Longuement il me pétrit la rondelle, ses doigts entraient dorénavant sans problème, je ne ressentais aucune douleur. Il me déclara apte pour mon « dépucelage ».
C'est mon épouse qui prit les choses en mains. Régis s'était à son tour dévêtu. Mon épouse s'approcha de lui et lui saisit le sexe qu'elle se mit à masturber. Très rapidement celui-ci atteint une taille respectable, un sexe très long, plus de 25 cm, mais très fin, en fait parfaitement adapté à ce à quoi il était destiné. Puis, nue, elle s'allongea sur le dos, me dit de venir au-dessus de sa bouche, qu'elle allait dans un premier temps me sucer pendant que
Régis allait faire ce qu'il avait à faire.
Je me positionnai comme elle voulait et, à genoux, introduisit ma verge a demi bandée dans sa bouche. Je sentis la présence de Régis derrière moi, Joss passa ses mains derrière mes fesses et les écarta largement. Régis guida son sexe en pleine érection, le positionna à l'entrée de l'objectif et exerça une légère pression. Je sentis mon illet s'ouvrir, Régis me saisit alors aux hanches et, d'un coup de rein, il se propulsa au fond de mes entrailles.
L'impression était curieuse, pas du tout douloureuse, mais, tel un piston, cette pénétration avait augmenté la pression dans mon intestin.
Le frottement de son sexe dans mon fondement était, somme toute, fort agréable. Sous la double sensation, enculage derrière et fellation devant, mon sexe avait atteint des dimensions inhabituelles. Mon épouse avait bien raison, mon érection était plus importante lorsqu'on me travaillait derrière.
Puis cette dernière interrompit son action:
- « Bon, maintenant à moi d'en profiter! Tu vas t'occuper de mon minou en levrette.
Demi-tour et elle se présenta devant mon éperon fièrement dressé. Je m'étais redressé sur mes genoux, toujours cloué sur le pieu de Régis et mon épouse vint d'elle même s'empaler.
Sous l'excitation, son vagin ruisselait de son jus. Il me resta à coordonner mes mouvements avec ceux de Régis. Une fois fait, les trois corps s'agitèrent en cadence. Pour ma part, c'était une impression extraordinaire, lorsque je cognais au fond du vagin de Joss, Régis venait claquer son pubis sur mes fesses. J'avais alors l'impression que mon sexe gonflait encore plus dans le ventre de mon épouse, qu'il allait éclater. Je n'avais jamais rien ressenti de pareil. Mon épouse devait le sentir car, rapidement, elle se mit à gémir. Ses cris furent vite rejoints par les nôtres. Un plaisir violent me montait des reins, plaisir exprimé par des cris rauques qui sortaient de ma gorge. Régis, de son côté, poussait des « han » de bûcherons.
Bientôt, ce fut un véritable tumulte qui envahit la pièce. Confrontés à cette baise extraordinaire, les trois corps frémissaient de contentement et hurlaient le bonheur qu'ils ne pouvaient plus contenir. L'apothéose allait être un feu d'artifice. Ce fut mon épouse qui céda la première, ses reins étaient maintenant agités de mouvements désordonnés, elle émettait des sons incompréhensibles, un énorme orgasme la terrassa. Je la suivis de peu, mon sexe, douloureux à être trop bandé, lâcha de violentes saccades de sperme et, concomitamment, Régis me plaqua contre son corps et je sentis son liquide m'envahir le boyau.
Puis ce fut le silence. Les trois corps se désunirent. Nous nous regardâmes, les yeux encore tout brillants et reconnaissants, essoufflés par l'intensité des orgasmes qui nous laissaient sans force.
Mon épouse réagit la première:
- « Tu vois, je te l'avais dit! C'est vraiment autre chose. Je croyais que c'était un autre homme tant ton sexe était gros. Tu as aimé?
- « Ben oui! Ce serait mentir que de dire le contraire.
- « Il faudra que l'on recommence, si Régis est d'accord bien sûr.
- « Pour moi, pas de problème, répondit-il.
Nous nous essuyâmes rapidement avec une serviette et nous dégustâmes une boisson fraîche. Puis nous discutâmes, toujours nus, environ une demie heure.
Mais mon épouse n'en avait pas terminé.
Brusquement elle s'allongea sur le dos et me dit de venir lui faire un cunnilingus, mais de me positionner à 90° par rapport à son corps. Qu'est-ce qu'elle avait encore dans la tête? De plus la position n'était pas très adaptée pour atteindre efficacement sa vulve. Puis elle fit signe à Régis de venir se positionner au-dessus d'elle en lui présentant son sexe qu'elle goba immédiatement jusqu'au fond de sa gorge. De sa main elle me désigna alors à Régis. Elle me fit signe de rapprocher mon bassin de ce dernier. D'accord, j'avais compris où elle voulait en venir, Régis allait me tailler une pipe. Décidément, elle avait décidé de me faire goûter à toutes les expériences homo. Mais, obéissant, je présentai ma verge à présent débandée à Régis. Celui-ci me la saisit entre ses lèvres, se mit à la sucer sur toute la longueur, sa main me triturait les couilles. Nous formions ainsi un trio où seules les bouches étaient à l'ouvrage. Au bout d'un moment, je vis ma femme occupée à introduite de la crème adoucissante sur la rondelle de Régis, puis elle se tourna légèrement de côté pour en faire de même sur elle. Qu'allait-elle encore inventer?
Lorsque tout le monde fut bien excité, la cramouille de ma femme était dégoulinante, de notre côté nous avions nos deux sexes fièrement dressés, ma femme déclara la fin des hostilités et un changement de position.
Elle se mit alors à genoux puis elle dit à Régis de venir l'enculer. Voilà donc la justification de la crème tout à l'heure. Mais la crème dont elle a enduit Régis alors, c'est pourquoi? J'eus tout à coup peur de comprendre. Mon apprentissage se poursuivait.
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Pendant ce temps Régis avait pris position et enculait allègrement mon épouse qui, pour une fois, avait l'air d'apprécier.
- « Chéri! Il te reste un trou à occuper! Qu'attends-tu?
- « Mais... mais! Je n'ai jamais fait ça moi!
- « Tu me l'a déjà fait, c'est pareil.
Régis m'encouragea alors à m'approcher et de lui même il écarta ses fesses pour me faciliter la manoeuvre. Nu, Régis n'était pas désagréable à regarder. Il était complètement épilé, pas un poil n'apparaissait, nulle part, même dans la raie des fesses que j'avais maintenant sous les yeux. Ses fesses qui, d'ailleurs, étaient bien rebondies, on aurait dit un cul de femme.
Me voilà donc au pied du mur. J'approchai mon sexe bien bandé de sa rondelle, le positionnai d'une main puis, d'un coup de rein, je fis pénétrer le gland. Cela rentra facilement. Évidemment, de par ses moeurs, pour lui, l'exercice était courant. Puis je continuai la pénétration jusqu'à ce que je bute sur ses fesses. J'entrepris alors des va et vient en lui saisissant les hanches. Et nous reprîmes nos mouvements de tout à l'heure simplement dans un ordre différent. Ma queue était bien serrée par le sphincter, la tige bien au chaud, je retrouvai les sensations ressenties l'autre jour avec mon épouse lors du même exercice.
Ayant déjà joui précédemment, les accouplements durèrent cette fois plus longtemps. Mais il était désormais certain que je n'aurais pas le même degré de jouissance que tout à l'heure tant cela avait été extraordinaire. De plus, ce n'était pas une forme de sexualité que j'appréciai spécialement. Pour moi, c'était pratiquement contre-nature.
Mais, enfin, je finis tout de même par jouir et par me vider dans les entrailles de Régis.
Lui fit de même dans mon épouse qui remuait du cul en signe de jouissance. Mais j'étais à peu près certain qu'elle feignait, par politesse.
Cette fois c'était bien fini. Nous nous rhabillâmes. Nous bûmes un alcool, pour moi ce fut un whisky et, les verres finis, nous prîmes congé de Régis qui promit de revenir à notre demande.
Une fois seuls, je dis à ma femme:
- « D'accord pour une autre fois, mais ne me demande pas de refaire la seconde partie, c'est pas du tout mon truc.
- « Non, ça n'était pas excitant. On en restera à nous sucer mais pas à nous enculer.
Le programme de la prochaine séance était ainsi d'ores et déjà arrêté.
Demain, vendredi, c'était le jour de sa sortie chez Guy. Depuis quelques temps, un ou deux de leur collègues se joignaient à eux et participaient à la joyeuse sauterie, dont Jean-Luc, qui, ne voyant rien venir de chez Aline, reprenait confiance et trouvait le sacrifice trop difficile de sinterdire de toucher et de profiter de ce corps tant convoité.
Le vendredi soir, elle revint à l'appartement à 23h30. Elle paraissait bien fatiguée, elle avait du prendre je ne sais combien de queues dans tous les trous. Après son bain elle revint près de moi, dans le canapé et m'avoua qu'ils étaient cinq ce soir là, que ça avait été torride.
Parmi eux ils y avait un noir au membre démesuré: « il m'a fait jouir comme c'est pas possible, mais j'ai refusé qu'il me sodomise. Il m'a dit que la prochaine fois il viendrait avec de la crème pour faciliter la pénétration »
Ensuite nous avons fait gentiment l'amour et nous sommes allés nous coucher.
En ce samedi matin, un des rares où nous n'avions pas les s, je décidai d'accompagner mon épouse au marché. Les samedis, nous avions un petit marché qui s'installait sur une place se trouvant derrière lîlot de notre immeuble.
J'aimais l'ambiance des marchés, ses couleurs, les harangues des camelots qui, à les écouter, possédaient tous les meilleures marchandises les moins chères. Et en général nous trouvions des produits frais à un bon prix.
Après avoir acheté quelques fruits et légumes, nous nous dirigeâmes vers le fromager qui exposait ses produits dans une camionnette réfrigérée. En arrivant près de l'étal, j'eus la grande surprise de voir le commerçant se pencher et faire la bise à mon épouse en l'accueillant d'un « Bonjour Joss! Comment vas-tu? » Pour ma part, je lui serrai la main pendant que mon épouse me présentait comme étant son mari. Après avoir fait notre choix et payé, avant de partir mon épouse lui dit alors: « C'est toujours d'accord pour ce soir? »,
« Oui! Oui! Pas de problème, vers 19 heures »
En nous éloignant, je lui demandai alors:
- « Qu'y a t-il donc ce soir à 19 heures?
- « C'est Jean, il passe prendre l'apéritif!
- « Content de le savoir! Quand comptais-tu m'en informer?
- « Ça m'est sorti de la tête, excuse-moi! J'en ai discuté avec lui l'autre samedi, il y a quinze jours et j'ai complètement oublié de t'en parler.
- « Tu parais bien familière avec lui? Comment vous êtes-vous connus?
- « Mais c'est un interrogatoire?
- « Non! Non! C'est juste pour savoir!
- « Souvent, le samedi matin, lorsque je vais au marché, je passe au bar à côté boire un café et il y est souvent car en général sa femme l'accompagne. C'est elle qui tient le plus souvent le stand.
- « Ah bon! J'avais peur que vous ayez couché ensemble!
- « Tout de suite, des mauvaises pensées. Oh! Ce n'est pas l'envie qui m'en manque! Tu as vu comment il est bâti? Sa musculature? Si c'est proportionnel où je pense, ça ne doit pas être désagréable!
- « Ah les femmes! Toujours à penser à la même chose!
- « Parce que vous les hommes vous n'y pensez pas peut-être? Enfin, pas à la même chose, vous c'est « Si elle dit oui, je ne dirai pas non! » ou « elle doit-être bonne » enfin quelque-chose comme ça. Tu ne vas pas me dire le contraire?
Jarrêtai là cette discussion qui ne nous mènerait à rien.
Et le samedi s'écoula tranquillement. L'après-midi j'allai à Lille au « Furet du Nord » pour acheter un livre qui venait de sortir et qui m'intéressait. Mon épouse préféra aller faire des courses au supermarché.
Je revins à 18 heures. Mon épouse n'était pas rentrée. Comme d'habitude, je me demandais où elle pouvait-être et ce qu'elle pouvait faire. Je savais qu'avec elle il fallait s'attendre à tout! Elle revint à 18h30 et me dit qu'elle était partie tard en course d'où l'heure avancée.
Je lui rappelai que son ami Jean n'allait pas tarder. Elle me répondit que ce n'était pas son ami, simplement une connaissance et que je pouvais m'occuper de préparer l'apéritif. Ce qui me rappela la dernière fois où elle m'avait fait la même demande(1er épisode). J'installai donc les bouteilles et amuse-bouches sur la table de la salle à manger, cela changera du salon.
Il sonna à 19h15. Mon épouse lui ouvrit. Quelques minutes plus tard il sonna à la porte d'entrée du couloir. Aussitôt cela fit tilt dans ma tête car, pour des mesures de sécurité, rien n'indiquait dans le hall l'étage qui correspondait aux noms inscrits sur les sonnettes et les boites à lettres et mon épouse ne lui avait donné aucune indication à l'interphone. Donc Jean était déjà venu à l'appartement! Je laissai pour l'instant cette question en suspens mais cela nécessiterait une explication.
De nouveau mon épouse alla lui ouvrir la porte et le fit entrer. Il me resalua. Debout près de lui, je m'aperçus qu'il était plus grand de quelques centimètres mais, comme me l'avait dit Joss ce matin, qu'il était effectivement costaud: il avait de larges épaules musculeuses de déménageurs, des cuisses solides et, à la fourche de ces cuisses, ce qui m'apparaissait comme un pantalon bien rempli, une véritable protubérance qui laissait présager une belle virilité dont mon épouse, d'après les indices dévoilés à l'instant, avait dû profiter à un moment donné.
Lui faisant signe d'avancer dans la salle, il nous annonça alors:
- « Si vous permettez, je vais passer d'abord par la station toilette car je n'ai pas eu le temps d'y aller au bar après avoir fermé.
Et ni une ni deux, sans hésiter, il traversa l'appartement pour emprunter le second couloir qui desservait les WC. Pas très futé le Jean!
Mon épouse comprit tout de suite la bourde et vit que, moi aussi, j'avais compris.
- « Alors? C'était quand?
Elle baissa la tête puis, après quelques instants, bien obligée, elle me répondit:
- « Mercredi. Il fait un marché le matin. J'avais demandé une demie journée l'après-midi et il est passé.
- « Attention Joss! Tu joues avec le feu! Tu connais nos accords? Tout me dire!
- « C'est exceptionnel! Ça n'arrivera plus!
- « C'est toujours ce que l'on dit!
De toute façon, au fond de moi je savais que cela n'avait rien d'exceptionnel. Joss ne changerait jamais, elle a le feu au cul et je devais m'adapter à cette situation.
Jean revint. On s'installa en bout de table. C'était une table ovale. J'indiquai une chaise à notre invité, mon épouse à sa gauche, dans l'arrondi de la table et moi en face.
Je lui demandai ce qu'il désirait boire et fit le service.
Nous discutâmes pendant une demie heure de choses et d'autres, de son métier, de ce qui l'intéressait, etc...Mon épouse se leva pour refaire le service et dut s'approcher de Jean pour remplir son verre. Je vis qu'elle était tout contre l'homme. Celui-ci avait comme par hasard son bras gauche baissé le long de sa chaise. Tout à coup, je remarquai que son bras était agité d'un mouvement qui l'amenait à s'écarter de son corps. Il était tout simplement en train de peloter mon épouse sous mes yeux, sans aucune gène. Et elle qui, comme d'habitude, se laissait faire. Je vis sa jupe se soulever sur l'arrière, la main montait. Elle devait maintenant être dans la culotte. Le pire, c'est que mon épouse avait maintenant posée la bouteille sur la table, elle avait ses deux mains sur le goulot et elle se laissait peloter en ayant l'air de fort apprécier la caresse. Puis je vis qu'elle me fixait, que voulait-elle me dire? Elle lâcha alors la bouteille et vint vers moi. Se faisant elle dévoila la main de Jean qui se trouvait effectivement à hauteur de son fessier.
Elle me susurra à l'oreille:
- « Tu veux bien qu'on parte une demie heure dans une chambre?
Que pouvais-je répondre? De toute façon ils l'avaient déjà fait sans ma permission! Je pouvais bien sur refuser mais ça ne les empêcherait pas de recommencer sans que je le sache. Alors, après tout, autant que cela arrive avec mon aval.
Je fis un signe affirmatif de la tête. Aussitôt mon épouse saisit Jean par la main et l'entraîna dans la chambre d'un de nos s.
De toute façon Joss était incorrigible, ses envies sexuelles étaient plus forts que sa volonté. Décidément, il était malsain d'inviter des hommes à boire l'apéritif, à chaque fois ils se payaient ma femme.
Curieux, vingt minutes plus tard je m'approchai de la porte de la chambre. Mon épouse n'était pas discrète, on l'entendait nettement gémir et exprimer sa jouissance.
Au lieu de trente minutes, c'est une heure et quart plus tard que je la vis sortir. Elle était toute nue, elle traversa pour se rendre dans la salle de bains.
J'attendis encore un bon quart d'heure pour la voir réapparaître en peignoir de bain. Elle alla cogner à la porte de la chambre afin de faire sortir son partenaire. Celui-ci revint sasseoir, pas du tout gêné, comme si de rien n'était. Je n'aimais vraiment pas ce genre de type: un sans-gêne sans aucune forme d'éducation ni de politesse. J'étais plus étonné par mon épouse, surpris qu'elle fréquenta ce genre d'individu.
Un verre plus tard, il nous annonça qu'il devait maintenant partir, car demain il avait une partie de chasse à laffût en Belgique. Tout à coup, cela lui donna une idée:
- « Mais, au fait! J'ai droit à deux invités! Pourquoi est-ce que vous ne viendriez pas?
- « Ah non! Pas moi, merci! Je ne suis pas du tout un fan de la chasse, répondis-je.
Ce qui était d'ailleurs parfaitement vrai, j'étais partisan de laisser ces animaux sauvages vivre leur liberté. Et une chasse à laffût en plus, ça allait être un véritable massacre.
- « Pourtant, moi, ça m'aurait plu! Je n'ai jamais participé à une chasse. Je serai curieuse de voir ça!
- « Et bien, demande à ton mari de te laisser y venir! Je passe te prendre de bonne heure et le tour est joué!
- « Oh oui, mon chéri, dis oui!
Autant me donner une corde pour me pendre. Je savais très bien comment se terminait ce genre de réunion qui, en général, se déroulaient dans des pavillons de chasse isolés en forêt.
Mais après ce qui venait de se passer, il ne pouvait rien lui arriver de pire! A part le nombre, mais ça, elle a l'habitude!
J'étais hélas loin de me douter de ce qui allait se passer!
Je donnai donc mon accord. Joss tapa dans ses mains et vint me faire un baiser pour me remercier. Ces mêmes lèvres qui avaient certainement mangé celles de l'homme qui était devant moi!
Jean expliqua alors les modalités: départ d'ici à 6h30, habillée en pantalon et bottes ainsi qu'un vêtement chaud pour le matin. Prévoir également une tenue faisant plus habillée pour le repas afin de faire honneur aux hôtes.
Tu parles! Plus « habillée » pour ma femme cela voulait dire plus « provocante »; Et quant à faire « honneur » à ses hôtes, nul doute que mon épouse allait le faire à sa façon et elle y mettrait tout son coeur.
Sur ce, Jean prit congé après m'avoir salué. Ma femme me dit qu'elle l'accompagnait en bas car, à cette heure ci, la porte d'entrée risquait d'être fermée à clef. Ce qui fait qu'elle ne remonta que 15 minutes plus tard! Inutile de lui demander ce qu'elle avait fait durant tout ce temps!
Dès son retour, je ne pus mempêcher de lui faire des reproches:
- « Je ne sais pas où tu l'as dégoté celui-là, mais quel ours! Il entre ici comme en terrain conquis, il me prend ma femme, il lui pelote le cul devant moi, il la saute, il va la ressauter demain et il s'en va, tout content, en la re-pelotant dans lascenseur. Ah bravo!
- « N'exagère pas! Viens, je vais te faire un câlin!
- « Quoi? Passer après cette brute? cet espèce de singe? Trop peu pour moi! Tiens, ma soirée est gâchée, je vais aller respirer un peu d'oxygène ailleurs, l'air est trop vicié ici, tu devrais aérer!
Je pris ma veste, les papiers de la voiture, les clés et je sortis en claquant la porte.
Joss courut derrière moi mais j'étais déjà en train de descendre quatre à quatre les escaliers, elle ne m'aurait pas lâché en attendant l'ascenseur..
Je pris la voiture et partis.
J'allai sur Lille. J'avais décidé de me faire un restau, ensuite j'irai finir la nuit dans un hôtel.
(A suivre...)
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