Marie Apprentissage De La Soumission : La Première Fois
Lhomme qui ouvre la porte est bien tel quil est sur la photo mais il sourit brièvement.
- Bonjour. Entrez !
Marie pas très rassurée malgré tout, fait quelques pas pendant que lhomme ferme la porte derrière eux mais ne la quitte pas des yeux.
- Je suis très content de faire votre connaissance. Marie nest ce pas ? Donne-moi ta veste. Bien ! Tournes toi maintenant que je te vois !
Elle tourne lentement sur elle-même en sentant les 2 regards excités qui la détaillent.
- Ta jupe qui laisse voir tes bas et ton chemisier transparent sont très jolis mais tu va les enlever avant que jaille discuter au salon avec ton mari.
Marie a la main qui tremble légèrement pendant quelle déboutonne son chemisier. Elle hésite encore un instant avant denlever sa jupe.
- Donnes tout cela à ton mari et enlèves ton string et ton soutien gorge mais gardes tes escarpins et tes bas !
Enfin elle est nue et le silence qui dure lui fait baisser les yeux vers le sol.
- Tu es très jolie mais tu va également donner tes bijoux à Michel. Enlève les tous !
Marie lève les yeux vers Michel qui avec un sourire rassurant, lui fais signe dobtempérer. Collier, montre, bagues rejoignent donc le sac que Michel a emmené.
- Tournes lentement sur toi-même.
Le temps qui semble suspendu dure .. dure et Marie qui se sent totalement nue et sans défense, commence à trembler un peu.
- Jai un peu froid !
- Ce nest pas lobjectif dit Monsieur Henri qui se dirige vers la centrale de réglage du chauffage.
Elle ne la pas vu revenir vers elle mais il a à la main un collier et une laisse.
- Relèves tes cheveux que je te mette ce collier de chienne.
Marie qui se dit en elle-même « quil en soit ainsi » obtempère docilement.
- Maintenant je ne veux tentendre que quand je te pose une question. Si tu veux demander quelque chose tu dois dabord demander lautorisation de parler avant.
Monsieur Henri qui se saisit de la laisse tire alors un petit coup sec en même temps quune claque retentissante atterrit sur la fesse gauche de Marie.
- Allons ! Au salon maintenant !
Marie sursaute et se trouve entraînée en direction du salon en même temps quelle rougit de se voir traiter de cette manière cavalière.
- Assieds-toi Michel ! Et toi viens près de ce fauteuil à côté de moi. Mets tes mains sur ta tête. Écarte tes jambes. Plus que cela !
- Mets les coudes plus en arrière pour que cela fasse ressortir tes seins
Baisse les yeux !
Marie est debout à côté du fauteuil les jambes écartées. Elle sait quelle est indécente ainsi nue avec seulement ses bas. A moitié tournée vers Henri, elle ne voit plus Michel que du coin de lil.
Monsieur Henri qui sest installé dans le fauteuil à côté delle la caresse négligemment.
- Bien alors, dit moi Michel, que lui as-tu dit sur nos échanges ?
- que vous étiez dominateur et que vous vouliez la dresser à la bite régulièrement mais quelle pourrait ralentir les choses si cétait un peu trop dur.
- Bien lui as-tu expliqué que son weekend end avec moi, allais être humiliant pour elle mais que cétait une étape essentielle pour la dresser à devenir une bonne petite pute ?
- oui enfin je pense quelle la compris
- Las-tu compris, Marie ?
- Oui mais je nai pas trop lhabitude
- Tu la prendras lhabitude !! Par contre tu va devoir thabi tout de suite à dire Monsieur Henri quand tu tadresses à moi ou encore Oui Maître. Est-ce clair ?
- Oui Monsieur Henri. .. Oui
Maître. Le dernier mot eu du mal à sortir. Marie sentait quil marquait son accord pour la suite
pour aller plus loin.
- bien je pense que tu as vraiment du potentiel et en plus tu es très jolie, ce sera donc à double titre un plaisir de te prendre en mains. Maintenant il faut que tu saches que je ne suis pas fou ou énervé. Ce que nous allons faire est à la fois un art de vivre et un jeu.
Il faut que tu saches que Michel va repartir avec tous tes vêtements, absolument tous à part tes bas. Tu nauras besoin de rien. Pour cette première fois, tu lappelleras au téléphone toutes les heures pendant les 3 premières puis une fois à 7h30 ce soir et une fois à 9h demain matin. Il viendra te rechercher à 16h dimanche. Il faudra quil soit disponible sur ces horaires et nest pas autorisé à tappeler afin de ne pas perturber le démarrage de notre relation. Nous sommes daccord ?
- Oui.. Maître.
- Michel ?
- Oui pas de problème.
- Bien il faut que vous compreniez tous les 2 que jai de lexpérience et donc je compte être exigent avec toi. Si tu veux arrêter, tu en auras le droit mais dans ce cas, comme je sais ce que je veux et que je nai pas de temps à perdre, ce sera fini.
Monsieur Henri pendant ce temps avait continué à caresser Marie et il sattardait de plus sur son sexe. En terminant son explication, il lui glissa le majeur dans le vagin ce qui fit pousser un petit cri à Marie.
- Michel, je peux te dire que ton épouse mouille ! Nous allons en faire une bonne pute !
Puis alors quil lui massait le clitoris avec le pouce en ayant laissé son majeur dans son sexe.
- Il faut que vos compreniez que je veux également une relation régulière. Cela ne peut se faire que comme cela.. Michel, nous sommes bien daccord ?
- Oui cest tout à fait clair.
- Par ailleurs Mairie, il nest pas du tout certain que tu prennes ton pied. Ce nest pas mon objectif ce week-end. Je vais thabi à servir dobjet de plaisir. Si tu prends ton pied, tant mieux mais je ne te faciliterai pas les choses. Tu es là pour être dressée pas pour jouir. Nous sommes bien daccord ?
- Oui, Maître répond Marie qui trouve de moins en moins difficile de sadresser à Monsieur Henri de cette manière.
- Michel, je veux tentendre dire que jai carte blanche avec ton épouse et je veux surtout que ton épouse lentende.
- Vous avez carte blanche.
- Bien ! Nous ne parlerons donc plus delle comme de ton épouse mais comme de ma soumise. Nous sommes daccord ?
- Oui répond Michel qui bande de plus en plus en voyant par derrière sa chérie se faire pistonner la chatte par le majeur de Monsieur Henri.
- bien ! Jai donc tous les droits sur elle ?
- Oui, oui. Bien sûr mais si cela lui plaît.
- Je te demandais pour toi. Son avis à elle, cest désormais un problème entre elle et moi.
- Oui bien sûr répond Michel.
- Nous sommes donc daccord, jai le droit dutiliser ses 3 orifices de la manière qui me plaît. Ce sera avec préservatif pour la chatte et lanus mais sans lors des fellations complètes.
- Oui lui répond, Michel. Je suis daccord comme cela.
- Bien nous verrons pour la suite. Si jestime que je peux faire confiance à ma pute nous passerons à des relations sans préservatif mais ce nest pas encore le moment.
Marie qui se fait doigter, tangue un peu et a de plus en plus de mal à tenir la position sur ses petits escarpins surtout que Monsieur Henri a profité pour lui glisser un doigt dans lanus. Monsieur Henri qui sen est rendu compte retire brutalement ses doigts et se lève. Il prend Marie par les épaules pour la relever et la tourne vers lui. Puis sans la quitter du regard :
- Je ne veux pas que tes yeux quittent le sol !
Michel, je pense que le moment est venu de nous laisser mais Marie je ne veux pas que tu quittes ta position pendant que je raccompagne Michel.
Michel se lève dun bond alors que son pantalon est tendu par une érection douloureuse.
- Je vais vous laisser mais puis je demander quelque chose à Marie ?
Monsieur Henri qui a deviné quil sagit de lui demandé si tout va bien lui réponds alors sèchement : Non ce nest pas le moment.
Michel att alors le sac laissé sur le sol de lentrée et file tout en se demandant si cela va plaire à Marie.
Marie quant à elle, a relevé discrètement les yeux et na pas vu que Monsieur Henri la remarqué. Elle se sent bien, elle est assez excitée et a été un peu rassurée par les déclarations de Monsieur Henri même si elle a quand même encore un peu dinquiétude.
Laissez moi des commentaires. Dites moi par exemple quelle suite vous imagineriez pour Marie avec son Maître ? avec son mari ?
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