Béatrice, La Voisine De Mes Rêves.
Je suis jeune, je m'appelle Stéphane, j'ai vingt cinq ans, je mesure un petit mètre soixante dix et pèse soixante cinq kilogrammes. Mes parents travaillent tous les deux au tribunal correctionnel, ma mère est greffière et mon père juge. J'habite dans une belle maison avec un grand jardin, dans un lotissement huppé de la ville. Je dirais même qu'il ressemble à une sorte de domaine privé. Mes voisins sont aussi très riches, l'un est architecte d'intérieur, l'autre est kinésithéute et certains joueurs de football du club de la ville vivent dans ce lotissement. Autant dire que je suis plutôt bien entouré. Régulièrement, après les cours je vais faire un footing dans un bois qui se situe à proximité des maisons. Je fais en sorte de bien faire mes étirements afin d'éviter toutes lésions musculaires ou crampes. Quelques fois, je suis rejoins par un ou une voisine, c'est vrai qu'il est plus agréable de courir accompagné que seul. Étant le plus jeune du quartier, je suis souvent chouchouté par les plus anciens. Ce qui plaît beaucoup à mes parents qui tiennent à me donner une éducation exemplaire digne de mon statut social. Je respecte au maximum les règles de bonne conduite malgré quelques égarement avec les filles du quartier.
Cependant, chose qui ne m'était jamais arrivé, je fantasmais souvent sur une femme d'un âge un peu plus mûr. Béatrice la femme du kinésithéute. Elle doit avoir entre trente cinq et quarante ans, elle est mariée avec deux s, physiquement elle est très belle, très élégante.
Visuellement, sa taille doit être proche d'un mètre soixante cinq, sa chevelure est brune et retombe légèrement sur ses épaules, sa poitrine semble correcte, peut être quatre vingt dix C, et ses fesses l'objet de mes rêves, légèrement bombées comme une africaine. Souvent le soir venu, je me masturbe en pensant à ce postérieur fort aguicheur. Les premières vacances scolaires arrivent, nous sommes à la période de la Toussaint, le temps est gris et humide.
Nos joues ont rougi, nos voix se sont crispées, je lui propose de rentrer chez elle afin qu'elle puisse se changer et terminer les étirements dans des conditions un peu plus correctes.
Elle exécute un léger sourire de compassion, puis nous reprenons la route en direction de son domicile. Je ne peux m'empêcher de regarder ses fesses qui ballottent de droite à gauche et de
voir qu'elle n'a mis qu'un string très fin, sans doute pour plus de confort. Nous voilà devant la porte de sa maison, elle me propose d'aller dans la salle de sport de son mari, le temps de se changer. Dans cette pièce, je trouve les éléments nécessaires à des étirements. Après quelques minutes de découverte, j'entends des pas dans l'escalier, la voici maintenant vêtue d'un jogging gris. Je lui propose de commencer la séance d'étirements, je lui demande de se coucher sur le dos, je lui tends une première jambe que je place sur mon épaule afin de lui étirer le muscle se situant sur le derrière de la cuisse, je continue en faisant de même avec avec l'autre jambe.
S'ensuit une série classique pour soulager les membres un peu fatigués. Je me couche à mon tour sur le dos et lui demande de faire la même chose que je lui ai fait au début. Sauf que j'avais oublié un petit détail, mon short! Suite au conseil d'un de mes voisins footballeur, je ne portais plus de caleçon lors de mon footing pour éviter les frottements avec les cuisses.
Béatrice me saisit la première jambe et ce qui devait arriver arriva. En levant ma première guibolle, mon sexe se place immédiatement sur le côté, chose qui ne doit pas passer inaperçu.
Physiquement, je n'arrive plus à me contrôler et je sens une légère érection poindre le bout de son nez. J'essaye de relever la tête légèrement, et je vois les yeux de Béatrice se fixer sur mon entrejambe. Très gêné, je rougis comme un jeune puceau, ce que ne manque pas de remarquer ma partenaire.
Je lui caresse le bout des tétons avec la paume de ma main, je les pince légèrement ce qui ne manque pas de la faire sursauter, je l'embrasse dans le cou. Elle commence à monter dans les tours dans le même temps, preuve que je lui fais de l'effet. Elle se retourne, je baisse les yeux et je vois une tâche d'humidité au niveau de sa vulve, nous nous regardons avec un large sourire qui veut tout dire. Puis je me mets à genou, je lui enlève avec douceur son jogging gris et je découvre un magnifique string blanc en dentelle légèrement transparent.
Je prends alors totalement possession de son intimité. Coup de langue, pénétration avec les doigts, je n'arrête plus je suis sous le charme de cette vulve qui s'offre à moi. Plus les minutes passent, et plus son corps ondule. Je sens aux petits sons qui sortent de sa bouche que son premier orgasme ne va pas tarder à arriver. Un jet puissant de cyprine sort de ses entrailles, en même temps qu'un cri rauque sort de sa bouche. J'en profite pour finir de me déshabiller, j'avais encore mon short autour de la taille. Dans le même temps, Béatrice se relève, et saisit mon membre dans sa main, elle commence par des vas-et-vient à la fois lents et rapides, puis me gobe totalement la tige. S'en suit des allers-retours de plus en plus intenses. Elle se rallonge sur le dos et je comprends très vite qu'elle sent le besoin de prendre encore plus de plaisir. Je commence à la besogner en missionnaire. Rapidement, je la mets à quatre pattes, j'ai enfin la vue de ce merveilleux cul sous mes yeux et je vais même le faire claquer sur le bas de mon ventre. Je me déchaîne dans son puits d'amour qui ne cesse pas de transpirer de plaisir. Je sens même régulièrement son liquide vaginal couler sur ma verge.
La levrette est l'une de mes positions préférées, je donne tout ce que j'ai. Je sens alors ma sève arriver à grande vitesse et dans un coup puissant mon sperme explose dans ses entrailles.
Dans le même moment, Béatrice pousse un cri strident signe de satisfaction. Nous nous allongeons l'un à côté de l'autre, à croire que le temps ne passe pas. Mais ses obligations de femme mariée et de mère reprennent le dessus. Nous nous rhabillons, nous nous embrassons et Béatrice m'invite demain à continuer les exercices sportifs. Je rentre chez moi avec un sourire qui m'arrive jusqu'aux oreilles. Mes parents étant absent, j'en profite pour faire une sieste reposante.
Que va t-il se passer demain ? Serions nous assez fou pour nous laisser aller dans un coin discret du bois ? La suite bientôt.
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