Dimanche Après Midi Crapuleux

Un dimanche après midi, le temps n’était pas à la promenade et son envie de sentir une nouvelle queue en elle faisait l’objet d’une discussion érotique entre nous. ELLE entendait avec plaisir que je souhaitais la voir se faire prendre bientôt et je lui proposai sur le net. Il était 14h00. Je fus surpris de la facilité avec laquelle elle accepta et de la vitesse à laquelle nous nous retrouvâmes devant l’ordinateur. Je lançai une requête : homme, avec photos, libre, en ligne. Les annonces furent sélectionnées et je saluai quelques internautes en expliquant que nous étions disponibles et qu’elle souhaitait être baisée dans l’après-midi. Les réponses furent souvent que, certes, mais, comme assez souvent avec les hommes qui vont à la pêche sur ces sites.
B., lui, répondit rapidement se quand il eut lu notre offre, nous nous mîmes d’accord pour une rencontre à 15h00.
Le temps pour lui de passer sur la douche et pour elle de s’apprêter. Il habitait à dix minutes et elle pouvait donc monter dans la voiture en tenue sexe, avec une cape et arriver à son domicile ainsi vêtue.
J’avais proposé que B. ouvre sa porte et nous laisse entrer sans se montrer pour que je puisse lui passer un bandeau sur les yeux, car elle voulait découvrir avec ses mains et sa bouche. Ainsi fut fait.
A 15h00, je me garai dans la rue devant la maison indiquée et ELLE sortit de la voiture, mit sa cape légère et nous nous retrouvâmes devant la porte de l’appartement. Elle était entrouverte et donnait sur un petit vestibule, désert. B. avait respecté la consigne. Je pris sa cape et elle posa le bandeau sur ses yeux, puis je la conduisis dans l’appartement. Je vis alors B. pour la première fois. Un homme de 37 ans, charmant et surtout étonné de sa bonne fortune. Il s’écria spontanément : » elle a des bas ! ».
Je la plaçai au milieu de la pièce et laissai ce nouvel amant faire connaissance avec elle. Il s’approcha et la caressa en se collant parfois à elle.

Ses gestes étaient précis et s’assuraient de la disponibilité de cette femme. Seins accessibles, string uniquement pour ne rien cacher. Il lui passa la main sur sa chatte déjà trempée et elle chercha de la main sa queue qu’il venait de libérer de son pantalon. En un clin d’œil, il fut nu et elle le dégusta immédiatement avec sa bouche. Je mesurai combien elle avait envie de ces rencontres et combien elle se jetait avec délice dans les bras de ce nouvel amant.
Il la retourna et lui suça le cul, car pendant notre échange par internet, elle avait voulu que je lui signale qu’elle voulait être enculée.
Ils se donnèrent du plaisir avec leurs mains et avec leurs bouches, se humant et se touchant, se suçant mutuellement leurs sexes et grognant de plaisir.
Je découvris pendant ce temps que son étalon du jour aimait la musique et qu’il pratiquait du piano. Son appartement m’offrait la possibilité de me retirer pour les laisser seuls à leur fornication endiablée. Lorsque je revins vers le canapé, elle était allongée sous lui et ouvrait largement ses cuisses de petite grenouille lubrique pour être bien baisée au fond de son trou vaginal.
Elle se retourna bientôt et il vint se positionner sur son anus, comme elle le lui avait demandé. Il poussa, ravi de l’aubaine, et elle ouvrit son petit trou à merde en grand pour avaler sa queue.
Cavalcade endiablée et éjaculation et orgasme en même temps ! Ils eurent besoin d’un peu de repos et se caressèrent un long moment en buvant une coupe de crémant avant qu’il ne la mène dans sa chambre à coucher, comme on même une jument à l’étalon.
Là, sur le lit, il la pénétra d’autorité et la baisa longtemps, la retournant dans tous les sens, lui ouvrant largement les cuisses, agaçant son anus et la couchant enfin sur le côté pour la finir en douceur, ELLE les jambes entremêlées aux siennes. Des râles de jouissance, des encouragements pour qu’il la baise encore et quand il sentit sa semence monter dans sa queue, il la coucha sur le dos, lui défonça la chatte à grands coups de bite et lui demanda se lui pincer les mamelons pendant qu’il jouissait.

ELLE sortit comblée de cette séance et le remercia en lui donnant un long baiser sur la bouche et nous rentrâmes pour commenter, décrire et prolonger cet après-midi par la récompense du candauliste, prendre sa femme, sentant le sexe à pleines narines, suintante de ses jouissances avec son amant et chaude comme la braise pour se faire pénétrer encore, sûre du désir qu’elle a suscité.

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