Liaison Avec Une Inconnue En Sous-Sol
Comme tous les soirs après ma journée de travail, je descends au sous-sol de limmeuble, récupérer ma voiture pour rentrer chez moi.
À cette heure tardive, cest bien évidemment désert. Je marche dun pas assez lent vers mon emplacement de parking où mon véhicule mattend. Il ne reste plus que la mienne de ce côté. Je sors les clefs. Soudain, dun seul coup, une voix barguigne mettant fin au silence.
Je me retourne et je distingue une femme, la trentaine. Vêtue dune jupe noire lui arrivant à mi-mollet, et dun chandail dont le décolleté laisse apparaître des seins somptueux. Son maquillage est très discret et ses grands yeux noirs sont soulignés de mascara.
Je pose mes yeux dans les siens. Instant furtif avant que ma caresse visuelle ne samorce. Alors mon regard glisse sur ses genoux, caresse une cuisse, puis dérive sur lautre et sexcuse en sinterrogeant sur ce qui peut bien se cacher sous sa jupe. Ma vue alors ricoche et se heurte sur le renflement de son bas-ventre, essayant à peine perdue dapercevoir, par jeu de transparence, sa lingerie. Cet instant me foudroie dun plaisir inédit.
Lintensité de son regard qui me scrute et me détaille, est à la limite intimidant. Cest alors quune chaleur enivrante me monte aux joues.
Je devine après coup ce quelle désire. Ce nest tout de même pas le fruit du hasard quelle soit là devant moi, à cette heure, et seule de surcroît. Elle sapproche et coule sa main sur mon pantalon. Elle se penche près de mon oreille et me chuchote que son compagnon nous observe un peu plus loin, ainsi quun couple damis à elle. Et tout dun coup, comme pour prouver ses dires, des bruits indistincts se font entendre, venant de lintérieur dune voiture stationnée derrière le mur, dont je ne vois que le nez. Je tends un peu plus loreille. Je perçois très nettement à présent, des soupirs, des halètements, puis une acclamation étouffée. Il y a aussi une clameur plus forte et une exclamation explicite.
Les jambes entrouvertes, le regard fixe, la bouche gonflée, la jeune femme me semble tétanisée. Elle se met doucement à rouler des hanches comme pour traduire, par ce geste, le motif des bruits venant de lautomobile. Cest à la fois délicieux et un peu frustrant.
Soudain moins complexée, linconnue se comporte à peu près comme une chatte en chaleur. Si souple, quelle semble ne pas avoir dos.
Mon regard lui suffit et sa main remonte délicatement vers ma chemise. Elle déboutonne lun après lautre les boutons, avec une habilité extraordinaire. Si bien quen quelques secondes, ses deux mains tâtent ma poitrine nue, avant de descendre plus bas où elle devine un désir que je ne peux dissimuler. Je la laisse faire. Soigneusement elle insinue sa main dans mon pantalon et du bout de ses doigts experts, touche mon sexe bandé. Elle lenserre dans sa main et me force à la suivre jusquà la fameuse voiture.
Elle me repousse en arrière. Je maffale sur le capot. À genoux, elle se rue sur ma virilité. Elle mengloutit avec une maestria révélant une grande habitude. Sur un rythme régulier, presque paisible, elle entreprend de madministrer une fellation passionnée, sans se soucier le moins du monde de notre environnement.
Son corps, tout en courbes, dégorge de sensualité. Ses longs va-et-vient me procurent un désir infini. Je ne pense plus à rien. Jai limpression de vivre un rêve éveillé. Ses lèvres plongent, puis reviennent en arrière, retroussées, tandis que sa langue parcourt lextrémité de mon sexe avec le soin que met un à lustrer un cornet de glace. Je me laisse consommer par cette délicieuse inconnue. Je mabandonne à cette volupté qui menvahit. Je néprouve ni honte, ni pudeur, jai juste limpression de moffrir à un péché merveilleux.
Lorsquelle sent à mes coups de reins que je suis au bord du plaisir, elle me laisse choir quelques instants, me regarde, puis entame, toujours avec sa bouche, un long mouvement tournant, ce qui à pour effet de moccasionner un cri de plaisir.
Au bout dun moment, elle se redresse avec la conscience du devoir accompli. Je me sens frustré, quelle me laisse tomber sans même mavoir fait jouir. Les soupirs continuent de plus belle à lintérieur du véhicule.
Elle se dirige vers le mur planté à côté de la voiture aux vitres obscures. Jimagine que les occupants nous mâtent de lintérieur. Ce jeu mexcite de plus en plus.
Jaccole mon inconnue qui, sans perdre de temps, fait descendre sa culotte de dentelle noire le long de ses jambes. Qui, daprès les taches, me fait penser que son plaisir sest déjà manifesté. Elle en veut encore plus !
Elle glisse ses mains sous sa jupe. Son bassin mime lamour. Ses jambes frémissent en rythme et son visage appelle le plaisir. La démonstration achevée sur son merveilleux abandon delle-même, elle sallonge sur le capot et minvite à lui rembourser le bienfait quelle ma procuré.
Je suis, à cet instant, devenu complètement fou. Avide de la goûter, de la découvrir. Parmi le voile de sa jupe, je me plie volontiers à ses caprices. Délicatement elle me dévoile son intimité en retroussant sa jupe vers le haut. Je peux alors prendre possession de sa fleur. Je passe un léger coup de langue sur ses lèvres intimes. Que jaime son parfum et sa saveur forte ! Je mapplique à cueillir son bourgeon entre mes lèvres. Je le pince légèrement, le tire vers moi, puis je le gobe, le pompe régulièrement, mais avec une grande douceur.
Elle soupire avec bruit et serre convulsivement ses cuisses sur ma tête, pour me faire sentir son bonheur, mais surtout la force de son excitation. Je la lèche longuement, prenant beaucoup de plaisir à faire jouir son petit membre érectile. Je glisse un doigt dans sa douce intimité. Cest chaud et humide. Je fais quelques va-et-vient, puis jinfiltre un deuxième doigt.
Je taquine son bouton, et mes doigts sactivent. Le désir la submerge. Je ne suis pas pressé, donc je modère le mouvement. Je veux la faire languir. Ma main droite file entre ses cuisses et remonte jusquà caresser de nouveau sa fleur.
Je me redresse. La voiture a comme des sortes de tremblements. Les amis doivent bien samuser ! Elle enlève sa jupe, la pose délicatement à travers la vitre de lautomobile qui vient de souvrir. Une main lui prend sa jupe, lui donnant en échange un sachet. Puis la vitre se referme aussitôt. Elle me le tend. Il sagit dune capote dans son emballage. Pas besoin de lui demander ce quelle convoite. Je sors le préservatif de son logement et le déroule sur mon sexe.
Je ne tiens plus. Elle prend alors position sur le capot de la voiture. Je place mon gland tout « vinylisé » devant son vagin. Je fais passer sa jambe droite par-dessus mon épaule du même côté. Je réalise la même opération à sa jumelle. Peu à peu, moulinant du bassin, je prends possession de son antre. Millimètre après millimètre, je vois mon sexe disparaître, jusquà sentir ce dernier buter au fond de son sexe. Des mots crus perlent de sa bouche, qui agissent sur mon cortex.
Mes coups de reins se font de plus en plus puissants, ce qui la rend complètement folle. Elle sagrippe comme elle le peut au capot, son visage tourné en direction du pare-brise fumé. Elle crie et me somme de ne surtout pas marrêter, que ça vient, quelle nen peut plus.
Sans même men rendre compte, je perds le contrôle de la situation. Je sens la sève monter irrésistiblement de mes reins. Avec un hurlement sauvage, je me rue encore plus violemment dans ce sexe qui maccueille et qui minonde. Au bout de quelques minutes dune rare intensité, nous tombons tous deux vannés, sur le capot, dans un dernier cri commun de contentement.
Nous restons là tous les deux accouplés pendant un instant, cuvant notre orgasme. Puis je me redresse, lémancipant. Elle prend alors contact avec le sol. En me frôlant, je lentends me chuchoter un merci, puis elle disparaît comme une ombre, dans la voiture, du côté passager. Je retire mon préservatif souillé, puis me rajuste. Jassiste au démarrage de la voiture.
Les jambes en coton, je retourne jusquà ma voiture. Devant celle-ci, je ramasse les clefs toujours au sol. Je rentre à lintérieur et massoupis un instant.
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