Ma Femme, Un Amant, Cap D'Agde
Nous allons chaque année au Cap dAgde pendant quelques jours. Nous réservons toujours un hôtel à lextérieur du village libertin, car nous ne vivons pas exclusivement pour le libertinage. Nous faisons chaque fois des rencontres dans différents endroits et nous sommes des adeptes de la formule de lExtasia, restaurant sympa et ensuite disco libertine qui ne dément jamais sa réputation. Elle a déjà été assaillie dans le petit bois et sous les tentes et nous avons toujours trouvé des groupes avec lesquels la soirée devenait torride.
Cette année, nous étions plutôt fatigués et avions besoin de repos. Je voulais également acheter du vin dans les caves Richemer à Agde qui proposent des nectars fort honorables pour des prix très urbains.
Le premier jour. le temps était maussade et nous fîmes une promenade le long de la plage. Le soir, elle se fit sexy et nous allâmes au restaurant où nous fîmes la connaissance dun couple adorable, mais où les atomes sexe ne passaient pas. Nous voulions rester encore un jour et repartir. Nous étions un peu frustrés de navoir pas fait de rencontres et nous en prîmes notre parti. Cétait sans compter avec le hasard.
Le dernier jour, le soleil brillait et un plan plage nous sembla parfait pour conclure ces vacances peu érotiques.
Je garai la voiture dans le village naturiste et nous prîmes le strict nécessaire pour nous prélasser un peu au soleil. A 10 heures, la plage était encore vide et nous nous installâmes en face de lendroit où les choses deviennent concrètes laprès midi. Quelques hommes étaient déjà là et notre arrivée fut observée sous laspect de la faisabilité dune rencontre cul. Un magnifique Italien allait et venait et observait de façon insistante lentrejambe de ma femme. Un autre homme, assez âgé et ventripotent, se masturbait en regardant passer les femmes. Il vint se positionner à nos pieds et astiqua son membre vraisemblablement sous lemprise du viagra.
Rien de bien folichon pour une éventuelle conclusion dans les dunes.
Nous avions acheté des journaux et lisions nos canards lorsquun homme dune extrême beauté vint sinstaller à deux mètres de nous. Il étendit une serviette qui représentait le dau britannique et sortit un livre de son petit sac à dos. Jobservai ses membres longs et fins, ses mains aristocratiques et son visage régulier. Il était noir, mais semblait métissé.
Je vis que les yeux de ma belle sétaient posés sur lui. Elle avait vu le titre du livre et avait observé quil avait une érection qui létonnait lui-même, car il croisait ses jambes pour la dissimuler. Malheureusement, la nature nobéissait pas et son vit était insolemment tendu vers mon épouse.
Je grillais au soleil et lui dit que jallais tremper mes pieds dans leau. Lorsque je revins, nous échangeâmes quelques mots en anglais, langue qui nous est familière. Je soupçonne quelle voulait faire comprendre que nous parlions anglais. Ce qui ne manqua pas déveiller lattention de notre joli voisin qui demanda tout de go « Do you speak english ? ». La conversation sengagea et nous fûmes bientôt les meilleurs amis du monde. Ni. était anglais, sa mère était fille dun notable africain et son père un archéologue britannique.
Nous navions pas prévu de rester aussi longtemps sur la plage et nous commencions à rougir. Jallai donc chercher un parasol dans la voiture, pendant quelle faisait la conversation avec Ni.. Lorsque je revins, rien navait bougé et les idées volaient haut. Je pris linitiative dinviter notre nouvel ami anglais à nous rejoindre pour le repas du soir dans un restaurant au Cap, « lessence du goût » qui nous avait été recommandé par des habitués.
Nous rentrâmes à lhôtel en longeant les parasols. Cétait le moment où le libertinage sur la plage battait son plein. Un jeune couple était emboîté et lhomme pénétrait sa compagne qui avait posé une jambe par-dessus les siennes. Plus loin, une femme suçait un homme allongé sur le dos. Elle était perpendiculaire à lui, couchée sur le côté, et montrait sa vulve quelle tenait ouverte à deux doigts à deux hommes à plat ventre devant ses cuisses ouvertes.
Le soir venu, nous nous retrouvâmes sur le port et prîmes notre repas ensemble. Lambiance était très chaleureuse et Nu. et elle burent force rosé. Je restai sobre, car nous voulions faire une dernière visite au village naturiste. Ni. Voulait absolument voir « ces choses dégoutantes », comme il disait avec beaucoup dhumour et constater de visu la dépravation des libertins.
Tous deux étaient joyeux et alcoolisés. Nous entreprîmes une visite des lieux libertins et nous lui expliquâmes certains codes. Je navais pas de chaussures, si bien que nous ne pouvions entrer dans les clubs. Elle me tança gentiment et Ni. était prêt à tout payer pour vivre quelque chose. Nous atterrîmes dans un bar dansant le long de lavenue de la Joliette. Les clients dansaient, lambiance était à la fête et le disc-jockey était exceptionnel de gentillesse, dhumour et de complicité avec les libertins. Nous cherchâmes une place et je lui dis que je devais aller chercher de largent à un cash-point, car je navais plus de liquide. Je partis donc au distributeur et dûs faire la queue un petit moment. Je revins au bar et me dirigeai vers lendroit où je les avais laissés. Personne ! Je fis le tour des tables et des canapés pour bientôt les apercevoir.
Ils étaient installés dans un canapé posé près du trottoir. La situation avait bien évolué ! Ni. Etait en train dembrasser ses seins et avait une main entre ses cuisses. Il tétait ses mamelons et tous les passants se régalaient du spectacle. Elle avait passé son bras autour de son cou et se laissait faire. Il lembrassa à plein bouche et elle lui rendit son baiser en cherchant sa langue avec ses lèvres. La main entre les cuisses se fit plus précise et se glissa sous le petit slip. Elle ouvrit un peu plus son entrejambe, ne se souciant absolument pas des gens qui passaient et regardaient ce spectacle public avec beaucoup denvie.
Elle maperçut enfin, car javais pris place dans un fauteuil en face deux et avais tiré son appareil photo de son sac pour immortaliser la scène.
Je me dévouai donc et allai demander à un videur à lentré du club libertin situé juste à côté de me prêter quelques préservatifs. Il fut très gentil, avec beaucoup dhumour et me demanda si dix me suffiraient. Je ne voulus pas lui expliquer que jétais en train de préparer le reste de la nuit de ma femme dans les bras dun bel homme noir et que jaurais certainement une belle expérience candauliste, mais pas loccasion de la baiser, car la place était prise et que javais senti quelle allait être une belle salope, mais pour un autre.
Nous rejoignîmes la voiture et elle sinstalla à larrière avec Ni.. Je vis dans le rétroviseur, en passant la guérite du village naturiste comment elle levait les fesses et enlevait son string. Ils furent bientôt collés lun à lautre et sembrassèrent à pleine bouche. Ses seins étaient maintenant à lair et elle ouvrait largement les cuisses, un pied posé sur le siège pour quil puisse accéder sans encombre à sa chatte. Je roulais doucement pour ne pas les cahoter sur lavenue plutôt mal en point du fait des racines darbres qui conduit du village vers la ville et pouvais à loisir tourner la tête pour les regarder. Cest un de mes grands plaisirs de la voir aux prises avec un autre homme. La pénombre de la voiture, éclairée régulièrement par les lampes qui bordent la rue, faisait apparaître et disparaître une scène dune pornographie torride, elle courbée sur sa queue et lui prodiguant une pipe profonde, une jambe relevée et appuyée contre la portière et lui, un bras posé sur le dossier du siège de sa partenaire, fouillant son entrejambe et la branlant avec un bruit mouillé qui ne laissait aucun doute sur létat dans lequel se trouvait cette pute.
Elle gémissait doucement et ils se susurraient des cochonneries en anglais, lun disant à lautre ce qui lui faisait plaisir. Je pense que la vue de se couple enlacé à larrière d une voiture conduite par un homme a certainement émoustillé les piétons qui rentraient et a nourri leur imagination.
Nous fûmes rapidement sur le parking près de lhôtel. Ils descendirent du même côté et elle remit un peu dordre dans ses vêtements pendant que Ni. Refermait sa braguette. Nous nous dirigeâmes vers lhôtel et il prit sa main dans la sienne. Je pris son autre main, mais labandonnai très vite pour marcher devant, car je nexistais pas à ce moment-là. Ils me suivirent comme un couple damoureux dun pas décidé et je forçai lallure pour taper le code de lhôtel et leur ouvrir la porte.
Nous fûmes bientôt dans la chambre et elle voulut rapidement prendre une douche, sans doute pour avoir le cul impeccable pour se faire lécher. Pendant ce temps, jexpliquai à Ni. qui semblait un peu dérouté par la situation et un peu gêné de se retrouver en tête-à-tête avec le mari de la femme quil allait sauter, que cette situation était normale pour nous. Je lui dis que nous étions échangistes et que nous pratiquions le candaulisme. Il me demanda où nous trouvions nos partenaires et je lui expliquai que nous étions abonnés à un site et quelle avait des amants réguliers. Il se déshabilla et je pus revoir son corps parfait et sa queue en érection qui nattendait que son fourreau. Le fourreau sortit de la salle de bains et elle vint se coller contre Ni. . Il posa sa main sur son mont de vénus rasé et je vis un doigt sintroduire dans sa chatte. Ils sembrassèrent et elle saisit son vit à pleine main et le branla doucement, palpant ses belles couilles recouvertes dun duvet crépu. Jétais assis derrière elle et je prenais des photos. Ils se mirent à genoux et continuèrent de se branler mutuellement. Elle était aux anges et respirait bruyamment, se cambrant en arrière pour quil atteigne son clitoris et pour me faire profiter du spectacle de son envie, me montrant ainsi son trou du cul et son con ouvert et luisant. Elle le prit dans sa bouche et le suça comme une glace au chocolat, léchant le frein et engouffrant la boule rose brun de son gland gros comme une belle mandarine.
Soudain je lentendis lui dire « I want to fuck you ». Elle le conduisit vers le lit en le tenant par sa queue et je lui tendis un préservatif, venant de mon trésor de guerre de la boîte échangiste. Il lenfila, mais débanda. Cela arrive parfois. Elle sut réagir et empoigna son pénis en le secouant vigoureusement et lui tailla une pipe par- dessus le caoutchouc qui redonna de la vie à la mentule.
Il sallongea sur le dos et elle sempala dun coup sur lui, enserrant ses hanches de ses cuisses et labsorbant complètement en pressant son pubis sur celui de son partenaire. Ils se donnèrent avidement lun à lautre, se baisant autant avec leurs sexes quavec leurs bouches, Ni. dardant sa langue et elle lenfonçant au plus profond de sa gorge. Il avait un sexe impressionnant et je me régalais des images que je voyais dans mon appareil photo. Il la besogna longtemps, infatigable et elle pressait son cul sur ses cuisses, cherchant à rentrer cette queue longue et puissante dans sa chatte. Je pourrais lui dire le lendemain quelle avait absorbé cette immense queue et que je savais quelle était capable de prendre nimporte quel calibre dans ses orifices quand elle était excitée comme une pute.
Il la retourna et sallongea sur elle. Il se mit à la pénétrer avec un mouvement du bassin rythmé et rapide, écrasant ses seins sous sa poitrine. Manifestement ils navaient pas assez de la bouche de lautre, car il colla à nouveau ses lèvres charnues sur sa bouche et je vis sa langue cogner contre les parois de ses joues. Elle releva très haut les jambes pour laccueillir encore plus profondément et je pus alors voir ce vit entrer dans sa chatte et distendre les lèvres et la cyprine couler abondamment et humidifier son trou du cul. Elle gémissait et poussait des petits cris, serrait sa nuque avec ses deux mains, caressant son dos et ses fesses musclées et rebondies, comme les fesses des coureurs noirs. Il la pistonnait et la sautait de toutes ses forces et elle répondait à ses coups de boutoir en lançant son ventre contre son ventre. Ils étaient seuls malgré ma présence et accaparés par leur ébat fusionnel. Elle devançait ses moindres mouvements et était sa chienne ou sa maîtresse. Il allait au fond delle et elle accueillait sa queue avec délice, laspirant avec les lèvres de son con. Jétais à genoux au pied du lit et observais le va-et-vient du membre noir en elle, ravi de ce spectacle qui comblait mon voyeurisme.
Ils se cabrèrent ensemble, fondirent lun dans lautre et il retomba sur le côté, épuisé par ce coït qui avait duré presque une heure. Ils se caressèrent encore et échangèrent des gestes de tendresse avant que je ne sonne la fin de partie, car il était quatre heures du matin et nous devions être en route pour huit heures. Il prit congé, me salua chaleureusement, car il savait bien quel plaisir je lui avais autorisé avec ma femme et disparut dans le couloir, après un dernier palpage de sa chatte à la porte de la chambre, où elle se tenue nue pour lui dire au revoir.
Nous repartîmes en Alsace et pendant le voyage, elle me raconta ses sensations, le bien que lui avait fait sa grosse queue, le velouté de ses lèvres ourlées sur sa bouche et le magnétisme de ses mains sur son corps. Il était aussi beaucoup plus jeune que nous et elle sétait sentie flattée dêtre à ce point désirée par un aussi beau jeune homme. La nuit avait été courte pour tous et elle sendormit, sans doute bercée par le souvenir de cette journée qui avait commencé sous des auspices sages et sétait terminé par un ramonage en règle de cette belle salope consentante. Quant à moi, javais mon compte de candaulisme et revoyait en pensées le corps de ma compagne assoupie tripoté, caressé, pénétré et baisé sans ménagement une grande partie de la nuit précédente.
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