La Saillie
Dans l'enveloppe une carte, un bristol.
Lucie ma soumise...
Si tu veux aller plus loin, bien plus loin, là où tu n'as même jamais fantasmée d'aller alors, tu dois renvoyer cette carte à l'adresse indiquée au dos de cette carte.
Si tu ne viens pas alors notre relation s'arrête là tu ne me verra plus jamais ni aucun de mes acolytes. Si bien sur tu décides de franchir ce cap, alors tu entrera dans un nouveau monde.
Signé ton amant et maître,
Pierre.
Je tremble en là lisant, je ne trouve pas le sommeil de la semaine. Perdre pierre non je ne le veux pas aller plus loin oui? Voila encore une semaine où je dors peu.
Je fini par l'envoyer. Rien ne ce passe. Pierre et moi nous nous voyons quelques fois le week-end. J'essaye plusieurs fois d'aborder le sujet, il ne me répond pas. Il me félicite d'avoir fait le bon choix. C'est près de deux mois plus tard, un samedi matin, nous venions de passer la nuit ensemble. Pierre s'était levé avant moi. Il reviens s'asseoir sur le lit, et m'annonce.
Lucie, Tu vas être dressée ce matin. Lèves toi et habille toi nous partons dans une quart d'heure.
C'est étonnée, que je lui obéie. Nous partons.
Après une bonne heure de route nous nous arrêtons devant un bâtiment. Je le reconnais, c'est un club de voile, il a fermé il y a quelques semaines pour des problèmes financiers. Sur le parking une autre voiture!
Nous sortons, Pierre se dirige vers la voiture, un homme en sort. Je reconnais gérard. Les présentations sont rapides. Gérard possède les clefs nous rentrons. Ils semblent connaître les lieux rapidement la lumière reviens. Pierre m'emmène vers une salle au premier. Oui, je me souviens c'est une petite salle de sport.
Gérard, nous, suit de près. La salle est en effet une salle de sport vide. Le soleil se levant, il commence à faire chaud.
Pierre s'approche de moi -"N'ai pas peur Luce, tu aimera tout cela.
-"Maintenant?"
-"Oui maintenant, je te veux nue maintenant."
Je m'exécute.
La situation semble assez bizarre. Lorsque, Gérard, reviens en annonçant c'est bon ils arrivent. Quelques instants plus tard. Deux hommes arrivent. Je reconnais François, il est accompagné d'un autre homme de son age. Je rougie et tente instinctivement de cacher ma nudité. La porte se ferme.
Luce, ne soit pas timide. Me chuchote Pierre. Lucie, avec Gérard nous nous sommes mis d'accord sur ton programme de dressage. Luce tu vas découvrir un monde nouveau, surtout obéie à tout et réponds oui monsieur si l'on t'ordonne quelque chose.
Rapidement se forme un cercle autour de moi. Le silence revient sur la salle de sport.
Pierre me tiens par les épaules. Gérard prend la parole. Messieurs. Messieurs, Lucie est une jeune soumise, comme vous 'avez vu tout à l'heure sur les photos, elle est belle. Nous allons d"abord l'examinée ensuite nous commencerons son dressage.
Ils avaient donc vu mes photos?
Ils s'approchent encore, Gérard commence par me décrire mon visage, mon corps de manière délicate puis passe rapidement à un registre plus bestial et ordurier.
Lucie, est bonne en chair, messieurs, Venez plus près, voila. Commençons par la bouche.
Ouvre ta bouche. L'ordre est sec. Je m'exécute
Avec un pouce ferme, il écarte ma mâchoire. Regardez, approchez vous. Voila c'est bien sort ta langue. Elle a une langue ferme, bien baveuse. Il lui reste encore à apprendre mais elle pipe bien. Elle est endurante.
-"Coté mamelles, elles est pas mal, n'est ce pas?"
-"Oh oui elle à l'air ferme, Elle pointe facilement?
-"Oh oui elle est ferme, ils sont agréable à prendre en main. Vous la toucherez ensuite. Lui ne se gène pas il prend en main caresse saisit."
-"Passons à son cul messieurs, cette jeune femelle était vierge du cul il y a quelques mois.
Gérard étant passé derrière François ne se retient pas un main glisse sur mon corps, une deuxième.
Une claque sur mes fesses. Gérard continue, regardez moi ce petit cul ferme, c'est qu'elle est sportive la jument.
-"Coté foufoune, c'est là qu'elle est la meilleure. Elle mouille bien. C'est le pied. Messieurs, je crois que nous avons fait le tour. On commence?"
Le oui est immédiat et ne soulève aucune contestation.
Pierre reprend la parole. Luce, Toi tu vas courir faire des tours de terrain, le plus extérieur possible. Tu ne t'arrêteras que lorsque je t'en donnerai l'ordre. François, marc Gérard vas vous donnez de quoi jouez avec cette sportive.
Gérard, leur tends à chacun un fouet a chien, Si elle ralentit vous avez droit de la fesser. Allez y sans ménagement, elle le mérite.
-"Allez cours. "
Je m'exécute. Et commence, lentement. Rapidement clac, la douleur d'une piqûre due au fouet me force à accélérer. Lorsque je repasse devant Pierre, il m'ordonne d'aller plus vite beaucoup plus vite.
Cela dure. Clac Gérard se lâche. Mes jambes mon dos dès que je ralentis.
Marc et François sont de moins en moins habillés, moi je suis de plus en plus en sueur. Il commence à faire chaud dans la salle. François ne se prive pas de m'insulter: Cours salope, cours..."
Les hommes se déplacent, ils sont toujours derrière moi. Je suis arrêté par Pierre. Allez Luce, viens au centre. Lèves les bras. Les hommes sont là autour de moi.
Gérard reprend les choses en main, le fouet dans la main. Il n'hésite pas à crier ses ordres. Lucie, Ecarte les jambes Non encore plus. Lèves les bras, plus haut.
-"Marc, François, regardez bien comme elle pointe des tétons. C'est là que l'on voit si une jument est prête pour la saillie."
Avant, la saillie, les jeunes il faut la faire juter. Le mieux c'est les doigts.
Ses deux doigts dans mon vagin, il me fait vaciller. La position mains au dessus de la tête étant très inconfortable.
Gérard revient à la charge.
-"Allez, sale gosse, ouvre la bouche, c'est l'heure du léchage de doigts!"
-"Tiens cochonne. Marc glisse ses doigts humides sur mes lèvres, avant de les introduire dans ma bouche."
-"Marc, tu as vu comme sa chatte brille?"
-"Non, Moi j'ai jamais vu une chatte aussi humide, elle va être trop bonne à baiser!!"
Pierre lui laisse la voie libre. Vas y prend là elle le mérite.
-"Luce à quatre pattes tout de suite. "
En position j'attends pensant me sentir fendue par un sexe. Non Gérard ordonne, dicte: Luce écarte les jambes plus encore
-"François doigte là. Vas y a fond. "
J'esquisse un mouvement de tête et un non
-"Tu veux le fouet?"
Silence,
Pierre intervient
-"- Veux-tu tout arrêter?"
J'ouvrais la bouche pour dire oui, mais je me rendis compte que je ne voulais rien arrêter. Me voir si chienne dans son regard, me sentir si humiliée... Tout cela m'excitait.
-"Non Pierre. Je veux continuer..."
Il hocha la tête.
-"Bien. Je veux te l'entendre dire. Dis moi que tu veux que l'on te dresse."
Haletante, j'obéis :
-"Je suis que vous me dressiez, je veux t'obéir."
"-"Bien, Luce... Tu es donc notre objet, tu vas recevoir."
Je sentis que Gérard passait le manche du fouet le long de mes fesses, jouant à l'entrée de l'anus sans le pénétrer, puis revenant vers mon sexe.
-"Ecartes bien les jambes sinon c'est le fouet."
Marc complètement couché sur moi, prend mes seins à pleines mains et presse de plus en plus les pointes, au fur et à mesure de la montée de sa propre jouissance.
Les hommes nus me regardent mains sur le sexe je les vois tourner autour de moi.
-"Arrête regardes l'abricot est mur, retourne là."
Sans une hésitation il me pousse sur le coté, la manuvre est osée mais bien réalisé. Je me retrouve en croix Pierre me tiens les mains, François la jambe droite et Gérard l'autre il m'écarte les jambes;
Pierre annonce, -"vas y marc prend là à cru elle le mérite"
Et je vois Marc sans capote se présenter en position et sans attendre me pénétrer.
Je remue bouge ils me tiennent. Cela dure. Un flash blanc je m'évanouie.
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