Camille Et Moi 2

Je m’étais assis avec un Martini dans un fauteuil du salon en attendant Camille qui se faisait belle pour moi. Les yeux dans le vague, je me remémorais cette bonne partie de baise.
C’est vraiment une folle du cul pensais-je. Je ne vais pas en rester là. Après le restau, je l'amène à la maison et je finis le boulot. En plus je crois que ça lui a plu. Putain, en plus je ne l’aurais jamais cru aussi désirable. Bon qu’est ce que je vais pouvoir lui faire, comment ça va se passer, elle va vouloir que je l’encule ou pas ?.....
Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans mes pensées. Les doigts de Camille dans mes cheveux me tirèrent de mes songes coquins.
- on peut y aller quand tu veux, je suis prête.
Je pris deux minutes pour détailler sa tenue. Elle avait changé de jupe, celle-ci me rappelait celle des secrétaires sexy des années quarante ; très cintrée, elle descendait au dessous du genou et montait presque sous la poitrine.
Ses pieds fins étaient emprisonnés dans des escarpins rouges à talon. Un chemisier rouge complétait la tenue je devinais ses seins nus sous la soie fine.
- tu es très jolie. Je serais fier d’être vu à tes cotés.
- je vais mettre une veste je ne veux pas que les autres me matent. Je me suis habillée comme ça pour toi.
- C’est gentil. Je l’embrassais à la commissure des lèvres. Nous pouvons y aller je suis prêt.
En arrivant j’avais garé ma voiture devant. Quand Camille la vit elle eut un oh de surprise.
- c’est une des nombreuses choses que mes parents n’ont laissées à leur décès lui expliquais je. C’est une Matra Bagheera de 1977, il parait que j ai été conçu dedans. Rassure toi j'ai fais refaire les sièges. Elle est belle mais pas pratique ; j’aurais dû la vendre mais j’y suis attaché.
En bon gentleman, je faisais le tour pour ouvrir la porte à ma passagère. Elle remonta sa jupe et se contorsionna pour monter.
- C est vrai que c’est pas pratique au quotidien me dit elle.

Mais pour baiser bizarrement il y aurait la place.
(Pour ceux qui ne la connaissent pas cette voiture est un coupé avec trois places frontales.)

Je m’étonnais à chacune de ses paroles crues autour du sexe. Je peux dire aujourd’hui que se sont les seules grossièretés qu’elle s’autorise.
Nous arrivâmes au restaurant. J’aidais cette fois Camille à sortir de la voiture, l’étroitesse de sa jupe lui laissant peu de marge de manœuvre.
Profitant de cette proximité je la plaquai contre la voiture pour l’embrasser et j en profitais pour frotter ma queue contre son bas ventre.
- Arrête si tu me chauffe trop nous allons devoir rentrer tout de suite et si on attends trop ils ne vont pas nous servir me dit elle.
- Hum ! dommage.
Chose qui m’aurait parue saugrenue avant sa « transformation », j’étais fier être accompagné (ou plutôt l’accompagnant) d'une si belle femme. Elle parut lire dans mes pensées :
- ça ne te fait rien de t’afficher avec une femme de mon age ?
- non, j attends de compter les jaloux et puis tu parais jeune. Et puis je dirai que tu es ma mère ou ma tante, tiens.
Elle se mit à rire. Je poursuivis :
- ne t’en fais pas tu es très belle alors sois cool.
Mais déjà je lui tenais la porte pour rentrer au restaurant. Et à peine étions nous installé que Camille demanda au patron le chemin des toilettes. Elle se leva et traversa la salle. J’en profitai pour la détailler : 1m65 environ, taille 38 et un joli 85b. Ses cheveux tirés en chignon et sa tenue stricte lui donnaient un air d’institutrice super bandante.
- comment toi la regarder, toi devrais la baiser, en plus bonne baise avec femme plus vieille me dit le patron. A force être chacun client chez l’autre nous avions sympathisé.
- Ca, c’est privé lui répondis-je. Mais il va falloir que je prenne des forces pour cette nuit !
Il partit en rigolant au moment où Camille réapparaissait en face de moi :
- que lui as-tu dit pour qu’il se marre autant. Quelque chose sur moi ?
- non, je lui ai dit de me mettre double ration de gingembre.
- Tiens me dit elle en tendant son poing fermé, c est ton œuvre alors tu la gardes dans ta poche.
Je sentais dans ma main un bout de tissu moite.
- putain ! m’exclamai-je mais c’est ta culotte !
- en fait c’est un string mais oui c’est ça. Elle était toute mouillée et puis je me suis dit que ça t’exciterait. Ca te fera ça de moins à m’enlever.
On ne m’avait jamais fait ça. Je crois qu’elle était et de loin la femme la plus cochonne que j’avais baisé.
- en tous cas, tu as raison je bande comme un taureau.
A peine avais je dit cela que je sentis son pied sur ma queue elle me caressait doucement.
Le repas se passa agréablement, entrecoupé régulièrement de fous rires, de baisers et de caresses discrètes.
Camille m’écouta attentivement raconter ma vie, mes parents morts trop tôt, mon amour des femmes plus vieilles, amour que le regard des autres et la société m’avaient obligé à cacher.
Pour sa part, elle me raconta sa vie, son mari infidèle, son divorce et le dégoût des hommes qui en avait résulté.
Elle avait commencé à ne plus faire attention à l’image qu’elle renvoyait aux autres, de passer inaperçue pour ne plus intéresser les hommes. Je me dis à ce moment là que nous étions fait pour nous entendre.

Elle m avoua aussi qu’elle venait souvent au magasin pour des motifs futiles juste pour me voir ; que je lui avais toujours plu et qu’elle avait sauté sur l’occasion de m’attirer chez elle.
J’étais partagé entre le plaisir de plaire et le sentiment être tombé dans un piège, ce soir. Mais quel piège.
- et maintenant j’aimerais bien que nous rentrions me dit elle. J ai hâte de voir si tu es aussi performant le ventre plein.
- Ok ! je vais payer et je te ramène.

Une fois dans la voiture Camille s’était mise à l’aise presque vautrée sur le siège, je pouvais profité de ses jambes gainées de noir, les caresser jusque très haut sur les cuisses.
Nous n’étions pas encore sortis de la ville qu’elle se rapprocha de moi pour me susurrer à l’oreille :
- j ai envie que tu me baises dans ta voiture. Prends moi comme une salope que tu ne voudrais pas ramener chez toi.
Je n’ai jamais fait ça, je n ai même pas connu une nana qui me l’aie proposé.
- ce n’est pas mon truc désolé mais je me ferais bien sucer par cette salope. Là en conduisant.

Ca non plus je ne l’avais jamais fait avant. Mais c’était un de mes fantasmes.
Profitant que je m’arrête à un stop, elle se mit à m’embrasser fougueusement. Me lécher les lèvres, et je vis disparaître sa tête entre mes cuisses. Déjà ses mains avaient détaché ma ceinture et libéré ma bite tendue de mon pantalon.
Ses lèvres se posèrent sur mon gland pendant que sa main me branlait énergiquement. A chaque chaos de la route elles descendaient doucement sur la tige. Je sentais la chaleur de sa bouche contraster avec la fraîcheur de l’habitacle. Elle pompait si bien que je dus m’arrêter pour ne pas avoir d’accident. Je détachais ma ceinture de sécurité et me penchais pour caresser son cul et sa chatte au travers du tissu de sa jupe.
- baise moi me supplia t’elle. Je ne veux pas attendre être a la maison.
- Non et on pourrait nous voir répondis je. Mais continue tu suces trop bien.
Elle s’exécuta et recommença de plus belle à me dévorer la queue. Elle gémissait pour me montrer son excitation son cul se tendait en arrière et ses cuisses se frottaient pour essayer de se donner du plaisir.
Cette fois ci, c’est moi qui avais le pouvoir sur elle. Cette sensation en plus de sa pipe ne tarda pas à me mener à la jouissance. Sans la prévenir, je me rependais dans sa bouche ; elle ne fit rien pour se dégager, elle continuait de pomper pour ne rien perdre. Pour la cinquième fois de la journée je venais de me vider les couilles.
Camille se releva et s approchant pour m’embrasser me dit :
- tiens, goûte comme ton sperme est savoureux.
Elle me roula une grosse pelle ; ça non plus aucune fille ne me l’avait fait.
- s’il est si bon je t’autorise à me sucer autant de fois que tu veux. Aller, on est presque arrivé chez toi, je vais te rendre la pareille.

Dix minutes plus tard, c’est presque en courant que nous rentrions dans sa chambre. Là, plus le temps pour un déshabillage sensuel et romantique. Pendant que je me battais avec mes fringues, elle se dandina rapidement pour enlever sa jupe, le chemisier encore boutonné fut ôté comme un t-shirt, les escarpins volèrent. Nue, elle s’allongea sur le lit les jambes écartées.
- bouffe moi la chatte ! Vite. Et après, je te veux dans tous mes trous.

Je m’exécutais sans rechigner. Je m’accroupis par terre et attirais le cul de Camille au bord du lit.
Mon visage était pile à hauteur. Je me délectais de l’odeur de sa chatte gluante. Impatiente, elle se releva un peu et de sa main plaqua mon visage sur son vagin.
- bouffe moi, bordel !
Ma langue allait et venait le long de sa chatte : titillant son clito et redescendant boire à sa fontaine. Mais la position ne me satisfaisait pas. Je me relevai et vint m’allonger sur le lit.
- viens, assis toi sur mon visage, je veux te sentir couler dans ma bouche.
Camille s’exécuta rapidement. Elle était maintenant assise sur mon visage. Mes mains pouvaient enfin se rendre utiles. Ma langue était plantée dans sa chatte et mes doigts jouaient avec son bouton. Il ne fallut pas longtemps à Camille pour prendre un plaisir monstre : elle plaquait plus encore sa chatte et faisait onduler son bassin : de mon coté je faisais ce que je pouvais pour suivre la cadence.
Camille se crispa, un jet aigre doux m’envahit la bouche. Je ne voulais rien perdre de sa jouissance.
- Hum ! divin.
Elle se coucha sur moi et pris sans attendre ma queue en bouche. Ce 69 était des plus délicieux.
Elle avait emprisonné mon gland entre ses lèvres serrées et me branlait rapidement. J avais beau monter mon bassin pour la pénétrer plus avant, elle montait la tête me montrant que c est elle qui commandait. Sa main droite me caressait les couilles et son index venait par moment me titiller la rondelle. J’étais à sa merci et cela m’excitait au plus haut point.

De mon coté mes doigts fouillaient sa chatte pendant que ma langue léchait son petit trou. Je me lâchais complètement. Aux vues de ses gémissements cela avait l’air de lui plaire.
Après quelques délicieuses minutes, elle se releva pour me demander a nouveau d’attr une capote dans la table de nuit. Au lieu de tirer le tiroir du haut j’ouvris celui du milieu et quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur le fameux gode dont elle m’avait parlé. Je ne suis pas un expert dans ce domaine mais il me parut de bonne taille. Cela ouvrait la porte à de nouvelles perspectives.
Je le glissait sous l’oreiller en me disant qu’il servirait peut-être après et prenait une capote que je tendais à camille. Elle me l’enfila et s’empressa de me sucer, juste pour voir l’effet que ça fait me dit elle.
Elle descendit et, toujours en me tournant le dos, vint s’asseoir sur ma queue qui rentra sans effort dans cette chatte sur mouillée. J’arrachais tout de même un cri de satisfaction à ma cavalière.
Après quelques va et vient elle se coucha sur moi. J en profitai pour lui caresser les seins et mon autre main descendit vers son clitoris. Mon majeur commençait des mouvements circulaires sur son petit bouton. Après seulement une minute de ce traitement je sentis son vagin se contracter et elle se laissa complètement tomber sur moi.
- j’en veux encore, me dit elle. Encule moi. Ca fait si longtemps.
Je la posai délicatement sur le ventre et vins me placer entre ses jambes.
Sa dernière jouissance avait pompé ses forces me semblait il.
Je lui remontai un peu le cul et vins présenter mon gland sur son trou. Sa mouille faisait luire sa rondelle et je savais que j’y entrerais sans problème. Malgré tout, mes partenaires précédentes ne se laissaient pas toutes enculer, loin s'en faut et de ce fait je n’étais pas un expert. Je décidais donc de rentrer doucement.
Je forçai légèrement pour faire rentrer mon gland qui, j'en fus surpris, sembla être comme aspiré.
- aller vas y me supplia. N ai pas peur tu ne me fera pas mal.
Joignant le geste à la parole elle poussait vers l’arrière avec son bassin. Je vis disparaître entièrement ma queue dans ses boyaux.
Je décidais d’appliquer un rythme soutenu sans que ce trou serré ne me fasse gicler trop vite.
Camille gémissait fort et accompagnait chacun de mes coups de bite en reculant le bassin.
J’étais vraiment aux anges. Je remplissais à merveille mon rôle de mâle. Cela flattait mon ego.
En étirant ses bras Camille passa les mains sous les oreillers et en en sortant son gode elle se tourna vers moi et me demanda :
- qu’est ce qu’il fait là lui ?
- je ne sais pas, j’avais pensé….
Je n avais pas fini ma phrase. La bite plantée dans son cul je ne bougeais plus. Putain j’allais tout faire rater.
- tu veux que je te le mette ? me demanda t elle avec un sourire.
- Non mais si tu veux te faire plaisir. Fourre le dans ta chatte.
Elle se retourna et je vis disparaître sa main armée de cette queue en plastique sous son ventre. Quelques secondes plus tard je sentais une pression sur ma queue. Elle l’avait fait.
C’était officiel : j’étais tombé sur la plus grosse nympho de ma vie.
La situation était tellement bandante que je devais me concentrer pour ne pas juter trop vite.
Ma partenaire était maintenant entrée dans une quasi transe. Je voulais la satisfaire pleinement mais je ne pouvais plus tenir.
Je sortis rapidement ma queue et enlevai la capote juste à temps pour voir de courts jets de sperme se rependre sur ses reins et ses fesses. Camille avait lâché son gode et s’étalait ma semence sur le cul. Elle se retourna et nous nous primes dans les bras pour nous embrasser longuement.
- c’était bon me dit elle. Même super bon. Monsieur Pierre vous êtes très officiellement déclaré : Bon Coup.
- Tu es surprenante, lui répondis je. J ai trouvé ça extra, je n'ai jamais connu une cochonne comme toi.

Je n en pouvais plus, la journée avait été longue et sexuellement exténuante. Même la plus excitante des femmes n’aurait pu tirer quoi que ce soit de moi. Ma queue était même légèrement irritée et piquait un peu.
Il fallait encore que je rentre chez moi et que je laisse mon hôtesse à ses rêves érotiques dont, je l’espérais, je ferais peut être partie.
Camille me demanda de rester quelques minutes encore sans bouger parce qu’elle se trouvait bien dans mes bras.

Ce qui me parut être quels instants plus tard, je sentait la main de Camille me caresser et s attarder sur ma bite qui n’était plus douloureuse.
Il était en fait 7h00 du matin, je m’étais endormi et j avais passé toute la nuit chez elle.
- alors Morphée est il aussi excitant que moi ? me demanda Camille en me tendant une tasse de café noir.
Tu ne travailles pas aujourd’hui je crois, sinon en te dépêchant un peu tu devrais être à l’heure.
- non, je bosse pas, répondis je un peu embrumé. Tu fais quoi toi ?
- c est les vacances, je n’ai pas école. Je vais aller faire les boutiques. Tu m as redonné l’envie de me faire belle.
- Je peux t accompagner si tu veux. On a toujours besoin d’un homme dans ces occasions pour donner son avis et porter les paquets.
- Si tu veux. Je vais prendre une douche ça te dit ? elle est grande mais on pourra quand même se serrer.

Je me levais sans tarder la queue déjà au garde à vous par les caresses de Camille et la perspective de nos ablutions coquines.

Mais ça c’est pour la suite.

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