Leslie La10

Leslie LA10 - Laure, le journal intime - Encore trop bon, suite et fin

J’étais à genoux devant ce beau sexe, je le tenais dans mes mains et le soupesais. Une veine très épaisse saillait tout du long. Il était vraiment tout raide. Son gland tout rose arrivait à son nombril. J’approchais mon visage. Je me rappelle que je mouillais comme une folle !
- Elle est si grosse !
- Toi, tu es vraiment une incroyable coquine ma petite cousine chérie !
J’avais trop envie de la prendre dans ma bouche, j’approchais doucement mes lèvres, il me paraissait si gros, je pris sa queue en main et je m’aperçus que je n’en faisais pas le tour ! Elle était toute chaude. Je déposais un bisou sur le méat, puis je donnais quelques coups de langue le faisant gémir.
En le regardant dans les yeux, je lui dis :
- Je vais te sucer !
- Ohhh, oui petite cousine cochonne, suces-moi !
Sur ces mots, je n’hésitais plus et pris sa grosse queue dans ma bouche, c’était trop bon ! Je me suis surprise d’adorer vraiment ça !… J’essayais de le faire entrer en entier mais il était bien trop gros. Je commençais à faire des allers retours, attentive à la moindre de ses réactions.

Enfin je le suçais, je le branlais. Je la sortais de ma bouche et descendais pour flatter ses couilles de ma langue, il semblait beaucoup apprécier car de son gland sortait un liquide transparent.
- Ohhh !… tu coules ! Humm, c’est trop bon ! Je pourrais la sucer pendant des heures !…

Je remontais pour le reprendre en bouche tout en caressant ses belles couilles avec ma main. Je le pompais de plus en plus vite, faisant attention de ne pas le blesser avec mes dents. Je ne pouvais plus m’arrêter… Sa bite coulait littéralement, et moi aussi !
Il me dit d’arrêter car il allait jouir mais je continuais, c’était trop bon. Je ne savais pas s’il voudrait le refaire un jour, alors j’ai décidé d’aller jusqu’au bout de sa jouissance pour goûter pour la première fois de ma vie au sperme.


Je sentis son membre gonfler sous ma langue et il éjacula…
Les premières giclées arrivèrent. Je ne bougeais plus, je laissais Olivier faire le mouvement, il jouit longuement dans ma bouche, le goût était divin et je décidais de tout garder et de tout avaler.

Il se redressa, prit mon visage dans ces mains et s’empara de ma bouche et de ma langue pour un baiser plein de passion, puis il m’allongea sur le lit et il me couvrit de son corps puis de ses baisers.
De nouveau il s’occupait de mes seins, puis je sentis ses baisers descendre sur mon ventre, puis sur mon pubis. Il soufflait sa chaleur sur mon clitoris et mes grandes lèvres, sans les toucher. Il reprenait ses baisers sur mes cuisses, remontait entre mes jambes, il me faisait languir de sa langue. N’en pouvant plus, je lui dis :
- Lèches-moi, je veux sentir tes lèvres et ta langue sur mon sexe.
- Comme tu es belle !
- Lèches-moi ! Lèches-moi !
- Tu es brûlante ! Tu dégouline…Tu sens le sexe !

Il me fit encore patienter le temps de quelques baisers sur ma poitrine et il se dirigea vers ma petite chatte, il joua avec sa langue. Je reçus le contact de sa bouche et de sa langue sur mon bouton d’amour comme une délivrance et j’ai crue mourir !
Il me le suça divinement bien, longtemps, allant du vagin au clitoris avec une infinie douceur. Aspirant mes lèvres, puis mon clitoris, me pénétrant de sa langue, je devenais folle. Il prenait vraiment tout son temps. Il me fit jouir comme ça, juste en me léchant. J’eus un orgasme très fort et bruyant, lui agrippant les cheveux pour le plaquer contre mon sexe, désirant que jamais il ne s’arrête…
Il se redressa, et me fit partager mes propres sécrétions dans un baiser toujours aussi passionné, je les goûtais pour la première fois s’était très excitant. Je sentis son sexe qui était redevenu tout dur, battre contre mon intimité, alors j’écartais les cuisses en ondulant du bassin pour lui faire comprendre que je l’attendais en moi avec impatience.

Il commença par frotter son sexe contre ma vulve qui s’entrouvrait à chaque passage, je n’en pouvais plus ! Je gémissais en le suppliant de me pénétrer.
- Ohhh ! Viens en moi je n’en peux plus ! Mets la moi !

Son sexe était à l’entrée de ma vulve, alors il poussa lentement faisant rentrer son gland dans sexe et un frisson parcourut tout mon corps, je le sentais enfin me pénétrer, enter en moi.
Sa queue était si grosse que je dû me retenir pour ne pas jouir à nouveau en hurlant de bonheur. J’avais l’impression que sa progression ne finirait pas. Il allait toujours plus profond avec une lenteur calculée, je me redressais pour le voir me pénétrer.
Incroyable il était entré complètement, ses couilles s’écrasaient contre mes fesses. Sa queue était si longue que je percevais son sexe au plus profond de moi.
Il écartait indécemment ma chatte et c’était une sensation tellement nouvelle. C’était terrible ! Je croyais défaillir, puissamment pénétrée…

Son gland frottait continuellement au fond de moi et il me remplissait complètement. Je ne pouvais m’empêcher de contracter mes muscles à l’intérieur, j’étais brûlante ! Nos pubis étaient comme soudés l’un à l’autre.
Il bougea en moi très lentement, il savourait me pénétrer à l’instant présent, je le regardais dans les yeux. Moi-même, je me régalais de plaisirs, je dégoulinais, à chaque mouvement et j’allais à sa rencontre. Je gémissais de bonheur et d’être si bien remplie.
Il s’activa de plus en plus rapidement. Faisant parfois de petit mouvement circulaire avec ses hanches, son pénis frottait alors de nouvelles zones sensibles, je ne pouvais me retenir de crier ma jouissance.
Celle-ci s’accentua encore lorsqu’un doigt vint me titiller l’anus, mon petit trou était enduit de ma mouille et sous l’action de son doigt et de son sexe, il m’arracha un orgasme terrible.
Il continua ses va-et-vient longuement en moi, puis il me retourna pour me mettre en levrette.
Je le suppliais de ne pas arrêter, de continuer de me prendre, alors il me pénétra de nouveau, je le sentis encore plus loin cette fois, je lui demandais d’aller toujours plus vite, plus fort, plus au fond !
Je n’étais qu’une boule de jouissance. Je mouillais si fort que mes cuisses et mon ventre étaient inondés. Ces gestes commencèrent à être désordonner, il se crispa, j’attendais de recevoir son jus dans ma chair. Puis il se lâcha complètement, j’avais l’impression de recevoir des litres de sperme en moi, c’était bouillant, je ressentais la moindre vibration de son membre en moi, c’est le bonheur complet.
Il resta quelques minutes en moi, débandant lentement à cet instant j’étais heureuse.

Nous avons pris une douche ensemble en se disant que nous avions trois jours à vivre de sexe et de plaisir…
Ce soir-là nous avons fait lit commun, après avoir fait une nouvelle fois l’amour et nous nous sommes endormis.

Dans la nuit un orage m’a réveillé, nous étions nus tous les deux et pour contempler mon nouvel amant qui dormait, j’ai écarté les draps et mon regard se posa instinctivement vers son entrejambe !
Je commençais à mouiller rien qu’en voyant sa queue !
Alors que je commençais à lui branler la queue il se réveilla et me dit :
- T’es vraiment une affamée de sexe !
- Fais-moi encore l’amour…
La lune se reflétait sur mon corps et en me regardant il rajouta :
- Comme tu es belle !
J’avais son sexe en main, il était lourd et il durcissait lentement, ce qui eut évidemment pour effet de me faire mouiller à nouveau comme une vraie fontaine ! J’étais haletante ! Il m’embrassait. Nos langues ne pouvaient se séparer. Sa queue était à nouveau toute raide. Il avança sa main vers ma chatte.
- Tu sens comme tu me fais mouiller !
- Oui ! Tu coules, ça dégouline le long de ta cuisse !
- C’est que j’ai trop envie !
Ma bouche s’approcha de la sienne. Je l’embrassais encore une fois, puis je me penchais pour le prendre en bouche, le sucer et lui faire comprendre mes désirs, et je me mis à la pomper, la lécher.
Je comptais bien faire durer le plaisir. Il m’attrapa une jambe et me fit venir sur lui en soixante-neuf, comme ça pendant que je le pompais il pouvait me lécher. J’étais comme folle ! Je le branlais et le suçais en même temps que lui me bouffait la chatte ! Je ne pus m’empêcher de jouir une première fois comme ça ! C’était merveilleux.
Mais, je voulais qu’il me prenne comme cet après-midi. Je voulais sentir grosse queue encore en moi. Bien au fond. Elle était si dure !
J’entrepris de me mettre sur lui à califourchon et je m’empalais lentement sur lui, cette sensation de remplissage totale me transportait à nouveau. Je sentais son gland calé tout au fond de moi, provoquant des décharges dans tout mon corps

Je montais et redescendais sur son membre en ondulant du bassin en même temps. Je me penchais pour qu’il me lèche les seins. Je m’enfonçais sur sa queue le plus fort possible ! Je devais me retenir pour ne pas crier de plaisir ! Il m’arracha un orgasme d’une rare intensité !
Je ne sais combien de fois il m’a prise durant les vacances, mais je me souviens avoir jouis à chaque fois, mais les vacances terminées nous ne sommes pas revus et je ne sais pas s’il à garder en lui le souvenir de mon corps et de ma petite chatte brulante accueillant son sexe.
Moi je n’ai pas oublié…

A suivre…

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