Collection Histoire Courte. Supérieur Hiérarchique (1/1)
Gardes à vous !
Présentez armes !
Attentions pour les couleurs !
Prêt !
Envoyez !
Le clairon sonne « au dau ».
Le dau monte lentement le long du mât dans ma caserne du 2e régiment dinfanterie de Castres.
La sonnerie se finit.
Reposez, armes !
Repos !
Rompez les rangs.
Je vais pour regagner mon bureau, je suis sergent-chef responsable des munitions dans cette caserne depuis presque deux ans.
Chef Robert, vous passerez à mon bureau à 9 heures afin que nous fassions un point sur nos caisses de munitions.
Oui, mon commandant, mon rapport est prêt.
Je salue le commandant et je me dépêche daller imprimer mon travail dhier.
Une cartouche, deux cartouches, trois.
Une boîte, deux boîtes, trois.
Une caisse, deux caisses, trois.
Mon rapport est prêt.
Je frappe à 9 heures précise, montre en main.
Entrez !
Jouvre, le commandant est derrière son bureau.
Je salue de nouveau.
Repos chef, venez vers moi.
Javance, le commandant recule son fauteuil à roulettes.
Chef bouffez-moi la chatte, cest un ordre.
Oui, mon commandant, à vos ordres.
Le commandant comme on le voit est une femme.
Depuis le premier jour de notre arrivée, chaque matin après la montée des couleurs, elle me fait venir dans son bureau et je suis ses ordres pour la satisfaire sexuellement.
Aujourdhui, elle veut que je la fasse jouir avec ma langue.
Je magenouille, jécarte sa chatte épilée et je lui passe un léger coup de langue.
Elle commence à onduler.
Jaime lorsquelle ondule du croupion.
Son clito vient sous ma langue, je sais comment la faire partir.
Je tends le bras pour la museler, je sais quelle risque de hurler de plaisir.
Cest le cas et lorsque jarrive à lui donner son plaisir, je me relève.
Merci, chef.
Rompez !
Je salue, je quitte le bureau du commandant repartant à mes comptes des cartouches, de boîte de cartouches et des caisses.
Mais aujourdhui, cest mercredi et demain, à 9 heures, je vais retrouver le commandant pour faire le point sur les pistolets-mitrailleurs.
Il est 17 heures quand je sors retrouver ma femme.
À la porte de la caserne, je marrête pour laisser passer la voiture du commandant conduit par son chauffeur.
Je me remets au « garde-à-vous » et je salue.
Jarrive chez moi, ma femme est là.
Bonjour mon amour, as-tu passé une bonne journée.
La routine, jai compté les fusils-mitrailleurs.
Que me prépares-tu de bon mon amour.
Des endives au gratin.
Les endives et le jambon sont dans le plat allant au four, je fais la béchamel, je gratine et nous pourrons manger.
Arrête mon cur, je vais louper ma sauce et tu seras déçu de moi.
Jadore quand je rentre chez moi, retrouvez ma femme, seulement vêtu de son tablier de cuisine.
Jadore ses fesses de sportives, nous courons trois fois par semaines 25 kilomètres chaque fois.
Je passe ma main entre ses cuisses, je sens quelle mouille.
Elle a fini de battre sa béchamel et au moment où elle écarte légèrement ses cuisses, je la pointe sans autre forme de procès.
Cest bon, Robert, je me rends.
Va nous servir un whisky, je mets au four et jarrive.
Je quitte la chatte de ma femme avec regret, je sers les verres et je minstalle la bite à lair dans mon fauteuil.
Comme je lai dit, jaime voir ses seins sous son tablier qui déborde à droite ainsi quà gauche.
Elle sagenouille entre mes cuisses et après avoir enfourné les endives, cest ma verge quelle enfourne dans sa bouche.
Jaime beaucoup son titillement de langue sur mon méat.
Je sens que je vais lâcher ma semence.
Je la relève et cest elle qui vient caler ses jambes musclées de chaque côté de mon corps.
Elle sempale, rapidement et lun et lautre nous jouissons.
Après une bonne douche et les endives au gratin qui me revigore, nous allons nous coucher.
Demain, je pars à la caserne pour compter les grenades défensives.
Le lendemain, après avoir embrassé ma femme, jarrive à la caserne au même moment que notre commandant, je me mets au garde-à-vous et je salue.
Je suis prêt pour la montée de dau.
Le chef de service nous libère.
Le commandant vient vers moi.
Chef, cest lheure de notre hébertisme, dans dix minutes à la barrière de la caserne, nous irons faire notre parcours habituel dans la campagne et la forêt.
Bien mon commandant, je serais à lheure.
Jaime aller courir avec le commandant, je suis derrière et jadore son joli cul se balançant de droite à gauche.
Toujours derrière, supérieure hiérarchique, oblige.
Nous sommes dans la forêt et une barrière de rondin de bois interdit lentrée dune allée aux voitures.
Elle place lune de ses longues jambes dessus et fait des étirements.
Nous faisons toujours des étirements à cet endroit bien tranquille au fond de cette forêt.
Je passe derrière elle et ma verge en pleine forme vient lui faire sentir mon envie.
Elle change de jambe, ma main vient dans sa fourche.
Son collant est mouillé comme chaque fois que nous nous arrêtons à cette barrière.
Elle repose sa jambe au sol, jen profite pour la dénuder.
Elle replace son autre jambe et sans le moindre effort je lencule.
En peu de temps, un cerf et une biche font entendre aux autres animaux de cette forêt que baiser pour nous cest fait pour notre plaisir.
De retour à la caserne après avoir parcouru 25 kilomètres, je vais me doucher dans la chambre qui mest attribuée.
Après manger, je fais ma sieste lorsque le téléphone sonne.
Oui, mon commandant, jarrive.
Je suis étonné, cest la première que le commandant mappelle un après-midi.
Jai un souci, il me reste de nombreuses caisses de grenades offensives à compter.
Je rejoins le bureau un peu péteux.
Sergent-chef, jai le plaisir de vous dire que vous êtes promu au grade dadjudant à compter du 1er mai.
De plus, notre régiment sera lun de ceux qui auront lhonneur de défiler sur les champs le 14 juillet.
Je défilerais à sa tête et je vous ai choisi pour entrainer les hommes qui feront partie de ce défilé.
Merci mon commandant, je serais à la hauteur de la tâche que vous me confiez.
Une dernière chose, vous êtes muté au 1er régiment dinfanterie de La Rochelle.
Vous rejoindrez votre nouvelle affectation le 1er septembre.
Nous nous y retrouverons, je suis moi-même mutée afin de prendre le commandement de ce régiment.
Rompez et encore félicitation pour votre promotion.
Je salue et je sors du bureau.
À 17 heures, je quitte la caserne saluant une nouvelle fois le commandant dans sa voiture.
Arrivé chez moi, Jeanne ma chère et tendre mattend entièrement nue sans son tablier.
Mon cur, jai réservé un restaurant pour ce soir.
Ça tombe bien, jai quelque chose à tannoncer.
Je sais tout, papa ma appelé.
Je vais faire nos paquets, nous partons pour La Rochelle et il ma dit pour ton grade.
Oui, il faut que je vous dise, il y a quatre ans en entrant dans linfanterie à Metz, javais comme supérieure hiérarchique Jeanne au grade de lieutenant.
Nous avons eu le coup de foudre et son papa général fraichement retraité de larmée de terre la conduit jusquà moi dans son costume dofficier supérieur.
Le plus emmerdant ce fut lépée à son côté, jai manqué de me prendre les pieds en sortant de la mairie.
De suite, nous sommes tombés entièrement daccord.
À la caserne, supérieur hiérarchique, oblige, je respect nos grades.
À la maison, nous sommes un couple normal à égalité bien que !
Chérie, les lecteurs du site HDS veulent savoir pourquoi nous baisons à la caserne ou lors de notre service !
Tu peux mon chéri, nous nous sommes juré de tout nous dire.
Oui, je sais, même à la maison, comme toutes les femmes de la terre, elle commande aussi.
Si nous baisons dans son bureau, cest que jai constaté quelle jouissait nettement plus dans ces lieux quà la maison.
Jespère que vous me comprendrez.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!