Diner Entre Amis
On ma annoncé une surprise en ce dimanche enneigé, cen est vraiment une. Ma conjointe a invité une de nos vieilles connaissances et son nouveau conjoint. Elle, Jenny, la cinquantaine passée, bien conservée ; lui, Denis, la stature imposante de lhomme de pouvoir vieillissant. Jen ai toujours pincé pour les deux que jai connus séparément. Lui, séducteur né, brille autant par son intelligence que par ses murs ambiguës et me fait depuis toujours du rentre dedans à la limite de la décence. Elle, a été longtemps mon adjointe, ce qui ma toujours empêché de lui avouer mon désir. Dès laccueil, je me sens excessivement volubile et avale deux grands verres de whisky pour essayer de me détendre. Nous sommes tous quatre, par la suite, installés sur la table de la salle à manger positionnés en carré sur une étroite table.
Nous buvons notre verre en devisant gaiement. Lun et lautre ne cessent de me prodiguer damicales bourrades ou saisissent mes mains en une caresse pour évoquer des souvenirs heureux. Lorsque les nécessités de la cuisine tiennent ma compagne longtemps éloignée, notre amie continue son babil en posant sa main sur mon genou et la fait remonter doucement sur ma cuisse. Je suis rouge de gêne et de désir. En devisant gaiement son compagnon pose la sienne à mon entre-jambes et masse mon bas ventre. Je suis sans voix, souffle coupé, incapable de réagir. Pire, mon tortillement encourage leurs mains qui ne cessent de senhardir. Lune glisse dans ma ceinture, à même la peau, et se faufile dans mes vêtements. Au retour de la cuisinière avec les entrées, ma braguette est ouverte, mon sexe est extrait de mon boxer. Je mange le premier plat dans un état second, conscient de mon indécence, leurs mains ne cessant de solliciter mon intimité. Ils remplissent sans cesse nos verres de vins et une douce euphorie succède à la gêne.
Lorsque la manuvre du plat de résistance arrive, notre ami propose son aide à la cuisinière tandis que notre amie me branle de sa main douce en me roulant une pelle.
Le plat terminé, Denis se lève en même temps que la maitresse de maison, la saisit dans ses bras et commence à la dénuder totalement. Il déboutonne lentement son chemisier en massant doucement ses seins. Ses mains entrent dans sa culotte en glissant sur ses hanches et lévacue, en même temps que le pantalon, vers les pieds. Jai limpression de la redécouvrir. Cest une femme amphore aux seins lourds, aux larges fesses et aux cuisses charnues. Par contre, toutes ses attaches sont élégantes. Epaule, cou, bras et mollets sont dune grande finesse. Ses clavicules sont saillantes, ses mains et ses pieds longs et fins. Ses aisselles sont soigneusement épilées et le triangle de son sexe est bien entretenu. Sa courte chevelure châtain est raccord avec lui et rehausse le bleu des yeux et le blanc laiteux de sa peau nue. Cette blancheur renforce limpression de nudité totale. Son visage anguleux est jovial et marqué des rides du sourire.
Elle est totalement offerte et se tortille, indécente, pour faciliter son ouvrage. Il loblige à sasseoir loin de la table, bien en vue et écarte largement ses cuisses pour montrer la totalité de son intimité. Sa lourde poitrine semble tendue de désir ; ses grandes lèvres proéminentes sont humides et une fine coulée de cyprine orne la cuisse. Il passe derrière elle et recommence à caresser ses seins et son sexe.
Pendant ce temps, Jenny ma, elle aussi, entièrement dénudé. Mon sexe érigé dément ma gène apparente. Je ne déteste pas ce corps massif au ventre proéminent surplombant un court sexe blanc sans prépuce qui contraste avec mes longues bourses bistre. Avec lâge et le poids, je suis doté de deux petits seins qui remplissent agréablement ma main quand je me caresse. Mes traits réguliers, ma courte houppette à la Tintin me donne un petit air jeune que dément mon corps alourdi. Mes membres sont solides et mes muscles bien dessinés. Mes fesses dun relief accueillant.
Elle ôte son chemisier et son soutien-gorge et dévoile une poitrine de jeune fille dune taille fort respectable. Comme son visage, son corps est assez dense mais élégant et régulier. Elle est de taille moyenne et ses formes le sont aussi. Son ventre plat suggère quelle na pas connu la maternité. Elle voit que ses deux obus me fascinent et me les donne alternativement à téter. Jexulte et le bout de mon sexe devient humide. Elle recommence à me branler en me fixant de ses grands yeux noisette. Ma conjointe, qui a repris conscience, me lance, dans un sourire complice, un regard de reproche, avant de replonger dans son plaisir. Comme elle, je ny peux mais.
Après quelques instants de doux supplice, Denis fait lever ma compagne. Il linstalle, pliée en deux au niveau du bassin, les mains fermement serrées sur le dossier de la chaise, pieds au sol et jambes largement ouvertes. Ses seins pendent lourdement et sagitent à chaque mouvement.
Pendant ce temps, Jenny ma enjambé, toujours nu sur ma chaise. Elle a troussé sa jupe, quelle porte sans culotte, et sest fichée sur mon sexe. Elle sagite en cadence et ses seins fermes se balancent doucement sous mon nez. Je sens mon plaisir monter. Mes mains caressent ses jambes musclées aux formes régulières, qui se prolongent par un pied romain. Elles enserrent ses fesses au relief digne de damner un évêque. (Cest bien ce que javais vu !...) Je risque un doigt entre ses deux fesses rebondies et bien proportionnées. Jentre dans son cul et my agite. Jinonde son vagin un instant avant dentendre son souffle saccélérer dans un discret orgasme (sincère ou simulé ?).
Voilà bien longtemps que notre couple na connu une telle onde de plaisir ensemble. Nous sommes ravis et à peine surpris dentendre nos invités nous interdire de nous rhabiller. Nous sommes encore plus surpris dêtre ainsi sans volonté et de leur obéir aussi facilement. Pour le dessert, nous sommes tous deux entièrement nus, je devrais même dire exhibés tant nous nous exposons avec plaisir. Nos invités à demi dénudés : lui montre son sexe de belle taille, ses fesses imposantes et ses jambes dodues ; elle, nue jusquà la ceinture, torse et bras, exhibe ses seins puissants surmontées dépaules aux reliefs anguleux. Je les sens fiers de leur anatomie ainsi dévoilée. Chacun se régale du spectacle des autres et lalcool continue à couler à flots.
A lheure du café, la neige à tout recouvert dehors et nous proposons à nos amis de dormir sur place. Ils acceptent. La soirée continue sur les larges canapés du salon où ils finissent de se dénuder. Jenny sassoit à côté de moi et nous nous caressons. Elle est lopposé morphologique de ma compagne. Chez elle, tout est dessiné avec une harmonie classique, à la limite du géométrique. Son sexe imberbe comme celui dun , qui ne laisse voir quun fin trait, et limposante courbure de ses reins sont un plus appréciable pour mes mains baladeuses. Elle est telle que je lavais rêvée. Denis et ma compagne sont collés lun à lautre. Le relief massif et quelque peu adipeux de ce dernier est imposant à contempler. Tout est large chez lui mais bien proportionné. Cest plus une « baraque » quun gros. Sa tête carrée au regard vif derrière ses lunettes complètent avantageusement laspect général. La gestuelle est de plus en plus sans tabou et chacun visite les orifices de son ou sa partenaire.
Nous sommes à peine surpris lorsque nos invités échangent leur place et que soudain Denis me branle de ses larges battoirs tandis que Jenny introduit quelques doigts dans la vulve de mon amie qui les engloutit. Nous leur rendons la pareille, ou presque. Nos lèvres et nos langues sintéressent à leurs sexes et leurs culs. Nous les avalons et pénétrons de nos bouches. Ils nous avalent et nous pénètrent. Je ne sais ce qui mexcite le plus entre les caresses viriles de Denis et la vision des deux femmes qui ne cessent de stimuler réciproquement leurs zones érogènes. Jen ignorais la moitié. Je les vois se lécher, de la plante des pieds à la racine des cheveux, se masser tout le corps et ses recoins cachés, y compris le cuir chevelu. Je me retourne, massois sur les genoux de mon partenaire, face à face, sexe contre sexe, ventre contre ventre, et nos caresses deviennent enveloppantes. Nous voici tous au comble de lexcitation et je propose, tout naturellement, de finir louvrage dans notre grand lit. Nos invités saisissent un flacon de lubrifiant et un gode ceinture dans le sac de Jenny et nous suivent sans mot dire.
Nous leur sommes soumis et imaginons avec plaisir ce qui va se passer. Ils nous positionnent tous deux à quatre pattes au bord du lit, jambes écartées. Jenny se ceint du gode. Ses fines lanières sinsèrent entre ses fesses comme un string, son double phallus sinstalle dans son con et létroite ceinture mortifie sa taille. Elle présente à nos bouches cet appendice artificiel que, complétement érotisés, nous suçons et léchons dabondance. Cela bouge dans son intimité et nous sentons son désir. Jadmire encore une fois cette silhouette bien proportionnée ou seuls les reliefs des tétons et des fesses déséquilibrent harmonieusement lensemble. Pendant ce temps, Denis lubrifie nos culs et commence à nous besogner dun puis de deux doigts. Je suis sa marionnette de gauche et ma compagne celle de droite, hanche contre hanche. Le plaisir commence à monter, autant du fait de la pénétration que du contact de nos deux peaux, et nous bougeons avec indécence à la rencontre de la caresse. Ses doigts énormes et boudinés ravagent nos culs qui se distendent à lenvi.
Lorsquils nous pénètrent enfin vraiment, cest le phallus de Denis qui senfonce en moi tandis que le cul de ma compagne est défloré par Jenny et le gode. Deux rudes mains masculines me branlent. Mon amie voit son vagin et son clitoris délicieusement maniés par des mains féminines expertes. Après mille arabesques, les quatre mains cramponnent fermement nos seins déjà excités par les caresses. Puis elles concentrent leurs efforts sur nos hanches devenues plus sensibles. Nous voici joyeusement défoncés. Jai senti la semence de mon amant envahir mon colon avec un grand plaisir, mais mon vit est resté de marbre, tendu à demi. Je ne sais ce quont éprouvé les filles mais jimagine, daprès ce que jai entendu, que cest de même nature.
Nous passons la nuit à jouer avec nos corps et à expérimenter linconnu. Je fais mes gammes sur une Jenny aux mouvements langoureux. Mon amie chevauche allégrement son volumineux partenaire qui loblige à sécarteler. Bientôt les deux filles se livrent à un 69 effréné, tandis que je mendors à demi, couché sur limmense corps de Denis, qui fouraille mes zones érogènes. Lorsquau matin, le soleil se lève sur un paysage de neige, nous sommes honteux et fourbus. Nous avons découverts léchangisme bisexuel. Et cest une sacrée découverte !
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