Fantasme Professionnel Iii

— Eh bien, on peut dire que vous savez plaire, Mademoiselle Frei. Vous me rappelez ma femme quand elle avait votre âge.
— Celle-là même qui m'a léché la chatte ce matin ? Vraiment ? Est-ce qu'elle vous faisait ça ?

Rosalie s'avança vers le fauteuil de Charles et, assise sur ses genoux, lui caressa le visage puis lui donna un long baiser langoureux ; d'abord surpris par l'initiative de sa stagiaire, Maître Pittet n'esquissa pas le moindre geste. Il rendit son baiser à la jeune femme qui lui caressa l'entrejambe à travers le tissu de son pantalon. Rosalie interrompit leur baiser.

— Alors ? Votre femme vous faisait-elle d'aussi belles surprises ?
— Ça lui arrivait de temps en temps dans notre jeunesse, mais elle n'avait pas vos formes ni votre beauté, Mademoiselle Frei. Je dois admettre que pour me détendre ainsi, mon épouse ne vous arrive pas à la cheville.
— Merci, patron. Maintenant, si vous le permettez, je vais vous détendre un peu plus. Vous me semblez tout crispé ; laissez-moi faire.

Rosalie se libéra de l'étreinte de son employeur et passa derrière son fauteuil. Elle retira son soutien-gorge et commença à masser les épaules de Maître Pittet, qui émit un ronronnement d'aise. La jeune femme massa les épaules et le torse de l'avocat puis lui déboutonna sa chemise en lui embrassant langoureusement le cou. Elle massa les épaules nues de son patron puis fit sensuellement descendre ses mains le long des hanches de Georges. La jeune stagiaire caressa la bosse dissimulée sous le pantalon et fit sauter le bouton du vêtement. Elle abaissa ensuite la fermeture Éclair du pantalon et le laissa glisser au sol le long des cuisses de Maître Pittet.

Repassant devant son patron, elle s'agenouilla dans l'espace qui séparait le bureau de la chaise et caressa les cuisses de l'avocat, remontant jusqu'à l'entrejambe et redescendant le long des jambes. Elle répéta l'opération plusieurs fois puis palpa le sexe de Maître Pittet.



— Hummmm... Il y a encore un endroit que je dois détendre.

La jeune avocate stagiaire tira sur le caleçon de l'avocat, en faisant jaillir la longue et vigoureuse queue de Maître Pittet. Rosalie prit le sexe tendu de son employeur dans sa main et se mit à le masturber d'un mouvement lent et régulier en embrassant de temps à autre le gland violacé. Georges émit un râle de plaisir.

Rosalie avança son visage vers le sexe raide et se mit à en lécher le gland. L'avocat fut pris de spasmes sous les caresses de sa stagiaire qui n'en demandait pas tant ; elle se mit à lui faire une gorge profonde. La jeune femme caressa de sa main droite les testicules de son employeur puis les malaxa tandis qu'elle tenait de la main gauche le sexe imposant de Georges qu'elle suçait goulûment.

Son employeur grogna de plaisir tandis que sa queue palpitait dans la bouche de Rosalie. Elle recracha le sexe encore tout raide et le plaça entre ses seins. Dans un rapide mouvement de va-et-vient, elle masturba Georges qui, dans un râle de plaisir, éjacula sur sa poitrine. La jeune femme suça le sexe de son employeur pour le nettoyer de toute trace de sperme et étala la semence qu'elle avait reçue sur ses seins.

— Alors ? Ça va un peu mieux ?
— Oui... Beaucoup mieux, Mademoiselle Frei. Merci. Je... je vais avoir besoin de vos talents demain. Ma femme a rencontré un riche particulier qui détient d'importants placements bancaires dans toute la Suisse. Il faut que nous arrivions à le convaincre de nous confier ses intérêts : c'est une grande opportunité pour notre cabinet. J'ai besoin d'un atout ; et vous pourriez être cet atout, Mademoiselle Frei.
— Très bien, Monsieur. Je vais tâcher de faire de mon mieux avec votre investisseur.
— Dites plutôt "notre" investisseur, Mademoiselle Frei. Je vais en effet conclure un marché avec vous : si vous parvenez à le convaincre d'adhérer à notre cabinet, vous toucherez 15% de mes actions en plus des 33,3% de mon associé qui partira à la retraite à la fin de l'année.

— Ça m'a l'air intéressant ; mais j'ai l'impression que je vais devoir faire plus que convaincre cet homme. Quelque chose de plus personnel. Je me trompe ?
— Eh bien, on ne peut rien vous cacher, Mademoiselle Frei. Effectivement, vos talents m'ayant beaucoup impressionné, je souhaiterais que vous deveniez ma maîtresse.
— Seulement si je suis le premier choix.
— Mais... Bon, d'accord ; je verrai comment je vais faire avec ma femme. Mais seriez-vous d'accord alors de me "détendre", comme vous dites, lorsque je le souhaiterai ?
— Dans ce cas, oui, cela me convient. Marché conclu !
— Marché conclu. Bonne soirée, Mademoiselle Frei.
— Bonne soirée, Monsieur.

Rosalie serra la main de son employeur puis, après s'être rhabillée, rentra chez elle. Son plan fonctionnait à merveille.

[ à suivre ]

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