Pauline

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

PAULINE


Je connaissais Pauline depuis sa naissance, elle était la fille de Claude et Claudette, mes meilleurs amis, et qui plus est, elle était ma filleule. Avec son père, nous étions les meilleurs amis depuis notre enfance. A son mariage, j’étais son témoin, et lorsque Pauline est née, il m’a naturellement choisi comme parrain.

Célibataire endurci et sans s, j’ai toujours considéré et gâté celle-ci comme ma propre fille. N’ayant pas les véritables préoccupations d’un père naturel, mes rencontres avec Pauline étaient toujours gage d’amusement. Je servais même de nounou lorsque ses parents voulaient un peu de tranquillité, ou lorsqu’ils devaient sortir et qu’ils ne pouvaient pas l’emmener avec eux.

Plus tard vers l’âge de 15 – 16 ans, elle passait même des week-ends entiers chez moi avec son amie Charlotte. Il faut dire que j’étais plus « cool », comme disait Pauline, « que mes parents. » Avec moi, elles pouvaient fumer, avec modération naturellement, une ou deux cigarettes le samedi soir, et elles avaient également le droit de boire quelques bières. Je sais que ce n’étais pas très bien de ma part, mais Pauline pouvait me demander ce qu’elle voulait et elle le savait. Depuis toute petite, lorsque je lui refusais quelque chose : un bonbon, une glace, un jouet, ou je ne sais quoi, elle venait vers moi avec son air d’ martyr, et me disait :

- Parrain Joachim, tu n’es pas gentil avec moi. « Je t’aime pu. »

Cela suffisait pour que je fonde, et que j’accepte tout ce qu’elle voulait.

Cela a changé l’année de ses 18 ans. Nous étions partis en vacances avec ses parents, dans ma résidence secondaire au bord de la mer. Charlotte était naturellement du voyage. Nous avions fêté les 18 ans de Pauline pendant ces vacances. Comme Claude et Claudette reprenaient le travail une semaine avant moi, ils étaient repartis le vendredi après-midi, les deux filles étaient restées avec moi pour cette dernière semaine.

L’attitude de ma filleule changea du tout au tout dés le départ de ses parents. Chose qu’elle n’avait jamais faite en ma présence, elle n’hésita pas à retirer le haut de son maillot de bain, et à se promener seins nus, son amie suivi le mouvement. Le soir même, je lui en avais fait la remarque.

- Tu sais Pauline, ta tenue n’est pas très bien, on pourrait te voir.

- Tu rigoles parrain, les premières maisons sont à plus de 500 mètres d’ici. Et puis toi tu m’a déjà vue nue.

- C’est vrai mais la dernière fois, tu devais avoir 3 ou 4 ans.

- Et alors, tu n’as jamais vu de seins.

- Si mais là n’est pas la question, tu devrais t’habiller un peu plus.

Elle lança lors sa célèbre réplique :

- Parrain Joachim, tu n’es pas gentil avec moi. « Je t’aime pu »

Cette fois, j’étais résolu à ne pas accepter.

-Peut-être mais tu ne devrais tout de même pas te promener comme ça.

En rien de temps, elle retira le bas de son maillot, pour se retrouver entièrement nue face à moi.

- Et comme ça c’est mieux ?

Me lança-t’elle pour me narguer.

-Rhabille-toi, sinon je te donne une fessée comme quand tu étais petite.

- Chiche.

J’étais déconcerté, et ne savais plus quoi faire. Je pris le parti de lui tourner le dos et de partir dans ma chambre.

Le lendemain, j’étais bien décidé à lui faire une leçon de morale. A peine eus-je commencé à lui parler, qu’elle me répondit :

- J’ai 18 ans, et j’ai le droit de faire tout ce que je veux.

- Comme te promener toute nue par exemple?

- Tout à fait, et même faire l’amour avec toi.

Le ciel me tombait sur la tête, « ma fille » qui voulait faire l’amour avec moi. Avant que je n’aie eu le temps de reprendre conscience, elle m’expliqua que depuis plusieurs années, elle était tombée amoureuse de moi. Elle n’avait pas de petits copains, et voulait absolument m’offrir sa virginité.
Je compris dans ses propos qu’elle était bien déterminée. J’aurais du la ramener immédiatement chez ses parents, et tout leur expliquer. Au lieu de cela, je pensais qu’en restant, j’aurais toute la semaine pour lui faire entendre raison.

Chaque minute que nous passions ensemble, je lui expliquais que cela n’était pas possible, ainsi que les différentes raisons : nos relations, celles avec ses parents, notre différence d’âge, et tout ce qui pourrait la dissuader de mener à bien son entreprise. Je mis quatre jours sans répit pour lui faire entendre raison.

Ce n’est pas pour autant qu’elle ne se promenait plus nue dans la maison. Elle avait même décidé son amie à adopter la même tenue qu’elle. Elles ne quittaient jamais la maison, et j’avais constamment sous les yeux, deux charmantes jeunes filles qui m’exposaient leurs magnifiques attributs. Je dois avouer que je n’y étais pas indifférent, surtout qu’elles adoptaient des attitudes plus qu’équivoques. Lorsque je sentais la tension qui montait trop, j’allais prendre une douche bien froide pour me calmer.

Le cinquième jour j’avais gagné, au lieu de rester là à se pavaner nues, les deux amies sont parties l’après-midi faire du shoping. Elle avait compris, et nos relations sont rapidement revenues comme avant.
Ce soir là, elle m’annonça :

- J’ai acheté du champagne, et je l’ai mis au frais. On le boira demain soir pour fêter mon anniversaire ensemble.

Le lendemain, hormis le fait qu’elle et Charlotte étaient toujours seins nus, la tension était bel et bien retombée. C’est avec grand plaisir que j’acceptai de fêter une deuxième fois sa majorité toute récente.

Pauline décida de boire dehors sur la pelouse où nous avions l’habitude de bronzer. Il n’y avait pas de table, mais elle trouvait que c’était plus sympa de boire le champagne sur une couverture, « comme si on pique-niquait.» Quand Pauline veut, Pauline obtient.

Après la première bouteille bue, j’étais déjà un peu pompette ; Je ne buvais que très rarement.
Pauline envoya Charlotte chercher la deuxième. Je lui fis remarquer qu’une bouteille c’était suffisant.

- Oh parrain, on n’a pas tous les jours dix-huit ans.

Lorsque la deuxième bouteille fut débouchée, elle sortit une cigarette un peu bizarre, en fait un joint. Comme je lui faisais remarquer que la drogue ce n’était pas bien, elle me lança :

- Qu’est ce que tu es ringard. Tous les jeunes fument aujourd’hui, et puis ne me dis pas que tu n’as jamais essayé.

- Et bien non, jamais !

- Et bien c’est l’occasion.

En temps normal, je lui aurais pris des mains, et éparpillé au sol. Mais là, sur mon petit nuage avec le champagne, et pour lui faire plaisir pour ses 18 ans, j’acceptai de « tirer un taf. » Lorsqu’il passa une deuxième fois, et sur l’insistance de ma filleule, je recommençai. Lorsqu’il fut fini, il était passé plus souvent vers moi que vers les filles. Cette fois si, c’était un véritable cumulo-nimbus qui me soutenait.

Je pensais Pauline calmée avec ses histoires de virginité, mais c’était sans compter sur sa persévérance. Elle m’attaqua d’une autre manière.

- Qu’est ce que tu penses des seins de Charlotte ? Ils sont beaux n’est-ce-pas ?

Je ne répondais pas, mais ne les quittais pas des yeux. Voyant cela Pauline les caressa tendrement, son amie se laissait faire sans rien dire. J’avais déjà remarqué que cette dernière acceptait, ou subissait tout ce que Pauline lui faisait. Dans leur relation d’amitié, Pauline commandait, et Charlotte obéissait.

- Elle aimerait que tu les embrasses. N’est-ce-pas Charlotte ?

Comme nous étions tous à moitié allongé, Charlotte n’eut pas beaucoup à bouger pour amener sa poitrine jusqu’à ma bouche.

Mû par un reflexe masculin, et surtout pas trop dans mon état normal pour me rendre compte qu’elle n’était qu’une gamine, je les embrassai aussi tendrement que possible. Je sentis qu’une main s’insinuait dans mon boxer sans me rendre compte que c’était celle de ma filleule.


Lorsque je repris mes esprits, c’était le matin, nous étions tous les trois entièrement nus dans mon lit, et Pauline me regardait en souriant.

- Merci parrain, tu as fais de moi une femme, mais ce n’était pas terrible. J’espère que tu vas te rattr et faire mieux aujourd’hui.

Avant que je ne sois en état de dire un mot, elle m’annonça :

- Ne t’inquiète pas, je ne dirai rien à mes parents. A moins que tu ne sois pas gentil avec moi. Si je leur montre les photos que j’ai prise hier soir, ils ne seront pas contents du tout.

Sur ce, elle se coucha sur moi et sans aucune pudeur me roula un magnifique patin.

Et puis M…., Je n’avais pas trop le choix, et puis tant pis pour ma conscience. Depuis ces derniers jours, même si elle était comme ma fille, mon état d’esprit avait changé vis-à-vis d’elle. Et puis elle semblait vraiment amoureuse de moi. Advienne que pouvait, on n’a qu’une vie. Je la pris dans mes bras, je fis rouler nos corps emmêlés et lui fit tendrement l’amour. Sans me vanter, je pense que c’était la première fois de ma vie que je me préoccupais vraiment de donner du plaisir à ma partenaire. Pauline m’avait menti, nous n’avions pas fait l’amour la veille. Je m’en rendis vite compte, Pauline devint vraiment femme ce matin là. Et je pense qu’elle en aurait un excellent souvenir.

Charlotte nous a regardé faire avec envie. Pour ne pas froisser sa susceptibilité, je lui infligeai le même traitement qu’à ma filleule. Ce n’était pas la première fois que j’avais deux filles dans mon lit, mais cette matinée était vraiment spéciale.

Pauline m’a raconté ensuite ce qui s’est passé : elle a demandé à Charlotte de me donner du plaisir avec sa bouche, alors que cette dernière s’activait sur moi, je me suis lamentablement endormi terrassé par le champagne et le pétard. C’est Charlotte qui a proposé cette idée à Pauline, de me ramener dans mon lit et de me faire croire que Pauline et moi avions fait l’amour. Comme un con j’y ai cru, mais je ne regrette pas ce qui s’est passé.

Comme j’avais, malgré moi, fait plaisir à Pauline, je lui ai demandé à son tour de me faire plaisir. Et c’est avec grand bonheur que j’ai convaincu les deux filles de faire l’amour ensemble.

Les quelques jours de vacances qui nous restaient, nous les avons passé à faire l’amour. En particulier Pauline et moi, Charlotte s’est plutôt cantonnée à nous donner du plaisir à l’un ou l’autre. Je pense que cela ne lui a pas déplu, et pour moi qui suis plutôt dominateur habituellement, je crois qu’elle a un capital de soumise à explorer.

Pauline et Charlotte passent de plus en plus de temps chez moi à présent. Et, pour ce qui est d’annoncer la nouvelle à ses parents, Pauline a trouvé la solution :

- Si un jour ils posent des questions, on leur dira que Charlotte et moi sommes lesbiennes. Lorsqu’ils apprendront la vérité, ils seront tout contents que leur fille chérie ne soit pas gouine.

Je ne partage pas son point de vue. Cela m’étonnerait qu’ils sautent de joie en apprenant que leur fille n’est pas homo, mais qu’elle s’est entichée d’un vieux, et qui est le meilleur ami et parrain de leur fille.

En attendant « Carpe Diem », et qui vivra verra.

Mesdames, merci pour vos sentiments.
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A bientôt

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