Leslie La11
Leslie LA11 - Laure, le journal intime - Baby setting
Mon désir de sous-vêtements ne mavait pas quitté, et en rentrant de vacances, jai emprunté les dessous de ma mère pour sortir le restant des congés scolaires, évidemment, elle à découvert mes emprunts tout de suite.
Un soir nous en avons parlé, en premier elle prétexta que jétais trop jeune pour me vêtir de sous-vêtement qui me dit-elle serait très certainement parfois érotiques et affriolants, mais elle comprenait, pour être elle-même passée par là, que jai envie dêtre belle et vouloir plaire, mais elle nétait pas du tout daccord pour que je lui emprunte ses affaires, dailleurs elle ma dit :
- Payes-toi tes propres affaires, mais nemprunte plus les miennes !
- Mais comment veux-tu que je men achète ? Lui demandais-je.
- Avec ton argent de poche.
Je nallais pas lui avouer que je lavais déjà dépensé dans lachat de mes gadgets, alors je lui ai répondu :
- Avec ma pilule tous les mois, le maquillage, il ne me reste tout juste de quoi acheter une paire descarpins à talons hauts.
- Tu nas quà travailler, me répliqua-t-elle.
- Ah oui, et quoi comme travail ?
- Fais du baby setting.
- Mais je ne connais personne qui aurait besoin de mes services, maman.
- Je vais en parler à Pierre et Luce, je sais quils cherchent une baby sitter, peut-être que ça le fera.
- Tu es géniale, maman, je te remercie de tout mon cur
- Oui, mais ne temballe pas trop, rien nest fait.
Après un silence, elle a rajouté :
- Dis-moi tas aimé les vacances ?
- Euhh, oui, cétait bien.
- Tas pas oublié de prendre ta pilule ?
Silence, comment lui avouer que je nétais plus vierge et quallégrement je marchais dans ses pas
- Tu sais ma fille, je ne suis pas née de la dernière pluie, et je pense quavec Olivier vous avez passé du bon temps.
Je ne pouvais lui mentir, il me fallait entretenir ce climat de confiance que nous avions entre nous et qui faisait que tout était si simple.
- Oui, maman, cétait bien.
- Alors tant mieux
La semaine suivant, ma mère mannonça la bonne nouvelle, presque tous les moi, le couple damis avait retenu une soirée par semaine et dautres amis qui avaient aussi des besoins étaient intéressés, si bien que jallais être prise deux, voire trois soirées par semaines.
Jai commencé aussitôt chez Pierre et Luce, qui étaient un couple charmant. Lui, devait avoir 30 ans, brun, grand et sportif, toujours très bien habillé, les yeux bleus. Elle, Luce, avait six ans de moins que lui, mais bien plus vieille que moi, elle était blonde aux cheveux longs, sublime, avec à peu près la même corpulence que moi.
Ils étaient tous les deux délicieux et attentionnés avec moi et très attaché à leur fils, Jérémy, je les trouvais charmants.
Pierre, se chargeait chaque fois de me raccompagner, et Luce, avait une confiance aveugle en moi.
Cela ne ma pas empêché de faire dautres soirées de garde, si bien que très rapidement je fus prise trois soirées par semaine, et parfois le samedi chez Pierre et Luce.
Un mois plus tard, ce samedi soir-là, lambiance est différente. Je les trouvais chez eux alors quils sapprêtaient à sortir, il était vingt heures trente et leur dormait déjà.
Pierre était déjà prêt, dans un costume en lin froissé superbe, dans des tons écrus sous lequel le tee-shirt noir dessinait parfaitement son torse musclé, il était superbe et des frissons me traversèrent le corps.
Pierre me complimenta sur ma tenue, je portais un top noir avec une mini en jean noire et mes escarpins à talons hauts, que je métais achetés deux semaines auparavant, ma tenue semblait faire de leffet et jen étais ravie.
- Luce, dépêche-toi, nous avons être en retard, et cest mon anniversaire !
- Pierre, cinq minutes, il ne me reste plus quà mhabiller.
Cinq minutes passent et Luce apparait dans lembrasure de la porte de la chambre.
Elle est dans une robe en dentelle rouge avec un collier de perles ras du cou et des boucles assorties, chaussé descarpins noirs vernis aux talons hauts, dau moins dix centimètres, ses longues jambes fuselées habillés de bas voiles noirs à couture.
Perchée sur ses talons hauts, elle est si différente, si sensuelle, dans cette tenue sexy à souhait.
- Voilà, je suis prête ! Dis Luce.
Luce enfile un manteau, et deux minutes plus tard, je me retrouve seule dans leur appartement.
Je vérifie que leur fils dort, et je vais pouvoir regarder la télé. Je minstalle dans le salon devant le grand écran plat, dans ce magnifique canapé de cuir ivoire. Malgré une profusion de chaînes de la télévision par satellite, je zappe sans vraiment trouver un programme intéressant.
Je me lève et me dirige vers la cuisine pour boire un verre deau fraîche, puis je me dirige vers la chambre de l pour massurer que tout va bien, ce qui est le cas. Un amour à garder.
En retournant vers le salon, je passe devant la porte de la chambre des parents, je remarque que la lumière de salle de bain parentale est restée allumée, je vais donc aller léteindre.
En passant, je remarque alors la commode de Luce ouverte, un tiroir rempli de dentelle, de nylon, de satin et de soie, évidemment je suis attirée, alors je mapproche, admire et touche, moi qui veux macheter des dessous, là je suis servi.
Loccasion est trop belle et lensemble que je viens de découvrir est irrésistible, en dentelle noire brodée dor, un délicieux soutien-gorge à balconnet, le string assorti minimaliste et le divin porte-jarretelles, lexcitation grimpe, tout comme lenvie dessayer ces dessous.
Il ne me faut pas plus dune minute pour me retrouver nue devant le grand miroir de la chambre de Luce et Pierre, admirant mon reflet de jeune fille, je remarque mes seins aux tétons dressés que je prends soin dexciter encore davantage en les pinçant entre mes pouces et index.
Mes yeux glissent sur le reflet de mon corps nu jusquà mon pubis blond et clairsemé de jeune fille. Je me saisis du délicieux porte-jarretelles, et le pose sur mes hanches avant de le fixer, prenant soin de positionner les jarretelles de part et dautre de mon pubis.
Assise sur le bord de leur immense lit je prends soin de rouler puis dhabiller mes jambes de cette seconde peau, puis je fixe les jarretelles devant puis, en me soulevant légèrement, derrière, avant de me remettre debout face au miroir
Je choisis, dans le dressing, une paire descarpins noirs vernis avec des talons de près de dix centimètres, je me chausse et reviens devant le grand miroir, perchée sur mes talons, impudiquement cambrée.
Waouh ! Limage que me renvoie le miroir nest plus celui dune jeune fille mais une jeune femme qui pourrait rivaliser avec beaucoup de femmes, et pour finir je saisis le string, qui est vraiment mini, en dentelle noire brodée dor, presque transparent devant, et délicatement je soulève un pied sans quitter mon escarpin et enfile le string, puis lautre pied. Je remonte le petit bijou pour couvrir ma fine toison en prenant soin de le placer haut sur mes hanches par-dessus le porte-jarretelles et je mentends dire :
- Divine
- Effectivement !
Cest la voix de Luce, debout dans lencadrement de la porte e la chambre, je nai rien entendu, je ne les ai pas entendu rentrer
- Eh bien Laure, tu es effectivement divine dans cette tenue.
- Je suis confuse, dis-je.
- Allons, ce nest pas si grave, une jeune fille belle comme toi ne peut que désirer se faire belle et se parer de dessous
Après mavoir bien regardée, elle ajoute :
- Allons prendre lavis dPierre, il attend au salon, avec du champagne, viens lui montrer et tu sauras leffet que tu lui fais, et tu partageras le champagne avec nous
Je frémis un peu, et elle ajoute pour me rassurer :
- Ne tinquiète pas, il ne fera rien que tu ne souhaiterais pas.
Alors, comme dans un rêve, perchée sur mes talons hauts, je me suis laissée guidée par Luce, qui me tenant par la main, ma conduit au salon.
En entrant dans le salon, Pierre, qui était dans lun des fauteuils, resta figé.
- Regarde, chéri ce que je viens de trouver dans notre chambre, une délicieuse petite coquine qui aimerait savoir comment tu la trouves ainsi vêtue ?
- Waouh, sublime ! Mais, Luce, cest lun des ensembles que je tai offert ?
- Il lui va à ravir, non ?
- Laure, tu es si désirable ainsi.
Je suis flattée et je me sens un peu rougir, mais Luce ne me laisse pas le temps de dire quoi que ce soit, car elle ajoute :
- Ose me dire quelle ne te plaît pas ?
- Euhh, bien sûr quelle me plait !
- Alors bon anniversaire mon chéri !
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!