Je N'Aime Pas Chasser

Avec Antony nous sommes en couple depuis peu, il a vingt ans et moi Valérie dix neuf, nous somment au mois de septembre et mon copain a très envie d’aller passer huit jours chez son grand père pour l’ouverture de la chasse et la saison des champignons il habite seul en pleine forêt des landes , je ne le connait pas encore et je ne suis pas trop emballée

- Si tu va à la chasse qu’est-ce que je vais faire de mon temps ? je vais rester avec un vieux bonhomme ?
- Tu va chasser avec moi et chercher des champignons en pleine nature loin de tout, il fait beau tu verras c’est super et puis mon grand père n’est pas un vieux bonhomme, il a soixante deux ans mais encore en pleine forme
- Tu parles ! le mien qui est plus jeune marche avec une canne
- Alors tu reste là ?
- Bon je viens avec toi chéri

Lorsque j’ai vu Léony son grand père ça m’a fait un choc plutôt agréable, carrure et chemise de bucheron ouverte sur un tapis de poils bouclés noirs comme du charbon ainsi que ses cheveux, un bluejean qui moule des fesses étroites, tout comme moi il me détaille des pieds a la tête , il est vrai que je suis peut être habillée un peu court et le décolleté osé laisse voir la naissance de mon quatre vingt dix B

- Alors fiston c’est ta copine ? Elle n’est pas vraiment habillée pour la forêt !
- Ne vous inquiétez pas j’ai de quoi me changer !
- En tout cas vous êtes ravissante Valérie
- Merci, vous êtes très bien conservé !
- A soixante ans ont n’est pas foutu ! je suis sûr qu’Antony ne me suivrai pas !
- C’est à voir papy ! tu viens a la chasse avec nous demain matin ?
- Ma foi non j’ai du travail, tu veux trainer ta nana dans la forêt ?
- Bien sur !
- N’oublie pas le chien il te guidera mais dés qu’il est fatigué il rentre seul a la maison !

Le lendemain Antony me fait lever a six heures du matin chaussée de bottes et un vieux pantalon je le suis … pas longtemps ! Après une heure je suis littéralement pompée

- Tu aurais mieux fait de rester couchée ! Suit ce sentier tu va tomber sur la maison de grand père

Harassée, en sueur Léony me regarde arriver en riant

- Je l’aurais parié !
- Je suis crevée ! je peux prendre une douche Léony ?
- Oui mais ici c’est rustique, la douche d’été est derrière la grange, ne laisse pas couler l’eau une heure

Effectivement un quadrilatère de planches mal jointes sert de cabine, je dois me foutre à poil ? Bon, je fais confiance le père de mon copain ne va pas me sauter dessus ! Pourtant en me lavant entre les cuisses je ne peux m’empêcher de penser à lui … ce vieux monsieur sans doute privé de sexe doit être émoustillé par ma présence …il devait être vachement viril cet homme, sa braguette a l’air d’être bien garnie …
En sortant encore humide les cheveux mouillés enveloppée dans ma serviette je manque de le heurter au coin de la grange sous la surprise ma serviette glisse dévoilant un instant mon corps il déglutit péniblement avant de s’exclamer

- Ben ma petite pour un peu nous nous embrassions ! Au fait, un matin si tu vois un vieux bonhomme sortir à poil de cette douche c’est moi ! L’habitude de vivre seul je ne gène pas
- J’y survirais.

..
- Moi j’ai faillis avoir une syncope en voyant ton nichon !
- Vous êtes sûr que vous n’avez vus qu’un sein pour qu’une cette bosse pareille déforme votre short ???
- Ça a été trop rapide …peut être une chatte ? il y a si longtemps que je ne souviens plus comment c’est fait !!
- Vous voulez en voir plus ?
- Au point ou nous en sommes mais je ne voudrais pas causer de tord dans ton couple
- Boff Anthony n’avait qu’à rester là pour s’occuper de moi au lieu d’aller chasser et puis il n’en saura rien !
- Dans ce cas montre-moi ce corps de rêve
- Attention le rideau va s’ouvrir … tentennn… ET VOILA !!!!!!

Du coup il lâche l’arrosoir qu’il tenait à la main ! Ses yeux ne sont pas assez grands pour voir toutes mes formes a la fois, je suis réjouie de faire plaisir a cet homme, soudain il tend une main vers moi

- Je veux te toucher …..
- Pas question !!

Je refuse par jeu, car j’ai très envie qu’il la fasse, je recule d’un pas, il récidive alors je lui lance un défi

- ATTZ-MOI SI VOUS POUVEZ !!!!!!

Je cours entièrement nue dans la pelouse récemment tondue, c’est doux sous mes pieds mes seins sautent en tout sens, bien plus rapide que lui je fais le tour du puits et des massifs mais comme j’ai envie qu’il me ratt je fais semblant de chuter dans l’herbe juste arrosée

- HAAAAAAAAA petite peste je te tiens !!!!

A cheval sur moi ses genoux coincent mes hanches et ses larges mains plaquent mes poignets au dessus de ma tête, complètement abandonnée et offerte j’aime sentir le poids de ce corps d’homme sur moi, nous nous observons sans pouvoir parler d’une façon qui en dit long sur notre désir mutuel, c’est moi qui rompt ce silence

- Pitié monsieur l’ogre ne mangez pas la petite fille que je suis
- RRRRRRRR ! j’ai très envie de te manger pourtant !
- Alors faites le … bouffez moi Léony ….
- T’es sérieuse ?????? tu veux que je te bouffe le minou ??
- Il n’attend que ça il est tout mouillé !

Léony lâche mes poignets je ne bouge pas, il pose sa bouche sur mon nombril et d’une langue large et mouillée il remonte jusqu’à mes seins qu’il tète tour a tour, cette fois je l’att par le cou et le maintient longtemps sur un téton, mon bassin se cambre sur ses fesses, il n’y a que le short qui sépare son membre bandé de ma vulve en eau
Puis comme pour lui donner le signal je lâche sa tête, sans décoller ses lèvres de mon corps Léony descend peu à peu embrassant chaque millimètre de peau, arrivé a mon pubis il relève les yeux vers moi je lui fais oui d’un mouvement de tête alors il se relève et sans me quitter du regarde ôte ses vêtements
Le short glisse lentement sur ses cuisses musclées, des poils noir et drus apparaissent puis un gros cylindre comprimé qui bondit comme un diable de sa boite et pointe vers le ciel, mes jambes s’ouvrent et mes genoux se replient sur mes seins, à nouveau il admire la vue choquante que je lui offre
Léony s’agenouille et repousse mes cuisses vers l’extérieur, il semble fasciné par ma chatte entrouverte

- Tu mouille …..
- Je le sais …
- Ton jus sort en faisant des bulles
- Bois moi …je te boirais après
- Non, tu me suceras plus tard, j’ai trop peur de ne pouvoir rebander pour t’honorer comme tu le mérite
- Alors monsieur l’ogre bouffez moi la chatte tout de suite !
- RRRRRRRUUUUUUUUUMMMMMMMMM !
- HOOOOOUUUUUUUUOOOUUUUIIIII !

Sa langue fouille mon antre pour faire jaillir mon jus de mes muqueuses que sa bouche aspire bruyamment, je me tors sous son cunnilingus viril d’homme sauvage, Anthony ne m’a jamais léchée aussi savamment, une onde monte en moi je vais décharger dans sa bouche et je n’en ai pas honte

- WOOOOUUUUUUUAAAAAAAAAAAHHHHH !!!!!
- MUUUUUUMMMMMMMM ouuuuuuuuuuuuhhhh !!!!! quel dégoulinage !
- Excuse moi Léony je n’ai pas pus me retenir
- Te retenir ? sacrilège !!
- Tu es mouillé jusqu’au front !
- Hé bien lèche ton suc!

Il approche son visage que je prends dans mes mains et avec ma langue aplatie je lèche mon propre jus odorant, je descends sur son nez pour finir sur ses lèvres dans un baisser fougueux tandis que Léony me bascule une nouvelle fois dans l’herbe et se couche sur moi, le moment de me faire pénétrer est arrivé, j’adopte la position de la grenouille sa main part entre nous deux, il empoigne sa virilité et la guide entre mes cuisses
Ma chatte est mûre pour accueillir cette queue qui n’a pas vue de femme depuis des années

- Haaaaaaaaa depuis que tu es arrivée je rêve de cet instant, je vous ai écoutés faire l’amour en me masturbant sur mon lit
- Mon pauvre Léony ratt toi, prends moi, baisse moi, soulage toi dans mon vagin, va-y enfonce toi …..HOOOOOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
- HHHHUUUUUUMMMM QUE TU ES BONNE !!!!!!!

Mon amant me besogne de plus en plus vite faisant tournoyer sa queue en moi lorsqu’il est complètement emmanché alternant les pénétrations lentes et sèches, nos pubis s’entrechoquent durement, il m’arrache des cris qui peuvent s’entendre très loin, pourvus qu’Anthony n’arrive pas maintenant…pour m’empêcher d’ameuter la forêt je mords son épaule jusqu’au sang, au lieu de le calmer il redouble de puissance je jouis sans interruption un temps infini avant qu’il ne rende grâce en me gratifiant de sa purée granuleuse et chaude qui inonde mon con
Comme s’il sortait d’un rêve Léony se relève prêt a s’excuser alors que sa menthule se balance encore raide et suintante devant mes yeux

- C’est de la folie ! Je m’en veux …. Oublie vite ce que l’ont vient de faire
- Oublier cette queue d’où goutte encore ta semence ? donne là moi que je la suce tu me l’as promis

D’un coup de reins je me mets à genoux devant son membre et le choppe pour l’avaler, l’homme plie les jambes et finalement se laisse manipuler la verge et les bourses, je me délecte de notre parfum qui reste sur la trique et derrière le gland, il marmonne des obscénités a mon encontre ou je comprends que je suis une truie, un sac a foutre, une pute infidèle, mais qu’est-ce que je suis bonne !!
Le gland encore sensible de notre étreinte Léony peste qu’il ne va pas tenir longtemps et me demande de tout avaler le moment venu je réponds par un signe de tête affirmatif …..
A peine ai-je finit de déguster son nectar que bobby le chien arrive haletant la langue pendante

- Bondieu ! vite file a la douche Antony va débouler d’un moment a l’autre
- On remet ça demain ?????????