Leslie La12

Leslie LA12 - Laure, le journal intime - Baby setting, suite

Sur ces mots Luce met un peu de musique et m’entraîne dans un slow à deux filles, moi toujours en lingerie, devant Pierre qui boit dans son fauteuil en nous regardant, enfin surtout moi.
Elle me colle à elle et se met à danser de façon sensuelle, je me laisse guider, et Luce profite d’être collée à moi pour déposer des petits bisous dans mon cou en me caressant le corps, je frissonne et la fièvre monte rapidement sous les caresses de Luce.
J’adore cette situation et je me laisse aller, ses lèvres se posent sur les miennes, elle me fixe dans les yeux, alors je ferme les miens en même temps que mes lèvres s’entrouvrent et que sa langue pointe déjà à la rencontre de la mienne…
Un vrai bonheur de sensualité, de tendresse et d’érotisme. Ses mains sont posées sur mes hanches, je sens ses doigts fins jouer avec le porte-jarretelles et le string posé dessus. Puis l’un d’eux glisse sous la fine bande de dentelle, je suis en plein rêve. Sa bouche murmure, tout près de mon oreille, dans un souffle…
- Tu devrais faire glisser ma robe sinon je ne réponds pas d’Pierre.

Elle me sourit, je regarde Pierre en faisant glisser le zip dans son dos. Il a posé son verre et se caresse par-dessus son pantalon déformé par son sexe déjà en érection. La robe s’ouvre sur cet écrin de dentelle rouge. Luce reprend ma bouche puis, après ce baiser torride, se tourne face à Pierre, me tournant le dos. Je fais glisser la robe, dévoilant la guêpière, puis l’absence de culotte sur son sexe fraîchement épilé, et enfin les bas soyeux tendus sur ses jambes sublimes. Luce enjambe la robe pendant que je la tiens par la taille, et dit :
- Voilà ton cadeau, mon chéri. À moins que tu ne préfères que nous restions toutes les deux ?
- Tu le sais mon amour, j’aimerais tant que nous soyons trois. Je serais le plus heureux des hommes si Laure acceptait de se joindre à nous.

- Je pense qu’elle est d’accord…
Nous sourions toutes les deux, avant de nous embrasser de nouveau. C’est si doux, si sensuel…
Je m’abandonne dans les bras de Luce. Ses doigts jouent avec mes fesses puis remontent sur mes hanches, passant la barrière de dentelle du string et du porte-jarretelles, ils parcourent mes reins et enfin, ils se posent sur l’attache du balconnet. Elle me fixe droit dans les yeux, avec ses yeux brillant et je suis sûre que les miens sont remplis de mille feux.
- On les lui montre, Laure, tu veux bien ?

Pour toute réponse je me mords la lèvre inférieure en fermant les yeux. Les doigts habiles de Luce s’attaquent à la fermeture de mon balconnet et celui-ci ne résiste pas plus longtemps que moi et déjà Luce entreprend de faire glisser les bretelles sur mes épaules. Elle me met face à Pierre, se positionnant dans mon dos, avant de retirer les deux corbeilles de dentelle noire et or, m’exhibant à son mari.
Elle jette en direction d’Pierre le bout de dentelle, puis repose en coupe ses mains sous mes seins, avant d’entamer une longue et douce caresse qui fait poindre mes fines aréoles et se tendre encore davantage mes tétons durcis.
Son souffle au creux de mon épaule et les yeux d’Pierre sur mon corps me font fondre.
- Oh, ce que tu es belle ! Embrasse-moi, Laure.

Je me retourne face à Luce et cette fois c’est moi qui lui force les lèvres de ma compagne, y glissant ma langue pour inviter la sienne dans un balai des plus érotiques.
Je me sens fondre, mouiller dans mon string minimaliste.
Elle doit le sentir, ses doigts glissent entre nos deux corps serrés pour finir leur course sous mon petit string. Sa main passe à plat alors que je ne peux détacher mes lèvres des siennes.
Douce, son index passe sur ma fente qui s’entrouvre déjà toute humide. Elle m’arrache un petit cri lorsque le bout de son ongle vient buter contre mon bouton déjà sorti de sa cachette.
Mon souffle s’accélère au fur et à mesure que sa caresse se fait plus précise. Elle me repositionne face à Pierre sans que sa main ne quitte mon clitoris et ma fente de plus en plus humide. Luce me caresse divinement, le plaisir monte déjà, exhibée dans cette tenue hyper-sexy devant Pierre dont l’image m’a si souvent accompagnée lors de mes plaisirs solitaires.
Offerte à ces yeux, à cette main, la bouche entrouverte, je me laisse aller à un premier plaisir qui monte, comme une boule au creux de mon ventre, et qui vient exploser dans ma poitrine, mes tempes.
- Ohhh, Luce !

Je me tourne face à elle pour lui donner un baiser tendre plein de gratitude pour ce moment intense. Elle sépare nos lèvres et me fixe droit dans les yeux.
- Tu n’es qu’une petite vicieuse, Laure, tu vas prendre du plaisir avec nous, vient Pierre, rejoins-nous.
- J’arrive, ma Luce chérie !

Je n’ose bouger, je reste figée. Luce s’agenouille devant moi et lentement, après avoir posé ses mains sur mes hanches, entreprend de faire glisser le mini-string sur le porte-jarretelles puis le long de mes jambes gainées de nylon noir. Instinctivement, je soulève successivement chacun de mes pieds chaussés d’escarpins aux talons hauts pour l’enjamber.
Elle le jette à Pierre qui nous a rejointes, et qui le pose avec le soutien-gorge sur l’accoudoir du fauteuil de cuir ivoire.
Timidement, comme par réflexe, j’ai positionné mes mains devant mon sexe blond taillé finement, mais Luce se relève, face à moi, et me fait mettre les mains sur mes hanches et m’oblige délicatement à écarter les jambes, debout, de dos à Pierre.
Je m’exécute, excitée en pensant avec ce qui va suivre…

- Courbes-toi, demande Luce, pour qu’Pierre ait le loisir d’admirer ta croupe !
Une nouvelle fois, je m’exécute, offrant ainsi la vue de toute mon intimité à Pierre qui s’exclame :
- Magnifique !
Fermant les yeux, je reste penchée offrant mon intimité à mon futur et divin bourreau, attendant la suite quelque peu fébrile mais impatiente.
J’ose un regard en arrière et voit Pierre, avec son fin pantalon de lin écru qui est tendu au niveau de son sexe et je sens son regard sur mon corps, me détaillant dans les moindres détails…


Alors que sa main douce et ferme se pose sur l’une de mes fesses, la parcourant et provoquant un délicieux frisson, je relève mes cheveux derrière mes oreilles et regarde Luce qui vient de s’asseoir dans le canapé nous faisant face.
Elle est si belle, si indécente, elle vient de passer l’une de ses jambes sur l’accoudoir, s’exhibant à nous deux. J’imagine qu’Pierre ne la quitte pas des yeux, tandis que sa main me parcourt, glissant sur l’une de mes fesses avant de parcourir l’autre…
Hum, un délice qui me fait délicieusement mouiller alors que j’ai joui il y a moins de dix minutes.
Puis il me force, sans que je n’oppose beaucoup de résistance, à écarter encore plus mes jambes. Sa main parcourt ma raie, je referme les yeux alors que son index pointe sur mon petit trou plissé avant de glisser plus bas, où l’humidité règne.
Je les rouvre pour découvrir que Luce se caresse. C’est magnifique de sensualité, elle est belle, ses doigts fins aux ongles longs parcourant sa fente lisse et déjà luisante de son plaisir naissant.
- Eh bien, Pierre chéri, tu te délecte de cette petite peste, indécente ?

Je me cambre dans l’attente du supplice, sous les caresses d’Pierre, et c’est un délicieux baiser qu’il dépose sur une de mes fesses, alors que son majeur force mes lèvres qui s’ouvrent sur mon plaisir.
Je suis sûr que Laure adore ce genre de caresse ? Dit-il, alors que son majeur me pénètre plus encore.
- Ohhh oui, Pierre…
- Tu sais Laure, dit Luce, je suis sûre que tu n’es pas une novice en la matière, dans cette tenue, il va adorer mon chéri.
- Peut-être qu’elle est novice dans un domaine bien précis, dit Pierre.
Et voulant vérifier ce qu’il avance, il me plante un doigt dans l’anus, me faisant me redresser sous la pénétration en poussant un petit cri.
Un doigt d’Pierre dans le cul et un autre dans la chatte, je sens ses yeux, mais aussi ceux de Luce, parcourir mon corps ainsi exposé. Il me retourne pour me mettre face à lui, mes mains toujours sur mes hanches, juste posées sur cette délicieuse ceinture de dentelle, alors pleine de désirs, je lui demande :
- Pierre, j’ai tellement envie de vous sucer !
- Hum, la délicieuse petite garce, elle désire me sucer !

C’est ainsi que je me positionne accroupie devant lui et que délicatement j’entreprends de défaire sa ceinture. Puis je m’attaque au bouton du pantalon avant de baisser le zip de la braguette où déjà je sens la tension qui l’habite…
Il se soulève légèrement pour que je le débarrasse de son fin pantalon, ne lui laissant que son tee-shirt noir et son boxer en lycra moulant parfaitement sa virilité.

A suivre…