Le Repos Du Guerrier
Le repos du guerrier :
Cétait au cours dune de mes missions pour le compte de lONU. Jétais parti pour une ville perdue au bout du monde en compagnie de collègues occidentaux pour réaliser une estimation de la situation locale.
Après avoir passé la journée au pas de charge à rencontrer des responsables locaux et des sites à réhabiliter, nous sommes reconduits à laéroport. Sur le tarmac notre groupe doccidentaux et un détachement bangladeshi, nous attendons tous pour monter dans lavion affrété par les Nations Unis.
Une fois monter à bord, les mesures de sécurité prises, lavion commence à prendre de la vitesse puis sans que nous nous en rendions compte revient à son point de départ. Léquipage nous fait descendre. Au bout dune heure trente que nous passons à nous rafraichir avec quelques bières, le verdict tombe : un oiseau sest introduit dans un des réacteurs pendant la phase de préparation du décollage. Nous sommes contraints de passer la nuit sur place.
Notre groupe doccidentaux trouve un restaurant. Nous nous installons sur son toit qui fait office de terrasse : la lune se lève Ce sera bientôt la pleine lune, la chaleur tombe, la fraicheur de la nuit arrive, lalchimie magique du continent.
Le groupe de bangladeshi se joint à nous. Sassoit à côté de moi, un beau jeune militaire très sexy
Je les aide à commander grâce à mon pauvre anglais, puis nous sympathisons. Les questions usuelles en ce genre de circonstances : doù venait-vous, que pensez du pays ou nous effectuons la mission actuelle, que pensez-vous du Bangladesh etc...
Tous me parlent, le beau jeune militaire commence à me poser des questions plus personnelles : etes vous mariés et vous ( ni lun ni lautre), aimez sortir le soir (oui en back room, non je ne pas dire seulement, de tels lieux de plaisirs et de débauche existent-ils dans son pays ) etc. En de telles circonstances, mon anglais nest plus un obstacle.
Des A. T ? techniques dapproches il est vrai quil est très séduisant et très sexy dans son treillis que jimagine gardien de bonnes odeurs viriles.
Je le fixe de plus en plus dans les yeux, il ne baisse pas son regard, habitude du combat ou bien le contact est il déjà établit ?
Nous venons nous chercher pour nous conduire à lhôtel. Nous descendons tous aux mêmes hôtels civils et militaires. Je comprends vite que la répartition des chambres se fait de manière aléatoire. Je me glisse derrière mon militaire. Je réussis mon coup : nous sommes dans deux chambres contiguës. En entrant dans ma chambre, je lui lance un regard de er en me caressant mon entrejambe gonflé. Il me lance un clin dil.
Je rentre dans ma chambre en laissant la porte entrebâillée
Quinze minutes après, elle souvre. Lenfer commence. Nous nous précipitons lun vers lautre et nous commençons par nous rouler des pelles viriles et bien baveuses. Je lui prends la main et le conduit dans la salle de bain tout en passant ma main sur son cul mis en valeur par son treillis que je sens bien humide.
Je me déshabille et je garde ma panoplie classique en de telles circonstances : kangourou blanc et débardeur, lensemble à mail étroite. Je reçois en retour un « I do like this ! » enthousiasme
Cela sannonce très bien.
Il veut commencer à se déshabiller, je lui fais signe de sarrêter. Je prends les commandes de lopération.
Nous reprenons nos baisers et nos caresses. Puis, je le retourne violemment et le plaque contre le mur couvert de carrelage blanc de la salle de bain. La fouille au corps peut commencer. Son treillis est tombé sur ses rangers, ses fesses soffrent à moi recouvert de son slip beige que jai hâte de lécher et de respirer les bonnes odeurs chaudes et parfumées de mâles qui sen dégagent. Mais je dois me contrôler. Je tire violement son slip vers le bas.
«Lanimal » se débat légèrement
je continue la
puis je commence à travailler de ma langue sa chatte
Un filé de gaz sans dégage au bout de quelques instants. Mon partenaire sexcuse
« What the matter
? » je réussis à articuler le nez et la bouche dans son cul. Je continue ce titillement, jouvre grand ma douche tout en continuant de travailler sa chatte. Soudain le miracle saccomplit. Un embrun anal envahit mon palais et descend dans mes bronches, se repend en moi et en me vivifiant comme seul peut la faire une bouffée dair frais venue de la mer par une froide journée dhivers de Bretagne.
Je me sens excité
par cette brise fraiche
Je retourne mon bonhomme
Son treillis entre les pattes, je commence à délasser ses rangers : 12 trous cest long mais cest bon
le bruit de la boucle de ses rangers, en se libérant de la lanière de cuir qui les étreint, provoque malgré moi une secousse de ma bite déjà hyper tendue
Je ne maitrise plus rien
. Je déchausse mon militaire et porte à mon nez toutes narines ouvertes la ranger droite.
Le garçon veut aussi soccuper de moi
. Mais je lui fais signe de prendre son mal (mâle) en patience. Je me jette sur les chaussettes sachant par expérience, que chez les militaires, elles sont de mauvaises qualités et donc, retiennent la transpiration
Mon expérience est confirmée : des tâches sombres ornes la place des doigts de pied, je les enlève, je lui fais sentir
Sa bite encore emprisonnée par son slip, comme prise dans une nasse, se débat, est prise de convulsion, de secousses successives dintensité irrégulière
Je prends pitié de celle-ci, le moment tant attendu arrive. Je me place devant lui, accroupi prêt au dur labeur
Le slip est chaud, humide et odorant
On devine tout lexercice physique et la transpiration de la journée. Jenfourne dans ma bouche cette bite recouverte dun tissu imbibé dodeurs et de couleurs diverses. Ma victime nen peut plus se débat.
Elle veut soccuper de moi à nouveau, gémit de plus en plus fort, je lui fourre trois doigts dans la bouche en guise
d « amuse gueule ».
Dun geste viril, je retire le slip et par réaction purement mécanique, prends un coup de bite dans la gueule. De celle-ci, je sens aussitôt quune forte odeur se dégage, très forte celle du fromage
! Cela fait des années que jattends un moment pareil, je savais que cela existait mais cela ne mettait pas encore arrivé. Ce parfum enivrant me fait perdre mes moyens
De minuscule petits dépôts de matière blanche (sperme séché, pisse, transpiration ?) tels des microfilms, recouvrent par endroit, cette bite que jenfourne à fond dans ma bouche, cest divin
Je sens et japprécie ces témoignages dune rude journée de soldat
Je compatis aussi au dur régime quon lui impose et chercher à participer à son réconfort bien mérité
Je suce, je suce à fond en maintenant de toutes mes forces ce corps qui nen peut plus dêtre ainsi torturé et qui aspire au repos à la délivrance
Il me relève.
Ma bite est prise de convulsions. Il se relève et je sens quil fait rentrer son engin dans la fente de mon slip kangourou. Nos bites se rencontrent comme deux épées prêtes à croiser le fer. Je sens la sienne prise de secousse sans que nous ne fassions rien si ce nest de nous rouler des pelles bien viriles. Soudain, je sens une sensation chaude se repend dans mon kangourou
Il a juté tandis que je létreignais
Sous le plaisir, il séchappe de mon étreinte, râle convulsement
tandis que londée chaude emplit mon kangourou
Lanimal est un sacré gicleur, je ne sais pas de quelle quantité de foutre il minonde mais je nage dans le plaisir.
Je sors ma bite de son écrin blanc et chaud. Elle est humide recouverte dun liquide crémeux et translucide. Je men saisi de la main droite et commence le va et vient libérateur. Le liquide présent sur ma queue se transforme peu à peu en crème puis en mousse. Mon homme saccroupit devant moi bouche ouverte
et enfourne le tout sans que je my attende. Je nen peux plus, je me débats
A peine libéré de cette étreinte, je libère une jutée blanche et abondante qui se répand sur son visage. Je me penche sur lui et je lèche le fruit de mon plaisir répandu sur ce visage offert épanoui. Il se relève et membrasse, nous nous roulons alors des pelles bien juteuses
Nos jus passent dun palais à lautre à linfini
Toujours excitée, ma queue tremblante émet ses dernières giclées viennent tombées dun bruit sourd sur le carrelage.
Nous nous calmons tous les deux. Mon débardeur et mon slip sont inondés de sueur et de sperme, il se met à les lécher. Je pensais que cétait fini. Se faisant, il se déshabille, son treillis fait un délicieux bruit en tombant sur le sol accompagné du bruit de la boucle de son ceinturon. Je commence à vouloir enlever mon débardeur et mon slip kangourou
il me fait signe de les garder. Il me prend par la main droite. Il est en sueur corps et cheveux
Nous nous installons dans la baignoire
Je savais les asiatiques uro
vais-je en avoir confirmation ? Il me fait signe de massoir
Le suspens est intenable
Puis un flux jaune, chaud et parfumé se répand sur moi, comme les premières pluies dans le désert après des mois de sécheresse, je laccueille comme un don du ciel
Elle me pénètre partout. Mon débardeur et slip sont peu à peu trempés
Pour étancher ma soif, je rentre sa bite dans ma bouche et sa pisse se repend à lintérieur de moi
Il me relève et me signe de me répandre à mon tour sur lui
je me libère sur lui et dans sa bouche ouverte attendant dêtre satisfaite.
Inondés lun et lautre de la pisse de lautre nous nous étreignons, léchons et embrassons
Lheure de la fin de partie sonne. Jenlève débardeur et slip kangourou plus vraiment très blanc, remplis de pisse ils font un bruit sourd en tombant sur le carrelage. Mon animal sen saisi et se met à les téter dun air provocateur pendant que je prends ma douche
Mais quand en finira-t-il vraiment ?
Enfin, je lui laisse la place et je lui laisse prendre sa douche seul
Je lui apporte ses affaires pour quil puisse se rhabiller. Se faisant, je découvre que mon foutre sest répandu sur une des ses rangers, son lacet et sa chaussette. Je lui montre. Puis je quitte la salle de bain.
Il revient tout habillé et en me narguant, il me montre la tâche de sauce encore présente sur sa ranger et son lacet.
« Im leaving now ». Je le raccompagne jusquà la porte de la chambre avant douvrir nous nous baisons et embrassons sensuellement
Le bruit viril de son pas se répand dans le couloir de létage.
*******
Le lendemain, nous nous retrouvons à la salle dembarquement
Je lui fais un clin dil, il me répond...
Nous nous dirigeons vers deux avions différents, nos chemins divergent
Je jette un regard sur sa ranger, par endroit son lacet nest plus noir, mais comme recouvert dune fine pellicule translucide
Quant à moi, je continuerai à porter haut et longtemps, les couleurs, dAziz, le bangladeshi
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