Une Nuit De Tempête ...
Mon père divorcé depuis trois ans sest remit en ménage avec une femme à peine plus âgée que moi, tombée amoureuse de lui sans doute dût au prestige de la profession et de luniforme car il est lieutenant des pompiers, de plus il a fait sa connaissance en intervenant sur un accident de la route
ils ne se sont plus quittés !
Envers moi sans doute la gêne du peu de différence dâge elle est quasi indifférente, moi pareil ! Jusquau jour où mon père a été appelé alors quune tempête se prépare sur la côte
.
- Je ne serais pas là avant demain midi, si tout va bien
- Soit prudent chéri !
- Toi Élodie ne panique pas, je sais que tu as peur du vent et de lorage, reste à labri avec Quentin, tu veille sur elle mon garçon !
- Bien sûr papa ! soit rassuré
Plus le soir tombe plus le vent souffle
- Élodie, je vais dans ma chambre
- Tu me laisse seule Quentin? tu sais bien que depuis mon accident jai peur même du vent
- Nexagère pas, sil se passe quelque chose vient me chercher
- Daccord nous dinerons de bonne heure
- OK
Je me connecte avec des potes pour avoir des nouvelles, certains nont déjà plus de courant et déconnectés, elle a raison il vaudra mieux manger avant que lont soit dans le noir
Des craquements sinistres parviennent de la charpente, Élodie cogne à la porte
- Quentin ? Vient je ten prie jentends des bruits
- Bon, jarrive
Ouhh tu es prête à aller au lit ?
- Oui aussitôt diner jirais me coucher
- Si tu veux je peux coucher avec toi pour te protéger !
- Hahaha très drôle si ton père était là tu ne dirais pas ça !
- Quas-tu là dessous ?
- Cest une question déplacée, mais je te réponds : jai des sous- vêtements, ma nuisette et ma robe de chambre, satisfait ?
- Ta petite nuisette transparente ?
- Idiot ! arrête ou je le dirais à ton père
- Ont peux bien rigoler avant que la maison nous tombe sur la tête !
- Ne dit pas ça !!!
- On regarde la télé ?
- Si tu veux.
- Colle-toi à moi je suis ton sauveur
en labsence de papa !
Élodie sassoie tout contre moi en chien de fusil, je la sens tremblante elle magrippe le bras, son sein proéminent sécrase sur mon coude a chaque respiration, cest bizarre je nai pas limpression de sentir un soutien gorge mais une demie-sphère plutôt ferme
son genou sur ma cuisse, ce nest pas pour me déplaire, si elle prend peur elle ne peut que sauter sur mes genoux !
Je narrive pas à me concentrer sur lémission du petit écran, après tout cette fille pourrait être ma copine
elle doit être une bonne amante si jen crois les cris quils poussent certain soirs
.
Dehors la tempête redouble, le luminaire du plafond clignote Élodie se serre encore plus
- Ça va couper !
- Ya ses bougies au garage je vais aller les chercher
- Pas question ne me laisse pas toute seule !!
- ET VOILA !! plus de lumière
- Quentin ! jai peur !
- Je suis là, vient plus prés
..
Je lentoure de mon bras elle tremble de la tête aux pieds
- Calme toi je vais masser ta nuque et tes épaules, met toi a genoux sur le canapé, ne bouge pas je viens derrière toi
Elle ne répond pas, a genoux moi aussi jenserre son cou délicat mes pouces remontent derrière ses oreilles, un gémissement et le frémissement de son corps prouve quelle consent, je redescends sur ses épaules mes mains repoussent la robe de chambre, cest a mon tour de me coller a elle, mon ventre, donc mon sexe appuis sur ses reins quelle cambre
- Ça va Élodie ??
- Oui
- Je continue ?
- Oui
Imperceptiblement la robe de chambre tombe et ce nest pas de mon fait, je sens ses bras nus et les fines brettellent de la nuisette qui glissent aussi, plongés dans le noir je sens une audace incontrôlable monter en moi, cette fois mes mains dévient sur la poitrine elle minaude
- Quentin
il ne faut pas
- Cest pour exorciser ta peur, tu as lair daller un peu mieux depuis que je te masse
- Cest vrai
- Alors je continue
- Si tu veux
Jentraine avec moi la nuisette pour découvrir la poitrine assez imposante pour combler largement mes mains, sa tête sabandonne sur moi, mon érection na pas lair de la gêner car elle se roule don dos dessus, protégés par le noir absolus Élodie tout comme moi nentend plus la tempête !
Je laisse une main sur un sein, lautre dévale sur son ventre vers son entrecuisses quelle ouvre avant que jy parvienne, elle devient entreprenante ses bras partent aussi loin quelle le peut en arrière pour déboucler ma ceinture et baisser mon pantalon ceci fait elle plaque au maximum ma queue entre ses omoplates, cest fou ce que les caresses prodiguées dans le noir absolu provoquent une autre perception
Mes doigts pétrissent le tissu bien rempli par la vulve, petit à petit je la fait basculer entre mes jambes pour me retrouver en soixante neuf au dessus delle, ce nest pas difficile de trouver sa chatte je nai qua me fier au parfum suave qui émane du sexe en chaleur, mes oreilles effleurent ses cuisses qui souvrent comme deux pétales et se relèvent très haut
Mon nez hume le sillon du slip marqué par les lèvres, la mouille passe à travers les fibres, une main passée sous ses fesses je tire le bord de la culotte sur laine opposée, a ce moment ma queue caressée par sa main douce se retrouve au chaud dans sa gorge
Ce nest que soupirs, exclamations, bruits de succions et coups de reins incontrôlables, Élodie marrose de son jus quand au même instant je me lâche dans sa bouche, dernière succion et rire nerveux
- Quentin ??
- Oui Élodie ?
- Cest toujours la tempête !
- Écoute ? cest de pire en pire !
- Je ne te parle pas de celle-ci mais de celle qui ravage mon corps ! je te veux en moi
- Allons dans ma chambre
- Prend moi la main je ny vois rien
- Nous somment au pied du lit glisse toi entre les draps
Nous nous lovons lun contre lautre les mains se repaissent de caresses les langues se bousculent, puis je roule sur elle je me retrouve entre deux cuisses largement ouvertes membre contre vulve, je lime lentement cette fente détrempée entraimant le clitoris hors de son capuchon de chair lui arrachant des ondes électriques qui soulèvent involontairement ses fesses
Élodie se cambre pour essayer de semmancher elle même, je fais durer le plaisir mais pour elle cest un véritable supplice, elle geint me suppliant de la pénétrer, soudain elle me fait un ciseau de ses grandes jambes et de ses bras, ses reins basculent et le puits ouvert se trouve face a mon pieux trop tard pour reculer je me retrouve au fond de sa gaine vaginale qui épouse parfaitement mon cylindre, elle resserre sa chatte pour me retenir en elle, nos corps sépousent parfaitement mes testicules sécrasent sur sa moule, jai limpression quelles vont entrer aussi dans son vagin
- HAAAAAAA je suis biiiieeeeeeennnnnnnnnnnn ! Baise-moi chéri
- Ne mappelle pas chéri ce nest quune histoire de sexe entre nous
- Sauf que tu me fais envie
.
- Arrête ! tu me perturbe
Élodie se tait je donne des coups de reins nerveux jai envie de lui éclater sa chatte ! Elle maime
.. Jaime son cul
son vagin se contracte sur ma queue, je lui donne ce quelle attend, mon sperme, sans arrêter de limer dans un magma visqueux, nous sommes en sueur la tempête est loin, il ny a plus que deux amants qui séclatent, jai déchargé trois fois sans ressortir du trou devenu béant
Cest le téléphone qui nous a ramené à la réalité
- Allo ? Cest moi je vais rentrer plus tôt que prévus le temps se calme, ça a été pour vous deux ???
- Très bien papa
Un mois plus tard je quittais la maison
en compagnie dÉlodie
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!