Masturbation D'Huguette

Il est à peine 13 heures 30. Nous regardons la télé. Rien de bien transcendant. Huguette me dit à ce moment là qu’elle ne porte rien mis à part son peignoir, le noir, le plus moche. Elle le prouve en l’ouvrant. Son corps se montre avec ses seins toujours aussi bien qu’au début de notre liaison. Entre temps, il s’en ait passé de petites choses : un mariage, deux s de 14 et 9 ans. Une masturbation dans le bain, pour moi ce matin. Pour elle sans doute l’utilisation d’un de ses godes.
- Viens me branler.
C’est clair, direct sans possibilité de refus. Elle s’installe sur le divan qui en a vu d’autres. Je vais tout contre elle. J’ouvre complètement son vêtement : c’est vrai elle est nue. En guise d’appel, elle écarte ses cuisses, montrant ce qui pouvait rester caché. J’admire son pubis poilu, le début de ses lèvres un peu humide. Huguette se tourne complètement vers moi, je lui vois tout. Je commence à bander.
- Qu’est ce que tu attends. Branles moi. Sors ta pine que je la vois.
- Et moi ?
J’enlève mon froc, le slip. Je montre ma splendeur de service trois pièces. Elle voit tout mon sexe, je vois le sien presque entièrement.
- Tu veux que je te branle avec un gode ?
- Non avec tes doigts.
Je préfère ça ! Ce n’est pas que je n’aime pas ses plaisirs solitaires avec ses godes (au contraire ça m’excite bien), mais la branler directement m’enchante encore plus. Surtout au salon. Dans la chambre c’est différent, nous nous consacrons à des baises particulières. C’est là où j’aime quand elle se baise ou s’encule seule, c’est là où elle m’encule aussi (j’aime me faire mettre par ma femme qui suce la queue).
Elle s’installe confortablement, une cuisse sur la mienne, son con bien tourné. Je caresse le genou, monte sur l’intérieur de la cuisse ; J’arrive vers sa chatte ? Je sens sa chaleur : elle doit réellement en avoir envie.
- Oui, comme ça.
Si elle parle c’est qu’elle veut réellement jouir.

Ma paume arrive vers son aine. Elle y a la peau douce, comme celle d’un bébé. Je glisse un doigt sur sa chatte. Je l’envoie au paradis une fois. J’aller arrêter quand elle prend ma main fermement. Je n’ai qu’à obéir. Je crois savoir ce qu’elle désire : des doigts dans le vagin. J’aime y entrer en ce lieu secret. Je mets deux doigts en craignant toujours de l’abimer si j’en mets d’avantage. Et puis j’aime la sentir se crisper autour de mes doigts quand elle doit jouir : j’aime quand elle jouit pour tout dire, même si elle le fit seule. En plus c’est moi qui l’ai à le faire la première fois : elle refusait de se faire jouir, de se branler. Quand elle a découvert les plaisirs qu’elle pouvait se donner, elle n’a plus hésité. Combien de fois je l’ai vue, assise ou couchée se masturber.
Je la laisse toujours faire quand elle se donne du plaisir : je n’aimerais pas être dérangé pendant que je m’astique, même par elle. Je le lui demande des fois : elle sort ma queue, la caresse pour la faire bien bander. Elle a une façon bien à elle de commencer : elle baisse le prépuce doucement puis très vite. Elle arrête tout pour reprendre un bon moment après. Elle fait ça surtout en voiture quand elle conduit. J’aime me balader la queue dehors avec sa main dessus.
Souvent elle stoppe la voiture sur un terrain qui lui plait. Nous sortons : je commence à bander. Elle enlève son jean, les jambes nues, elle enlève le string. Je vois sa chatte. Même si je voulais me branler, je ne le pourrais pas : elle me veut dans son con ou son cul. Je préfère son cul dans ses cas là : elle est penchée en avant courbé sur le capot, elle écarte seule ses fesses. Je tartine un peu de salive sur l’anus. Ma bite se fraie le passage entre ses globes, jusqu’à sa petite entrée. Même si je voulais attendre, ce n’est pas possible : elle pousse ses fesses vers moi, ma queue entre facilement dans un cul plus qu’accueillant. Nos va-et-vient sont synchrones. La plus part du temps c’est elle qui jouit la première.
Je remplis ses intestins quelques secondes plus tard.
Donc je la branle selon ses gouts. Elle accompagne mes mouvements, elle gémit de plus en plus fort jusqu'au final. Je ne lui suffis plus, elle doit aller plus loin en passant une main sous ses fesses. Elle cherche simplement son cul. Je sais, car je ne vois pas les détails qu’elle se touche le cul, qu’elle y entre un ou deux doigts. Pour compléter son contentement, elle prend ma queue dans sa main. Elle me branle savamment. Quand nous sommes ainsi assis, elle prend garde à mon jet : elle me fait jouir dans sa main : ma semence à la place et elle peut tout lécher ensuite. J’adore la voir manger son sperme.
Au final, deux doigts suffisent pour son bonheur, autour du clitoris. On pourrait dire que nos doigts sont ligués contre son propre corps, pour la forcer à jouir. Que de plaisir pour moi de la sentir partir dans un bel orgasme, sans parler du sien plus réel.
Je rêve de la voir dans les bras d’un autre, ses cuisses offertes à une queue monumentale, avec pour finir un autre bite dans le cul, dans son cul : je me branlerais ferme devant elle.

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