Moi Et Mon Nounours : Chapitre 2
Moi et mon nounours : Chapitre 2
Avant-propos : Chaque chapitre sera précédé d'un petit avant-propos, similaire à celui-ci. Y seront présents mes petites impressions sur vos commentaires, ou de plates excuses sur le retard d'un chapitre, par exemple ! *rires* Mais venons-en aux faits. Vos commentaires m'ont fait chaud au cur, et c'est pour ça que je continue d'écrire mes "mémoires" (bien que modifiées pour être politiquement correctes...), de mes bons et de mes mauvais moments avec mon amour, petit nounours à moi...Bon chapitre !
Il bouge de sa position allongée sur le flanc, pour se mettre à quatre pattes au dessus de moi. Il glisse une jambe entre les miennes, et la frotte doucement contre mon paquet...L'enfoiré, il me fait tant de bien...Je gémis de plus belle, et soupire, encore. Il me regarde, amusé, avant de recoller ses lèvres aux miennes...
J'ondule maintenant imperceptiblement du bassin, contre sa jambe, juste assez pour qu'il le sente. Je n'ai pas vraiment décidé de le faire, c'est plus un jeu inconscient qui s'établit entre nous. Je suppose que ça lui plaît car j'ai senti un petit souffle dans son baiser, tel un rire étouffé. De mon côté, je suffoque, je n'en peux plus, je ne sais plus où me mettre. Je suis incroyablement gêné, mais teeellement excité ! Par cet homme, sa façon de m'embrasser, de m'ébouriffer les cheveux, de me regarder, de soupirer...Et son odeur...
J'aimerais être six pieds sous terre et m'enfuir, de honte, car j'ai peur. Peur de ce qui va se passer (eh oui, j'étais puceau !), peur de notre relation, peur des qu'en dira-t'on...Tout ça me terrorise, et je ne peux m'empêcher d'y penser. Mais l'excitation et le désir, le désir charnel pour cet être, prend le dessus, et je ne fuis pas. Sa main droite et sur mon cou, et me le caresse tendrement, tandis que sa main gauche palpe ma verge tendue à bloc sous l'étoffe de mon pantalon. Il me regarde en souriant, tendrement, un peu comme à un qui fait une petite bêtise mais qu'on n'ose gronder, plus amusé qu'autre chose.
Ce sourire, un peu en biais, me fait rougir, de honte, de plaisir, de désir, je ne sais pas. Je ne sais plus. Je le veux. C'est tout. Toute autre notion devient assez abstraite. Il doit le ressentir, car il se relève, doucement, tout en me caressant le visage, toujours de sa main droite, puis le devant du cou, mon torse...Il est maintenant à genoux et j'ai les jambes de part et d'autre de ses cuisses. Il attaque la forteresse que constitue ma braguette avec une lenteur calculée, langoureuse. Je n'en peux plus, et gémi, doucement...
Ce signal l'interpelle un peu, et je crois qu'il se presse un peu plus...Un peu...Ca y est, mes boutons ont cédés. La bosse formée par mon membre, bandé à max, sur mon boxer, le fait à nouveau sourire. Et qu'entend-je ? Non, je ne rêve pas, il a pouffé, discrètement, mais je l'ai entendu. Eh oui, j'ai l'ouïe fine. Je dois prendre une mine de gamin boudeur, mi-énervé, mi-amusé, car son sourire se fend jusqu'à ses oreilles, et son buste redescend vers moi, jusqu'à ce qu'ils se touchent, et que ses lèvres se rescellent aux miennes. Sa main, toujours occupée à tripoter mon paquet (le vicieux) continue sa douce , et je gémi pendant notre danse fièvreuse, baveuse. Il se redresse, un peu emmeché, rouge. Il me regarde dans les yeux. Chacun soutient le regard de l'autre. Un accord tacite doit se passer. J'hauche la tête. Je ne sais pas exactement quelle autorisation je lui donne, il n'y pas eu de mots, nos corps se sont compris.
Il recule un peu, se baisse, mais cette fois si pas vers ma bouche, mais vers ma queue, qu'il embrasse doucement à travers le tissu. Puis, dans une infinie lenteur, asse frustrante je dois l'avouer, il abaisse le dernier rempart vers son dû. Je ne sais pas si je suis bien membré, mais sur le moment, la question ne m'effleure qu'à moitié, il regarde ma verge avec convoitise et ça me suffit.
S'étant redressé, il s'abaisse à nouveau, et embrasse délicatement le bout de mon gland. Le contact, à la fois chaud et humide, me fait frissonner de la tête aux pieds.
Je ferme les yeux pour savourer ce moment magique. Romain couvre dorénavant ma hampe de tendres baisers, de haut en bas, en large, en travers, en diagonale...Chaque millimètre carré de ma peau va y passer, je crois. N'y pouvant plus, je pousse un nouveau gémissement, plus fort que les précédents, me semble-t'il. Mon amant, ou meilleur ami, frère, je ne sais plus, prend ça pour le signal, et mon gland passe enfin ses lèvres. Ces lèvres, si douces, si charnues, si belles...A l'extérieur elles paraissent inoffensives, mais quand il s'en sert comme ça, je me rend compte que ce sont des armes de destruction massive...Mais sa bouche aussi, si pure de l'extérieur, mais maintenant si indécente de l'intérieur, me fait à nouveau frissonner. Sa langue, qui jouait avec la mienne un balet pas plus tard qu'il y a cinq minute, voltige maintenant sur, sous, sur les côtés de mon gland, et titille mon frein.
Je n'en peux plus, je me crispe, je me retiens, et réussis à articuler, entre deux gémissements :
"Ro...main...J'en peux...plus...Je vais...jouir..."
Mon ami entendant ça, ressert encore plus sa douce étreinte, et je devine qu'il veut que je jouisse en lui, dans bouche. J'accepte son assentiment avec bonheur, et me lâche enfin. Un jet, deux jets, trois jets...Et je perd le compte. C'est la première fois que je jouis aussi fortement, aussi abondamment. Je le sens avaler, car sa bouche se vide au fur et à mesure. Ma jouissance, forte, me laisse pantelant, essoufflé, emmeché, tout ce que vous voudrez, mais aussi heureux. Je suis envahi d'une sorte de douce béatitude envers cet être, capable de tant de caresses, mais aussi de tant d'indécence...
Il remonte cette fois-ci vers ma bouche, où nos langues se mélangent, et je sens qu'il a gardé un peu de ma semence.
Mais je souhaite rendre la pareille à cet homme, qui a été si doux avec moi, je veux à mon tour lui prodiguer une fellation, la première de ma vie, qui sera certes sûrement maladroite, mais prodiguée avec amour.
Pour se faire, je le repousse donc délicatement, les paumes contre son torse, et il se laisse faire. Je le devine un peu étonné par mon comportement, surtout quand je le pousse délicatement en arrière. Il déplit ses jambes de chaque côtés des miennes, et m'interroge du regard. D'un regard qui veut dire "Tu es sûr de ce que tu veux faire ?", et j'hoche la tête, un regard sûrement déterminé, mais un peu apeuré, de peur de mal le faire, ou de le décevoir. Car mes peurs ont changées, je me contrefous de l'avis des autres, de tout. Là, tout de suite, seul son bonheur m'importe.
Mes mains descendent, lentement, vers son jean, et mes mains s'attaquent à leur tour à cette foutue fermeture-éclair. Quelle idée a-t'il eu, cet inventeur ! Franchement, ne pouvait-on pas faire plus simple ?! En pestant intérieurement contre l'incapacité de ce monsieur et de mes mains tremblantes, j'arrive tant bien que mal à faire céder le morceau de métal. Et je vois enfin cette bosse, magnifique, provoquée par l'objet de ma dévotion. Je vois une tâche, d'excitation, au bout de cette bosse, et je sens mon sexe reprendre de la vigueur à cette simple vue. Je caresse la verge de Romain à travers le tissu, avant d'abaisser à mon tour ma tête mon embrasser tendrement, devrais-je même dire amoureusement, cette bosse, noir de jais, cette couleur due à la coloration de ce morceau de tissu. N'y tenant plus, et sentant aussi une impatience grandissante de son côté, chose bien naturelle et je me demande même comment a-t'il pu résister à éjaculer quand je vois ma propre excitation...Mais qu'importe. Je prend l'élastique de son shorty, et l'abaisse, d'un geste vif.
Je ressors son gland de ma bouche, et couvre, cette fois-ci, l'intégralité de son appareil génital, m'attardant sur ses testicules, épilées, si douces. Je prend d'ailleurs instantanément d'épiler les miennes. Instinctivement je crois, ma bouche s'ouvre et aspire une de ses merveilleuses boules. Il hoquette de surprise, et gémit de plus belle, quand je la fait rouler contre ma langue et mon palais. Le goût de sa queue, de ses couilles, ne me déplait pas le moins du monde, et je pense même que j'aime plutôt ça. Je remonte donc vers son membre fièrement érigé, le léchant sur tout sa longueur, avant de reprendre son gland en bouche. Cette fois, ses mains me caressent les cheveux, et incitent un peu ma tête à descendre, pour que je le prenne plus en bouche. Me laissant faire, doucement, centimètres par centimètres, son pénis rentre dans ma bouche. Mais il a la bonne idée, pour une première fois, de ne pas me faire faire de gorge, je suppose, car il s'arrête une fois que la moitié environ, je crois, de son sexe est dans ma bouche. Je commence un mouvement sur cette colonne de chair, et je le sens bien vite se raidir. Il m'interroge du regard, et je le sens se retenir de jouir. Je devine sa question et le regarde dans les yeux, d'un regard qui veut dire oui. Il ouvre quand même la bouche, et dans un soupir, murmure :
"Tu es sûr Lio ?"
J'hoche la tête, et à son tour, il se délivre, dans ma bouche. Et à mon tour, j'avale, jet par jet, sa semence. Le goût me plait, par ailleurs, et avaler ne me répugne absolument pas. Ma queue ayant repris de la vigueur, j'entame pendant sa jouissance un rapide mouvement d'aller-retour, et dès ses jets taris, j'entame une autre série de feux d'artifices, se répandant par contre, eux, sur le canapé, mais qu'importe.
Nous nous allongeons, l'un contre l'autre, haletants, rouges comme des pivoines, fatigués, mais heureux. Heureux, car j'étais sûr que quelque chose de très particulier était né entre nous...
Fin du deuxième chapitre, comme je vous l'avais promis, il est plus chaud ! J'attend avec avidité vos commentaires, et n'hésitez pas à m'envoyer des mails pour me raconter n'importe quoi : votre avis, ou juste pour discuter, de choses ou d'autres. Votre écrivain amoureux,
Lio
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