Comment Je Me Suis Fait Percer Le Gland.
Comme je vous lai dit, mon cousin est venu passer quelques jours à la maison cet été. Mon frère et mon père, étant partis en vacances on sest retrouvé tout seuls notre grand père, que nous appelons par son prénom (Michel), est alors venu nous tenir compagnie.
On a passé la semaine a samuser, lézardant au bord de la piscine la journée et buvant des coups dans les bars le soir. Cétait très fun.
Nous essayions de tester un nouveau bar à chaque fois afin de ne pas tomber dans la monotonie. Celui dans lequel nous sommes allés boire des bières le troisième jour était particulièrement bondé. Les pintes pesant vite sur ma vessie je me suis dirigé vers les toilettes qui étaient elles aussi bondées. Jai fait la queue pendant un bon quart dheure jusquà ce que je puisse enfin prendre place dans une cabine dont la porte avait été arrachée (on pouvait donc voir mon dos et possiblement ma bite pendant entre mes cuisses pendant que je me soulageais). Alors que je commençais à peine à ouvrir ma braguette pour sortir mon engin, mon grand père et mon cousin, saisissant lopportunité de court-circuiter la file, son venus sincruster de part et dautre de la cuvette dans laquelle je pissais. comme vous le savez mon grand père a le gland percé dun assez gros anneaux en argent qui pendouille quand il est au repos mais est complètement calé quand il est en érection. Javais déjà eu loccasion de le voir quelques années auparavant quand nous allions en vacances ensemble en camp nudiste mais je ny avais pas spécialement fait attention.
Faisant sortir sa queue, largement plus longue et plus grosse que la mienne et que celle de mon cousin, il fit teinter ce gros anneaux contre sa tirette ce qui attira notre attention vers ce qui se passait là en bas alors que nous regardions le mur devant nous en écoutant pendant cousin parler dun examen quil avait passé le semestre précédent.
Notre attention était maintenant focalisée sur le piercing qui flottait au bout de cette longue et épaisse bite quil tenait de deux doigts placés au milieu de la hampe et pendait à la verticale sur la seconde moitié.
Notre grand père voyant nos regards fixes, entama la discussion:
-Et vous, quand es ce que vous faites percer ça?
- Pourquoi es ce quon se ferait percer? - Lui ai-je rétorqué.
- Parce que cest plus joli et que votre queue aurait moins lair dun zizi de gamin !
- Ten connais beaucoup des gamins qui on 16 et 20 cm qui balotent entre leurs cuisses? -lui a immédiatement répondu mon cousin?
- Vous êtes loin d'être des cas rares dans la famille ! Mais vous verrez, quand vous aurez mon âge !
Mettant ça sur le compte de l'alcool, nous ne sommes pas allés chercher plus loin.
Nous sommes resté dans ce bar pendant encore une heure, puis, toujours frais malgré l'heure tardive, nous avons décidé d'aller dans un club échangiste où nous avons nos habitudes. Le patron se rend dans le même camp nudiste que nous et, de fil en aiguille, nous étions devenu des habitués de son établissement.
L'endroit était plein à craquer. Il y avait de tout: des hommes, des femmes, des jeunes, des vieux, des hétéros, des gays, des lesbiennes. Complètement à poil, nous circulions dans les diverses salles, un verre de scotch à la main.
On s'est d'abord arrêté quelques minutes dans une salle où plusieurs nanas se donnaient en spectacle telle des strip teaseuses. Elles glissaient le long de barres de pole dance et s'offraient au regard des passant(e)s. L'une d'entre elles, une femme d'une trentaine d'année, nous tapait particulièrement dans l'oeil. On la matait en se branlant et en sirotant notre boisson puis j'ai lancé :
- J'aimerais tellement me la faire !
- J'avoue, elle est grave bandante, à renchérit Luc.
- Allez y les garçons faites vous plaisir, elle est là pour ça ! A rajouté Michel.
Un homme assis à côté de nous (et qui avait manifestement entendu nos commentaires) se retourna et lança à Michel.
Mon grand père répondit dans un sourire : "Ils sont DE moi, tu veux dire!"
"Oui, et bien celle-là c'est ma femme, alors c'est à moi qu'il faut parler avant de lancer vos chiens en chaleur sur elle !" A immédiatement répondu l'homme.
"Mais ce sont des gamins, ils veulent juste s'amuser ! Votre femme n'a pas l'air insensible à leurs atouts !" A alors lancé Michel pour détendre l'atmosphère.
" C'est vrai qu'il y a de quoi
" a dit l'homme avec un regard gourmand. "Vous les aimez vos gamins ! Vous ne pouvez rien leur refuser apparemment
C'est pas tous les parents
"
" Grands parents !" dit Michel en le coupant.
"En plus ! Ce ne sont pas tous les grands pères qui ramènent leurs petits fils se vider les couilles ici !"
Michel a alors rajouté : "Mais vous avez vu les couilles qu'ils ont ? Si je ne les emmenais pas ici elles exploseraient, il y aurait du foutre partout dans la maison et j'en aurait pour des centaines d'euros de frais de nettoyage !" il ricana
"Et puis, eux même, ils en sortent de mes couilles, d'une certaine façon, alors ils sont ce que j'ai de plus précieux !". Il marqua un temps d'arrêt. "Vous êtes sur qu'il n'y a pas un moyen pour qu'on s'arrange? Les petits ont envie de s'amuser !" A-t-il ajouté en caressant sa grosse queue dressée au garde-à-vous sur laquelle le piercing ne pouvait plus bouger d'un centimètre.
" Tu t'occupes de mon cul et elle s'occupent de tes chérubins, d'accord?" A t'il répondu du tac au tac.
"Allé les s, allez vous amuser !" nous a alors répondu l'ancien en déballant une capote.
Nous sommes allés de l'autre côté de la salle, près d'une barre sur laquelle elle dansait. Elle était totalement nue mis à part un soutif et une paire de talons aiguilles très hauts. On était comme deux chiens fous, totalement en chaleur. Je lui ai dit bonjour, lui ai caressé le cul. Elle n'a pas bronché. Luc, plus timide, restait en retrait, la queue dans les mains.
Elle s'est redressée, je lui titillait le clito puis l'ait attirée entre Luc et moi. Elle nous a enfilé à chacun une capote qu'elle avait gardé dans son soutient gorge. De la mouille ruisselait entre ses jambes, elle n'en était pas à sa première baise. Je l'ai d'abord prise de face, debout, en faisant simplement rentrer ma queue dans sa chatte ruisselante. C'était comme un missionnaire debout, une première pour moi. Adossé à la barre, je l'ai alors portée en nouant ses cuisses autour de ma taille. Luc est venu se rajouter, faisant coulisser sa queue dans le cul de la malheureuse qui ne s'y attendait pas. Ses trous étaient encore bien serrés, je sentais le manche de Luc contre le mien. On l'a faite sautiller comme ça. Elle prenait son pied et nous trempait de son liquide.
Elle poussait de petis cris, rythmés par des "Oh oui, oh oui". Puis nous a dit, dans un gémissement "Vous savez que par derrière normalement c'est le trou de mon mari
s'il vous voit faire ça il va se mettre en colère !"
"T'inquiète pas, il nous a donné tous les droits" Lui répondit Luc dans un souffle.
"On a trouvé quelqu'un pour s'occuper de son cul à lui !" ai-je alors rajouté.
"Vraiment ? Ca m'exciterait tellement de voir ça ! J'ai envie qu'il te voit dans mon cul aussi !".
Se désengageant de ses orifices, nous l'avons emmené sur le canapé sur lequel son mari se faisait besogner, de l'autre côté de la salle. Elle se touchait le clito en regardant la scène puis on l'a remise au travail. Face contre le canapé, elle a écarté les fesses avec ses deux mains pour que son homme puisse voir son trou béant. Des gens s'étaient attroupés pour nous regarder niker.
Luc et moi étions l'un en face de l'autre, assis sur le canapé.
Elle tapait violemment son clitoris en effectuant des vas et viens saccadés. Elle regardait son mari droit dans les yeux alors qu'il se faisait enculer comme un malpropre. Elle était excitée de le voir soumis et surtout que d'autres que lui aient accès à ce qui était "son" trou. Allant de plus en plus vite, elle criait de plus en plus fort "Han han han hannnn" tout le club l'entendait. J'ai senti son cul se resserrer contre nos deux bites puis elle lâché plusieurs jets de mouillures contre mon torse, détrempant mon pubis. J'étais au comble de l'excitation.
Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprit, nous l'avons fait mettre à quatre pattes, la bite de Luc décapotée et calée dans sa bouche. Je lui besognait la chatte. Les coudes sur le canapé, les genoux sur la table basse, elle pompait le dard de Luc avec avidité puis se mis à contracter frénétiquement sa chatte sur ma queue, gémissant encore plus fort, la bouche pleine. Ses giclures de mouille manquèrent de la faire glisser sur cette table pendant qu'elle extrayait le sperme de la queue de Luc qui poussait des cris rauques en lui appuyant la tête.
Son mari était maintenant assis sur Michel, sautant sur sa queue. Tout le club pouvait voir la queue entrer et sortir de son cul et notre partenaire, trop excitée de voir son mari prendre son pied comme ça, se mit à lécher les boules de Michel pendant que je continuais à la besogner. Je n'en pouvais plus, le sperme me remplissait les boules, il fallait que je gicle. Je me suis retiré, me suis décapoté pour gicler sur son dos. Agitant rapidement mon gros gland au dessus de ses reins, je me massais les boules frénétiquement. La tension était à son comble dans la salle, le mari gémissait de plus en plus fort, Michel commençait à émettre des son rauques en lui claquant les fesses et le sperme me montait au gland.
C'est alors que le mari s'est mis à lâcher des litres de sperme sur la chevelure de sa femme, toujours postée entre les cuisses de Michel pour lui lécher les boules. Dans un soupir j'ai lâché toute ma semence dans la raie des fesses de cette inconnue en y frottant mon gland exactement au moment où Michel arrivait à la satisfaction dans le cul de ce mec.
Ca a été une baise mémorable. J'ai essuyé ma queue avec un mouchoir, il y avait de la mouille et du foutre partout : sur la table, sur le canapé, sur le dos de cette femme. Je lui ai asséné une petite tape de remerciement sur les fesses pendant que son mari retirait lentement la grosse bite encore raide et veinée de Michel de son trou du cul. Celui-ci retira sa capote qui était remplie d'une énorme quantité de foutre et essuya son piercing. On a dû cherché Luc, qui en voulait encore et était déjà en train de faire un cuni à une meuf qui passait par là et on est rentré à la maison.
Le lendemain, autour du petit déjeuné, Michel reparla de notre petit gang bang improvisé:
- Elle ne vous a pas plu ?
-Si, si, pourquoi? - Avons nous demandé.
- Le but cétait quand même de remplir la capote, pas de vous branler sur sa face, sinon je vous aurais loué un film de cul !
- Ouais mais avec une capote on sent rien !
- Déjà à votre âge ? Ca fait combien de temps que t'as le gland à l'air?
- Depuis l'âge de 17 ans lui ai-je répondu.
- 19 pour moi, lui a dit Luc.
- Il est normal que la peau du gland devienne dure avec les années, mais bon
je me souviens que j'avais encore pas mal de sensations, même après l'âge de 30 ans. Vous avez toujours le gland rouge où il est devenu rose ou rose pâle ?
- Ben je sais pas moi
il a l'air normal ! Regarde ! - A répondu Luc.
Comme c'était le matin, nous ne portions tous qu'un marcel mais, comme c'est une chose naturelle chez nous, on oublie parfois qu'on est à poil. Michel s'est donc rendu compte qu'il suffisait de jeter un oeil au lieu de poser la question et s'est aperçu que nous avions tous les deux le glands assez kératinisé.
- C'est certainement à cause du fortement avec vos sous vêtements moulants. Moi je n'ai jamais porté ça. - A-t-il observé.
- Et toi comment ça se fait que t'as rempli la capote alors que ça fait presque 50 ans que tas le gland découvert?
- Le piercing je vous dis ! Je me le suis fait faire par mon père avant daller à larmée. Lui même se l'était fait faire lors d'un voyage qu'il a fait en Polynésie ou je ne sais où pendant sa jeunesse. Là bas c'est une sorte de rite de passage et comme il était à fond dans ces choses là, il me l'a fait avant que j'aille en Algérie. A l'époque il n'y avait pas d'anesthésie, je peux vous dire que j'ai douillé ! J'ai d'ailleurs gardé le même anneau depuis, c'est lui même qui l'avait ramené de là bas et l'avait gardé pour l'occasion. Mon frère aussi en avait un.
- Il te l'a fait comme ça? Lui même ?
- Oui, lui même, sur la table de la cuisine, exactement comme il l'avait vu faire sur lui pendant son voyage dans les colonies. Tous mes fils aussi en ont ou en ont eu un. Après, certains l'ont enlevé, surtout le tien -il s'adressait à moi- parce que ta mère ne supportait pas cette quincaillerie comme elle disait.
- Le mien l'a encore, rajouta Luc.
- Si vous voulez on peut passer chez moi et je vous donnerait un des anneaux que mon père à ramené. J'en ai encore plein, il avait prévu le coup ! Après sa mort, maman lui a fait enlevé sans que je ne le sache et je l'ai retrouvé dans sa boite à bijoux en faisant du rangement quand elle nous a quitté quelques années après.
Nous sommes allé voir de quoi il s'agissait. C'était un anneau argenté décoré de sorte de stries qui formaient peut être une phrase dans un alphabet que nous ne connaissions pas. L'anneau était assez gros mais pas plus que celui que portait déjà Michel et ne devait pas beaucoup bouger pendant l'action. La partie fine comme une aiguille était sensée passer dans la chaire et ressortir par l'urètre tout en s'élargissant donnant ainsi l'impression que tout l'anneau était aussi large que sa partie visible. L'anneau n'était pas refermé mais ouvert avec une boule métallique au bout de chaque branches ce qui alourdissait un peu le bijou. Mon choix était fait, Luc m'a suivit.
Nous avons pris un rendez vous chez le perceur la semaine suivante et, mis à part la privation se sexe pendant trois semaines, ça n'a pas fait trop mal. Le trou qu'il nous a fait est vraiment minuscule, ça a fait un peu bizarre d'avoir la partie épaisse de l'anneau dans l'urètre au début mais on s'y fait et contrairement à ce qu'on pense, je pisse tout à fait normalement car seuls ceux dont le trou a été "stretché" (écarté) connaissent des "fuites". La rentrée est arrivé, on a été occupé tous les deux donc le temps a vite passé mais on s'est promis d'aller le tester pour la première fois ensemble.
Comme nous avions tous les deux notre propre appartement, personne, à part Michel n'était au courant de cette transformation ni mon père, ni son père (mon oncle Christophe) n'avait prévu quoi que ce soit de spécial pour le weekend. Après le dîner nous leur avons proposé d'aller boire un verre mais très vite, dans la voiture, ils se sont aperçu de l'endroit où nous les emmenions.
J'étais en chien et ne pensait qu'à la satisfaction que j'allais me procurer mais j'appréhendais quand même un peu ce moment. J'ai gardé mon boxer dans le club et personne, à part Luc, n'a remarqué la bosse que formait l'anneau. On s'est sourit mutuellement, gênés de ce que les gens autour de nous pourraient penser mais très excités à la fois.
Arrivés sur les canapés, ce fut le moment fatidique du défrocage. De toutes façons ma bite ne tenait plus dans ce morceau de tissus, j'avais une gaule monstre. Tous assis sur une banquette, on s'est branlés mais personne ne faisait attention à nos bites, le spectacles devant nous était plus intéressant. Une fille suçait un mec d'environ 25 ans en lui doigtant gentiment l'anus. Il me regardait dans les yeux alors qu'il appuyait la tête de la malheureuse sur son gros manche.
Mécaniquement, tous les autres se sont retournés vers moi et les deux plus anciens ouvrirent de grands yeux en voyant l'anneau qui pointait droit vers le ciel, comme emprisonné dans mon gland gonflé par l'excitation. Christophe, assis à ma droite, fit une pichenette sur l'une des deux grosses boules métalliques et papa, qui l'avait bien reconnue me lança : "T'as intérêt à lui faire honneur à celui là !" en ricanant.
Je me suis levé et me suis dirigé vers le couple en pleine action. La femme releva la tête et l'homme lui demanda d'aller s'occuper d'un de mes comparses assis sur le canapé. Il empota ma bite et goba mon gland, faisant rouler l'anneau sur sa langue tout en me branlant la hampe fermement. J'ai cru que j'allais jouir sur place mais j'en voulais plus. Enveloppant mon dard dans une capote copieusement arrosée de lubrifiant, j'ai pressé mon gland contre sa rondelle et ait tout rentré doucement alors qu'il mordait son avant bras pour ne pas crier trop fort.
J'ai pilonné son cul avec la rage de celui qui ne s'est pas vidé les couilles depuis plusieurs semaines. La sensation était divine, comme si le plaisir entrait à l'intérieur même de mon gland à chaque fois que l'anneau, bien calé dans mon érection et dans la capote, bougeait tout de même d'un ou deux millimètres. Mes grosses couilles pesantes claquaient contre les siennes puis se sont rétractées, remontant le long de ma queue qui se tendait et durcissait tellement que j'en avait presque mal. Dans un cri d'homme des cavernes j'ai éjecté tout mon foutre au fond de la capote.
Ca m'a pris quelques secondes pour reprendre mes esprits. Je me suis retiré lentement, ai enlevé le caoutchouc qui était plein comme une outre, l'ai noué et l'ai jeté fièrement sur la table basse. Luc, qui venait de se vider dans la chatte de la femme en fit de même et m'a fait un clin d'oeil. Le temps d'essuyer notre anneau avec un mouchoir et nous étions repartis en quête de nouvelles proies.
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