La Collègue De Ma Copine

Cela fait déjà quelques années que nous vivons ensemble ma copine et moi. Elle a changé de boulot il y a quelques mois et toutes les semaines elle me raconte une histoire sur une de ses collègues. La fameuse Aurélie ! Ma copine adore son nouveau boulot mais le courant ne passe pas du tout avec cette Aurélie. Elle n’assume pas les conneries qu’elle fait, elle se prend la tête avec quelqu’un tous les jours, elle fait la gueule, elle a une humeur de chien, personne ne fait aussi bien le travail qu’elle…. Bref, selon les dires de ma copine c’est une emmerdeuse. A la pause café tout le monde ajoute sa petite anecdote pour tailler une sacrée réputation à Aurélie.
Un soir où ma copine me raconte encore les changements d’humeurs de sa collègue je lui réponds en rigolant qu’elle aurait bien besoin de se faire sauter.
« C’est exactement ce qu’on se dit au boulot. Il y a même un mec qui a dit qu’il faudrait se cotiser pour lui payer un homme car personne ne voudrait d’elle. »
« Ah bon ? Elle est moche à ce point ? »
« Oui, elle à la tête à l’envers tous les jours, elle râle sans arrêt et elle ne sourit jamais. »
« Ah effectivement ça promet. Il faudra que tu me la montres un de ces jours. »
Et ce jour arrive bientôt car l’entreprise de ma copine organise un grand repas où les conjoints sont invités. Je ne vais pas dire non pour aller manger gratuitement et en plus ça me donnera l’occasion de mettre un visage sur ses collègues dont j’ai entendu parler. La soirée commence tranquillement, ma copine me présente à tout le monde et les conversations vont bon train. Je me montre poli et agréable pour ne pas faire de tort à ma copine. Ouch un coup de coude dans les côtes et ma copine me désigne discrètement la fameuse Aurélie. Aïe, elle vient vers nous. J’affiche un beau sourire de façade et je la détaille de la tête aux pieds. C’est vrai qu’elle n’est pas très belle mais ce n’est pas un laideron non plus. Elle fait un peu moins d’1m60, les cheveux coupés au carré, un ventre bien visible et une paire de seins énorme.

Tellement gros que je n’arrive pas à évaluer leur taille. Par contre, c’est sûr qu’elle a une tête pas très attirante. Elle s’approche de nous et j’entends sa voix. Elle n’a pas une belle voix non plus et c’est vrai que l’entendre parler 10 minutes ça me saoule déjà alors ça doit être dur de travailler avec elle toute la journée.
La soirée continue mais les conversations tournent souvent autour du boulot ou font référence à des choses qui me sont inconnues. Ce n’est pas palpitant alors je préviens ma copine que je m’éclipse fumer une cigarette. « Pas de souci, vas-y. De toute façon on ne part pas tout de suite, on se retrouve tout à l’heure. »
Je sors donc pour prendre un peu d’air frais et me dégourdir les jambes qui piétinent depuis 2 bonnes heures. Je fais le tour du bâtiment et chemin faisant je m’allume une clope.
« T’en aurais une pour moi ? » C’est Aurélie qui m’accoste alors que je révâssais. Je lui tends une cigarette et nous discutons un peu. Elle est peut-être casse-pied mais sortie du contexte boulot elle n’est pas si bête que ça. Nous avons quelques opinions semblables sur des sujets de la vie (animaux, politique, sport…) et je me surprends à lorgner sur ses seins d’une taille gigantesque. L’alcool aidant sans doute un peu elle se met à me faire des confidences sur sa solitude et sa sensation d’être rejetée par les autres. Elle m’apprend qu’elle vit seule et que ça fait un moment qu’elle n’a pas vécu avec un homme et que ça lui pèse sur le moral.
« Tu sais, ça me manque une présence masculine. Pour partager les tâches du quotidien mais aussi pour avoir quelqu’un à qui parler »
« … et pour faire des cochonneries aussi ! »
« Oui aussi. Mais là rien que de me trouver avec toi ça me fait du bien. » et elle rigole. C’est la première fois que je la vois rire.
On s’assoit sur un banc et on allume une autre cigarette. Je tente de la rassurer.
« Tu n’es pas vieille, tu vas bien finir par rencontrer un homme. »
« Un prince charmant ? »
« Ah non, ça c’est des conneries. Le prince charmant n’existe pas. »
Elle rigole à nouveau. « Tu crois vraiment qu’un mec voudra de moi ? »
« Bien sûr. Pourquoi cette question ? »
« Toi, tu voudrais de moi ? »
« Euh… je ne te connais pas assez. Et puis j’ai déjà une copine. »
« Voilà, tu fuis. A chaque fois c’est la même chose, les mecs esquivent. Ca confirme que quelquechose ne va pas chez moi. »
« Ne dis pas ça. Tu as des atouts, il faut juste les mettre en avant. »
« Tu parles de mes seins ? Je vois bien les mecs lorgner dessus mais dans la majorité des cas ça ne va pas plus loin. »
« Bah oui, ça attire l’œil. Tu pourrais en jouer un peu sans faire la chaudasse en manque. Je suis sûr que des tas d’hommes seraient attirés. »
« Comme ça ? » dit-elle en relevant ses vêtements dévoilant sa poitrine couverte d’un soutien-gorge blanc tout simple.
« Eh ! Tu fais quoi ? Non, je pensais que tu pourrais mettre des décolletés… et aussi laisser entrevoir un peu de dentelle. »
« Ils ne te plaisent pas ? C’est ça ? » Elle se rassoit avec un air boudeur.
« Mais non, ne te fâche pas. Ils sont très bien tes seins. Enfin, je veux dire que le peu que j’en ai vu me paraît très bien. »
« Et bien regarde mieux alors. » et elle vient s’assoir sur mes genoux. Elle soulève à nouveau ses vêtements et elle se penche vers moi pour enfouir mon visage contre cette chair opulente.
Je passe mes mains dans son dos et je détache le soutien-gorge, libérant ainsi l’importante masse de la poitrine d’Aurélie. J’y plonge la tête et je cherche les tétons avec ma langue. Je pétris ses seins à pleines mains ce qui fait gonfler mon sexe. Aurélie ne perd pas de temps, elle déboutonne ma braguette et sort ma bite bien droite. Là. Sur le banc. Dans une petite allée un peu obscure, elle se met à genoux devant moi et engouffre mon sexe dans sa bouche. Elle y va comme une affamée faisant une gorge profonde. Elle aspire et lèche ma bite sur toute sa longueur tout en caressant mes boules. Soudain nous entendons des voix qui se rapprochent. Aurélie se faufile à travers les buissons et me laisse en plan sur le banc le sexe à l’air. J’ai à peine le temps de tout remballer que deux mecs arrivent. Coup de chance mon paquet de clope est posé sur le banc alors je prends une attitude décontractée du gars qui prend l’air en fumant tranquillement.
Je retourne à l’intérieur excité par cette petite aventure et soulagé de ne pas m’être fait prendre. Nulle trace d’Aurélie pour le moment. Je la croise un bon quart d’heure plus tard, elle me jette à peine un regard mais quand je passe à sa hauteur elle me dépose un bout de papier dans la main. Je le mets discrètement en poche pour le lire à l’abri des regards indiscrets. « appelle moi pour qu’on finisse 06……. »
Pendant plusieurs jours je suis tourmenté et je ne sais pas quoi faire. Sur le moment j’étais prêt à aller plus loin avec Aurélie mais après réflexion ce n’est pas une très bonne idée. Mais quand même, quelle pipe géniale elle avait commencé ce soir-là.
Deux semaines passent et je me décide enfin à la rappeler. Elle n’y croyait plus trop mais mon coup de fil la ravit. On se donne rendez-vous chez elle la semaine suivante. Je sonne à la porte, elle me fait entrer. Nous sommes un peu gênés mais l’atmosphère se détend progressivement. Nous sommes sur le canapé en train de siroter un jus de fruits. Je fais le premier pas, je me penche vers elle et je l’embrasse. Ma main vient palper ses seins énormes. Ca y est ; Aurélie est à nouveau explosive. Elle m’entraîne dans sa chambre où on se déshabille. Enfin je vois cette poitrine opulente en pleine lumière. J’ai envie de jouer avec… Elle descend sa bouche vers mon sexe tendu et entreprend une fellation. C’est divin, elle le fait parce qu’elle en a envie et elle y va de bon cœur. Je m’allonge sur le lit, elle me grimpe dessus et elle vient s’empaler sur ma verge. Elle est assise sur moi et je vois ses seins balloter selon les mouvements de nos corps. J’att un téton dans ma bouche et je l’aspire fort pendant qu’elle me chevauche. Elle a un rythme endiablé et je la préviens que je vais éjaculer. Elle ne ralentit pas, elle pousse de petits cris et des halètements… j’éjacule.
« Je peux te demander un truc Aurélie ? »
« Mwoui, je t’écoute .»
« Comment dire… Tu as déjà fait des trucs avec tes seins ? »
« Quels trucs ? »
« Ben… branlette Espagnole ou cravate de notaire… »
« Ah… ce genre de trucs ? Non je n’ai jamais essayé. »
« Tu veux qu’on essaye tous les deux ? »
« Maintenant ? »
« Oui. Met toi sur le dos. »
Elle s’allonge, je me place au-dessus d’elle et mon sexe recommence à prendre de la vigueur. Je le glisse entre ses seins et je vais des allers-retours.
« Tiens tes seins de chaque côté pour les resserrer sur mon sexe. »
« ok mais tu n’éjacules pas sur moi car je n’aime pas ça. »
« Pas de souci. Approche ta bouche pour mettre un peu de salive histoire que ça glisse mieux. »
Elle s’exécute et je me retrouve la bite entre ses seins avec mon gland qui va s’enfoncer dans la bouche d’Aurélie à chaque mouvement.
On s’arrête avant que je n’éjacule puis c’est l’heure de nous quitter. Je m’en vais un peu à regret mais je sais que ce n’est qu’un début.
On se revoit de temps en temps de façon irrégulière selon les envies et les disponibilités de chacun. Toujours est-il que ma copine me parle beaucoup moins de sa collègue l’emmerdeuse et qu’elle la trouve plus détendue. Finalement j’améliore l’ambiance au boulot de ma copine…

Seulement dans tes rêves.