L'Eau Qui Dort - 2
Après un dîner plein de rires, ou les pieds ségaraient sous la table pour caresser les membres ou les chattes, nous étions à nouveau en forme pour continuer nos ébats.
Patricia est passée sous la table, a écarté mes jambes et a commencé à me sucer.
Louise a fait de même, et de voir la bouche de ma compagne engloutir le beau membre de Laurent ma aidé encore plus à bander. Javais imaginé, autrefois, que je ne supporterais pas de voir Louise avec un autre homme. Javais fantasmé sur des amours lesbiens, mais javais une pointe de réticence pour les garçons. Mais dans ce moment si unique, cela ma paru si naturel ! Et elle-même ne manifestait aucune retenue à me voir être sucé par Patricia.
Une fois que nous avons été bien raides tous les deux, nous avons fait sortir les dames de sous la table, les avons accompagnées vers le canapé, où elles se sont agenouillées côte à côte, le cul tendu vers nous.
- On va dabord vous baiser la chatte, a dit Laurent, et après, quand la première le demandera, nous vous enculerons.
Approchant ma bite de lantre mouillé de Patricia, je me suis rendu compte que cétait la première fois depuis dix ans que jallais baiser une autre femme que la mienne. Et je savais (ou supposais) que pour Louise aussi cétait son premier « chibre alternatif ».
Posant mon gland à lorée du gouffre, glissant de haut en bas ma queue pour écarter les lèvres, jai admiré la beauté féminine, cet abricot source de plaisir, le dessin des chairs autour du capuchon du clitoris (que Patricia avait très gros dailleurs).
Une fois ma vue rassasiée, jai enfoncé mon vit dans le con de Patricia. Dun coup vif, rapide, jusquà avoir les couilles qui battent sur son cul. Elle a laissé échapper un cri de surprise, mais visiblement elle avait aimé.
Jai vu Laurent faire de même avec Louise, et aperçu sa petite moue si caractéristique quand cest bon.
Les jambes écartées des filles, leurs culs splendides tendus vers nous, tout cela nous invitait à les pénétrer vivement, tout en ralentissant par instants, sortant nos queues et les replongeant dans lhumidité suintante de leur vagin
.
Laurent, tout à coup, a sorti sa queue de Louise, et me regardant :
- Tu veux goûter le jus de ta femme sur ma queue ?
Jai apprécié ce geste sympathique, et jai pris sa queue en bouche pour recueillir le nectar de Louise.
Puis je lui ai présenté la mienne, et il a englouti la cyprine de sa femme.
- Bon, je suis prête pour la suite, a dit Patricia. Et toi Louise ?
- Je te suis, cochonne, et offre mon anus à ton mari.
Nous nous sommes approchés, avons mis un peu dhuile sur les illets frémissants de lattente, puis avons introduit nos vits tout doucement dans les trous de nos belles.
Ah, la sodomie, moment magique où lon pénètre au cur de lintimité de lautre, où lon sent si bien le boyau qui sécarte sous la poussée.
- OOOOOOOOOO, mais cest bon, a crié Louise.
- AAAAAAAAAAA, tu as raison, ton Steve est bien membré aussi.
Laurent est parti en vrille, et sest mis à pilonner fortement le cul de Louise et linsultant
- Tiens, salope, tu aimes la queue dans ton cul ? Tiens, encore un bon coup dans ton trou béant, tu es ma chienne ce soir, ton cul mexcite au plus haut point, aaaaaaa, je menfonce, je te sens bien, ma bite est toute serrée.
- Enfoiré, ta queue va me faire jouir du cul si tu continues, a lâché Louise dans un souffle.
Je continuais de mon côté à aller et venir entre les fesses de Patricia, qui couinait bien elle aussi, tout en regardant ma douce Louise se faire besogner sauvagement, sans en croire mes yeux, mais bien excité par la vue du membre de Laurent sintroduisant en elle.
Tendus à fond, limant nos belles de forte manière, nous navons pas tardé à sentir monter la jouissance. Mais cest Patricia qui la première sest mise à gueuler :
- Ahhhh, je jouis, Steve, continue encore un peu, jai le cul qui en veut, prends-moi, défonce-moi, oooooooooaaaaaaaaaaaééééééééééééé, que cest bon
- Mmmmmmmmmmmmmmn, je jouis aussiiiiiiiiiii, a suivi Louise.
Et nous avons rempli les trous de nos femmes, grondant de plaisir, le sperme abondant de Laurent commençant à sécouler de lanus ouvert de Louise.
Calmés, nous nous sommes pelotonnés dans les bras des filles, les caressant, les bichonnant, les remerciant du plaisir quelles venaient de nous donner.
- Je crois que nous allons vous inviter dans la chambre, le lit est assez grand pour nous quatre, ai-je lancé. Et comme jaimerais bien enculer Laurent aussi, jaurai le temps de me recharger un peu.
- Avec plaisir, a dit Laurent. Et pour te refaire bander, jai une bonne technique. Allons sur le lit.
Il ma fait allonger sur le dos, et a dit :
- Louise, tu vas le sucer gentiment, et toi, Patricia, tu vas te mettre à genoux et aller poser ta chatte sur sa bouche. Moi, je caresserai alternativement les filles pour les stimuler.
Je ne sais pas vous, les garçons, mais moi, je navais jamais eu deux filles pour soccuper de moi. Jen avais souvent rêvé, mais du rêve à la réalité
! Et cette position dune femme accroupie sur ma bouche, sa fente ouverte sous ma langue, qui la pénétrait autant que possible, sentant le jus du plaisir couler sur mes lèvres, pendant que lautre me malaxait les boules tout en essayant de me raidir à nouveau, cétait divin. Honnêtement, jaurais pu rester des heures à goûter à ce plaisir.
Mais elles savaient y faire, les coquines, et au bout dun moment, ma queue flasque a commencé à ressembler à quelque chose, puis à un membre, puis à une bonne queue bien raide prête pour la saillie.
Alors, je me suis redressé, et jai invité les filles à préparer Laurent.
A son tour, il sest mis sur le dos, a écarté les jambes et ma présenté son cul.
Sa queue était raide aussi, et Louise la sucé pendant que japprochais de son trou.
Je me suis enfoncé lentement. Cétait le même plaisir, la même sensation quavec Patricia un peu plus tôt, mais avec un sentiment différent, celui dun plaisir à part.
Louise a laissé sa place à Patricia, qui a englouti le membre de son homme, et sest accroupie sur la bouche de Laurent pour se faire lécher.
Et moi, jenculais pour la première fois un homme, et je trouvais ça beau.
Et comme javais déjà éjaculé deux fois dans la soirée, il ma fallu du temps pour que cela revienne. Jai donc longuement introduit mon camarade, essayant de ressentir son plaisir, de voir sil prenait son pied.
A un moment, sans prévenir, il a giclé dans la bouche de Patricia, qui sest retirée, et la fin de son flot a terminé sur la queue, apportant un peu de lubrifiant supplémentaire.
Le plaisir a fini par poindre, et dans un dernier mouvement, jai lâché ma sauce dans son anus, puis me suis affalé sur lui, tombant sur le dos de Louise, qui jouissait aussi sous les caresses buccales de Laurent. Jai fini en léchant la raie de Louise, qui voyant que japprochais, ma tendu ses fesses en me disant amoureusement :
- Jai hâte de te sentir dans mon cul prochainement, mais ce soir, mon amour, on va laisser reposer ton bel oiseau.
Nous nous sommes tous serrés les uns contre les autres, dans un dernier moment de partage de tendresse.
Puis Patricia et Laurent se sont rhabillés, et après une dernière embrassade générale, ont rejoint leur hôtel. Nous partions le lendemain matin, et ce nest que dans lavion que nous avons constaté que nous avions oublié de nous échanger nos téléphones.
Laurent, Patricia, si vous lisez ce texte, contactez-nous, nous avons tellement aimé notre rencontre.
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